l'ump,un parti en voie d'extinction
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Georges
livaste
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Re: l'ump,un parti en voie d'extinction
shimmy a écrit:
Tu fais bien de citer ces exemples : ceux qui travaillent cotisent de plus en plus à la SS pour avoir de moins en moins de remboursements....par contre, les clandestins ont tout gratuit!
on s'est aperçu de cela quand on s'est rendu compte que les clandestins travaillaient et cotisaient donc rien n'est gratuit
Le clandestin ,c'est le bouc émissaire de shimmy
guilbert- troll
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Re: l'ump,un parti en voie d'extinction
j'édite le troll de service parceque je le vaux bien !
guilbert- troll
- Nombre de messages : 287
Date d'inscription : 14/07/2009
Re: l'ump,un parti en voie d'extinction
guilbert a écrit:shimmy a écrit:
Tu fais bien de citer ces exemples : ceux qui travaillent cotisent de plus en plus à la SS pour avoir de moins en moins de remboursements....par contre, les clandestins ont tout gratuit!
on s'est aperçu de cela quand on s'est rendu compte que les clandestins travaillaient et cotisaient donc rien n'est gratuit
Le clandestin ,c'est le bouc émissaire de shimmy
Les personnes issus de l'immigration se retrouvent souvent parmi les glandeurs. Ceux pour qui le contribuable paye... Regarde un peu la répartition territoriale du RSA ou le nombre de chômeur dans certaines zones et tu en seras convaincu.
Invité- Invité
Re: l'ump,un parti en voie d'extinction
le clandestin c'est celui qui prend le boulot d'un français au chômage .... même s'il cotise , il contribue à faire monter le chômage .
Invité- Invité
Re: l'ump,un parti en voie d'extinction
franline a écrit:il a toujours soutenu le capitalisme et le libéralisme sans limite qui nous a apporté cette crise, et si on se souvient de ses envolées verbiales d'avant les présidentielles, il était prêt à nous envoyer dans le même mur que les USA.
le capitalisme ne prône pas le système social mais le profit sans limite ...donc , il ne pouvait pas prôner le capitalisme et défendre le système social en même temps ... comme il n'a jamais parlé de liquider le système social , il ne pouvais pas prôner le capitalisme .
le libéralisme c'est différent ; c'est avoir le CHOIX , accéder à la flexibilité !
ce sont les banques qui se sont alignés sur un système capitaliste en offrant des crédit à taux très variables et , ce sont des élus pour beaucoup de gauche qui ont signé pour ce genre de prêts ......sans plafonnement pour certains !et après ça vient cracher sur le capitalisme alors que ça use de ses outils ! ils avaient le choix .... ils ont choisi ....ils ont aussi choisi de créer des doublons à payer avec ce type de prêts au lieu de réorganiser , restructurer et faire des choix ...anticiper !et après ça vient gueuler que l'Etat ne transfert pas l'argent avec la décentralisation ...
Dire que la crise est en majeure partie venue des banques je suis OK ( et encore ! ) ... mais oser dire que ce sont des élus de gauche qui ont signé des prêts à des taux défiants toute concurrence il y a une marge à ne pas franchir. Il est un peu trop simpliste de "démolir" toujours les élus de gauche et cela commence à sentir le "réchauffé" . Il serait de bon ton que tu changes de registre parce que là on en a plus que marre de tes critiques débiles et sans fondement des opposants à Monsieur Sarkozy ! Ce Président a commis des co.....es, il l'a avoué ... !
Pour en revenir aux élus, je vis dans une ville ( préfecture du département ) où la gauche a battu à plates coutures l'ex-maire UMP, ancien ministre sous Rafarin. Nous avons trouvé une situation financière en état lamentable car endettée à la limite d'être mise sous tutelle. Qui a signé les prêts ? Un Maire UMP, ancien Ministre de la République.
Jeanclaude- Député
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Date d'inscription : 26/09/2008
Re: l'ump,un parti en voie d'extinction
ce sont des élus de gauche qui ont signé des prêts à des taux défiants toute concurrence il y a une marge à ne pas franchir
Tu as raison là-dessus, il s'agit en majorité d'élus UMP. Mais qu'importe...
