GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
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GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Évincé de la course à Matignon, Jean-Louis Borloo jette l'éponge. Malgré l'insistance de Nicolas Sarkozy, l'ex-numéro deux du gouvernement a refusé de faire son entrée dans la nouvelle équipe gouvernementale de François Fillon.
"Je préfère retrouver ma liberté de proposition et de parole au service de mes valeurs", a expliqué, dimanche, dans un communiqué le patron du Parti radical qui pourrait retrouver son siège de député. Âgé de 59 ans, le rival de François Fillon a ainsi dédaigné deux portefeuilles prestigieux, le Quai d'Orsay et le ministère de la Justice.
Lundi matin, au-delà de l'éviction de leur "champion", nombre de centristes se disent déçus du jeu de chaises musicales. Même si Michel Mercier et Maurice Leroy (Nouveau Centre) arrivent respectivement aux ministères de la Justice et de la Ville, aucun membre du Parti radical ne figure dans l'équipe Fillon III. Yves Jégo, député UMP et vice-président du Parti radical, dénonce "une faute politique".
"Cette absence de représentation du Parti radical est d'autant plus surprenante au moment où chacun salue l'élégance et la loyauté avec laquelle Jean-Louis Borloo, président du Parti radical, a souhaité quitter le gouvernement de François Fillon", déplore-t-il.
2012 en ligne de mire
Très remontés, les fidèles de Jean-Louis Borloo ne décolèrent pas après la "cabale" lancée à son encontre. Une campagne de dénigrement accusée par la même occasion de ressusciter les vieilles querelles entre le RPR et l'UDF.
Tout au long de la campagne pour Matignon, "les boules puantes" lancées en direction de Borloo sont en effet venues de son propre camp et notamment de François Fillon.
Qualifié tour à tour Qualifié tour à tour de "zozo", "dilettante", "bordélique", "lève-tard" ou de "Gainsbourg", l'ex-maire de Valenciennes a tenté jusqu'au bout de prouver au chef de l'État qu'il pouvait incarner la fibre sociale du gouvernement et une alternative crédible à François Fillon. Las ! Pour la troisième fois (2010, 2007 et 2006), le fauteuil de Matignon lui a échappé.
Désormais, l'homme aux légendaires cravates prépare sa riposte. Silencieux, Jean-Louis Borloo pourrait s'exprimer dans les prochains jours, selon ses proches. Et dès lundi soir, il réunira dans les murs de l'Assemblée nationale les dirigeants de tous les courants du centre droit, du Parti radical à l'Alliance centriste en passant par le Nouveau Centre, pour examiner les leçons à tirer du remaniement.
C'est que depuis quelques mois, le président du Parti radical a entrepris un travail de refondation de la famille centriste qui pourrait se traduire par le prochain lancement d'une "confédération".
"Dans une majorité qui ne cesse de se réduire à une peau de chagrin, les centristes veulent faire entendre leur différence", explique Laurent Henart, le numéro deux du Parti radical.
La feuille de route ? "Nous allons travailler sujet par sujet, définir qui fait quoi, et une fois cette étape passée, l'idée est d'arrêter un programme commun" en vue de 2012, assure le député.
De son côté, Yves Jégo relativise : "Il ne s'agit pas de mettre à mal la majorité présidentielle dont le candidat naturel est le président." Mais certains centristes - peu convaincus par une candidature de Hervé Morin en 2012 - tablent déjà sur celle de Jean-Louis Borloo. Une stratégie qui pourrait contrarier celle de Nicolas Sarkozy qui entend, dès le premier tour, rassembler toute la droite et ainsi engranger le maximum de voix.
http://www.lepoint.fr/politique/gouvernement-evince-de-matignon-borloo-prepare-sa-contre-attaque-15-11-2010-1262381_20.php
"Je préfère retrouver ma liberté de proposition et de parole au service de mes valeurs", a expliqué, dimanche, dans un communiqué le patron du Parti radical qui pourrait retrouver son siège de député. Âgé de 59 ans, le rival de François Fillon a ainsi dédaigné deux portefeuilles prestigieux, le Quai d'Orsay et le ministère de la Justice.
Lundi matin, au-delà de l'éviction de leur "champion", nombre de centristes se disent déçus du jeu de chaises musicales. Même si Michel Mercier et Maurice Leroy (Nouveau Centre) arrivent respectivement aux ministères de la Justice et de la Ville, aucun membre du Parti radical ne figure dans l'équipe Fillon III. Yves Jégo, député UMP et vice-président du Parti radical, dénonce "une faute politique".
