Boulets de mai ..........
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Boulets de mai ..........
Grippe A/H1N1 - Il imite le cri du cochon, son patron le licencie
Le reporter vedette d'une télé tchèque a diffusé sur son blog une vidéo le montrant "grouiner" en référence à la grippe A /H1N1, aussi appelé grippe porcine.
Son chef a estimé que cette plaisanterie représentait une "grave violation des normes internes" de la chaîne et a donc "opté pour une solution énergique".
F.B - le 05/05/2009 - 14h33
D'après agence
ce directeur de chaîne !
Le reporter vedette d'une télé tchèque a diffusé sur son blog une vidéo le montrant "grouiner" en référence à la grippe A /H1N1, aussi appelé grippe porcine.
Son chef a estimé que cette plaisanterie représentait une "grave violation des normes internes" de la chaîne et a donc "opté pour une solution énergique".
F.B - le 05/05/2009 - 14h33
Une petite blague qui lui fait perdre son job. Un journaliste vedette de la première chaîne de télévision tchèque, Nova, a été licencié lundi pour avoir diffusé sur son blog une vidéo dans laquelle il grogne comme un cochon, en référence à l'actuelle épidémie de grippe A /H1N1, partie d'un élevage de porcs.
Dans cette vidéo tournée dans la salle de rédaction, le reporter Jiri Dlabaja, interroge cinq de ses collègues pour savoir sur quoi ils travaillent. Ces derniers ont pour réponse... un grognement et une grimace. A la fin de la brève séquence, Jiri Dlabaja émet à son tour le grognement le plus sonore de tous en se filmant.
Une plaisanterie qui n'a visiblement pas amusé le directeur de la chaîne. Petr Dvorak a estimé que la vidéo qui s'est propagée sur internet représentait une "grave violation des normes internes" de la chaîne privée. "Comme cette vidéo a été tournée pendant les heures de travail et dans les espaces de la salle de rédaction, nous avons opté pour une solution énergique" : le licenciement...
D'après agence
ce directeur de chaîne !
Re: Boulets de mai ..........
Autriche: un hôtel refuse une famille juive
AFP
11/05/2009 | Mise à jour : 10:40 |
AFP
11/05/2009 | Mise à jour : 10:40 |
Une famille juive orthodoxe s'est vu refuser une chambre d'hôtel dans le sud de l'Autriche en raison de sa religion, suscitant une vague d'indignation, rapporte la presse autrichienne aujourd'hui, alors que se multiplient les incidents à caractère antisémite dans le pays.
Cherchant à réserver une chambre pour les vacances à Serfaus (ouest), dans le Tyrol, cette famille viennoise s'est vu répondre par courrier électronique que l'hôtel ne souhaitait "plus acccueillir de clients juifs en raison de mauvaises expériences", selon une information révélée par le quotidien régional Tyroler Tageszeitung.
L'incident a été condamné par la communauté juive du Tyrol ainsi que par le maire de la commune, Georg Mangott, et le président de l'office du tourisme local, Franz Tschiderer, qui ont dénoncé un comportement "inacceptable".
Dans une autre affaire, des activistes néonazis cagoulés avaient perturbé samedi une cérémonie de commémoration de la libération du camp de concentration nazi de Mauthausen, en scandant "Heil Hitler" et en faisant le salut nazi devant d'anciens déportés français et italiens à Ebensee (centre).
Le parquet de Vienne a par ailleurs été saisi d'une plainte pour "incitation à la haine religieuse" contre une affiche controversée du parti d'extrême droite autrichien FPÖ revendiquant "l'Occident aux mains des chrétiens".
Le parti Vert (écologistes, opposition), a notamment estimé que la volonté d'écarter des personnes en raison de leurs croyances religieuses faisait ressurgir le spectre de l'étoile jaune imposée aux Juifs par le régime nazi sous le Troisième Reich.
Re: Boulets de mai ..........
J'ai lu quelque part qu'au Chili les touristes Israéliens n'étaient pas les bienvenus, pour des problèmes de comportement, justement.....
shimmy- Président du Conseil Général
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Re: Boulets de mai ..........
