Et voilà les boulets de 2011!

Deux nouvelles victimes, une jeune fille de 24 ans et un jeune homme de 26 ans, se sont présentées à la police après que celle-ci a annoncé vendredi que cinq personnes avaient été «empoisonnées» par cet inconnu. |
Un mystérieux «empoisonneur», qui propose du schnaps provoquant convulsions et perte de conscience sur les marchés de Noël à Berlin, a fait sept victimes. C'est la police locale qui a annoncé ce bilan samedi.

Deux nouvelles victimes, une jeune fille de 24 ans et un jeune homme de 26 ans, se sont présentées à la police après que celle-ci a annoncé vendredi que cinq personnes avaient été «empoisonnées» par cet inconnu.



Un mode opératoire identique

Elles ont affirmé avoir été abordées mercredi vers 21h15 par cet homme présenté comme un quadragénaire faisant 1,80 m et aux cheveux blonds foncés, tandis que les cinq autres l'ont été jeudi.

Le mode opératoire est identique, selon la police : le suspect convainc ses victimes de célébrer la naissance de son enfant en buvant une fiole de schnaps qu'il leur propose avant de disparaître.

Les sept personnes ont ensuite été prises de vomissements, de convulsions et même pour certaines d'entre elles de malaises qui les ont contraintes à se rendre à l'hôpital, a précisé la même source.

La police ignore tout des mobiles de cet homme qui a déjà sévi sur trois marchés de Noël différents.

Les responsables de ces manifestations ont appelé dans les médias à davantage de vigilance et invité les visiteurs à ne consommer que des boissons achetées sur les stands.

Le marché de Noël est une tradition bien ancrée. De nombreux Allemands s'y rendent après le travail ou le week-end pour partager entre collègues, amis ou membres de la famille des verres de vin chaud, notamment.

C'est l'épilogue d'une histoire peu ordinaire qui s'est écrit mardi matin devant le tribunal des Prud'hommes de Paris.
Pascal Prou, cheminot dans la région d'Angers, a signé un accord de conciliation avec la SNCF, quatorze ans après un drame qui a bouleversé sa vie.
Le père de famille, qui a aujourd'hui 44 ans, a traversé une très longue dépression après avoir accepté l'ordre de son supérieur d'enfouir des restes non collectés d'un collègue percuté par un TGV. C'était en 1997.
A l'époque, Pascal travaillait à la brigade "équipement" (les ouvriers d'entretien du rail). Aujourd'hui, il est conducteur de train. La SNCF ne conteste pas les faits, mais souligne son caractère sensible et la nécessité aujourd'hui de refermer le dossier. Selon les informations de RTL, les deux parties se sont accordées sur une indemnisation de 45.000 euros. Pascal prévoit de donner une partie de la somme à l'orphelinat de la SNCF.

Dévoré par la culpabilité

L'histoire commence un matin d'automne 1997. La veille, François C., cadre au sein de la brigade équipement d'Angers Sud, est percuté par un TGV dans une courbe particulièrement dangereuse où il contrôlait les traverses. Le cheminot est tué sur le coup. Après le passage des services légaux, le corps est restitué à son épouse. Mais la veuve ne trouve pas la médaille et la chaine de son mari. La Brigade équipement décide alors de retourner sur les lieux.

C'est là qu'il découvrent l'impensable : des parties du corps heurté de plein fouet par le TGV sont restées sur les voies, pour une raison qui reste inexpliquée à ce jour. Le chef d'équipe de Pascal Prou décide alors de ne pas ébruiter l'affaire, pour protéger le famille du défunt. Et demande au cheminot d'enterrer ce qui a été collecté.

Le lendemain selon son récit, Pascal Prou tente de dire qu'il se sent mal, mais son chef d'équipe insiste pour que la Brigade équipement serre les coudes et se taise. Un silence accepté par Pascal qui va alors entrer dans une longue dépression, dévoré par la culpabilité.

