Les boulets de décembre

Etats-Unis: des enfants roux agressés
AFP
01/12/2009 | Mise à jour : 21:00 | Ajouter à ma sélection
Sept petits américains aux cheveux roux ont été agressés, physiquement ou verbalement via internet, dans un collège de Californie (ouest) par d'autres pré-adolescents, apparemment inspirés par une page de Facebook, a indiqué la police qui a arrêté trois garçons.

La page du site de socialisation invitait à célébrer, le jeudi 20 novembre, la "Journée nationale: taper un rouquin" (Kick a Ginger Day"). En anglais-américain, un "ginger" désigne un individu aux cheveux roux et avec des tâches de rousseur.
Le shérif de Lost Hills a indiqué avoir arrêté mercredi trois garçons de 13 et 12 ans, inculpés pour l'un de menaces sur internet et pour les deux autres de coups dans l'enceinte de l'école.

Quatre garçons et trois filles ont été l'objet d'attaques parce qu'ils étaient roux au collège Wright Middle School. Un jeune garçon de 12 ans a été ainsi bousculé et frappé à deux reprises par un groupe d'élèves de 5ème et de 4ème.
L'incident semble avoir été provoqué, selon la police, par l'épisode d'un dessin animé "South Park" où un personnage décrit les rouquins comme des êtres "sans âme" et "diabolique".

Sur la page crée sur Facebook, des douzaines d'enfants avaient laissé des messages affirmant qu'ils avaient mené des attaques.

Depuis 2007, le système de vote pour les Miss France n'a cessé d'évoluer. Cette année, la Société Miss France et TF1 ont décidé de refondre de façon importante le système de scrutin, pour faire taire toutes les critiques qui avaient fragilisé la légitimité de Chloé Mortaud, Miss France 2009.



Le vote se déroulera en trois temps : la désignation des 12 semi-finalistes, des cinq finalistes, et enfin de la Miss France 2010.

Les douze semi-finalistes seront désignées par un jury de présélection, une semaine avant l'élection nationale, sous contrôle d'un huissier. La liste des désignées ne sera révélée que le samedi 5 décembre 2009 en début de soirée, l'Huissier de Justice la délivrera à Jean-Pierre Foucault (présentateur de l'émission).

Le vote pour choir les cinq finalistes (parmi la liste des douze) sera partagé à 50-50 entre le jury et le public. En cas d'égalité de vote à la cinquième place, le jury aura le dernier mot.

Enfin, ce sont les téléspectateurs français seuls qui éliront la Miss France de l'année. Si tant est qu'il y ait égalité, le président (après consultation des autres membres) jury départagera les candidates ayant eu un nombre égal de votes.

Pour légitimer ces changements Sylvie Tellier, directrice de la société Miss France, a déclaré dans Parisien : "[La présence du jury] est légitime, parce que les jurés voient les candidates en chair et en os, contrairement aux téléspectateurs. Et parce qu'en plus il n'y a pas d'égalité parfaite sur le plan démographique entre les régions. La Bretagne ne pèse pas le même poids que l'Artois- Hainaut. Donc laisser reposer le vote à 100 % sur la mobilisation des téléspectateurs ne serait pas équitable non plus. Pour toutes ces raisons, le jury est indispensable."

Vol de jouets aux Restos du Cœur
AFP
08/12/2009 | Mise à jour : 16:15 | Ajouter à ma sélection
Les Restos du Coeur de Loire-Atlantique ont été victimes du vol de quelque 300 jouets neufs, de décorations de Noël ainsi que d'un camion dans un de leurs entrepôts de l'agglomération nantaise, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la responsable des Restos du département.

Les voleurs ont réussi à pénétrer dans l'entrepôt situé à Carquefou, au nord de Nantes, dans la nuit de jeudi à vendredi. "Ils ont fracturé les portes, tout visité", a expliqué l'administratrice, Réjane Hemmelé. Dans cet entrepôt destiné aux marchandises non alimentaires, les cambrioleurs ont volé le camion des Restos et sont repartis avec environ 300 jouets neufs et les décorations de Noël destinées aux 33 centres du département.

La gendarmerie, chargée de l'enquête, a déjà retrouvé le camion qui faisait aujourd'hui l'objet de prises d'empreintes mais "on est très proche de Noël et il nous est difficile de retrouver des jouets neufs", a expliqué la responsable.

L'association en appelle dans un communiqué à "la générosité de tous, particuliers et entreprises, pour nous aider à répondre dans un délai très court aux attentes des personnes qui comptent sur nous".

