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violences au quotidien

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Georges
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violences au quotidien - Page 6 Empty Re: violences au quotidien

Message  livaste Mar 25 Aoû - 7:59

Les policiers pris à partie dans la cité
L’interpellation d’un mineur a provoqué des heurts avec les forces de l’ordre hier après-midi aux Hautes-Noues. Deux habitants et trois policiers ont été légèrement blessés.
| RéagirJoffrey Vovos | 25.08.2009, 07h00



Quatre habitants de la cité des Hautes-Noues, à Villiers-sur-Marne, ont été arrêtés hier après-midi après des affrontements entre jeunes et forces de l’ordre. Les heurts ont commencé vers 14 heures, allée des Naïades, après l’interpellation d’un mineur recherché pour plusieurs affaires : vol à main armée, vol avec violence, incendie volontaire…
« Des jeunes se sont interposés et ont commencé à jeter toutes sortes de projectiles : des canettes, des poubelles, des morceaux de plâtre », raconte un policier envoyé en renfort.


Trois gardiens de la paix seront légèrement blessés. L’un d’entre eux a été coupé aux mains par des bris de verre. Très vite, une soixantaine de policiers protégés par des casques, des gilets pare-balles et des boucliers quadrillent le quartier sous l’oeil médusé des habitants. « Des descentes, il y en a souvent aux Hautes-Noues, mais jamais de cette ampleur », s’étonne un retraité. Commence alors un jeu du chat et de la souris qui va durer plus de deux heures.

« C’est vraiment un mec gentil »

Aux jets de projectiles, les policiers répliquent par des tirs de flash-balls. « Une mère de famille qui n’avait rien à voir avec cette histoire a été touchée à la jambe, ça a mis son fils hors de lui », raconte une vendeuse de la supérette voisine. Une balle en caoutchouc touchera un autre habitant. Afin de disperser les assaillants, les forces de l’ordre vont également utiliser des grenades lacrymogènes.
Des enfants qui participent à des activités sur l’esplanade de l’Escale, un centre socioculturel, sont mis à l’abri à l’intérieur du bâtiment. Vers 15 h 30, deux hommes sont emmenés menottés au poste situé à proximité, avant d’être conduits au commissariat de Chennevières. L’un d’eux est un ancien animateur de l’Escale âgé d’une vingtaine d’années. Quelques minutes plus tard, les policiers repartent dans les allées de cette cité HLM de 6 500 habitants. Ils reviendront au commissariat une demi-heure après avec deux autres jeunes.
« Celui-là, c’est vraiment un mec gentil », se désole la directrice de l’Escale, en voyant passer le premier. A 16 h 30, le calme est revenu. La vingtaine de véhicules de police quitte le quartier.
La cité devait faire l’objet d’une surveillance particulière hier soir pour éviter un nouvel embrasement dans la nuit.


Le Parisien
quant à l'animayeur qui s'est mêlé à ces évènements , quant à la directrice gauchiste qui le soutient , j'espère qu'ils seront poursuivis et virés !
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Message  livaste Ven 28 Aoû - 8:02

Délinquance - Ils jetaient des parpaings sur l'autoroute ... pour s'amuser



Deux jeunes ayant reconnu avoir jeté des objets sur des véhicules depuis les ponts surplombant l'A25 reliant Lille à Dunkerque faisant 15 victimes ont été écroués jeudi.

Alexandra GUILLET - le 27/08/2009 - 18h10
Mis à jour le 27/08/2009 - 18h21



Panneaux de signalisation, parpaing, barrière de sécurité : tout était bon. Au cours de leur garde-à-vue, les trois jeunes interpellés n'ont pas vraiment su donner d'explication à leurs gestes, parlant d'un "simple jeu" ... Entre les 5 et 14 août derniers, les CRS de l'autoroute A25, qui relie Lille à Dunkerque, enregistrent 9 plaintes de conducteurs qui disent avoir reçu un objet dans leur pare-brise, lancé depuis un pont, à hauteur de la commune de Bailleul. Parmi eux, une femme routière a reçu un parpaing de 19 kilos dans l'habitacle de son camion, la blessant grièvement au bras et tuant sur le coup le chiot qui dormait sur ses genoux. "Hormis cette dame, la plupart des 15 victimes n'ont pas été blessées mais toutes sont choquées voir traumatisées car elles ont vu la mort de près", commente auprès de LCI.fr Hervé Vlamynck, commissaire principal de la Sûreté départementale du Nord en charge de l'enquête.