Tourner la page

Neuf ans après, en 2006, il fait une première tentative de suicide. La direction SNCF d'Anger est alors alertée et déclenche un soutien psychologique. Une procédure judiciaire sera même ouverte en 2008 et le chef d'équipe de l'époque reconnaitra en partie les faits, ajoutant devant les gendarmes qu'il ne "comprend pas pourquoi Pascal Prou reparle" de cette histoire douloureuse.

La veuve du défunt apprend alors, qu'une partie du corps de son mari a été enterré dans un terrain SNCF. Jusqu'à aujourd'hui, elle n'a souhaité ni s'exprimer, ni engager une procédure contre la SNCF, mais elle a fait savoir à l'avocat du cheminot qu'elle le pardonnait.

Pour reprendre pied complètement, Pascal Prou décide en 2010 d'attaquer la SNCF devant les Prud'hommes pour atteinte au contrat de travail. Après une procédure de plusieurs mois, la SNCF a finalement accepté un accord de conciliation ce matin. Les deux parties reconnaissent que la direction nationale n'avait jamais été informée, mais la SNCF témoigne de sa compassion pour le traumatisme subi par le cheminot.

Pascal Prou, père de trois enfants, est toujours employé à la SNCF. Mais il est aujourd'hui conducteur de trains spéciaux. Le cheminot veut à présent tourner la page de cette histoire et compte donner une partie de la somme aux orphelins de la SNCF.

Être homme ou femme politique, c'est, de temps en temps, proposer des idées, même originales, pour régler les problèmes qui se posent à notre société.
Mais idée originale ne veut pas dire idées saugrenues. Une idée sugrenue, l'adjointe au Maire de Dijon (Côte-d'Or) vient d'en avoir une : Françoise Tenenbaum propose de remplacer les médecins par des vétérinaires pour les urgences dans des zones de déserts médicaux.
"De vrais médecins : Ce sont les vétérinaires"
"Il existe, dans les territoires ruraux, de vrais médecins : Ce sont les vétérinaires", déclare l'adjointe au maire à la santé interrogée par France 2. "Ils ont eu une formation très sérieuse : sept ans d'études après un concours. Ils savent faire les gestes de premiers secours. Pourquoi ne pas leur demander de l'aide ?".
Françoise Tenenbaum propose de mettre en place "une année de formation" en plus pour les "vétos".
Il faudrait également modifier la législation pour permettre aux vétérinaires de vous osculter : seuls les professionnels titulaires d’un diplôme d’Etat de docteur en médecine ont droit de soins sur un patient "humain".
Une solution qui ne plaît ni à certains vétérinaires, qui se disent aussi en sous-nombres, et non compétents, ni aux médecins qui parle d'une "solution qui n'est pas envisageable sérieusement".

Des infirmière d'une maternité strasbourgeoise se sont amusées à recenser sur Twitter le pires prénoms donnés en 2011 dans leur établissement. Palmarès.

Un prénom, c'est pour la vie... Mais certains ne semblent guère y prêter attention ! Les infirmières d'une clinique française n'ont pas hésité à faire la liste des prénoms les plus farfelus donnés aux enfants de leur service en 2011. Résultat ? Prénoms extravagants, originaux ou déroutants, appelez ça comme vous voulez, aujourd'hui tout est permis ! En voici un échantillon :

- chez les petites filles, la palme revient à Térébentine, Nicodeme, Mardoche ou encore Feeling ! L'alternative : pourquoi ne pas porter le nom d'un pays ? Incroyable mais vrai une petite... Brésil est née en 2011 ! Autres morceaux choisis retenus par les professionnels de la santé : Shakira. Djohanna, Chléopée et Akassia.
- Côté garçons, attendez-vous au pire : Emeraude, Superman ou encore Expert, le ridicule ne tue... mais peut faire mal ! Enfin, l'apogée des prénoms chocs semble être atteint avec Papa, Amour, ou encore Playboy, Charlot et Chandler. Reste à voir si la justice n'interviendra pas comme avec le petit Daemon, il y a quelques semaines... ou si les informatrices ne nous ont pas fait une dernière blague de l'année ?
Source : Le Dauphine
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