violences à l'EN ou contre l'EN
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Re: violences à l'EN ou contre l'EN
L'agresseur a été remis en liberté à l'issue de sa présentation devant le juge pour enfants qui a ordonné un suivi éducatif.
ça c'est pas normal.
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
j'ai une proposition il a 16 ans , l'agresseur c'est à dire qu'il est arrivé en fin de scolarité obligatoire , pas besoin de le changer de collège comme cela se fait d'habitud , pas besoin de déplacer le problème , on lui souhaite bonne chance et on lui donne un bulletin de sortie .
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Je ne connais pas le dossier mais je suppose que le procureur va passer le dossier au JE puisqu'il y a agression .
Dans les faits , il est regrettable que l'ITT soit inférieure à 8 jours ( et anormal puisqu'il semble y avoir de sréserves sur la guerison ) .
Le jeune passera donc en jugement , si le rapport du l'assistance éducative est plutôt satisfaisant , il prendra simplement une LS( liberté surveillée )et sera aidé par un éducateur de la PJJ .
Dans les faits , il est regrettable que l'ITT soit inférieure à 8 jours ( et anormal puisqu'il semble y avoir de sréserves sur la guerison ) .
Le jeune passera donc en jugement , si le rapport du l'assistance éducative est plutôt satisfaisant , il prendra simplement une LS( liberté surveillée )et sera aidé par un éducateur de la PJJ .
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Le ras-le-bol des profs du lycée Jules-Uhry
Irruption d’élèves exclus dans les classes , menaces de mort... Les enseignants du lycée creillois dénoncent l’aggravation des violences et réclament des réponses concrètes avant un drame.
Hervé Sénamaud | 23.05.2009, 07h00
Irruption d’élèves exclus dans les classes , menaces de mort... Les enseignants du lycée creillois dénoncent l’aggravation des violences et réclament des réponses concrètes avant un drame.
Hervé Sénamaud | 23.05.2009, 07h00
Le ParisienTrop, c'est trop. Les enseignants du lycée Jules-Uhry de Creil ne supportent plus le climat de violence qui envenime la vie de l’établissement. Hier matin, lors d’une assemblée générale, ils ont décidé, pour une grande partie d’entre eux, de ne pas assurer les cours du matin pour discuter de la situation et tenter d’apaiser les tensions.
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est survenue mardi dernier. « Encore une fois, deux élèves de première qui ont été exclus récemment de l’établissement par le conseil de discipline ont réussi à pénétrer dans le lycée, témoigne un professeur. Ils ont fait irruption dans des salles de classe et gravement perturbé deux cours successifs. Une élève a été menacée de mort par les deux intrus. »
Deux ex-élèves qui n’en sont pas à leur coup d’essai en matière d’intrusion puisqu’ils ont déjà perturbé les cours de cette façon, menaçant plusieurs enseignants lors de leurs précédentes visites. « J’irai lundi matin au commissariat de Creil déposer plainte au nom du lycée pour ces agissements, indique le proviseur de Jules-Uhry, Jean-Claude Baxter. Les professeurs qui ont été victimes de menaces feront la même chose. »
Le filtrage à l’entrée remis en cause
Si la gravité des incidents semble aller crescendo, le malaise apparaît plus profond chez les enseignants. Ils mettent en cause le système de filtrage à l’entrée, inopérant dans la plupart des cas et qui n’a empêché aucune des intrusions. Mais l’ambiance délétère ressentie par le corps enseignant ne date pas de ces dernières semaines. « Cela fait au moins trois ans que la situation se dégrade vraiment, estime un professeur. Les incivilités et les problèmes de discipline se multiplient mais pas les créations de poste, contrairement à ce qu’affirme le rectorat. »
Après avoir adressé des courriers au recteur, au procureur de la République et au président du conseil régional, les enseignants veulent désormais des réponses et des actes, pour éviter qu’un éventuel drame ne se produise.
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Il se trompe les enseignants, ils sont victime de TF1 et de la propagande du FN. Les jeunes zepiens sont aussi civilisé que les autres. C'est connu.
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Ils sont surtout victime qu'on leur met tout sur le dos... Vivement des mecs du FN à L'EN.saco a écrit:Il se trompe les enseignants, ils sont victime de TF1 et de la propagande du FN. Les jeunes zepiens sont aussi civilisé que les autres. C'est connu.