Les faits se produisant toujours la nuit, à partir du 14 août les policiers décident d'organiser discrètement la surveillance des trois ponts de Bailleul qui traversent l'A25. Après 10 nuits de planque, le 24 août, ils repèrent enfin un véhicule qui s'arrête au milieu d'un des ponts. "Un homme est sorti, a jeté quelque chose sur l'autoroute avant de repartir à toute vitesse", poursuit le commissaire. En contrebas, un nouveau pare-brise a explosé.

Le numéro d'immatriculation de la voiture, relevé par les forces de l'ordre, permettra de remonter jusqu'à un jeune homme de 22 ans. En garde à vue, il dénoncera trois complices, dont l'un sera finalement innocenté. Un mineur de 17 ans a été déféré au parquet des mineurs de Dunkerque, puis remis en liberté. Les deux autres jeunes, tous deux majeurs, ont été écroués ce jeudi, en attendant d'être jugés le 19 septembre prochain. Poursuivis pour "violences volontaires avec arme en réunion et avec préméditation", ils encourent 10 ans d'emprisonnement. Aucun n'a été capable de donner une explication à son geste.

parmi eux 1 mineur agé de 17 ans , certes mais surtout 2 adultes !
Alors quant au titre déjà complaisant qui parle de " jeunes " !!!!
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Message  livaste Sam 26 Sep - 20:21

Deux jeunes tués par balles à Saint-Ouen
8 réactions | RéagirRahim Bellem (avec Stéphane Sellami) | 26.09.2009, 18h11 |


Deux jeunes ont perdu la vie samedi après-midi à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) au cours d'une fusillade qui s'est produite dans le quartier Arago vers 17 heures. La première victime serait décédée sur place. La seconde serait, elle, décédée à son arrivée à l'hôpital. Selon nos informations, les deux victimes seraient des amis d'enfance âgés respectivement de 27 et 25 ans.


La police est actuellement sur place et procède à des investigations. Un périmètre de sécurité a été dressé autour des lieux du drame.

D'après les premiers éléments de l'enquête, il pourrait s'agir d'un règlement de compte entre bandes lié à la drogue.

Selon plusieurs témoignages, la tension dans le quartier était particulièrement forte ces derniers jours.

On ne connait pas encore les circonstances de cette fusillade. Un drame similaire a eu lieu dans cette même commune le 13 juillet dernier, ce qui avait conduit la ville à annuler les festivités de la Fête Nationale.
leparisien.fr

encore un titre trompeur , ce ne sont pas des " jeunes " mais des truands !
A 25 et 27 ans , on est adultes , et de tous temps , les bandes rivales de truands se sont flinguées .
Il est connu que généralement , les truands ont une espérance de vie largement inférieure à l'espérance de vie moyenne .
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Message  livaste Jeu 1 Oct - 21:59

La police prise pour cible

ENQUETE.Quatre gardiens de la paix ont été visés à quatre reprises par des tirs de petit plomb et de mortier d'artifice sur les Hauts-de-Rouen, mardi soir.

La violence est montée d'un cran, mardi soir sur les Hauts-de-Rouen. Vers 20 h 15, alors qu'ils venaient simplement d'effectuer un contrôle d'identité rue Galilée et qu'ils s'apprêtaient à remonter dans leur véhicule, quatre gardiens de la paix de l'Unité territoriale de quartier (Uteq) ont essuyé un tir de mortier d'artifice. « Ils ont eu juste le temps de fermer les portières de la voiture, qui a également été caillassée », explique une source judiciaire.
Aucun blessé n'a été déploré à ce moment des faits. Mais moins d'une demi-heure après cette prise à partie, l'Uteq a de nouveau été visée alors qu'elle constatait un accident entre une voiture et un piéton. Cette fois, trois tirs de petit plomb ont touché le véhicule sérigraphié et un policier.

« Nous ne sommes pas la bande adverse »
« Il l'a reçu au niveau d'une jambe, mais il n'a pas été blessé : le projectile n'a pas transpercé son pantalon », affirme le Directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) de la Seine-Maritime, Didier Perroudon. « C'est un événement de violences urbaines comme il s'en produit, hélas, de temps en temps, déplore le contrôleur général, qui était sur les lieux dès mardi soir. Ces agressions sont graves. A chaque fois qu'on tire sur un policier, on attaque la République et la démocratie. Nous ne sommes pas la bande adverse, nous essayons simplement de faire appliquer la loi. »
Plus d'une vingtaine de renforts sont arrivés rue Galilée pour commencer les recherches. La situation est finalement rentrée dans l'ordre. Mais les syndicats s'avouent inquiets. Frédéric Desguerre, pour Unité police, rappelle une récente tentative d'incendie de leurs locaux. « Il est vital de rétablir un maillage policier qui seul pourra rétablir la paix. » Depuis l'installation de l'Uteq début juin, « les rodéos, par exemple, ont fortement diminué », précise le DDSP. Les outrages, les rébellions et les violences dont « sont victimes tous les jours ces policiers », insiste Rémi Chemin du syndicat Alliance, sont-ils le prix à payer pour redonner la tranquillité à laquelle les riverains des Hauts aspirent ? « Nous voulons une réponse judiciaire forte », martèle Rémi Chemin. D'ici à ce que les auteurs des tirs de mardi soient identifiés, l'Uteq sera renforcée dans ses patrouilles.
Jane Hitchcock


