Et voilà les boulets de 2011!

Des automobilistes « courtois » et « raisonnables », tels étaient les termes pour qualifier l'ambiance des contrôles effectués par les gendarmes. À l'exception d'un conducteur qui n'a pas eu le temps de passer par le barrage routier.

Et pour cause : il l'a littéralement survolé !

Il était aux environs de sept heures, samedi matin, lorsqu'un automobiliste âgé d'une vingtaine d'années, au volant d'un coupé sport très puissant, s'est « envolé » au-dessus du rond-point situé sur la commune de Biguglia. Roulant à 200 km/heure, il n'a pas réussi à s'arrêter et a fini sa course quatre cents mètres plus loin, sous les yeux stupéfaits des gendarmes.

L'automobiliste a aussitôt tenté de reprendre sa course folle, mais cette fois sans succès. À cause de son violent atterrissage, son véhicule avait en effet subi de sérieux dégâts matériels.
Contrôlé en outre positif avec un taux de 1,70 gramme d'alcool par litre de sang, le conducteur a été placé en garde à vue et son permis de conduire lui a été aussitôt retiré.
Il sera jugé aujourd'hui en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Bastia.

A Massy (Essonne), pour une raison inconnue, les deux rames du TGV en provenance de Lyon ont été inversées: celle de Rennes a pris la direction de Saint-Pierre-des-Corps près de Tours au lieu du Mans, celle de Nantes est partie par erreur pour le Mans.
Une "erreur d'affectation de rame très rare", affirme la SNCF qui assure que "les clients ont été informés dans le TGV de cette erreur par les contrôleurs".

Les passagers à destination de Rennes, environ 200 personnes, qui ont fait le détour par Saint-Pierre-des-Corps, ont eu un retard de plus de deux heures mais "les passagers n'ont pas changé de TGV" et "ils ont été pris en charge à leur arrivée" avec notamment en gare de Rennes 80 taxis gratuits pour rentrer chez eux, précise-t-on de même source.

Les passagers de la rame de Nantes et qui devaient s'arrêter à Saint-Pierre-des-Corps ont dû emprunter un TER au Mans pour rejoindre leur destination et ont accusé un retard d'une heure à leur arrivée.

C'est l'histoire de deux voisines qui ne s'aimaient pas beaucoup. Appelons ces deux habitantes de Nancy Christine et Katie (1). Un jour, en mai dernier, Katie, une maman de 31 ans, doit partir à l'hôpital. Elle est enceinte et souffre de complications. Elle demande à Christine si elle peut garder quelques heures sa petite fille de 18 mois. Quelques jours après, même requête. Et c'est là que ça se complique. Tant et si bien qu'aujourd'hui, Katie se retrouve convoquée devant le conseil de prud'hommes par sa voisine. Christine lui réclame 1.530 euros pour ces deux baby-sittings : "un service" pour l'une ; "un emploi" pour l'autre.

Car leurs versions diffèrent, forcément. Chacune a pris un avocat. A TF1 News, les conseils racontent. "Ma cliente a demandé à sa voisine de lui rendre un service ce que cette dernière a accepté, explique Me Olszowiak, le défenseur de Katie. Il n'a jamais été question de contrepartie financière !" Trois semaines après ces deux baby-sittings, la jeune mère reçoit dans sa boîte aux lettres une facture : Christine lui réclame 50 euros pour ces dix heures passées à s'occuper de sa fillette. Katie refuse. "Ma cliente a accepté de la garder à condition d'être payée en chèque emploi-service !", affirme Me Lagarrigue, l'avocate de Christine. En août dernier, cette dernière saisit le conseil des prud'hommes en référé. Il rejette le sérieux de la requête. Christine persiste. Son cas sera de nouveau examiné le 2 février prochain.

L'avocat de Katie se désespère d'une affaire qu'il juge "grotesque". Celui de Christine se dit "ahurie" par la proportion que prend cette "querelle de clocher". Mais pourquoi réclamer 1.530 euros pour deux baby-sittings ? "La plaignante demande des dommages et intérêts pour travail dissimulé, pour rupture abusive de contrat et six mois d'arriérés parce qu'elle explique qu'elle n'a pas été déclarée à l'URSSAF", explique Me Olszowiak. "Cette somme résulte seulement d'une application stricte du code du travail", répond Me Lagarrigue. La tâche des deux défenseurs s'annonce ardue. En l'absence de contrat écrit entre les deux voisines, c'est parole contre parole. Celles de deux voisines qui ne s'aimaient pas beaucoup.