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Comme tu dis Livaste, ) partir de 16 ans, il n'y a plus d'obligation scolaire! Donc, dehors!
J'en ai marre d'entendre parler de "collégiens" de 18 ans.......
J'en ai marre d'entendre parler de "collégiens" de 18 ans.......
shimmy- Président du Conseil Général
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Date d'inscription : 14/01/2008
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Un garçon de 12 ans menace son professeur avec un couteau
Laure Daussy (lefigaro.fr)
26/05/2009 | Mise à jour : 21:55 |
L'enseignante, qui n'a pas été blessée, avait puni l'élève pour avoir fait trop de bruit dans un couloir quelques jours auparavant. L'adolescent a été interpellé.
un fait divers scolaire qui devient , h'laès , coutumier .
Si j'ai relévé ce fait , c'est surtout pour les réactions des internautes , on croit rêver !
Laure Daussy (lefigaro.fr)
26/05/2009 | Mise à jour : 21:55 |
L'enseignante, qui n'a pas été blessée, avait puni l'élève pour avoir fait trop de bruit dans un couloir quelques jours auparavant. L'adolescent a été interpellé.
Image choc en plein cours d'art plastique. Mardi matin, un jeune collégien de 12 ans, en classe de 6ème, sort un couteau de cuisine de son sac et menace son enseignante, en pointant le couteau à moins de 20 cm d'elle. La scène se déroule dans le collège les Noirettes de Vaulx-en Velin. Quelques jours avant, l'enseignante avait puni l'élève pour avoir fait trop de bruit dans un couloir.
Aussitôt désarmé et maîtrisé par ses camarades, le collégien a été interpellé par les policiers et placé en retenue judiciaire, à l'issue de laquelle il a été présenté au juge des enfants à Lyon. Pour le rectorat, le garçon a «prémédité» son acte en mettant le couteau de cuisine, «dont la lame mesure 30 cm, dans son sac la veille». L'instance condamne «fermement» cet acte et assure la victime et l'ensemble du personnel scolaire de «son soutien».
Sans antécédents judiciaires, le jeune garçon devait être mis en examen dans la soirée pour faits de violences avec arme sur son professeur et en milieu scolaire. Une mise en liberté surveillée a été demandée par le parquet, qui n'a pas souhaité s'exprimer dans l'immédiat sur cette affaire.
Réunion mercredi au ministère
Cette tentative d'agression intervient alors que le 15 mai dernier, dans un collège de la région de Toulouse, un jeune élève de 13 ans avait poignardé son enseignante en pleine classe. Nicolas Sarkozy avait alors demandé au ministre de l'Education de lui présenter «sans délai des propositions concrètes pour améliorer la sécurité des établissements scolaires».
Xavier Darcos avait ainsi proposé d'installer des portiques de détection à l'entrée de bâtiments, de donner la «compétence d'officiers de police judiciaire à des chefs d'établissements, ou recteurs et inspecteurs d'académie» pour ordonner des fouilles, ou encore la création d'une «force mobile d'agents» pouvant intervenir dans les établissements. Des propositions qui ont suscité une levée de bouclier des syndicats d'enseignants.
Une réunion consacrée à «la lutte contre l'introduction des armes dans les établissements scolaires» est prévue ce mercredi à partir de 8h15 au ministère de l'Education nationale et sera suivie, jeudi, d'une autre rencontre à l'Elysée en présence des «principaux acteurs de la sécurité, de la chaîne pénale et de l'Education nationale». Mercredi matin, seuls les deux principales organisations représentatives des chefs d'établissement (SNPDEN et ID), les deux associations de parents d'élèves du public (FCPE et PEEP) et les représentants des collectivités locales sont conviés. Au cabinet de Xavier Darcos, on justifie l'absence des syndicats d'enseignants par le fait que «le ministre considère que le maintien de la sécurité ne relève pas des enseignants».
un fait divers scolaire qui devient , h'laès , coutumier .
Si j'ai relévé ce fait , c'est surtout pour les réactions des internautes , on croit rêver !
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Quel adolescent ?