"Cette absence de représentation du Parti radical est d'autant plus surprenante au moment où chacun salue l'élégance et la loyauté avec laquelle Jean-Louis Borloo, président du Parti radical, a souhaité quitter le gouvernement de François Fillon", déplore-t-il.
2012 en ligne de mire
Très remontés, les fidèles de Jean-Louis Borloo ne décolèrent pas après la "cabale" lancée à son encontre. Une campagne de dénigrement accusée par la même occasion de ressusciter les vieilles querelles entre le RPR et l'UDF.
Tout au long de la campagne pour Matignon, "les boules puantes" lancées en direction de Borloo sont en effet venues de son propre camp et notamment de François Fillon.
Qualifié tour à tour Qualifié tour à tour de "zozo", "dilettante", "bordélique", "lève-tard" ou de "Gainsbourg", l'ex-maire de Valenciennes a tenté jusqu'au bout de prouver au chef de l'État qu'il pouvait incarner la fibre sociale du gouvernement et une alternative crédible à François Fillon. Las ! Pour la troisième fois (2010, 2007 et 2006), le fauteuil de Matignon lui a échappé.
Désormais, l'homme aux légendaires cravates prépare sa riposte. Silencieux, Jean-Louis Borloo pourrait s'exprimer dans les prochains jours, selon ses proches. Et dès lundi soir, il réunira dans les murs de l'Assemblée nationale les dirigeants de tous les courants du centre droit, du Parti radical à l'Alliance centriste en passant par le Nouveau Centre, pour examiner les leçons à tirer du remaniement.
C'est que depuis quelques mois, le président du Parti radical a entrepris un travail de refondation de la famille centriste qui pourrait se traduire par le prochain lancement d'une "confédération".
"Dans une majorité qui ne cesse de se réduire à une peau de chagrin, les centristes veulent faire entendre leur différence", explique Laurent Henart, le numéro deux du Parti radical.
La feuille de route ? "Nous allons travailler sujet par sujet, définir qui fait quoi, et une fois cette étape passée, l'idée est d'arrêter un programme commun" en vue de 2012, assure le député.
De son côté, Yves Jégo relativise : "Il ne s'agit pas de mettre à mal la majorité présidentielle dont le candidat naturel est le président." Mais certains centristes - peu convaincus par une candidature de Hervé Morin en 2012 - tablent déjà sur celle de Jean-Louis Borloo. Une stratégie qui pourrait contrarier celle de Nicolas Sarkozy qui entend, dès le premier tour, rassembler toute la droite et ainsi engranger le maximum de voix.
http://www.lepoint.fr/politique/gouvernement-evince-de-matignon-borloo-prepare-sa-contre-attaque-15-11-2010-1262381_20.php
Jeanclaude- Député
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Monsieur Taxe peut essayer de rassembler mais, je ne m'imagine même pas voter pour lui même face à la gauche à un éventuel second tour ....! ce jour là je serais bien capable dee rester couchée !
Invité- Invité
Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Borloo le rebelle futur rateau de Sarko ?
Laureline Dupont - Marianne | Mardi 16 Novembre 2010 à 19:08
L'ex vrai-faux premier ministre joue désormais la carte du rassemblement d'un centre proto-majoritaire à côté de l'UMP. Pour défendre ses idées ou pour faire la nique à Bayrou ?
En l'espace d'une journée et aux yeux de tous (enfin presque...), il est devenu l'homme qui a dit non. Le Quai d'Orsay ? Non merci. La Justice ? Non vraiment pas.
Borloo se rêvait Premier ministre mais à l'heure du remaniement, Sarkozy a préféré garder Fillon, plus haut dans les sondages, plus apprécié des parlementaires, et moins social que le ministre écolo-centriste.
Refusant de « se contenter d'un truc excentré », le président du Parti radical (PR) a préféré « retrouver sa liberté de proposition et de parole » en quittant le gouvernement drapé dans la vertu et le courage d'un héraut du centrisme nouveau.
Aussitôt « exfilté » de son ministère, Borloo s'est empressé d'annoncer qu'il réunirait ses troupes lundi 15 novembre au soir à l'Assemblée nationale. Objectif ? Dessiner les contours d'une « confédération des centres ». « Nous devons avoir des positions communes sur les débats qui arrivent comme celui sur l'emploi », insiste Laurent Hénart, secrétaire général du PR.
La Gauche moderne de Jean-Marie Bockel a immédiatement accepté de participer à cette "petite sauterie", approuvant « l'idée d'une confédération des centres » face à « la droitisation de l'exécutif ». Parallèlement, Jean-Marie Bockel refusait le lot de consolation que l'Elysée avait imaginé en lui confiant le Haut Commissariat à l'intégration.