Flics et voyous, images dévastatrices. Surtout lorsque pointent sous l’uniforme des manières de racketteurs patentés dûment immortalisées. Outre leurs cartes tricolores attestant leur qualité, un bonnet vissé sur le chef en prime, deux policiers ont cru pouvoir relever les compteurs en toute quiétude et faire main basse sur une kyrielle de cartes téléphoniques, récoltant quelques milliers d’espèces au passage. Las ! les deux authentiques fonctionnaires ont négligé la présence d’une caméra camouflée. Les escamoteurs estampillés police ont été prestement arrêtés et mis en examen, lundi 7 décembre, pour « vol aggravé en réunion par personne dépositaire de l’ordre public » par Alain Nguyen Thé, le juge d’instruction saisi de ce dossier peu commun, qu’une source judiciaire qualifie de « complexe ». Malgré l’avis du parquet, ils ont évité l’incarcération, placés aussitôt sous contrôle judiciaire et suspendus de leurs fonctions.


12e section

Inédits, les faits incriminés remontent à la fin de la journée du vendredi 4 décembre. Les deux hommes, en poste à la 12e section de la Direction du renseignement de la Préfecture de Police (DRPP, ex-RG) de Paris, chargée de la lutte contre l’immigration clandestine, pénètrent dans une boutique de téléphonie sise rue Louis-Blanc, dans le Xe arrondissement de Paris. Ni une ni deux, ils exhibent brassards et cartes professionnelles. Et le premier de s’affubler aussi sec d’un bonnet, s’incrustant dans la foulée derrière le comptoir privatif. Ils arguent d’une perquisition et procèdent à un vague contrôle d’identité. Légal. Gratuit. Le fonctionnaire au bonnet se sert sans coup férir dans les tiroirs attenants, les mains chargées de cartes téléphoniques et de liasses de billets. Ils s’apprêtent à déguerpir lorsque l’un des deux hommes est aspergé de gaz lacrymogène et ceinturé par le gérant des lieux et ses employés. Une escouade d’agents rapplique, embarquant tout ce beau monde au commissariat pour enregistrer les plaintes réciproques. « Vol », tonnent les uns. « Violences », jure l’autre. A l’issue de quinze longues heures de garde à vue, le commerçant et ses témoins sont relâchés. Entre-temps, le deuxième policier a été interpellé après que ses collègues ont visionné les bandes accablantes.

Le larcin et ses images, révélés sur Europe1.fr, font les délices des internautes. Un camouflet à l’endroit de la hiérarchie policière dont les portables sont en surchauffe, dans la crainte d’éventuels faits similaires commis par l’indélicat duo. Les deux aigrefins ont été suspendus, hier matin, par le préfet de police de Paris, une décision confirmée par Brice Hortefeux, le ministre de l’Intérieur, en marge de la célébration, à Vélizy (Yvelines), des 65 ans des CRS. Une garde à vue à l’Inspection générale des services (IGS) et une mise en examen plus tard, les deux policiers font profil bas chez eux, les images de leur forfait très net en boucle sur la Toile.

L'édifice religieux musulman a été profané dans la nuit de samedi à dimanche par des inconnus. Le responsable de la mosquée qualifie l'acte de "prémédité".

Propos xénophobes et croix gammées... La mosquée de Castres a été profanée dans la nuit de samedi à dimanche. Les inconnus ont notamment écrit "Sieg heil" sur les murs extérieurs de la mosquée, où ils ont également tracé des inscriptions dont "La France aux Français" et "White power". Des pieds de cochon ont aussi été suspendus à la poignée du portail. Sur la porte, des oreilles de cochon avaient été agrafées et des affiches placardées sur lesquelles étaient dessinés des drapeaux français. Le président de l'Association islamique de Castres, Abdelmalek Bouregba précise que les auteurs de la profanation n'ont pas pénétré à l'intérieur de la mosquée.


La police de Castres s'est rendue sur place pour procéder à des relevés d'empreintes. Abdelmalek Bouregba compte porter plainte. Le responsable de la mosquée Bilal, ouverte en 1986 dans un ancien hangar et comportant une salle de prière de quelque 200 m2, s'est déclaré outré par la profanation, qu'il a qualifié d'"acte prémédité". "C'est un ensemble. Depuis un certain temps, on n'arrête pas de viser la communauté musulmane", a-t-il dénoncé, faisant notamment allusion à certains dérapages dans les débats sur l'identité nationale et au référendum pour l'interdiction de la construction de nouveaux minarets en Suisse.
"Aucun minaret n'est prévu"

"Aucune piste n'est écartée", a déclaré le directeur de la police départemental du Tarn. SOS Racisme a condamné la profanation, qui "vise très clairement, de la part des auteurs de ces méfaits, à laisser entendre qu'un musulman ne saurait être Français", et déplore "la libération de la parole raciste, libération que le débat sur l'identité nationale permet et organise". La préfète du Tarn a rencontré sur place la communauté musulmane "pour lui exprimer sa solidarité". "Ces actes de profanation condamnables (sont) contraires aux valeurs de notre république laïque qui permet à chacun de pouvoir exercer sa foi dans le respect des règles et des valeurs de notre démocratie", a-t-elle souligné.