Roujin
encore un parent qui prend les devants , et qui excuse déjà son rejeton qu'il n'a pas éduqué !
L'élève n'est pas coupable , qui donc est coupable , l'enseignante , le ministre , vous , moi ?????
et voilà le sempiternel couplet du café du commerce !
Pauvre commentaire au raz des paquerettes d'un(e) débilarde qui en profite pour taper sur les femmes qui travaillent et en même temps sur les profs !
D'après ma longue expérience , ce sont majoritairement de sgamins dont les parents ne travaillent pas qui fournissent le bataillon des délinquants , pas l'inverse !
Quant au commentaire débile sur les enseignants , on voit bien que débilos a un compte à régler avec l'EN, ses gamins seraient ils en grand échec ????
Sidi Brahim
Roujin
Apres avoir puni, quel geste d'enseignante pour l'eleve puni
C'est affaire dommageble pour les deux, l'eleve et enseignante. je ne crois pas que l'eleve ait coupable de cet affaire.
La ministere d'education a besoin de reflechir sur la cause de cet affaire au lieu de consulter le resultat de cet affaire
encore un parent qui prend les devants , et qui excuse déjà son rejeton qu'il n'a pas éduqué !
L'élève n'est pas coupable , qui donc est coupable , l'enseignante , le ministre , vous , moi ?????
les enseignants recoltent ce qu'ils ont semés
malheureusement pour inverser la tendance il faudrait faire exploser l'éducation nationale qui est complétement gangrénée et polluée par une doctrine néfaste et dévastatrice; à l'heure actuelle la situation et complétement irréversible sauf privatisation compléte de l'éducation nationale
Associations.
Il ne faut pas oublier l'influence et le rôle néfaste des associations de parents d'élèves qui usent et abusent de leur influence pour intervenir dans tous les secteurs de l'éducation.
Condamnez les parents!
C'est pas tout de nourrir ses enfants, il faut les élever...
eduquer les jeunes mais aussi les instits et profs
27/05/2009 à 10:39
il est vrai que les jeunes manquent d'éducations car les parents travaillent et laissent leur rejeton se débrouiller où sont don c passer les mères de famille au foyer !!
mais il ne faut SURTOUT pas oublier que les instits et les profs sont de + en + imbus de leur personne s'ils veulent qu'on les respectil faudrait aussi qu'ils respectent les parents et les enfants car qui seme le vent récolte la tempete !!! faut pas faire croire à la France entière que cette "pauvre prof" a seulement puni un élève tout simplement .... c'est trop gros !!
et voilà le sempiternel couplet du café du commerce !
Pauvre commentaire au raz des paquerettes d'un(e) débilarde qui en profite pour taper sur les femmes qui travaillent et en même temps sur les profs !
D'après ma longue expérience , ce sont majoritairement de sgamins dont les parents ne travaillent pas qui fournissent le bataillon des délinquants , pas l'inverse !
Quant au commentaire débile sur les enseignants , on voit bien que débilos a un compte à régler avec l'EN, ses gamins seraient ils en grand échec ????
les enseigants et les parents d'éléves vont défiler
pour défendre ce futur et brillant citoyen victime d'une enseignante qui n'a pas encore compris que pour vivre tranquille et estimée il faut laisser tout faire à ces jeunes élites de notre future brillante nation (DECADENCE....DECADENCE...VOILA OU NOUS EN SOMMMES)
Mais ou va t'on !!!
Il est temps, voir urgence de mettre de l'ordre et de la rigueur pour des adolescents qui ne supportent rien, qui veulent faire à leur mode , c'est quoi ce délire! Si certains parents ne sont pas capables d'éduquer comme il faut leurs enfants, et bien tant pis, si leurs enfants sont punis comme il se doit ils ne viendront pas se plaindre, y en a marre à force de voir des galoubis qui veulent faire la loi.
La france n'est plus
ce qu'elle était... les hommes politiques des 30 dernières années l'ont mis à genoux. Et tant qu"aucun dirigeant n'aura le courage de traiter vraiment le problème des banlieues et de l'intégration, ce sera de pire en pire.
Ce ne sont pas des mesurettes qu'il faut mais tout un programme de réabilitation des quartiers et de rééducation des jeunes et des moins jeunes.