L'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, le tout nouveau ministre de la Ville Maurice Leroy et les ministres sortants Valérie Létard et Marc-Philippe Daubresse ont également fait le déplacement. Hervé Morin, plus prudent, a préféré sécher la réunion et déjeuner avec son concurrent. Jean Arthuis, président de l'Alliance centriste, a quant à lui boudé le rendez-vous tout comme François Bayrou qui a déclaré vouloir se « tenir à l'écart du panier de crabes ». Parfois, les centristes rappellent les sectes trotskistes.
Mais ces quelques absents n'ont pas empêché Borloo de se voir confier l'animation d'une «coordination des centres» au pluriel, quitte à laisser en plan la moitié des « centres ». «Coordinateur du Parti radical» aurait été plus juste mais ne chipotons pas. Au lendemain de ce modeste sacre, Hervé Morin, invité de RTL ce matin, a semblé quant à lui plutôt favorable à un rassemblement avec le patron des radicaux affirmant qu'ils « n'étaient pas en compétition ». L'alliance entre les deux hommes pourraient se concrétiser dès midi, de là à y voir l'émergence d'une vraie dissidence centriste...
Le retrait des uns et des autres de l'UMP n'a pas été évoqué au cours de la soirée et la possibilité d'une candidature centriste en 2012 est mollement défendue par Hervé Morin : « La candidature présidentielle n'est pas la question du moment, même s'il y aura bien un homme qui portera notre message en 2012 ».
D'autres, à l'instar d'Yves Jégo, vice-président du Parti radical, souhaitent carrément que le PR soit « à 100 % derrière Sarkozy, à 100 % dans l'UMP d'ici 2012 ». Comme dissidence, on a vu plus flamboyant.
« Je ne crois pas au centre soumis dans la majorité, s'est hâté de souligner François Bayrou au micro de France Inter. S'il s'émancipe, alors tout est possible mais s'émanciper cela veut dire qu'on accepte de former un courant indépendant. »
Et si cette coordination des centres n'était que la volonté du prince ?
En mettant en travers de la route de Bayrou et Villepin un troisième candidat, représentant d'une alternative centriste, Sarkozy espère peut-être affaiblir ses adversaires et s'offrir en prime la possibilité d'une réserve de voix pour le second tour.
Mais pour l'instant, le président du MoDem reste le candidat centriste le plus redoutable pour l'Elysée.
Selon un sondage IFOP pour France-Soir, « François Bayrou reste, aux yeux des Français, la personnalité politique qui incarne le plus les idées et les valeurs du centre ». Avec 41 % de popularité, Bayrou devance largement Jean-Louis Borloo (24 %) et l'infortuné Hervé Morin (9 %).
Pour ratisser large en 2012, Sarkozy devra se choisir d'autres candidats. Pour l'heure, Borloo et Morin ont plus le profil d'un ramasse-miettes que d'un grand râteau.
Laureline Dupont - Marianne | Mardi 16 Novembre 2010 à 19:08
L'ex vrai-faux premier ministre joue désormais la carte du rassemblement d'un centre proto-majoritaire à côté de l'UMP. Pour défendre ses idées ou pour faire la nique à Bayrou ?
En l'espace d'une journée et aux yeux de tous (enfin presque...), il est devenu l'homme qui a dit non. Le Quai d'Orsay ? Non merci. La Justice ? Non vraiment pas.
Borloo se rêvait Premier ministre mais à l'heure du remaniement, Sarkozy a préféré garder Fillon, plus haut dans les sondages, plus apprécié des parlementaires, et moins social que le ministre écolo-centriste.
Refusant de « se contenter d'un truc excentré », le président du Parti radical (PR) a préféré « retrouver sa liberté de proposition et de parole » en quittant le gouvernement drapé dans la vertu et le courage d'un héraut du centrisme nouveau.
Aussitôt « exfilté » de son ministère, Borloo s'est empressé d'annoncer qu'il réunirait ses troupes lundi 15 novembre au soir à l'Assemblée nationale. Objectif ? Dessiner les contours d'une « confédération des centres ». « Nous devons avoir des positions communes sur les débats qui arrivent comme celui sur l'emploi », insiste Laurent Hénart, secrétaire général du PR.
La Gauche moderne de Jean-Marie Bockel a immédiatement accepté de participer à cette "petite sauterie", approuvant « l'idée d'une confédération des centres » face à « la droitisation de l'exécutif ». Parallèlement, Jean-Marie Bockel refusait le lot de consolation que l'Elysée avait imaginé en lui confiant le Haut Commissariat à l'intégration.