Allemagne - La police pense tenir le tueur en série de lapins
Voilà des mois qu'un homme s'introduisait dans les clapiers de la vallée de la Ruhr décapitant les bêtes. La police a dénombré 58 cas de lapins tués.- le 16/05/2009 - 10h05
le serial killer de lapins !!!
Voilà des mois qu'un homme s'introduisait dans les clapiers de la vallée de la Ruhr décapitant les bêtes. La police a dénombré 58 cas de lapins tués.- le 16/05/2009 - 10h05
Depuis plus d'un an, l'homme terrorisait les amis des bêtes de la vallée de la Ruhr, en Allemagne, en tuant leurs lapins. Tôt vendredi, ce tueur en série présumé a été arrêté. Le suspect âgé de 26 ans a été interpellé alors qu'il transportait deux caisses contenant onze cochons d'Inde. Une perquisition de son domicile a permis de découvrir d'autres animaux, ainsi qu'un grand nombre de cadavres qui pourraient être ceux de lapins tués.
C'est sans doute la fin du cauchemar pour les amis des lapins. Car, voilà des mois qu'un tueur en série s'introduisait de nuit dans les clapiers. Il décapitait les lapins et emportait leur tête et leur sang. Rien qu'à Dortmund, la police a dénombré 58 cas de lapins tués, dont 31 décapités à l'aide d'un objet tranchant. D'autres cas ont été signalés dans toute la région. La fédération des éleveurs de lapins et des particuliers avaient offert 15.000 euros de récompense pour la capture de l'assassin.
le serial killer de lapins !!!
Re: Boulets de mai ..........
Eure-et-Loir - Elle oublie le bébé au rayon pâtisseries
La police a pris en charge le bébé de 3 mois, oublié par sa tante dans un hypermarché près de Chartres, le temps que celle-ci s'en rende compte... 4h plus tard.
La jeune femme qui avait la garde de l'enfant a reçu un rappel à la loi.-
le 16/05/2009 - 22h50
La police a pris en charge le bébé de 3 mois, oublié par sa tante dans un hypermarché près de Chartres, le temps que celle-ci s'en rende compte... 4h plus tard.
La jeune femme qui avait la garde de l'enfant a reçu un rappel à la loi.-
le 16/05/2009 - 22h50
Un nourrisson âgé de trois mois a été oublié par sa tante au rayon pâtisseries d'un hypermarché de l'agglomération de Chartres samedi, avant d'être pris en charge par la police, a indiqué une source policière. L'alerte a été donnée par un employé, intrigué de voir qu'un landau était immobilisé dans une allée depuis un certain temps. La direction du magasin a alors lancé, en vain, un appel au micro afin de retrouver les parents du bébé. Au bout d'une demi-heure, les responsables de l'enseigne ont prévenu les forces de l'ordre qui ont pris en charge le bébé, conduit au commissariat de police de Chartres.
Ce n'est que quatre heures plus tard qu'une femme âgée de 25 ans, se présentant comme la tante de l'enfant, est venue au poste de police récupérer le nourrisson. Elle a été placée en garde à vue le temps aux policiers d'effectuer les vérifications nécessaires et de retrouver la mère, âgée de 23 ans. La tante a reconnu aux policiers être allée faire des courses et avoir oublié par mégarde le bébé. La jeune femme qui avait la garde de l'enfant a reçu un rappel à la loi.
Re: Boulets de mai ..........
Chronique de la corruption ordinaire à Westminster
Par Cyrille Vanlerberghe, correspondant à Londres
19/05/2009 | Mise à jour : 08:07 | Commentaires 2 | Ajouter à ma sélection
Par Cyrille Vanlerberghe, correspondant à Londres
19/05/2009 | Mise à jour : 08:07 | Commentaires 2 | Ajouter à ma sélection
Vendredi dernier, dans le métro londonien, un journal annonce la suspension de son poste du secrétaire d'État à la Justice, Shahid Malik, dans l'attente des résultats d'une enquête sur ses notes de frais.
Les Britanniques assistent, médusés, au déballage du scandale des notes de frais, dont les élus avaient eux-mêmes fixé les règles de remboursement.