DROITS
Maintenant les enfats ont tous les droits, éduquez les parents
Qui est responsable ?
L'enfant mineur serait-il irresponsable?
Il faudrait peut-être que les parents soient concernés puisqu'il est mineur.
Une sanction envers les parents serait un exemple et éviterait sans doute de nouveaux problèmes....
voter mieux
moi j'ai tres bien compris et desormais je voterais mieux.Il est temps que les Gaulois réagissent.
trop d'info.
je pense que les média en parle beaucoup trop ; parlez en positif des jeunes ,et ne politisez pas chaques cas ,remettez le civisme et la discipline au gout du jour .....
Sidi Brahim
C'est vrai.
Il faut appliquer la politique de l'autruche ne rien voir ne rien entendre, et comme cela plus de problèmes!! elle est pas belle la vie.
excellent !Au Rapport
Il faut absoluement une commissions interprofessionnelle dont les conclusions aboutiront au préfet, lequel diligentera une commission prefectorale chapeauté par une commission parlementaire. Laquelle demandera un rapport a un comité des sages dont les conclusions devront parvenir au Parlement avant sa prochaine session annuelle. Le reste est du ressort du Ministère et du gouvernement sous réserve de l'avis favorable des Syndicats et du Conseil d'Etat. Ouf. J'ai peut-etre oublié des échelons...
SANCTIONS pour enfant et PARENTS
Les parents sont légalement responsables des actes des mineurs. Ils doivent être sanctionnés lourdement pour tout acte délictueux commis par leurs enfants.
Il faut arrêter ce sentiment stupide de 1968 : "il est interdit d'interdire". Il est la porte ouverte à un désastre social.
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
20h08
Un collégien agresse son prof avec une chaise
le collégien n'a pas supporté une remontrance , mais qu'est ce que c'est que ces profs qui osent adresser des remontrances aux petits cons ?
Un collégien agresse son prof avec une chaise
Une enseignante de français du collège de Saint-André-de-Cubzac, en Gironde, a été agressée mercredi matin par l'un de ses élèves, âgé de 14 ans, qui l'a frappée à la tête avec une chaise, selon les gendarmes. Le collégien n'aurait pas supporté une remontrance de son professeur, dont la blessure à la tête a nécessité la pose de plusieurs points de suture. L'enseignante a déposé plainte auprès de la gendarmerie.
le collégien n'a pas supporté une remontrance , mais qu'est ce que c'est que ces profs qui osent adresser des remontrances aux petits cons ?
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
C'est marrant, je discutais de ce genre de choses ce midi avec une camarade...J'espère que sa hiérarchie ne va pas lui reprocher d'avoir poussé le pauvre adolescent à utiliser le mobilier scolaire pour pratique d'un sport hors cours d'EPS.
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
ils n'ont pas encore compris que la doctrine Dolto est de rigueur ...l'enfant est roi ! on ne fait pas de remontrances aux rois voyons !!!!
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Hélas pour eux, "un roi n'est rein sans ses sujets", comme dit la sagesse populaire.
Je les inviterais donc, avant de vouloir devenir "roi" de regarder le film intitulé "L'Homme qui voulut être roi (The Man Who Would Be King", réalisé par John Huston et sorti en 1975).
Perso, j'aurais bien aimé voir la scène où Dravot tombe dans un trou noir, sa couronne en or tournoyant à ses côtés.
Ceci dit ca leur apprendra à enseigner que "les enfants ont des droits" en omettant de leur préciser qu'ils ont aussi des devoirs...
Je les inviterais donc, avant de vouloir devenir "roi" de regarder le film intitulé "L'Homme qui voulut être roi (The Man Who Would Be King", réalisé par John Huston et sorti en 1975).
Perso, j'aurais bien aimé voir la scène où Dravot tombe dans un trou noir, sa couronne en or tournoyant à ses côtés.
Ceci dit ca leur apprendra à enseigner que "les enfants ont des droits" en omettant de leur préciser qu'ils ont aussi des devoirs...
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Seine-et-Marne : le principal d'un collège renversé par deux jeunes
2 réactions | Réagir 16.01.2010, 23h12 | Mise à jour : 23h34
Leparisien.fr
des jeunes racailles de 16 ans au volant de voitures ???
et remis en liberté aussitôt pour l'un d'entre eux ??