L'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, le tout nouveau ministre de la Ville Maurice Leroy et les ministres sortants Valérie Létard et Marc-Philippe Daubresse ont également fait le déplacement. Hervé Morin, plus prudent, a préféré sécher la réunion et déjeuner avec son concurrent. Jean Arthuis, président de l'Alliance centriste, a quant à lui boudé le rendez-vous tout comme François Bayrou qui a déclaré vouloir se « tenir à l'écart du panier de crabes ». Parfois, les centristes rappellent les sectes trotskistes.
Mais ces quelques absents n'ont pas empêché Borloo de se voir confier l'animation d'une «coordination des centres» au pluriel, quitte à laisser en plan la moitié des « centres ». «Coordinateur du Parti radical» aurait été plus juste mais ne chipotons pas. Au lendemain de ce modeste sacre, Hervé Morin, invité de RTL ce matin, a semblé quant à lui plutôt favorable à un rassemblement avec le patron des radicaux affirmant qu'ils « n'étaient pas en compétition ». L'alliance entre les deux hommes pourraient se concrétiser dès midi, de là à y voir l'émergence d'une vraie dissidence centriste...
Le retrait des uns et des autres de l'UMP n'a pas été évoqué au cours de la soirée et la possibilité d'une candidature centriste en 2012 est mollement défendue par Hervé Morin : « La candidature présidentielle n'est pas la question du moment, même s'il y aura bien un homme qui portera notre message en 2012 ».
D'autres, à l'instar d'Yves Jégo, vice-président du Parti radical, souhaitent carrément que le PR soit « à 100 % derrière Sarkozy, à 100 % dans l'UMP d'ici 2012 ». Comme dissidence, on a vu plus flamboyant.
« Je ne crois pas au centre soumis dans la majorité, s'est hâté de souligner François Bayrou au micro de France Inter. S'il s'émancipe, alors tout est possible mais s'émanciper cela veut dire qu'on accepte de former un courant indépendant. »
Et si cette coordination des centres n'était que la volonté du prince ?
En mettant en travers de la route de Bayrou et Villepin un troisième candidat, représentant d'une alternative centriste, Sarkozy espère peut-être affaiblir ses adversaires et s'offrir en prime la possibilité d'une réserve de voix pour le second tour.
Mais pour l'instant, le président du MoDem reste le candidat centriste le plus redoutable pour l'Elysée.
Selon un sondage IFOP pour France-Soir, « François Bayrou reste, aux yeux des Français, la personnalité politique qui incarne le plus les idées et les valeurs du centre ». Avec 41 % de popularité, Bayrou devance largement Jean-Louis Borloo (24 %) et l'infortuné Hervé Morin (9 %).
Pour ratisser large en 2012, Sarkozy devra se choisir d'autres candidats. Pour l'heure, Borloo et Morin ont plus le profil d'un ramasse-miettes que d'un grand râteau.
http://www.marianne2.fr/Borloo-le-rebelle-futur-rateau-de-Sarko_a199766.html
Jeanclaude- Député
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Je crois surtout que Borloo va chasser sur les terres centristes , il risque de faire de l'ombre à Bayrou , attendons de voir comment les choses vont se passer entre eux !
Mais je vais te faire plaisir , si je devais choisir entre les deux c'est sûr , je ne voterai pas pour Borloo , je ne peux pas le supporter , dès qu'il apparaît sur nos écrans , je planque mon portefeuille , tant je tremble à la pensée que dès qu'il a une idée , c'est pour nous piquer du fric en instituant une taxe !
Je n'ai pas oublié la taxe carbone , ni la taxe pique nique , ni toutes celles qu'il a dans ses valises !
Mais je vais te faire plaisir , si je devais choisir entre les deux c'est sûr , je ne voterai pas pour Borloo , je ne peux pas le supporter , dès qu'il apparaît sur nos écrans , je planque mon portefeuille , tant je tremble à la pensée que dès qu'il a une idée , c'est pour nous piquer du fric en instituant une taxe !
Je n'ai pas oublié la taxe carbone , ni la taxe pique nique , ni toutes celles qu'il a dans ses valises !
Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Avant de pouvoir créer quoi que ce soit, les centristes devront tout d'abord s'interroger sur la coherence de faire partie de l'UMP ou non et quelle influence ont ils eu sur la politique conduite ?
Lorsqu'on décide de conduire le pays avec des partenaires, encore faut il developper et mettre en exergue les convergences qui existent pour pouvoir fonctionner ensemble. Vraisemblablement, elles existent alors les mouvements d'humeurs de tels ou tels suite à leur éviction du Gouvernement ne me semblent ni sincère ni crédible.