Cela devient tellement habituel que ces faits ne sont même plus repris par la presse nationale .
Quand je travaillais en Seine Maritime ,c'était déjà le secteur craignos ,où se passaient attaques du SAMU et des pompiers , et guets apens conte la police .
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Message  livaste Mer 21 Oct - 20:51

Le cambrioleur étranglé par sa victime était son élève
Flore Galaud (lefigaro.fr)
21/10/2009 | Mise à jour : 22:07 | Ajouter à ma sélection


L'homme étranglé lundi soir près de Montpellier par un professeur chez qui il s'était introduit serait en fait l'un de ses anciens élèves, furieux d'avoir été recalé à ses examens.

Un cambriolage qui n'a peut-être pas été commis par hasard. L'homme étranglé lundi soir près de Montpellier par un professeur dans la maison duquel il s'était introduit serait en réalité l'un de ses anciens élèves, venu se venger pour avoir été recalé à ses examens. L'information, révélée par le site internet du Midi Libre, a été confirmé par l'avocat du père de famille, qui a précisé que le professeur ne s'en était pas rendu compte au moment de l'agression.

Lundi soir, vers 23 heures, un jeune homme cagoulé, ganté et armé d'un pistolet s'introduit dans une maison d'un quartier résidentiel de Juvignac, dans l'Hérault. Il menace le père, maître de conférences en sociologie à l'université Paul Valéry de Montpellier -, sa femme et leur fils, âgé de 13 ans. Il les fait allonger par terre et les asperge d'essence. Il réclame de l'argent et menace de les brûler vif. Alors que l'agresseur frappe à coup de crosse la mère qui tente de se relever, le père réussit à le désarmer avant de l'étrangler en lui faisant une clef de bras. A leur arrivée, les policiers découvrent l'agresseur à terre, mort. Les premiers élèments de l'autopsie révèlent que le jeune homme n'est pas mort par strangulation mais suite à une compression du coeur, dû au fait que sa victime l'ait serré de toutes ses forces.

Le professeur mis en examen pour «homicide volontaire»
L'enseignant a été mis en examen pour «homicide volontaire» mais laissé en liberté sous contrôle judiciaire. Sa victime, âgée de 26 ans, avait déjà été condamnée à trois reprises, dont deux pour violences. Selon les premiers éléments de l'enquête, le jeune homme souffrait par ailleurs de troubles psychiatriques.

«C'est un cas d'école de légitime défense», explique l'avocat de la famille, Me Jean-Robert Phung. «La thèse du cambriolage qui a mal tourné n'est pas soutenable, on ne vient pas cambrioler quelqu'un avec trois litres d'essence dans son sac», a-t-il poursuivi. «Mon client a dit aux enquêteurs qu'il n'avait absolument pas reconnu qui que ce soit, mais que si cela devait lui rappeler quelqu'un, ce serait vaguement un étudiant de (l'université) Paul-Valéry». Le professeur aurait notamment raconté aux enquêteurs se souvenir d'un étudiant venu le voir en décembre dernier pour une mauvaise note en sociologie, qui risquait de l'empêcher d'avoir son diplôme. L'enseignant aurait alors refusé de lui changer sa note, et, selon lui, l'étudiant serait reparti dans le calme.

on aurait pu avoir le même fait divers , mis avec pour victimes , le prof et sa famille , ligotés et brûlés .
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Message  livaste Jeu 26 Nov - 16:23

Agression : grève de tous les inspecteurs du permis de conduire dans le 93

1 réaction | Réagir 26.11.2009, 15h48 | Mise à jour : 15h48



Pour protester contre l'agression de l'un des leurs par un candidat, la totalité des inspecteurs du permis de conduire de la Seine-Saint-Denis a cessé de travailler jeudi. La victime, «agressée verbalement et physiquement» mercredi à Noisy-le-Grand, a une incapacité totale de travail (ITT) de deux jours, selon le syndicat FO.

«L'examen n'a pu être mené à son terme car le candidat n'avait pas le niveau.