De qui se moquent les jugent ?
2 réactions | Réagir 16.01.2010, 23h12 | Mise à jour : 23h34
Un principal de collège a été percuté volontairement par deux jeunes de 16 ans au volant d'une voiture vendredi matin, a-t-on appris samedi de source judiciaire. Le principal du collège Jean Campin à La Ferté-Gaucher (Seine-et-Marne) qui était intervenu sur un différend, a été légèrement percuté vers 8 heures, par les deux jeunes qui lui auraient volontairement foncé dessus.
Toujours selon cette source, les deux jeunes gens voulaient régler un différend avec une jeune fille scolarisée dans l'établissement. L'histoire semble avoir débuté quand les deux adolescents, sous l'emprise de stupéfiants, se sont engagés dans un sens interdit, à grande vitesse. Quelques secondes plus tard, ils sont arrêtés dans leur course par un bus scolaire venant en sens inverse.
C'est alors qu'intervient le principal, qui essaie de calmer les esprits. Mais les jeunes redémarrent et le percutent délibérément. Alors que le responsable est à terre, le conducteur sort du véhicule et menace de le frapper, avant d'en être dissuadé par les élèves venus à la rescousse. Les deux jeunes prennent alors la fuite. Ils seront interpellés quelques instants plus tard par des gendarmes.
Depuis, l'un d'eux a été relâché et placé sous contrôle judiciaire tandis que le conducteur, présenté comme le plus actif, était présenté samedi soir devant le juge des libertés et de la détention (JLD). Le parquet a requis sa mise en détention, a-t-on précisé de source judiciaire.
Leparisien.fr
des jeunes racailles de 16 ans au volant de voitures ???
et remis en liberté aussitôt pour l'un d'entre eux ??
De qui se moquent les jugent ?
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Pour améliorer les choses: la réforme de formation est en route, et visiblement, l'année prochaine, au lieu d'avoir un service allégé allant de six à huit heures, les nouveaux stagiaires (dont moi) devront effectuer un service au moins doublé, voire complet dans certaines académies, de la rentrée à janvier, puis de mars à la fin de l'année.
8h de cours, c'est déjà un fardeau harrassant pour les profs débutants qui doivent préparer tous leurs cours en apprenant. 18h, et même 12, clairement, c'est IMPOSSIBLE, ingérable.
A noter que pendant les six semaines prévues en université entre janvier et mars, nous serons remplacés par des étudiants préparant le concours. Pauvres de nous, certes, mais alors, imaginez les élèves qui vont devoir se taper deux incompétents avec arrêts maladie à prévoir...
C'est calamiteux pour tout le monde, sauf pour les caisses de l'Etat, évidemment...
8h de cours, c'est déjà un fardeau harrassant pour les profs débutants qui doivent préparer tous leurs cours en apprenant. 18h, et même 12, clairement, c'est IMPOSSIBLE, ingérable.
A noter que pendant les six semaines prévues en université entre janvier et mars, nous serons remplacés par des étudiants préparant le concours. Pauvres de nous, certes, mais alors, imaginez les élèves qui vont devoir se taper deux incompétents avec arrêts maladie à prévoir...
C'est calamiteux pour tout le monde, sauf pour les caisses de l'Etat, évidemment...
Invité- Invité
Il faut remettre l’Ecole entre les mursContre la violence scolaire, la sanctuarisation
Il faut remettre l’Ecole entre les mursContre la violence scolaire, la sanctuarisation
Par ailleurs, l’application au corps enseignant de la stricte logique RGPPiste n’est certes pas de nature à améliorer les choses. Mais plus que le nombre de profs, c’est de leur formation qu’il faudrait se soucier. Or, tout le braillomètre est au plus haut dès que l’on parle effectifs, mais curieusement silencieux s’agissant de la disparition programmée des concours de recrutement. ↩
http://www.causeur.fr/il-faut-remettre-lecole-entre-les-murs,3807
Violence à l’école : tel pourrait être le titre du feuilleton qui, depuis quelques semaines, occupe nos ondes et nos écrans. Les lycées Darius Milhaud au Kremlin-Bicêtre, Adolphe Chérioux à Vitry sur Seine et Guillaume Apollinaire à Thiais sont désormais aussi célèbres que les décors de Plus belle la vie ou la maison de Secret Story. Sauf que dans ces établissements, et dans pas mal d’autres, la vie est beaucoup moins amusante que dans une émission de téléréalité.