L'actuelle mosquée Bilal, d'une capacité de 250 personnes, ne peut accueillir tous les pratiquants, la prière du vendredi regroupant près de 350 personnes venant de Castres et des environs. Les femmes et d'autres fidèles sont accueillis dans une salle proche. La construction d'une nouvelle mosquée est envisagée, pour une ouverture d'ici à 3 ans, avec "une salle de prières de 800 m2 pour accueillir 600 fidèles, et aucun minaret n'est prévu", a noté Abdelmalek Bouregba.

et ceci est valable pour tous ceux qui profanent des églises , des mosquées ou des synagogues .

Selon Novopress, de graves affrontements se seraient déroulés devant le lycée catholique Grand Lebrun à Bordeaux. Jeudi, vers 18h30, plusieurs dizaines de Maghrébins, dont un certain nombre cagoulés et munis de barre de fers, auraient attaqué, rue de la Cape, des lycéens sortant de l’établissement.

Selon les témoins, deux groupes se sont violemment affrontés avant d’être séparés par les forces de l’ordre. Les affrontements auraient impliqué près de 150 personnes. (Novopress)

Gérard Depardieu s'en est pris à une voiture, dimanche soir à Saint-Germain-des-Prés (Paris VIe), s'attaquant aux portières du véhicule avant de s'acharner sur le pare-brise, révèle RTL ce lundi soir. Des dégradations commises «sans raison apparente», selon nos informations, en l'absence d'explications, pour l'instant, du comédien, convoqué au commissariat du VIe arrondissement pour être entendu.

Le propriétaire de la voiture a porté plainte dans la matinée.
Selon RTL, le véhicule pris pour cible était garé devant un club échangiste, à deux pas de l'hôtel particulier où réside Gérard Depardieu. Un témoin de la scène, le portier du club, décrit la «démarche chaloupante» de l'acteur quand il s'est approché de la voiture. Après s'être battu contre l'objet de sa colère, il serait reparti chez lui.

Les raisons du coup de sang du comédien aui a incarné Obélix à l'écran restent, pour le moment, inconnues.

Gérard Depardieu, soupçonné d'avoir dégradé une voiture dans la nuit de dimanche à lundi, a été rapidement entendu hier soir par les policiers du commissariat du VIe arrondissement à Paris, a-t-on appris aujourd'hui de sources policière et judiciaire. Il en est ressorti libre.

Selon les premiers éléments de l'enquête, l'acteur s'en est pris brusquement à un véhicule stationné rue du Cherche-Midi non loin de son domicile. Il aurait donné des coups de pied et de poing dans les portières et le pare-brise de l'auto avant de rentrer chez lui. "Apparemment, ce véhicule était garé sur un emplacement où il a habitude de stationner", indique t-on de source judiciaire. "Il a alors eu un geste d'humeur".
Le comédien avait été reconnu par un témoin. Le propriétaire du véhicule a porté plainte hier matin. L'enquête est menée par le commissariat central de l'arrondissement.

Lundi, en début d'après-midi, à Orly (Val de Marne), un père de famille a jeté son fils de 4 ans par la fenêtre de son appartement situé au deuxième étage. Très vite sur place, les secours ont évacué le petit garçon, dont le pronostic vital était engagé, vers l'hôpital de la Salpétrière à Paris tandis que son père était placé en garde à vue au commissariat de Choisy.

D'après les premiers éléments de l'enquête, l'homme était régulièrement suivi psychiatriquement à l'hôpital Paul-Guiraud de Villejuif. Sorti de l'hôpital il y a une dizaine de jours, il aurait arrêté son traitement depuis quatre jours. Bien que présente dans l'appartement, la mère n'a rien vu de la scène et n'avait pressenti aucun trouble particulier chez son époux.

L'opération de sauvetage des trois spéléologues bloqués dans un gouffre du massif de La Pierre Saint-Martin a coûté entre 30.000 et 50.000 euros, selon une première estimation obtenue lundi auprès des services de secours.