La dernière fois que Douglas Hogg eut la malchance d'attirer l'attention des médias remonte à une quinzaine d'années, quand il était ministre de l'Agriculture et critiqué pour sa gestion de la crise de la vache folle. Depuis quelques jours, ce député conservateur est devenu l'un des symboles les plus marquants du scandale des notes de frais qui ébranle les fondements de la démocratie britannique. Mardi dernier, le Daily Telegraph a révélé que, sans honte aucune, Douglas Hogg s'était fait rembourser des milliers de livres pour l'entretien de son manoir dans la campagne du Lincolnshire, dont le salaire de sa gouvernante, la réparation de ses écuries, l'accordement de son piano et le nettoyage de ses douves.
Interrogé par les médias sur la légitimité de tels remboursements, Douglas Hogg a piqué une grosse colère, niant avoir commis la moindre faute. Comme il l'avait déjà expliqué il y a quelques années dans une lettre adressée aux comptables du Parlement, «certains des éléments que je soumets à remboursement n'entrent peut-être pas dans le cadre autorisé, mais comme il est certain que mes dépenses légitimes dépassent largement le plafond maximal, ce n'est peut-être pas la peine que nous passions trop de temps à débattre des détails». Et effectivement, grâce à un accord spécial, il touchait automatiquement chaque mois le montant maximal de remboursement auquel il avait droit.
Si l'histoire des douves du vicomte Hogg a évidemment choqué les contribuables, et a provoqué un déluge de blagues sur le train de vie des représentants de Sa Majesté, ce n'est finalement qu'un cas parmi des dizaines d'autres. Depuis maintenant plus d'une dizaine de jours, le Daily Telegraph assomme littéralement l'ensemble de la classe politique en dévoilant sur une dizaine de pages quotidiennes comment des douzaines de députés de tous bords gonflent leurs notes de frais pour arrondir leurs fins de mois. «Depuis une dizaine de jours, l'ambiance est horrible dans les couloirs du Parlement de Westminster, témoigne une personne qui y travaille. Les députés qui ont déjà été pointés du doigt sont déprimés, et ceux qui n'ont pas encore été désignés à la vindicte craignent de voir leur nom sortir un matin dans le journal.»
Les têtes ont commencé à tomber
Les premiers scoops du quotidien conservateur, qui soutient ouvertement David Cameron, sont tombés le matin du vendredi 8 mai. Sur dix pages, le Telegraph dévoilait les notes de frais de Gordon Brown et de ses ministres. En une, le journal révéla que le premier ministre versait depuis 2004 plus de 6 000 euros par an à son frère pour des frais de ménage. Des membres importants du cabinet de Brown, comme le ministre de la Santé, Jack Straw, ou le chancelier, Alistair Darling, furent aussi épinglés pour des dépenses de plusieurs milliers de livres liées à leurs résidences secondaires. La colère des Britanniques après ces nouvelles choquantes s'est traduite par une dégringolade rapide du parti au pouvoir dans les sondages.
La crise a déjà fait tomber quelques têtes au Labour, comme l'ancien ministre Elliot Morley ou le secrétaire d'État à la Justice Shahid Malik. D'autres pourraient rapidement suivre à l'occasion du remaniement que Brown ne manquera pas de faire en juin, après les élections européennes, comme la ministre de l'Intérieur, Jacqui Smith, qui a retrouvé dans ses factures des films X visionnés par son mari, et la ministre des Communautés, Hazel Blears, qui a fait une plus-value de 50 000 euros en revendant un logement acheté, entretenu et aménagé avec l'aide de l'argent public.
Bizarrement, les députés d'opposition, conservateurs comme libéraux démocrates, semblaient hésitants à critiquer les comportements de leurs adversaires au pouvoir, préférant répéter sur les antennes qu'il était urgent de réformer le système de notes de frais dans son ensemble. Une prudence qui prit tout son sens dès le quatrième jour de l'affaire, quand le Telegraph, dans une belle démonstration d'indépendance malgré sa couleur politique, s'attaqua aux petites affaires des tories.