Jean-Claude a écrit:Normal et tout excusés ! Tu sais à quoi on reconnait un fonctionnaire ?

La fonction publique française, au sens strict, comprend l’ensemble des agents occupant les emplois civils permanents de l’Etat, des collectivités territoriales (commune, département ou région) ou de certains établissements publics hospitaliers.
Parmi ces agents tous ne sont pas fonctionnaires. En effet, le terme de fonctionnaire est polysémique. Dans le vocabulaire courant, il désigne toutes les personnes travaillant pour le secteur public. Il peut aussi comprendre tous les agents dont la rémunération est liée aux deniers publics6.
Dans les EPIC (Réseau ferré de France (RFF), Société nationale des chemins de fer français (SNCF), Régie autonome des transports parisiens (RATP)), dans les sociétés publiques (Radio France, France Télévisions) et dans la plupart des organismes de sécurité sociale, le personnel est entièrement de droit privé (sauf cas exceptionnels de fonctionnaires détachés).

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Le personnel statutaire[eux sont fonctionnaires )
Il comprend les fonctionnaires proprement dit, titularisés par acte unilatéral, et les autres agents, temporaires ou en période de titularisation.
Les fonctionnaires sont employés dans les administrations d'État ou des administrations territoriales, ou dans les établissements publics. Ils sont notamment chargés d'assurer les services publics non délégués, comme par exemple la lutte contre les calamités (sapeurs-pompiers), la protection et le maintien de l'ordre (gendarmerie (militaires) ou police), l'enseignement (éducation), la santé (hôpitaux), mais aussi dans l'administration chargée de la gestion des ministères et collectivités territoriales.

Les hauts fonctionnaires nommés par le gouvernement (préfets, ambassadeurs, recteurs, directeurs des services fiscaux, trésoriers payeurs généraux, directeurs d'administration centrale...) sont soumis à des règles strictes qui imposent la loyauté et qui dérogent aux droits dont bénéficient la grande majorité des fonctionnaires en vertu du statut général.

Les fonctionnaires sont dans une situation statutaire et réglementaire (contrairement aux agents non titulaires de l'État et aux employés des entreprises publiques ou privées) : cela signifie qu'ils n'ont pas de contrat de travail mais que leur emploi est directement géré par des dispositions de la loi et du règlement (décrets, arrêtés). Ils ne sont pas soumis au code du travail, sauf pour certaines dispositions (non-discrimination, hygiène et sécurité).

Des établissements publics à caractère administratifs (EPA) emploient également des agents titulaires qui ne sont pas des fonctionnaires, mais qui sont régis par des statuts particuliers et soumis à des règles proches de celles de la fonction publique.

En principe, les établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) emploient des agents recrutés selon les modalités du droit du travail dans les mêmes conditions que les entreprises privées, à l'exception du directeur et du comptable public, qui ont alors la qualité d'agent public, si l'établissement en est doté. Toutefois, pour des raisons historiques, une partie des personnels de certains établissements publics à caractère industriel et commercial, comme l'ONF 7, voire d'entreprises maintenant privées, comme France Télécom et La Poste, relève du corps des fonctionnaires de l'État. La Poste et France Télécom embauchent désormais des personnels selon les règles du droit privé.

livaste a écrit:c'est un cadeau d'une fonctionnaire voleuse et faignasse !!!

livaste a écrit:cela devient complètement odieux de te voir jeter l'opprobre sur toute une communauté de travailleurs !
Si tu avais osé lancer une telle phrase contre les immigrés , tu aurais déjà au moins 3 plaintes contre toi , de SOS truc , de la licra , etc ....

livaste a écrit:tu es de mauvaise foi , Jean Claude !
Crois tu intelligent de déclarer ainsi que " tous les fonctionnaires de santé " sont des voleurs ... tout en offusquant quand on ose critiquer un peu certains DRH ?

livaste a écrit:tu es de mauvaise foi , Jean Claude !
Crois tu intelligent de déclarer ainsi que " tous les fonctionnaires de santé " sont des voleurs ... tout en offusquant quand on ose critiquer un peu certains DRH ?