Lorsqu'on décide de conduire le pays avec des partenaires, encore faut il developper et mettre en exergue les convergences qui existent pour pouvoir fonctionner ensemble. Vraisemblablement, elles existent alors les mouvements d'humeurs de tels ou tels suite à leur éviction du Gouvernement ne me semblent ni sincère ni crédible.
patriote reformiste- Conseiller général
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
La mission de borloo est de rassembler les centristes pour ensuite les appeler à voter Sarkozy .
Le but étant de ratisser large .
Le but étant de ratisser large .
Bassai Dai- Conseiller général
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Lieutenant Hardcock a écrit:La mission de borloo est de rassembler les centristes pour ensuite les appeler à voter Sarkozy .
Le but étant de ratisser large .
qu'importe sa mission , je ne l'aime pas , n'ai aucune confiance en lui , fallait pas qu'il nous colle des taxes !
Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
livaste a écrit:
qu'importe sa mission , je ne l'aime pas , n'ai aucune confiance en lui , fallait pas qu'il nous colle des taxes !
Je n'ai pas dit que je l'aimais , cependant , il a ceci de supérieur au traitre Galouzeau :
Il ne cherchera pas à nuire à la droite républicaine .
Bassai Dai- Conseiller général
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
L'objectif de Borloo, pour l'instant est inconnu....D'une part, il reste, ainsi que sa formation, au sein de l'UMP, d'autres part, Borloo restera quoi qu'il arrive au sein de la majorité de laquelle il en est une composante puisqu'il a contribué à son élection.
Par conséquent, chercher à accroître son rôle, son influence auprès de l'UMP n'est pas en soi contestable, c'est le rôle et le devoir de tout responsable politique, defendant ses convictions.
Par conséquent, chercher à accroître son rôle, son influence auprès de l'UMP n'est pas en soi contestable, c'est le rôle et le devoir de tout responsable politique, defendant ses convictions.
patriote reformiste- Conseiller général
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Lieutenant Hardcock a écrit:livaste a écrit:
qu'importe sa mission , je ne l'aime pas , n'ai aucune confiance en lui , fallait pas qu'il nous colle des taxes !
Je n'ai pas dit que je l'aimais , cependant , il a ceci de supérieur au traitre Galouzeau :
Il ne cherchera pas à nuire à la droite républicaine .
Galouzeau est hors compétition , lieutenant ..
Pour commencer il en représente que lui même , n'étant pas même élu , n'ayant jamais osé se présenter aux élections , donc il a autant de raison que toi ou moi , à s'exprimer devant les caméras et dans les quotidiens .
Et s'il fait la une de ces médias , c'est seulement parce que cela fait un scoop( tu parles ) que cela remplit sans fatigue de spages , et que cela répond au désir gauchiste des journaleux .
galouzeau n'est pas umpiste , c'est une taupe socialiste , rappelle toi la dissolution !
Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Vus de l’Elysée : les gentils et les méchants centristes
Jean-Louis Borloo a été longuement reçu à déjeuner par Nicolas Sarkozy à l’Elysée. Le président du parti radical est reparti apparemment satisfait de ces agapes.
En revanche, l’Elysée fait patienter son homologue du Nouveau Centre. Le rendez-vous d’Hervé Morin a été reporté à la semaine prochaine.
Quand il a découvert qu’un journal le disait prêt à quitter l’UMP pour réunir le centre, Jean-Louis Borloo a fait un bond. Il a aussitôt rassuré ses amis du Parti radical, la presse écrit des sottises, leur a-t-il dit en recourant à un vocabulaire plus viril.
Que les radicaux quittent l’UMP, c’est le préalable du Nouveau Centre d’Hervé Morin, pour envisager la construction d’un Centre en commun. Mais les amis de l’ancien ministre de l’écologie ne l’entendent pas de cette oreille. Pour deux raisons. D’’abord ils regardent les sondages, sur les intentions de vote à la présidentielle. Ils considèrent que Jean-Louis Borloo a une longueur d’avance sur Hervé Morin. Pas question de se laisser dicter la loi par moins fort qu’eux.
L’autre raison qui fait que les amis de Jean-Louis Borloo n’ont pas envie de céder aux demandes du nouveau centre ?
C’est que dans la majorité sarkozyste, il y a un peu les bons et les mauvais centristes.
Ceux de Jean-Louis Borloo, ce sont plutôt les gentils. L’ancien ministre de l’écologie a fait part de sa mauvaise humeur, pour ne pas obtenu son virage social, mais sans trop en faire.
