SARKOZY... plus c'est gros , plus ça passe !

distribué depuis samedi matin par les militants du Front national

livaste a écrit:Parce que tu crois que c'est bayrouge qui a le sens du travail ??????
Tu crois encore , qu'il existe quelques politiciens providentiels qui aient réellement travaillé ?
quand à tes affirmations sur le pouvoir d'achat , elles son d'une nullité crasse puisqu'elles ne s'appuient sur aucune étude , sauf le pifomètre de Jean Claude !

La France est certes un État très endetté, mais elle peut aussi compter sur des citoyens très précautionneux. Une étude publiée dans le bulletin trimestriel de la Banque de France rappelle ainsi que le taux d'épargne des ménages français a fortement grimpé en 2009 - crise oblige - pour s'établir à 16,2 % contre 15,4 % en 2008.

«Si l'on excepte l'année 2002 au cours de laquelle le taux d'épargne avait transitoirement dépassé les 16%, il faut remonter au début des années 1980 pour retrouver un taux supérieur à celui observé en 2009», notent les économistes de la Banque de France qui analysent les raisons de cette augmentation.


Celle-ci n'est pas forcément ­synonyme d'un ralentissement drastique des dépenses des ménages sous l'effet de la crise. Elle témoigne en premier lieu d'un accroissement des revenus supérieur aux dépenses de consommation.

Chute de l'inflation
Si la progression des revenus disponibles bruts des ménages s'est nettement tassée l'an dernier, avec une hausse de 1% en 2009 comparée à un bond de 3,2% en 2008, la chute de l'inflation, qui a reculé de 0,6% l'an dernier, a accru le pouvoir d'achat des ménages de manière sensible (+1,6% en 2009 contre +0,4% en 2008). Les Français étant restés prudents en matière de consommation, cette augmentation du pouvoir d'achat a donc méca niquement débouché sur un accroissement de leur taux d'épargne.

Mais la Banque de France avance d'autres explications, plus négatives. En particulier, «l'évolution défavorable de la valeur de leur patrimoine a pu engendrer des effets de richesse négatifs», selon elle. Le patrimoine des Français a en effet baissé de 3,8% en 2008, sous l'effet d'une baisse de 1,4% des prix immobiliers et du retournement des marchés boursiers qui a nettement réduit leur patrimoine financier. «Le supplément d'épargne de 2009 pourrait dès lors s'interpréter comme une adaptation de la consommation à cet appauvrissement », estime la banque.

Ailleurs en Europe, le taux d'épargne a également eu tendance à progresser sous l'effet de la récession. Mais avec un taux d'épargne de 15,1% fin 2009, les ménages de la zone euro ont tendance en moyenne à moins épargner que leurs homologues français.

patriote reformiste a écrit:Livaste, au lieu d'accuser les autres de ne pas être les defenseurs de la valeur travail, pourrais tu donc, chiffre à l'appui nous vanter les vertus et mettre en avant les mesures favorables aux travailleurs qui ont été prises et ont porté leurs fruits, par le Gouvernement.

Les mesures qui pouvaient approter une inefficacité ont toutes été supprimés, pour causes de "crise" qui ne soit, evidemment être reportés que sur les travailleurs qui y osnt pourtant totalement étarngers et non responsables.....Bien au contraire, en temps de crise, ce sont eux qui continuent de produire, de consommer et d'investir afin de répondre aux besoins de cotisations pour assurer la solidarité nationale....Pendant ce temps, le Gouvernement recompense les rentes, comme Mme Bettancourt qui perçoitt 29 millions d'euros au titre du bouclier fiscal à....87 ans (alors que cette mesure devait recompenser le travail)

livaste a écrit:apprenez donc à lire tous les deux , au lieu de parler au pif , et d'avancer des inepties , et pour ce faire , relisez les études , que vous soyez d'accord ou pas , le fait est là , le niveau de vie n'a pas diminué et les Français épargnent plus que jamais !
Mais vous êtes obnubilés par votre haine et vous n'êtes pas capables de discuter sans accuser ceux qui ne partagent pas vos idées , d'être Sarkozystes , vous les fanatiques , l'un de le pen , l'autre de bayrouge !
Vous êtes insupportables , incapables de penser par vous mêmes , et ce qui est plus grave toujours prompts à accuser les autres !
Moi je ne me lève pas le matin en pensant à Sarkozy , comme cela semble être votre cas , allez , faut consulter , une telle dépendance haineuse , ça se soigne !