Invité- Invité
Les élus face au piège des emprunts "toxiques"
Les élus face au piège des emprunts "toxiques"
c'est marrant comme certains élus de gauche sont indulgents envers leurs camarades PCF mais moins en ce qui concerne leur prédécesseurs droitistes
je pense personnellement que , autant l'ex-secrétaire du PS HOLLANDE (TULLE)autant que l'actuelle secrétaire du PS AUBRY(LILLE) devraient fermer leur petit clapet à paroles... parce qu'ils étaient eux-même élus dans leurs communes et n'ont pas trop de leçons de moral à donner ...
S'il s'avère que les banques ont manipulés leurs contrats et fait en sorte d'attirer les villes les plus "vulnérables" (sociales) afin de leur faire contracter ces prêts toxiques , à haut risques ... en bluffant sur les performances sans parler des risques financiers : alors ces communes plaignantes auront sûrement gain de cause ... en attendant , dans un contrat tout est sensé y être inscrit !
Christine GarinLa crise financière rattrape les collectivités territoriales, pèse sur la préparation des budgets et pourrait conduire à d'importantes hausses d'impôts. Le mécanisme est proche de celui des subprimes qui a mené à la faillite des millions de petits accédants à la propriété aux Etats-Unis. Il touche un nombre sans doute important de collectivités, impossible à chiffrer aujourd'hui, parmi lesquelles le département de Seine-Saint-Denis, la communauté urbaine de Lille et des villes moyennes comme Rouen, Saint-Etienne, Tulle, Mont-Saint-Aignan, Saint-Chamond ou Laval.
A partir des années 2003-2004, au moment de la remontée des taux d'intérêt, ces collectivités parfois très endettées et soucieuses de se donner une bouffée d'oxygène financière à l'approche des municipales, ont accepté des banques des formules alléchantes basées sur des taux variables. Ces emprunts dits "toxiques" garantissaient des taux défiant toute concurrence les premières années. Mais, souvent indexés sur des devises étrangères volatiles, ils ont dérapé avec la crise financière. Dans le collimateur des élus, Dexia, qui détient à elle seule 40 % du marché, est en première ligne. Mais on trouve aussi Natixis, la Royal Bank of Scotland (RBS), la Deutsche Bank ou encore la Caisse d'Epargne.
C'est le maire (PS) de Saint-Etienne, Maurice Vincent qui a relancé le sujet - sur lequel la Cour des comptes avait alerté dès février - en annonçant, lundi 26 octobre, qu'il allait assigner en justice la Deutsche bank pour faire annuler un emprunt de 20 millions d'euros. Contracté par son prédécesseur UMP, Michel Thiollière, cet emprunt, s'il n'est pas renégocié, occasionnera, selon M. Vincent, un surcoût financier annuel de 3,7 millions d'euros, son taux passant de 4,3 % actuellement à 24 % en 2010. "C'est l'équivalent d'une hausse de 4 % du taux d'imposition", ajoute l'élu. Et ce n'est pas le seul emprunt à risques qu'il a en portefeuille, la dette de Saint-Etienne (400 millions d'euros) étant encore pour moitié adossée à des contrats de ce type.
Pour faire face "et parce qu'il faut constituer des provisions pour le futur", explique-t-il, l'élu a dû augmenter les taux d'imposition de 7,5 % en 2009, dont 2,5 % serviront à éponger le surcoût des charges financières. Et il s'apprête à répéter l'exercice pour 2010.