Une vaste opération de secours, faisant intervenir des moyens matériels et humains locaux, départementaux et nationaux, s'est déroulée pendant quatre jours pour venir en aide aux trois spéléologues piégés à 700 mètres sous terre, derrière un siphon inondé dont ils ont pu s'extraire, en fin de compte, par leur propres moyens.

«Le bilan financier des opérations est en cours d'évaluation, on devrait atteindre au total une somme comprise entre 30.000 et 50.000 euros», a indiqué l'AFP l'un des intervenants.

Après la validation d'un bilan financier par le Service départemental d'incendie et de secours (Sdis) des Pyrénées-Atlantiques, les sommes engagées seront remboursées aux différents intervenants - commune d'Arrete, où se trouve le site de La Pierre Saint-Martin, département des Pyrénées-Atlantiques, Etat.

Le Sdis, qui a dirigé les opérations et coordonné les services de secours - pompiers, gendarmes, plongeurs de Spéléo secours français,- a mis en oeuvre d'importants moyens, véhicules et secouristes.

«Il n'y aura sur cette opération aucune polémique financière, aucun recours judiciaire contre ces spéléologues qui ne sont pas des farfelus et qui n'ont commis aucune imprudence», a indiqué à l'AFP Josy Poueyto, présidente du Sdis des Pyrénées-Atlantiques.

Les dépenses engagées hors-département, notamment la mobilisation des hélicoptères pour transporter les spéléologues spécialistes de la plongée et leur matériel, relèvent du budget de la Sécurité civile, un service de l'Etat dépendant du ministère de l'Intérieur.

La justice parisienne a chargé lundi deux experts médicaux, un infectiologue et un neurochirurgien, pour procéder à l'expertise médicale de Johnny Hallyday. Leur mission : déterminer d'éventuelles responsabilités dans l'état de santé du chanteur, sorti de l'hôpital le 23 décembre.

«J'ai frôlé et côtoyé la mort. C'est pour ça que je veux savoir la vérité. Je compte sur vous», avait ainsi demandé l'artiste dans une «lettre aux juges», rendue publique la semaine dernière par son avocate, Me Virginie Lapp. Cette dernière a ainsi demandé au juge des référés du TGI de Paris de «procéder à la désignation d'un collège d'experts» composé d'au moins un neurochirurgien et un infectiologue.

Clairement mis en cause depuis qu'il a opéré le chanteur d'une hernie discale à la Clinique internationale du Parc Monceau, le 26 novembre dernier, le Dr Stéphane Delajoux ne cesse d'affirmer qu'il n'a commis aucune faute pendant ou après l'intervention. Du coup, tout comme le clan Hallyday, il a lui aussi réclamé une expertise médicale de la star dans l'espoir qu'elle le dédouanera complètement. «C'est la première fois que des professionnels objectifs vont donner un point de vue, ça va beaucoup nous changer dans ce dossier», expliquait ainsi la semaine dernière l'un de ses avocats, Me David Koubbi.

Johnny Hallyday, 66 ans, a passé 16 jours à l'hôpital Cedars-Sinaï de Los Angeles pour une infection consécutive à l'intervention réalisée par le Dr Delajoux.

Quand on vient de se faire opérer...
... on ne prend pas l'avion dès le lendemain pour aller aux USA, on se repose. Ce monsieur ne doit s'en prendre qu'à lui-même.

4JOHNNY................LE RETOUR
il vit aux USA somptueuse villa et aussi en Suisse, il vient chercher l'argent en France, concerts, etc... et maintenant il attend l'accord des experts....t"inquiète johnny tu vas toucher le pactole en France, VIVE LA FRANCE ....hein johnny !! les Français vont payer les expertises !

il est suisse
mais il paye ses impots en suisse , donc c'est a la suisse de nommer les experts et de payer, pas logique ca! et la securite sociale, il cotise ici?

Qui paye les frais de justice? La Suisse ou ...
Depuis deux ans j'attends une expertise pour régler une erreur médicale, pourtant je paye les impôts en France. Le pauvre chanteur quand il veut gagner de l'argent, il est en France, soit pour les tournées , soit pour se soigner. Pourquoi ne va-t-il pas aux Etats Unis faire une tournée et se soigner là-bas. Non la France est très accueillante!!! Arrêtons de parler de ce monsieur.