Mais quand l'inspecteur a arrêté le véhicule pour demander au moniteur de le ramener au centre d'examen, le candidat a pété un plomb, a donné un coup de poing à l'inspecteur et l'a insulté», a indiqué Laurent Le Floch, secrétaire général adjoint du Syndicat national des inspecteurs cadres et administratifs (Snica-FO).
«A chaque fois qu'un candidat au permis de conduire manifestera une attitude agressive contre un inspecteur du permis de conduire, les inspecteurs arrêteront le travail», assure le syndicat dans un communiqué. Selon la préfecture de Seine-Saint-Denis, la direction départementale de l'équipement (DDE) s'apprête à porter plainte après cette agression. La DDE a reçu jeudi en milieu de journée les organisations syndicales et l'inspecteur victime de l'agression. Les inspecteurs devraient «a priori» reprendre le travail vendredi, selon la préfecture.


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Message  livaste Jeu 24 Déc - 14:39

Blessés à coups de couteau par une bande de Sarcelles
Un adolescent de 17 ans de Villiers-le-Bel a été grièvement blessé mercredi sous un abribus par des jeunes de Sarcelles. Un de ses amis, 15 ans, l'a été plus légèrement. Les raisons de l’agression seraient liées à sa présence dans cette ville.
13 réactions | Réagir Frédéric Naizot | 24.12.2009, 07h00






Un jeune de Villiers-le-Bel (Val-d’Oise) âgé de 17 ans, frappé d’un coup de couteau dans la région du coeur à Sarcelles, a été hospitalisé dans un état grave mercredi après-midi. Des regards de travers, une simple question de territoire seraient à l’origine de cette agression. Il était près de 15 heures.

La rue principale de Sarcelles-Village est particulièrement animée. Les commerces sont ouverts. Des voyageurs attendent leur bus à l’arrêt situé devant le Saint-Rosaire, un établissement secondaire privé. Parmi eux, deux jeunes de Villiers-le-Bel, âgés de 15 et 17 ans, sont repérés par les passagers d’un bus pour qui leur présence à Sarcelles n’est visiblement pas tolérée.
Crainte de représailles

D’après les premiers éléments, les occupants du bus auraient alors fait stopper le véhicule un peu plus loin afin de rejoindre l’arrêt du Saint-Rosaire. La confrontation, telle qu’elle a pu être retracée grâce aux témoignages, est rapide. « Qu’est-ce que vous foutez là ? D’où vous venez ? », auraient lancé les jeunes issus du quartier voisin des Rosiers. « Ici, c’est chez nous ! » Ils sont une dizaine à entourer les deux jeunes de Villiers-le-Bel. L’un d’eux sort un couteau et frappe la plus âgée des deux victimes. Son copain de 15 ans, qui a tenté de s’interposer, est aussi blessé mais plus légèrement, à une main.

« Une femme était à côté des jeunes, raconte un témoin. Elle a hurlé : Arrêtez ! Arrêtez ! Vous êtes plus nombreux que lui… » Les agresseurs ont pris la fuite, laissant les blessés sur place. « J’ai vu le jeune par terre. Il y avait beaucoup de sang », rapporte un autre témoin. « Les gens sont venus pour lui porter secours. Une personne lui tenait la tête. Une autre appuyait avec ses mains sur sa poitrine. »

Devant la gravité de la blessure de la victime, les pompiers ont décidé de l’évacuer par hélicoptère sur l’hôpital du Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine). Hier soir, l’établissement faisait savoir que le blessé pourrait être hors de danger. L’autre adolescent a été hospitalisé à Gonesse.

Les premières investigations menées par les policiers de la sûreté départementale confirmaient l’absence de différends entre les jeunes des Rosiers et ceux du Puits-la-Marlière, à Villiers-le-Bel, dont sont originaires les victimes. La crainte de voir des jeunes de Villiers-le-Bel mener une opération de représailles dans le secteur a mobilisé en soirée les forces de l’ordre, dont la nouvelle compagnie de sécurisation, mise en place dans le Val-d’Oise en octobre, pour lutter contre les violences urbaines. A 21 heures, le secteur restait calme. « On veille à ce que cela ne se transforme pas en affrontement », confiait Didier Vaillant, le maire PS de Villiers-le-Bel. « Nous allons sécuriser les lieux publics », répondait le député-maire PS de Sarcelles, François Pupponi, qui a décidé de fermer aujourd’hui, « par précaution », le centre social des Rosiers. « Nous envisageons aussi d’annuler des manifestations à venir », indiquait-il hier soir.

Le Parisien

et moi qui croyait naïvement que la Constitution garantissait la liberté de circulation et donc celle d'aller où bon nous semble !
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