Le maire de Saint-Etienne est épaulé par une autre "victime" de ces subprimes à la française : Claude Bartolone, élu en mars 2008 à la tête du conseil général de Seine-Saint-Denis. En l'absence d'une renégociation avec les cinq banques concernées, la Seine-Saint-Denis entrera dans une zone de fortes turbulences en 2010 et plus encore en 2011, explique M. Bartolone. 98 % de ses prêts en cours sont à hauts risques. L'élu est particulièrement remonté contre Dexia qui réclame une pénalité de 200 millions d'euros pour racheter un prêt dont le taux, indexé sur le franc suisse, devrait rapidement passer de 1,25 à 13,8 %. "200 millions d'euros, c'est la construction de 8 collèges, tempête M. Bartolone, qui juge que la politique d'investissement du département n'a pas à dépendre de la politique de M. Obama et du cours du dollar ou des fluctuations du yen." Mais il se garde, toutefois, de mettre en cause directement son prédécesseur, le communiste Hervé Bramy, qui a signé les contrats. Même attitude à la communauté urbaine de Lille, à la présidence de laquelle Martine Aubry a succédé à Pierre Mauroy, où l'on se dit "vigilant s" mais pas encore inquiets.
La métropole lilloise, actuellement en cours de négociation avec Dexia, "a les reins suffisamment solides pour ne pas être tenue de se débarrasser de ces emprunts spéculatifs dans l'urgence", estime Jean-Marc Germain, directeur de cabinet de Mme Aubry. Plus du tiers de sa dette, soit 554 millions d'euros, est toutefois adossé à ce type d'emprunts. D'autres communes jouent l'apaisement comme Tulle ou le successeur de François Hollande, le socialiste Bernard Combes, assure que la dette (31 millions d'euros dont 6 assis sur de l'emprunt à risques) "est sécurisée jusqu'en 2011", ou encore Mont-Saint-Aignan où la négociation avec la Caisse d'Epargne a abouti et celle avec Dexia (une dette de 6,5 millions d'euros passée de 4 % à 10 %) est en cours.
D'autres élus n'ont pas ces pudeurs et mettent franchement en cause la gestion de leurs prédécesseurs. C'est le cas de Valérie Fourneyron, maire PS de Rouen qui a ravi la ville au centriste Pierre Albertini en mars 2008. Elle annonce qu'elle augmentera les taux d'imposition de 8 % en 2010 et qu'elle réduira les investissements prévus de 25 % jusqu'en 2014. Motif : une situation financière très dégradée et une dette qui explose, adossée pour 53 % sur des produits à risques principalement contractés auprès de Dexia et de Natixis.
"L'augmentation des taux a coûté 400 000 euros à la ville en 2009", souligne Mme Fourneyron, qui accuse l'ancien maire d'avoir "contracté ces produits pour baisser la pression fiscale à court terme". Comme Claude Bartolone et Maurice Vincent, la maire de Rouen se dit prête à engager une action en justice si les banques refusent de renégocier les prêts.
c'est marrant comme certains élus de gauche sont indulgents envers leurs camarades PCF mais moins en ce qui concerne leur prédécesseurs droitistes
je pense personnellement que , autant l'ex-secrétaire du PS HOLLANDE (TULLE)autant que l'actuelle secrétaire du PS AUBRY(LILLE) devraient fermer leur petit clapet à paroles... parce qu'ils étaient eux-même élus dans leurs communes et n'ont pas trop de leçons de moral à donner ...
S'il s'avère que les banques ont manipulés leurs contrats et fait en sorte d'attirer les villes les plus "vulnérables" (sociales) afin de leur faire contracter ces prêts toxiques , à haut risques ... en bluffant sur les performances sans parler des risques financiers : alors ces communes plaignantes auront sûrement gain de cause ... en attendant , dans un contrat tout est sensé y être inscrit !
Invité- Invité
Re: l'ump,un parti en voie d'extinction
Oui et de ce point de vue là, entendre Nicolas Sarkozy fustiger le communisme et les conséquences de cette funeste idéologie alors que, dans le même temps, le secretaire générale de l'UMP va à Pekin signer un accord avec le Parti communiste chinois qui a fait au moins autant de victime que le communisme soviétique.
Il y a là une incoherence supplémentaire qui caractérise le pouvoir actuel.
Il y a là une incoherence supplémentaire qui caractérise le pouvoir actuel.
patriote reformiste- Conseiller général
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Age : 43
Date d'inscription : 15/05/2009
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