La violence scolaire explose : les profs le disent, les médias le répètent et le public le confirme. Selon un sondage Harris Interactive diffusé hier sur RTL, 90 % des personnes interrogées (par internet) estiment qu’elle a augmenté depuis dix ans. Après un mois de faits divers glauques, le téléspectateur à la mémoire courte – c’est-à-dire vous et moi – est convaincu qu’il assiste à une escalade soudaine et incontrôlée.
En réalité, il s’agit plutôt d’une augmentation lente et régulière depuis 40 ans. « Depuis des années, des décennies même, la chronique des lycées et collèges relate des histoires de règlements de comptes plus ou moins dramatiques, de viols, de rackets et parfois de meurtres, contre des élèves ou des enseignants », peut-on lire dans l’éditorial du Monde qui observe qu’en 20 ans une dizaine de plans gouvernementaux ont été adoptés. Qu’on se rassure, la lucidité de notre ex-journal de référence s’arrête là. “Tout se passe comme si, après avoir longtemps été le creuset républicain de la promotion sociale par le savoir, l’école était devenue le symbole du rejet de la société, aux yeux d’une partie de la jeunesse la plus déshéritée”, peut-on lire dans le même article. Inutile de vous faire un dessin. La violence est fille de la misère et de l’exclusion, point barre. Qu’elle ait quelque chose à voir avec l’absence de repères culturels, le culte de la force et le refus de toute autorité des uns parfaitement congruent d’ailleurs avec le renoncement à l’exercer des autres, voilà qui n’intéresse guère les journalistes.
On notera au passage que la veille de l’agression d’un collégien de Vitry, un grave incident avait eu lieu dans un collège privé des Hauts de Seine : pas un mot dans nos JT. Sans doute cette affaire ne rentrait-elle pas dans le grand récit du malaise des banlieues dont nous sommes tous coupables. Passons, comme on passera sur l’effet de contagion qui explique que ce type d’incidents arrive toujours par vague. La médiatisation encourage toujours le passage à l’acte. Ce n’est évidemment pas une raison pour passer les faits sous silence. Reste qu’on n’a pas forcément à choisir entre le déni du réel et l’emballement médiatique.
Quoi qu’il en soit, s’il n’est pas nouveau, le phénomène est inquiétant. Seulement, au lieu de s’interroger sur les racines de cette violence, que nous disent les syndicats d’enseignants dont le discours, abondamment relayé par les médias, semble s’être imposé dans le public ? C’est la faute au gouvernement. Pas assez de surveillants. Là où il faudrait remettre en cause les dogmes pédagogistes qui placent l’élève au centre du système et prétendent ouvrir l’école sur le monde, ils réclament plus de moyens. Et l’opinion les suit, parents en tête. Selon le sondage Harris Interactive RTL, 93 % des personnes interrogées demandent le renforcement du personnel de surveillance dans les écoles. Mais sept sondés sur dix ne veulent pas d’une présence policière au sein des écoles. En somme, la société est sur la ligne des grandes boutiques syndicales enseignantes. À moins bien sûr que cette heureuse convergence ne soit le fruit de l’autoréférentialité qui conduit le citoyen/téléspectateur à croire ce que sondages et médias lui disent ce qu’il croit. C’est bien connu, « les médias pensent comme moi », comme l’affirmait le titre d’un essai paru il y a quelques années.
En réalité, le problème n’est pas le manque de moyens, le problème, c’est qu’on a désanctuarisé l’école1. On y apprenait aux enfants à s’intégrer dans le monde à l’abri du monde. Au nom d’un progressisme bon teint, on y a fait entrer le monde, donc l’argent, donc les hiérarchies sociales et, donc évidemment, la violence. Bref, on a laissé des renards libres dans un poulailler libre. Et on nous explique maintenant qu’on va résoudre la question avec des gentils surveillants mais surtout pas avec des méchants policiers !