Alors , par principe d'égalité , il faut aussi que les malades cotisants, soient exemptés de toute participation au frais médicaux !
C'est amoral que les non cotisants aient la gratuité totale des soins alors que les cotisants et contribuables ne puissent , eux , pas se soigner !

Et désolée de contredire les fonctionnaires de l'IGAS , oui , oui , il y a des filières de fraudes organisées , j'ai déjà connu biens des familles ayant droit à la cmu et donc aux soins gratuits qui alimentaient en pharma leurs villages complet !

Sinon pour les " vols organisés" tu vas dans les hôpitaux de toute la france et tu t'apercevras que bon nombre de salariés ( on est loin de tous les salariés ) consciencieux savent très bien se soigner et soigner leurs proches en piquant dans la pharmacie de l'hôpital ! J'en sais quelque chose la belle mère de mon fils aîné travaille en tant qu'infirmière à l'Hôpital de Pontoise et je peux te certifier que notre fils et sa famille ont des médicaments complètements gratuits car volés !.

comment veux tu que je ne rentre pas dans une colère rouge quand tu accuses les fonctionnaires d'être des " voleurs "!
Il y a sans aucun doute des voleurs parmi les fonctionnaires ( quoique pour voler des truands quand on est gardien de prison , voler des racailles quand on est éducateurs , des cancres quand on est instit , faut le faire ) … mais il y a au moins autant de crapules chez les DRH , je dirais même bien plus et ceux qui en souffrent de ces crapules , ces ont les salariés , pas les " patrons " !

Et quand la caissière de chez Géant vole , ce n'est pas le patron qui paie mais les clients , les estimations des vols étant imputés aux clients et/ou en déduction des déclarations de bénéfices ..

Un homme de 67 ans a été condamné jeudi à 18 ans de réclusion par la Cour d'assises de la Loire pour avoir violé plusieurs membres de sa famille, dont sa fille, qu'il avait épousée et avec qui il avait eu deux enfants.

Après trois jours de procès à huis clos, les jurés se sont montrés plus indulgents que le parquet qui avait réclamé vingt ans de réclusion criminelle. Ils ont ajouté à la peine de prison dix ans d'interdiction des droits civiques, civils et de famille.
Au cours de l’enquête, plusieurs des dix enfants que l'accusé a eus avec six femmes différentes ont affirmé avoir été violés ou agressés sexuellement par leur père entre 1972 et 1998, ce que ce dernier nie en bloc. Mais les faits sont prescrits pour la plupart des victimes présumées.

Restaient donc à l'audience deux enfants du sexagénaire et une troisième victime, fille d'amis de cet ancien ouvrier agricole, qui a également exercé comme VRP et agent d’entretien avant de prendre sa retraite dans une région rurale du Haut-Forez, dans la Loire, en 2003.

Mais si les trois parties civiles exposent les mêmes faits, mêlant violences physiques et sexuelles, l'une d'elles a de surcroît épousé son bourreau: en effet, l'accusé a eu en 1972 une fille, non reconnue, que sa mère a très tôt emmenée à l'étranger.
De retour en France, au début des années 1990, la mère de la jeune fille lui a présenté son père biologique, qui l'a ensuite épousée. Le couple incestueux, attesté par des tests ADN, a vécu ensemble pendant quatre ans et a eu un garçon et une fille.

Mais la jeune femme, inquiète pour ses enfants, a déposé plainte dès 1995 contre son mari et père, sans toutefois obtenir d'ouverture d'information judiciaire avant 2008. Un délai déploré par son avocate, Me Laurence Javion, pour qui "plusieurs viols" auraient pu être évités par un traitement judiciaire plus rapide.
A la sortie de l'audience, Me Nathalie Mantione, avocate de la défense, a décrit un accusé "qui n'a manifesté aucune émotion" au cours du procès, estimant qu'il "n'était pas un monstre" mais n'était "pas dans la même réalité que nous".

Un métier comme un autre

Depuis le 1er Janvier, les sorcières, astrologues et embaumeurs sont devenus des travailleurs comme les autres. Il et elles devront donc s'enregistrer auprès des autorités... et payer un taxe.


Entre reconnaissance....et menace

Les personnes concernées ne réagissent pas toutes de la même facons. Ainsi Mihela Minca, sorcière, ne voit pas cette mesure forcément d'un mauvais œil. Même si elle perdra de l'argent, elle considère que c'est "une très bonne loi, et [elle est] heureuse. C'est une reconnaissance pour nos dons en magie. Ils étaient reconnus et acceptés dans le monde entier, ils le sont maintenant aussi par le gouvernement Roumain".