Des grands noms de l'équipe proche de Cameron, comme le très médiatique Michael Gove, porte-parole pour l'éducation qui a reçu près de 8 000 euros après avoir meublé son appartement chez un designer réputé, durent à leur tour expliquer leurs comportements devant les médias. En termes d'image, ces révélations ont été catastrophiques pour David Cameron, qui tente de faire mentir les clichés selon lesquels les élus conservateurs, sortis des pensions privées et des prestigieuses universités d'Oxford et Cambridge, ne représentent que les classes les plus aisées d'Angleterre. Le même jour que l'histoire du manoir de Douglas Hogg, le Telegraph a en effet raconté qu'un certain James Arbuthnot s'était fait rembourser le nettoyage de sa piscine et que sir Michael Spicer avait envoyé une facture de jardinage de 609 livres pour l'entretien de son «héliport» dans son domaine du Worcestershire.
Le salaire des élus à la traîne du privé
Après des réactions plutôt molles et hésitantes durant les premiers jours, les leaders politiques ont fini par prendre la mesure de l'énorme colère publique provoquée par cet impressionnant déballage d'excès. Bien que son parti fût largement touché, le premier à marquer des points fut David Cameron. Au cinquième jour de la crise, il fit une intervention télévisée pour condamner vivement les dérapages et promettre que les coupables seraient exclus du Parti conservateur. Sa fermeté ainsi que sa colère non feinte firent merveille auprès du public : nombre de commentateurs remarquèrent qu'il avait montré pour la première fois ce jour-là l'étoffe «d'un premier ministre». Quant à Brown, sa «colère» arrive bien tard, et ne suffira pas à faire oublier que son parti, au pouvoir depuis douze ans, a manqué de nombreuses occasions de réformer le système des notes de frais des députés.
Car, plus qu'une démonstration de malhonnêteté de la part des membres de la Chambre des communes, le scandale en cours est surtout la conséquence d'un manque de contrôle extérieur sur le fonctionnement du Parlement. Depuis plusieurs années, les gouvernements successifs n'ont pas relevé les salaires des élus, alors que le coût de la vie explosait dans le pays. Pour tenter de réduire l'écart avec les rémunérations du secteur privé, les députés, qui touchent 73 000 euros par an, se sont arrangés pour gonfler leurs notes de frais.
Révélations vendues au plus offrant
Le principal outil fut la mise en place des allocations pour frais de domicile secondaire. Un système de remboursement des charges destiné à aider les élus de circonscriptions lointaines à venir se loger dans la coûteuse capitale britannique lors des sessions parlementaires. L'idée était légitime, mais les règles trop laxistes, mises en place par les membres du Parlement eux-mêmes, ont provoqué des abus flagrants. Les élus ont ainsi tendance à déclarer comme domicile secondaire le logement sur lequel ils ont le plus de charges, même si celui-ci est en province, c'est ce que fit Douglas Hogg en déclarant son manoir plutôt que son logement londonien. D'autres s'arrangeaient pour changer chaque année la maison qu'ils déclaraient comme secondaire, afin de se faire rembourser des réparations coûteuses et des frais d'ameublement dans chacune de leurs propriétés. Les nouveaux arrivants étaient vite mis au courant des pratiques par leurs aînés, et le speaker Michael Martin, élu qui préside les débats et représente la Chambre des communes auprès de la reine, pesait de tout son poids pour qu'aucun détail du système ne sorte des murs de Westminster.
Mais une fuite issue sans doute du service de comptabilité du Parlement a mis fin à ces confortables arrangements entre gentlemen. D'après le Guardian, un homme a apparemment tenté de vendre les informations sur les notes de frais au tabloïd The Sun, qui aurait trouvé l'addition trop salée, puis au Daily Express, sans succès non plus, avant de trouver preneur au Daily Telegraph pour un montant inconnu. Quel que soit le prix payé pour le disque dur contenant la totalité des notes de frais des 646 députés depuis quatre ans, le quotidien a fait une belle affaire, augmentant ses ventes de 93 000 exemplaires supplémentaires le premier jour, et de plusieurs dizaines de milliers les jours suivants.