Soyons clairs : on pourrait nommer des milliers de surveillants que cela ne changerait rien. Que feront-ils face à des bandes armées ? Leur présence empêchera d’autant moins les armes d’entrer dans les établissements que toute tentative d’instaurer une fouille des sacs suscitera un chœur indigné des défenseurs sourcilleux de nos libertés – liberté de se faire casser la gueule ? Il faudra bien s’y résoudre : puisqu’on a laissé entrer la violence, on devra bien laisser entrer les forces habilitées à la sanctionner, c’est-à-dire la police. Voilà pour le court terme.
Pour le reste, inutile de se faire des illusions. Il faudra au moins une génération pour inverser la tendance. Oui, il faut revenir à une école centrée sur la transmission des savoirs, une école où les enseignants ont de l’autorité quitte même à faire un peu peur aux élèves – ça n’a jamais tué personne. Seulement, tant que l’Education nationale sera cogéré par des syndicats qui confondent l’être et l’avoir et réclament des sous au lieu de se soucier des contenus et des méthodes, rien ne changera. Pourtant, il n’y a pas de problème plus urgent pour la France.
Par ailleurs, l’application au corps enseignant de la stricte logique RGPPiste n’est certes pas de nature à améliorer les choses. Mais plus que le nombre de profs, c’est de leur formation qu’il faudrait se soucier. Or, tout le braillomètre est au plus haut dès que l’on parle effectifs, mais curieusement silencieux s’agissant de la disparition programmée des concours de recrutement. ↩
http://www.causeur.fr/il-faut-remettre-lecole-entre-les-murs,3807
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Gifle à une CPE: un père en garde à vue
AFP
12/03/2010 | Mise à jour : 21:25 Réagir
cela doit être génétique dans cette famille de gifler la CPE !
Je m'étonne que l'avocat n'ait pas pensé à évoquer cette excuse !
AFP
12/03/2010 | Mise à jour : 21:25 Réagir
Le père d'une adolescente qui avait giflé mercredi une conseillère principale d'éducation (CPE) du collège de Cugnaux, en Haute-Garonne, ayant entraîné un "droit de retrait" des enseignants, a été placé en détention provisoire aujourd'hui à Toulouse, a-t-on appris auprès du procureur.
"Avant de dire droit, le tribunal a ordonné une expertise psychologique et renvoyé l'affaire au 21 avril", a indiqué Michel Valet, à l'issue d'une procédure de comparution immédiate à l'encontre du parent d'élève. "Au regard de la gravité des faits le tribunal a estimé que le placement en détention se justifiait", a-t-il ajouté.
Droit de retrait
Mercredi, le père d'une adolescente avait fait irruption dans le bureau de la CPE, après avoir enjambé le portail d'accès du collège, et avait giflé la fonctionnaire de l'éducation nationale. "Sa fille", qui avait également giflé la CPE après avoir été congédiée du bureau, "l'a appelé en pleurs, et la sentant en danger il a mal apprécié la situation sur-estimant le danger dans lequel se trouvait sa fille", a indiqué son avocat Me Christian Etelin. Selon lui, le placement en détention "ne s'imposait nullement et apparaît disproportionné" car son client "ne représente un danger pour personne". "Cela entraîne une catastrophe pour la famille", a-t-il ajouté, le père ayant une entreprise de maçonnerie-charpenterie.
A la suite de cette agression, les enseignants et assistants d'éducation avaient fait valoir ce matin un droit de retrait, bloquant le fonctionnement des cours dans l’établissement scolaire. Les personnels avaient par la suite décidé par vote, "aux deux-tiers" selon le rectorat de Toulouse, de suspendre leur mouvement. Olivier Dugrip, recteur de l’académie de Toulouse, a condamné "fermement cette agression d’un personnel de l’Education nationale dans l’exercice de ses fonctions" mais a dénoncé "cet abus du droit de retrait alors que n’existe aucun danger imminent, conduisant à suspendre les enseignements et à livrer les élèves à eux-mêmes avec les risques que cela comporte".
cela doit être génétique dans cette famille de gifler la CPE !
Je m'étonne que l'avocat n'ait pas pensé à évoquer cette excuse !