À la différence de Mihela, Bratara Buzea qui a, elle, décidé de ne pas se laisser faire et de lancer un sort contre le président roumain. "Je lance des sorts, en bien ou en mal", dit-elle. "Et je n'ai peur de rien. pas même du Président. Alors si il a quelque chose contre moi, je vais lui montrer" menace-t-elle après avoir préparé une potion à base d'excréments de chats et de morceaux de chiens morts...

Combien d'amis avons-nous réellement sur Facebook ? Une britannique qui avait annoncé le jour de Noël son suicide sur Facebook est morte sans qu'aucun de ses 1048 «amis» n'intervienne ou n'appelle les secours, a rapporté vendredi le Guardian.

«Pris tous mes médicaments serai bientôt morte bye bye tout le monde», aura été le dernier «post» de Simone Back, 42 ans, à 22h53 le jour de Noël. Un texte qui sonne comme un appel au secours mais que son réseau d'amis n'a pas entendu de cette oreille. Sous le message de la désespérée, 148 commentaires ont bien été écrits. Mais aucun de leurs auteurs ne s'est déplacé ou n'a alerté les secours.

«Elle fait ça tout le temps et elle ment», dit même l'un des commentaires, écrit quelques minutes après le message d'origine. Le même «ami», plus bas, insiste: «Elle n'est plus une enfant». Et un autre d'enchérir: «Elle a le choix et une rupture n'est pas une assez bonne raison pour prendre des médicaments». Simone Back avait-elle déjà annoncé son suicide auparavant ? Si oui, cela justifie-t-il qu'aucun n'ait eu la présence d'esprit, malgré tout, de lui venir en aide ?

«Si seulement quelqu'un avait marché jusqu'à sa maison…»
«C'est affligeant de voir que personne n'a rien fait», a réagi la mère de la victime, qui n'a appris la tragique nouvelle que 17 heures après l'envoi du message. Selon elle, certains des contacts de sa fille habitaient pourtant à quelques pas de chez elle. «Si seulement une personne avait laissé son ordinateur pour marcher jusqu'à sa maison, sa vie aurait pu être sauvée», a regretté une amie de la victime dans la vie réelle. Mais c'est la police, alertée par la mère, qui trouvera finalement le corps sans vie de Simone à son domicile. Nul ne sait si elle a lu les réactions à son message avant de mourir.

Avec la popularisation de Facebook, les cas se multiplient de personne y annonçant leur suicide. La plupart du temps, un membre du réseau social alerte les secours et les rubriques «faits divers» des journaux regorgent d'histoires qui se sont bien terminées. Dans un communiqué, le réseau social s'est dit «profondément attristé» par l'histoire de Simone Back. Et de rappeler que Facebook a un partenariat outre-Manche avec les Samaritains, une association britannique d'écoute qui vient en aide aux personnes désespérées.

franline2 a écrit:tout est relatif , parfois les infos du net peuvent être fausses ; tout dépends où on les pioche.
là on parle d'amis sur la toile ; j'estime qu'il est rare de se faire de véritables amis par le biais du net ! je suis pour ma part de nature à vouloir voir , entendre , écouter les gens et pas seulement les lire pour m'en faire des amis .On peut soutenir des gens malheureux ou avec des soucis mais, pour autant cela ne fait pas d'eux des amis.
Par contre je sais estimer les gens , les considérer comme des gens biens , des gens dignes .Ils se comptent sur les doigts d'une seule main !

Séparé de sa compagne et ayant la garde de sa fille le week-end, il aurait rencontré une femme à la sortie d'un bar avant de dîner avec elle. Il explique lui avoir confié sa fille le temps d'aller acheter des cigarettes. Très alcoolisé, il serait alors tombé en chemin, inconscient, et aurait regagné son domicile une fois revenu à lui. Pendant ce temps, la femme qui gardait sa fille aurait laissé l'enfant devant la pizzeria.

La petite fille a été découverte dans une poussette par des passants. Rapidement, muni du signalement de la femme, les policiers ont interpellé une suspecte âgée de 41 ans dans le quartier. Placée en garde à vue, elle présentait une «forte imprégnation alcoolique», selon les premiers éléments de l’enquête.

La petite a été admise à l’hôpital pour des examens, et placée «sous main de justice».