patriote reformiste a écrit:Je t'arrête

Ce n'est pas nous qui accusons les autres d'être des "connards" ou d'être des "pauv cons"

Ce n'est encore pas nous qui nous montrons grossier et intolérant à l'égard de ceux qui ne partagent pas nos idées de la même manière que ce n'est pas nous aui accusons de culpabilité un homme dont le procès est en cours....

En juin, les prix étaient restés stables sur un mois, rappelle l'Institut national de la Statistique.
Le repli de l'indice des prix de juillet "provient en grande partie de la baisse des prix de l?habillement - chaussures et des autres produits manufacturés, liée aux soldes d?été et au recul saisonnier des prix des produits frais", explique l'Insee.
"Ces baisses sont en partie compensées par la hausse saisonnière des prix des services liés au tourisme et par certains relèvements tarifaires. Les prix de l?énergie sont stables, la hausse du prix du gaz de ville étant compensée par la baisse des prix des produits pétroliers", souligne l'institut dans son communiqué. "On a un peu d'inflation mais très contenue", a réagi la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, interrogée sur Europe 1.
L'inflation est actuellement comprise entre 1,5% et 2,0% "au maximum" et "nous la surveillons de très près", a-t-elle ajouté.
Malgré cette tendance des prix à la hausse, "les Français consomment, épargnent, et le soutien de la croissance par la consommation (au deuxième trimestre) est une excellente nouvelle", a conclu Mme Lagarde.
La croissance française a progressé de 0,6% au deuxième trimestre, après +0,2% au premier, selon les premiers chiffres publiés vendredi par l'Insee.
Au mois de juillet, les prix des produits manufacturés sont en baisse de 1,6% (stables sur un an), les seuls prix de l'habillement-chaussures étant en recul de 8,9% à la faveur des soldes (+1,3% sur un an). Des tendances similaires à celles enregistrées à la même période en 2009.
La hausse saisonnière des prix des services (+0,7%) est du même ordre que celle de juillet 2009. Sur un an, la variation est de +1,3%.
Les prix de l'énergie se stabilisent en juillet, bien que leur hausse atteigne 10,5% par rapport au même mois un an plus tôt.
En effet, l?augmentation des tarifs du gaz de ville (+4,8%, +15,0% sur un an) est compensée par la baisse des prix des produits pétroliers (-1,1%, +13,6% sur un an), dans le sillage des baisses récentes des cours du pétrole brut, explique l'Insee.
Parallèlement, les prix des produits alimentaires diminuent de 0,5% en juillet 2010 (+1,4 % sur un an). Cette diminution est due essentiellement au recul saisonnier des prix des produits frais (-4,4%, +13,5 % en sur un an).
Hors produits frais, les prix des produits alimentaires sont en très légère hausse au mois de juillet (+0,1%, -0,2 % sur un an).

livaste a écrit:

patriote reformiste a écrit:Je t'arrête

Ce n'est pas nous qui accusons les autres d'être des "connards" ou d'être des "pauv cons"

Ce n'est encore pas nous qui nous montrons grossier et intolérant à l'égard de ceux qui ne partagent pas nos idées de la même manière que ce n'est pas nous aui accusons de culpabilité un homme dont le procès est en cours....

ai je proféré de tels propos ?? c'est grave , je n'en garde aucune mémoire , veux tu me reciter les post où j'ai traité quiconque de connard ou autre !