Re: Boulets de mai ..........
suite des boulets britanniques
ROYAUME-UNI
Une île pour canards remboursée à un député britannique
| Réagir21.05.2009, 21h31 | Mise à jour : 21h52
Leparisien.fr
Et ce sont de sgagne - petit , j comprends ( sans excuser ) qu'on triche pour de grosses sommes , mais pour 3000 euros , c'est de l'imbecillité pure !
ROYAUME-UNI
Une île pour canards remboursée à un député britannique
| Réagir21.05.2009, 21h31 | Mise à jour : 21h52
Un député britannique a perçu plus de 30.000 livres (34.300 euros) d'argent public pour ses frais de jardinage, dont une île pour canards, indique jeudi le Daily Telegraph dans une nouvelle série de révélations qui ont contraint l'intéressé à démissionner ainsi qu'un autre élu.
Sir Peter Viggers, député conservateur, a touché plus de 30.000 livres sur trois ans pour l'entretien du jardin de sa propriété dans le Hampshire (sud-est de l'Angleterre), dont 1.645 livres (1.883 euros) pour la construction d'une structure flottante dans son étang surmontée d'une petite maison pour abriter des canards.
«Je lui ai parlé la nuit dernière et je lui ai dit d'annoncer immédiatement son départ à la retraite», a déclaré le leader des conservateurs David Cameron. Le député et membre de la commission parlementaire des Finances devrait abandonner son siège aux prochaines élections, et pourrait être contraint à rembourser plus de 10.000 livres (11.400 euros), indique le quotidien britannique.
L'autre député concerné par les révélations du journal est un travailliste cette fois. Ben Chapman a annoncé jeudi soir qu'il démissionnerait de son poste d'ici les prochaines élections, après avoir été accusé de s'être fait rembourser 15.000 livres (17.000 euros) pour des intérêts d'un crédit immobilier qu'il avait pourtant déjà entièrement payé.
Gordon Brown se dit «atterré»
Le Daily Telegraph, qui distille depuis 14 jours les détails embarrassants des défraiements des députés, jusque-là confidentiels, affirme par ailleurs qu'un autre député conservateur, Bill Wiggin, a perçu des remboursements indus de quelque 11.000 livres (12.600 euros), pour les intérêts d'un prêt immobilier en fait inexistant. Le député a dit avoir commis une erreur involontaire, ce que soutient aussi la direction des conservateurs.
Le Premier ministre Gordon Brown a par ailleurs rejeté les allégations du Daily Telegraph jeudi selon lequel deux ministres travaillistes, James Purnell, ministre du Travail et des Retraites, ainsi que Geoff Hoon, ministre des Transports, auraient évité de payer des impôts sur la vente de leur propriété londonienne avec une astuce légale. «Pour autant que je sache cela ne pose pas de problème, a commenté Gordon. S'il y a d'autres problèmes qui doivent être rectifiés, ils le seront. Mais chaque cas est différent.»
Le Premier ministre s'est déclaré «atterré» par la série de révélations sur les défraiements abusifs des députés, prévenant que «ce type de comportement ne serait pas toléré». Le scandale des notes de frais abusives des députés britanniques a dégénéré en l'une des crises politiques les plus graves de ces dernières années, forçant le Speaker (président) des Communes à annoncer mardi sa prochaine démission, une première depuis plus de 300 ans.
Leparisien.fr
Et ce sont de sgagne - petit , j comprends ( sans excuser ) qu'on triche pour de grosses sommes , mais pour 3000 euros , c'est de l'imbecillité pure !
Re: Boulets de mai ..........
Un gendarme castre l'amant de sa femme
| Réagir24.05.2009, 19h28
il est certain que c'est un peu rapé pour l'amant de la femme !!
| Réagir24.05.2009, 19h28
leparisien.frUn gendarme de 43 ans a été placé en garde à vue après avoir émasculé l'amant de sa femme à Reichshoffen (Bas-Rhin). L'homme, père de cinq enfants, s'est rendu samedi en fin de matinée au domicile de sa victime, âgée de 54 ans. Après l'avoir assommé, le mari jaloux a traîné l'amant de sa femme inconscient dans le garage où il a commis son acte.