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Et tu penses quoi du cas du recteur? Sa sottise doit être génétique aussi non? Sa réaction montre qu'il n'en a clairement rien à foutre de son métier (entre autres soutenir ses troupes...) et qu'il prend l'école pour une garderie.
Y'en a marre de ces gens. Quant au père, puisqu'après tout on met des profs au trou pour une baffe à un gamin, il peut bien y aller aussi...
Y'en a marre de ces gens. Quant au père, puisqu'après tout on met des profs au trou pour une baffe à un gamin, il peut bien y aller aussi...
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Ce n'est pas pour excuser ce père de famille Livaste mais , au collège de mon fils le CPE et ses pions de services sont vraiment cons , limite ils considèrent les gosses comme des sous-merdes vu la façon dont ils parlent aux gamins ; d'une agressivité sans nom, sur certains qui ne sont pas connus ni reconnus pour être des perturbateurs ! Je te jure qu'il y a des baffes qui se perdent ..... ce qui empêchent certains parents de passer à l'acte , c'est un comportement de retenue , une certaine éducation qui par principe pousse plus+ à parler aux gamins et leur expliquer les choses que de leur gueuler dessus .... mais un de ces jours y en a bien un qui se lâchera ...
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Il y a des cons partout, et malheureusement il y a des branches où c'est plus gênant qu'ailleurs....
En général franline, les parents qui tabassent ne le font pas parce qu'il y a vraiment anguille sous roche, mais parce que ce sont des emmerdeurs finis qui n'admettent pas qu'on ne dise pas amen à leur progéniture.
Les autres comme tu dis, ben ils se retiennent le cas échéant.
En général franline, les parents qui tabassent ne le font pas parce qu'il y a vraiment anguille sous roche, mais parce que ce sont des emmerdeurs finis qui n'admettent pas qu'on ne dise pas amen à leur progéniture.
Les autres comme tu dis, ben ils se retiennent le cas échéant.
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Oui , pour la grande majorité ils se taisent même ! mais , le pire c'est que même en présence de parents ils ne se gênent pas pour hurler comme des putois sans raison particulières ; la dernière fois que j'y suis allée , j'ai patienté bien 15 minutes avant qu'un pion vienne me voir.... il venait de remballer quelques gamins dont un qui venait juste montrer son carnet de correspondance (donc suivre la règle) pour justifier d'une absence .... j'étais sidérée!...et je le lui ai dit ; il a moyennement apprécié mais a reconnu être stressé par le boulot (problème de gestion personnelle évidente ; considérer que tous les gosses sont des chieurs à mettre dans le même panier ne fait qu'empirer les rapports humains ...et donc limiter les violences éventuelles ; voir même accentuer l'agressivité ambiante et l'empirer et ensuite hurler qu'il n'y a pas assez de pions ....)
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
C'est peut-être aussi quelqu'un qui est au bout du rouleau, tout simplement.. C'est vrai que les gens comme ça peuvent devenir dangereux au contact des élèves, parce qu'il n'y a rien de pire que des adultes instables.
Invité- Invité
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
je ne doue pas un instant qu'il puisse exister des enseignants et des CPE imbuvables ( quelque soit l'excuse ) , cependant Franline , je doute que tu comprennes qu'un père dont la gamine a giflé la CPE ( et non l'inverse ) se précipite pour en rajouter une couche !
Mes enfants ont parfois eu affaire à des enseignants épouvantables , jamais nous n'aurions toléré qu'un des enfants les gifle .
Dans cette famille , semble t il , la violence est de mise , et si la fille s'est autorisée à giflée la CPE , c'est qu'elle savait que son père la soutenait !
Mes enfants ont parfois eu affaire à des enseignants épouvantables , jamais nous n'aurions toléré qu'un des enfants les gifle .
Dans cette famille , semble t il , la violence est de mise , et si la fille s'est autorisée à giflée la CPE , c'est qu'elle savait que son père la soutenait !
Re: violences à l'EN ou contre l'EN
Ouais et puis le paternel, vas y qu'il escalade la grille du collège et tout et tout. Une intrusion en bonne et dûe forme, avec l'explication qui va avec: il aurait cru sa fille en danger. Il se moque de qui?
Invité- Invité
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