Beaucoup moins en tout cas, que Hervé Morin qui a carrément accusé Nicolas Sarkozy d’avoir composé un gouvernement UMP, pour ne pas dire RPR. Et mardi soir, si le chef de l’Etat a pris soin de rendre hommage à Jean-Louis Borloo, il s’est bien gardé d’en faire autant envers son ancien ministre de la défense.
Autre signe, auquel ont été très sensibles les centristes du parti radical : la désignation de l’un des leurs, Marc-Philippe Daubresse comme secrétaire général adjoint de l’UMP. Poste offert également à un autre ancien ministre venu de l’UDF, venu de l’UDF, le libéral Hervé Novelli. C’est un signe de rééquilibrage très clair, apprécié des centristes gentils. Une façon de couper l’herbe sous le pied aux centristes méchants. les bons sont indémnisés, les méchants ignorés.
Mais le rééquilibrage n’est pas encore complet.
C’est à l’Assemblée que cela va se jouer maintenant. Le poste de président du groupe UMP est vacant, puisque Jean-François Copé dirige désormais l’UMP. Son ami, le chiraquien Christian Jacob est candidat. Même si Nicolas Sarkozy clame sa confiance envers celui qui est candidat pour 2017, cela ferait beaucoup de copéistes aux manettes. Jean Léonetti, conviendrait mieux à l’Elysée.
Mais comme il est de longue tradition que quand l’Elysée se mêle d’une élection à bulletin secret des députés, c’est parfois contreproductif, les signes envoyés par le Palais présidentiel sont discrets, voire abscons. Les centristes misent plus sur l’élection de Daniel Fasquelle à la commission des affaires économiques, en remplacement de Patrick Ollier plutôt que Serge Poignant, autre copéiste. Ces derniers équilibrages pourront être jaugés la semaine prochaine, ces élections internes auront lieu mardi et mercredi prochain. Cela aidera les bons et les gentils centristes à décider de ce qu’ils peuvent construire en commun
Jean-Louis Borloo a été longuement reçu à déjeuner par Nicolas Sarkozy à l’Elysée. Le président du parti radical est reparti apparemment satisfait de ces agapes.
En revanche, l’Elysée fait patienter son homologue du Nouveau Centre. Le rendez-vous d’Hervé Morin a été reporté à la semaine prochaine.
Quand il a découvert qu’un journal le disait prêt à quitter l’UMP pour réunir le centre, Jean-Louis Borloo a fait un bond. Il a aussitôt rassuré ses amis du Parti radical, la presse écrit des sottises, leur a-t-il dit en recourant à un vocabulaire plus viril.
Que les radicaux quittent l’UMP, c’est le préalable du Nouveau Centre d’Hervé Morin, pour envisager la construction d’un Centre en commun. Mais les amis de l’ancien ministre de l’écologie ne l’entendent pas de cette oreille. Pour deux raisons. D’’abord ils regardent les sondages, sur les intentions de vote à la présidentielle. Ils considèrent que Jean-Louis Borloo a une longueur d’avance sur Hervé Morin. Pas question de se laisser dicter la loi par moins fort qu’eux.
L’autre raison qui fait que les amis de Jean-Louis Borloo n’ont pas envie de céder aux demandes du nouveau centre ?
C’est que dans la majorité sarkozyste, il y a un peu les bons et les mauvais centristes.
Ceux de Jean-Louis Borloo, ce sont plutôt les gentils. L’ancien ministre de l’écologie a fait part de sa mauvaise humeur, pour ne pas obtenu son virage social, mais sans trop en faire.
Beaucoup moins en tout cas, que Hervé Morin qui a carrément accusé Nicolas Sarkozy d’avoir composé un gouvernement UMP, pour ne pas dire RPR. Et mardi soir, si le chef de l’Etat a pris soin de rendre hommage à Jean-Louis Borloo, il s’est bien gardé d’en faire autant envers son ancien ministre de la défense.
Autre signe, auquel ont été très sensibles les centristes du parti radical : la désignation de l’un des leurs, Marc-Philippe Daubresse comme secrétaire général adjoint de l’UMP. Poste offert également à un autre ancien ministre venu de l’UDF, venu de l’UDF, le libéral Hervé Novelli. C’est un signe de rééquilibrage très clair, apprécié des centristes gentils. Une façon de couper l’herbe sous le pied aux centristes méchants. les bons sont indémnisés, les méchants ignorés.
Mais le rééquilibrage n’est pas encore complet.