Il s'est ensuite rendu aux gendarmes quelques heures plus tard. Selon une expertise psychiatrique, l'homme a agi de sang froid. Il a néanmoins été placé sous surveillance médicale, les médecins estimant qu'il présentait «un risque suicidaire».
Quant à la victime, si son pronostic vital n'est pas engagé, sa blessure aura des conséquences irréparables. Le gendarme doit être présenté dimanche soir à un juge. Une information judiciaire pour actes de torture ou de barbarie ayant entraîné une mutilation définitive, un crime qui relève des assises, pourrait être ouverte contre lui.
il est certain que c'est un peu rapé pour l'amant de la femme !!
Re: Boulets de mai ..........
LEGISLATION
Vous êtes malade ? en congé maternité ? Eh bien travaillez !
16 réactions | Réagir25.05.2009, 18h03 | Mise à jour : 20h41
Leparisien.fr
On peut traduire ceci par " marche ou crève " !
On supprime le congé maladie , voila un grand pas en avant !!!
Je pense que nos députés peuvent effectivement travailler quand ils ont un petit bobo , pour ce qu'ils font pas de problème !
Je lui décerne
Vous êtes malade ? en congé maternité ? Eh bien travaillez !
16 réactions | Réagir25.05.2009, 18h03 | Mise à jour : 20h41
C'est une idée qui risque de faire des vagues. Le député et porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre a souhaité lundi que les salariés puissent être autorisés, via le télétravail, à poursuivre leur activité professionnelle pendant leur congé maladie ou maternité.
Il devait défendre un amendement en ce sens lors de l'examen de la proposition de loi UMP sur le prêt de main d'oeuvre entre entreprises, qui devait débuter lundi soir à l'Assemblée nationale.
Frédéric Lefebvre entend «permettre aux salariés qui en feraient la demande de maintenir une activité par la voie du télétravail dans certains cas où leur contrat est normalement suspendu», selon l'exposé des motifs de son amendement. Ces cas concerneraient les congés consécutifs «à une maladie ou un accident», le «congé maternité», le «congé parental d'éducation ou congé de présence parental», précise le texte.
«L'intérêt de la poursuite du contrat de travail est évident pour le salarié à qui elle permettrait, au minimum, de maintenir sa rémunération, à nombre d'heures de travail effectuées équivalent», détaille l'exposé des motifs.
«L'employeur pourrait également être incité à encourager le passage au télétravail en se voyant offrir une réduction de charges sociales, financée par les économies réalisées par la caisse d'assurance maladie, qui n'aurait plus à verser d'indémnité au télétravailleur», lit-on également.
Leparisien.fr
On peut traduire ceci par " marche ou crève " !
On supprime le congé maladie , voila un grand pas en avant !!!
Je pense que nos députés peuvent effectivement travailler quand ils ont un petit bobo , pour ce qu'ils font pas de problème !
Je lui décerne
Re: Boulets de mai ..........
Lefebvre a encore ouvert la bouche, je suis étonnée que ce soit pour dire une connerie!
Dans le pire des scénarios, en 2012 Royal affrontera ce nouveau champion de l'UMP.
La cruche du Poitou contre l'idiot du village, ça donnerait une idée du degré d'intelligence des électeurs français!
Dans le pire des scénarios, en 2012 Royal affrontera ce nouveau champion de l'UMP.
La cruche du Poitou contre l'idiot du village, ça donnerait une idée du degré d'intelligence des électeurs français!
Invité- Invité
Re: Boulets de mai ..........
il est peut être malade mais alors la médecine ne peut vraiment rien pour lui !!
Re: Boulets de mai ..........
Paris - Un ex-élu condamné pour détention d'images pédophiles
L'ancien adjoint socialiste à la mairie du Xe arrondissement, Julien Bobot, a été condamné mardi à six mois d'emprisonnement avec sursis.
Agé de 34 ans, il avait téléchargé et consulté sur Internet des images pornographiques mettant en scène des mineurs âgés de 2 à 15 ans.-
le 26/05/2009 - 18h46
L'ancien adjoint socialiste à la mairie du Xe arrondissement, Julien Bobot, a été condamné mardi à six mois d'emprisonnement avec sursis.