Nous naissons sans aucun certificat de garantie de vie à perpétuité, même si nous sommes entourés par les meilleurs médecins du monde, et possédant un océan de billets de banque

Docteur Delajoux
Monsieur le docteur Delajoux est un imprudent, ne sait-il pas que pour sa sécurité il est très très utile faire signer une décharge avant une opération et encore une autre quand le patient sort de la clinique. Je ne suis pas une VIP , je viens de subir l'ablation d'un simple grain de beauté, donc rien du tout, je ne vous dis pas tout ce que j'ai dû signer comme décharges : pour le chirgugien, la clinique etc.... A plus forte raison pour Johnny et tout l'enjeu financier qu'il représente.

j'espere
Jonhy, allez courage j'espère qu'a défaut d'avoir le bac tu auras cet examen! bon courage pour les révisions !

jaunny!!!
mais ce n'est pas encore fini cette histoire,est ce que vous parlé aussi longtemps des gens qui ont eu un accident du trvail ou de la circulation ou de ceux qui ont été eux aussi loupés,de leurs imdennisation????de toute façon ce pognon vas partir en suisse alors ne vous cassé pas la tète!!!!! chabal

Faut de l ' argent
monsieur Johnny , arrêtez votre délire .Moi aussi j ' ai été opérée et attrapé un microbe . J ' en ai souffert et je n ' en ai pas voulu , vous ne voulez que l 'argent pour rembourser vos concerts . A quoi ça rime tout ça ? Pensez à ceux qui sont dans le besoin et qui eux ne peuvent pas obtenir des indemnités Arrêtez ce cirque et ne vous en prenez qu 'a vous même , vous avez demandé à sortir le lendemain de l ' intervention et ensuite prendre un avion . Vous êtes vraiment un inconscient , aalez reposez vous et laissez les autres en paix

QUI VA PAYER ?
J'ai lu un article sur "les caisses vides de la justice".C'est à dire qu'il y a des serruriers, des huissiers qui n'ont pas encore été paye, pour leurs prestations, et qui je pense doivent avoir des difficultés pour faire face aux charges diverses et salariales.Voilà que pour JH on va nommer un college d'expert, qui va devoir examiner le dossier, et mème JH.Celui ci ayant compris depuis son retour à LA que l'avion n'était pas recommandé après une opération va attendre que l'on vienne le voir sur place.MAIS AUX FRAIS DE QUI? Les caisses pourront elles prendre en charge les frais de voyage de tous ces experts ? Et pourquoi ne pas régler en priorité les factures des travailleurs, qui attendent attendent!!!!A moins que pour la justice on soit écoute et servi suivant notre classe sociale!

livaste a écrit:oui , ils concourent tous les ans pour le boulet universel .

Qu'on arrête avec cette polémique ! J'ai rien à dire, mais alors rien de rien, vraiment rien...». Visiblement, Cécile Duflot, secrétaire nationale des Verts, n'a pas vraiment apprécié que le Canard Enchaîné révèle, dans son édition du 23 décembre, qu'elle a passé ses vacances de Noël aux îles Maldives.

Un choix de destination qui, depuis une semaine, enflamme la toile. «Bonjour le bilan carbone !», ironise ainsi un blogueur sur Le Post. «Super vacances écologiques (...) Triste que tout cela !», enchaîne Bellaciao.

«Pourquoi a-t-elle voulu cacher sa destination ?»

Il y a deux semaines, en partance pour le sommet de Copenhague, cette valeur montante de la scène politique française s'était déjà distinguée en se rendant dans la capitale danoise en train. Avant de repartir le lendemain, en avion, pour les besoins d'un plateau télé programmé à 13 heures...

Ce voyage aux Maldives serait-il un nouveau faux pas ? «Pourquoi a-t-elle voulu cacher sa destination ?», s'interrogeait le Canard. «Elle peut toujours prétendre qu’elle va étudier dans ce paradis terrestre les effets du réchauffement climatique sur les terres à peines émergées, ou alors a-t-elle honte tout simplement de ne pas y être allée en pédalo ?», ironisait l'hebdomadaire.

«Ce voyage, c'était un cadeau de mon amoureux»

Désormais revenue de ses vacances lointaines, Cécile Duflot balaie ces arguments d'un revers de la main. «Je n'ai pas à me justifier», se défend-elle, interrogée par leparisien.fr. C'est complètement dingo cette polémique ! Ce voyage, c'est une surprise, un cadeau personnel de mon amoureux (Ndlr. le photographe Xavier Cantat, frère de Bertrand, le chanteur de Noir Désir). Je cherche donc à savoir qui a pu savoir, puisque je n'étais moi-même pas au courant. J'en suis à me demander si je ne suis pas sur écoutes téléphoniques...».

Bref, à trois mois des élections régionales, où elle sera la tête de liste d'Europe Ecologie en Ile-de-France, Cécile Duflot n'apprécie guère la manoeuvre. Et rappelle que les Verts n'ont «jamais été pour l'interdiction de l'avion, que je sache. Et que je n'ai jamais donné de leçon à la planète entière...»