C’est à l’Assemblée que cela va se jouer maintenant. Le poste de président du groupe UMP est vacant, puisque Jean-François Copé dirige désormais l’UMP. Son ami, le chiraquien Christian Jacob est candidat. Même si Nicolas Sarkozy clame sa confiance envers celui qui est candidat pour 2017, cela ferait beaucoup de copéistes aux manettes. Jean Léonetti, conviendrait mieux à l’Elysée.
Mais comme il est de longue tradition que quand l’Elysée se mêle d’une élection à bulletin secret des députés, c’est parfois contreproductif, les signes envoyés par le Palais présidentiel sont discrets, voire abscons. Les centristes misent plus sur l’élection de Daniel Fasquelle à la commission des affaires économiques, en remplacement de Patrick Ollier plutôt que Serge Poignant, autre copéiste. Ces derniers équilibrages pourront être jaugés la semaine prochaine, ces élections internes auront lieu mardi et mercredi prochain. Cela aidera les bons et les gentils centristes à décider de ce qu’ils peuvent construire en commun
Source : France Info - 19:06
Jeanclaude- Député
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Très sincèrement, ces tergiversations ne servent à rien et n'apportent aucune solution aux difficultés quotidiennes que rencontrent les français.
C'est pourquoi, ces considerations politiciennes n'interessent que la classe politique, inquiète de la volonté, du mecontentement du peuple qui aspire à s'exprimer, comme il le fit à plusieurs reprises, sans être entendus et qui finira par emporter et balayer cette caste !
C'est pourquoi, ces considerations politiciennes n'interessent que la classe politique, inquiète de la volonté, du mecontentement du peuple qui aspire à s'exprimer, comme il le fit à plusieurs reprises, sans être entendus et qui finira par emporter et balayer cette caste !
patriote reformiste- Conseiller général
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
méthode coué , mais tu y crois encore à ce que tu répètes inlassablement ??
Et crois tu que les partis extrêmistes , de droite comme de gauche , ne soient pas aussi de la caste , à ma connaissance , hormisBesancenot , tous ne vivent que de politique , je n'ai pas connaissance que le pen ait été ouvrier !
Et crois tu que les partis extrêmistes , de droite comme de gauche , ne soient pas aussi de la caste , à ma connaissance , hormisBesancenot , tous ne vivent que de politique , je n'ai pas connaissance que le pen ait été ouvrier !
Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
livaste a écrit:méthode coué , mais tu y crois encore à ce que tu répètes inlassablement ??
Et crois tu que les partis extrêmistes , de droite comme de gauche , ne soient pas aussi de la caste , à ma connaissance , hormisBesancenot , tous ne vivent que de politique , je n'ai pas connaissance que le pen ait été ouvrier !
Oh que non et pour Besancenot c'est du temps partiel !
Jeanclaude- Député
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
oui mais, Madame B. est cadre chez Flammarion et gagne bien sa vie ; ils sont tout deux propriétaires d'un petit appt à Paris intra-muros.... il peut donc se permettre de pratiquer son hobbie préféré (comme d'autres font du tricot ou du sport)...Jean-Claude a écrit:livaste a écrit:méthode coué , mais tu y crois encore à ce que tu répètes inlassablement ??
Et crois tu que les partis extrêmistes , de droite comme de gauche , ne soient pas aussi de la caste , à ma connaissance , hormisBesancenot , tous ne vivent que de politique , je n'ai pas connaissance que le pen ait été ouvrier !
Oh que non et pour Besancenot c'est du temps partiel !
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
franline a écrit:oui mais, Madame B. est cadre chez Flammarion et gagne bien sa vie ; ils sont tout deux propriétaires d'un petit appt à Paris intra-muros.... il peut donc se permettre de pratiquer son hobbie préféré (comme d'autres font du tricot ou du sport)...Jean-Claude a écrit:livaste a écrit:méthode coué , mais tu y crois encore à ce que tu répètes inlassablement ??
Et crois tu que les partis extrêmistes , de droite comme de gauche , ne soient pas aussi de la caste , à ma connaissance , hormisBesancenot , tous ne vivent que de politique , je n'ai pas connaissance que le pen ait été ouvrier !
Oh que non et pour Besancenot c'est du temps partiel !
On en apprend tous les jours ! Merci franline je comprends mieux l'engagement de ce personnage pour "la classe ouvrière" !
Jeanclaude- Député
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
livaste a écrit:méthode coué , mais tu y crois encore à ce que tu répètes inlassablement ??
Et crois tu que les partis extrêmistes , de droite comme de gauche , ne soient pas aussi de la caste , à ma connaissance , hormisBesancenot , tous ne vivent que de politique , je n'ai pas connaissance que le pen ait été ouvrier !
C'est quoi, c'est qui les partis extrémistes ?