Agé de 34 ans, il avait téléchargé et consulté sur Internet des images pornographiques mettant en scène des mineurs âgés de 2 à 15 ans.-
le 26/05/2009 - 18h46
(D'après agence)Un ex-adjoint PS à la mairie du Xe arrondissement de Paris a été condamné mardi à six mois d'emprisonnement avec sursis pour détention d'images pédophiles par le tribunal correctionnel de Paris. Julien Bobot, 34 ans, a été condamné pour avoir téléchargé et consulté sur Internet des images pornographiques mettant en scène des mineurs âgés de 2 à 15 ans sur son ordinateur personnel et sur son lieu de travail, de juin 2007 à la mi-mai 2009. Dénoncé par une collègue de travail, ce chargé de mission au sein de la Ligue de l'enseignement avait été interpellé il y a deux semaines par la Brigade de protection des mineurs.
Egalement adjoint aux questions scolaires à la mairie du Xe, mandat dont il a démissionné depuis son arrestation, Julien Bobot a reconnu les faits en garde à vue ainsi que lors de l'audience de mardi devant la 15e chambre correctionnelle. "Depuis deux semaines, je me pose la question de savoir pourquoi j'ai fait cela alors que je n'ai pas à me plaindre de ma vie", a expliqué d'un ton posé ce père de deux enfants, âgés de un et trois ans.
"Une forme de soulagement"
Sans antécédent judiciaire, ni "anomalie mentale", selon un expert psychiatre, Julien Bobot s'est dit parfaitement conscient de transgresser la loi en visionnant, téléchargeant et archivant des images d'enfants abusés sexuellement. "D'une certaine façon, le fait que cela s'arrête et que je me demande 'pourquoi ?' est une forme de soulagement", a-t-il ajouté, soulignant que depuis sa garde à vue et sa convocation au tribunal, il avait pris rendez-vous avec un psychiatre et un psychanalyste.
Le tribunal n'a pas suivi le parquet qui avait requis un suivi socio-judiciaire avec une obligation de soin pendant trois ans. En prononçant six mois d'emprisonnement avec sursis, "le tribunal a souhaité vous faire confiance et considérer que vous allez effectivement suivre une psychothérapie", a expliqué au prévenu la présidente Marie-Françoise Guidolin. Julien Bobot devra en outre verser un euro symbolique à la Ligue de l'enseignement, partie civile.
Re: Boulets de mai ..........
Aurélie a écrit:Hélas non, l'imbécilité étant hélas incurable !
"Pauvres salariés qui « subissent » les congés maladies, les dimanches chômés et autres oripeaux de traditions sociales antiques ! Mais surtout gentil patron qui peut faire bosser à moins cher son employé malade : comme le précise l’amendement, c’est l’employeur qui s’acquitte du paiement des heures travaillées mais qui pourrait, grâce aux économies réalisées par la caisse d’assurance maladie, se voir offrir des réductions de charges sociales !"
Invité- Invité
Re: Boulets de mai ..........
quelque soit l'angle d'approche , c'est une imbecillité et un mépris inoui .
Cela reveint à considérer que tous les salariés qui demandent un CM sont des jeanfoutre qui pourraient travailler s'ils étaient moins fainéants !
or dans la quasi totalité des cas ( il cite notement les ingénieurs ) , les CM signifient réellement que les gens sont dans l'incapacité physique de bosser .
Je me demande comment dans mon administration on pourrait envisager d'offrir aux éducs de travailler pendant leur congé maladie , est ce qu'on amène au domicile un , deux ou 3 délinquants à encadrer ???
Cela reveint à considérer que tous les salariés qui demandent un CM sont des jeanfoutre qui pourraient travailler s'ils étaient moins fainéants !
or dans la quasi totalité des cas ( il cite notement les ingénieurs ) , les CM signifient réellement que les gens sont dans l'incapacité physique de bosser .
Je me demande comment dans mon administration on pourrait envisager d'offrir aux éducs de travailler pendant leur congé maladie , est ce qu'on amène au domicile un , deux ou 3 délinquants à encadrer ???
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