Très sincèrement, quand un President affirme vouloir prendre ses adversaires à un croc de boucher, je m'interroge. Quand j'entend casses toi pov con, je m'inquiète mais quand je constate qu'en dépit des alertes que lancent des economistes, on persiste en affirmant qu'ils ont tous tord et qu'il ferait mieux de se taire plutôt que de chercher à l'empêcher de faire son devoir, je frémis !
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
c'est vrai ,c'est plus grave que d'affirmer ne pas savoir si les chambres à gaz ont existé !
Quant à la définition des partis extrêmes , si tu ne sais pas ce que c'est , je comprends mieux tes positions extrémistes !
Quant à la définition des partis extrêmes , si tu ne sais pas ce que c'est , je comprends mieux tes positions extrémistes !
Culte : « Je ne dis pas que les chambres à gaz n'ont pas existé. Je n'ai pas pu moi-même en voir. Je n'ai pas étudié la question. Mais je crois que c'est un point de détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale » ”
“
Dans le Marais de Paris, on peut chasser le chapon sans date d'ouverture ou de fermeture, mais dans le marais de Picardie, on ne peut chasser le canard en février" ”
“
L'occupation allemande n'avait pas été particulièrement inhumaine, même s'il y eut des bavures, inévitables dans un pays de 550 000 kilomètres carrés. " ”
Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
C'est vrai que la gravité est comparable et l'ancienneté des propos aussi....Se servir de propos tenus il y a 30 ans pour répondre à des actualités est une manoeuvre malhonnête.
De plus, la responsabilité que tu prêtes à Le Pen exonère t-elle celle d'un President de la République sensé se situer au dessus des clivages partisans ?
De plus, la responsabilité que tu prêtes à Le Pen exonère t-elle celle d'un President de la République sensé se situer au dessus des clivages partisans ?
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Euh les derniers propos mis en gras par livaste sont relativement récents. Et je ne comprends pas comment ceux qui se disent patriotes peuvent supporter de voter pour un type qui relativise aussi allègrement la barbarie de l'occupation nazie? Ce sont d'ailleurs les mêmes qui utilisent les termes de "collabo" à tout bout de champ!
Et puis peu importe que les propos datent de dix, vingt ou trente ans de toute façon: celui qui vote FN en dépit de ces propos fait preuve d'une complaisance coupable. Le FN, c'est aussi ces propos-là.
Et puis peu importe que les propos datent de dix, vingt ou trente ans de toute façon: celui qui vote FN en dépit de ces propos fait preuve d'une complaisance coupable. Le FN, c'est aussi ces propos-là.
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Livaste et Aurélie vous avez tout à fai raison mais dans le même temps voir le Président de la France recevoir avec les honneurs un tyran lybien me choque un peu !
Jeanclaude- Député
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Alors comment tu fais pour faire du Business ?
Si tu devais acheter du pétrole qu'aux pays qui ne sont pas concernés par des problèmes de droits de l'homme alors tu roulerai à vélo .
Pourquoi quand François Mitterrand recevait Fidel Castro, les gauchistes trouvaient ça normal ?
Si tu devais acheter du pétrole qu'aux pays qui ne sont pas concernés par des problèmes de droits de l'homme alors tu roulerai à vélo .
Pourquoi quand François Mitterrand recevait Fidel Castro, les gauchistes trouvaient ça normal ?
Dernière édition par Lieutenant Hardcock le Dim 21 Nov - 18:24, édité 1 fois
Bassai Dai- Conseiller général
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Ca me choque aussi, enfin surtout la façon dont il a été reçu. Parfois (voire souvent), on ne peut pas éviter de recevoir des dirigeants peu fréquentables, mais on n'est pas obligé de dérouler le tapis rouge et de s'allonger en plus dessus pour servir de paillasson.
Mais c'est un autre sujet.
Mais c'est un autre sujet.
Invité- Invité
Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Bien sûr ... !Aurélie a écrit:Ca me choque aussi, enfin surtout la façon dont il a été reçu. Parfois (voire souvent), on ne peut pas éviter de recevoir des dirigeants peu fréquentables, mais on n'est pas obligé de dérouler le tapis rouge et de s'allonger en plus dessus pour servir de paillasson.
Mais c'est un autre sujet.
Jeanclaude- Député
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Re: GOUVERNEMENT - Évincé de Matignon, Borloo prépare sa contre-attaque
Kadhafi a été reçu comme un chef d'état , c'est tout .
On ne pouvait quand même pas le recevoir comme une merde .
On ne pouvait quand même pas le recevoir comme une merde .
Bassai Dai- Conseiller général
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