Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
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Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Pour Ségolène Royal, la bataille continue
25.11.08 | 21h38
Elizabeth Pineau et Laure Bretton, édité par Yves Clarisse
une façon de refuser sa défaite en montrant qu'elle est le chef !
Martine Aubry a quelques soucis à se faire !!
25.11.08 | 21h38
PARIS (Reuters) - Ségolène Royal a déclaré vouloir continuer la bataille de la rénovation au sein du Parti socialiste, malgré sa défaite face à Martine Aubry pour le poste de premier secrétaire.
Dans une courte allocution devant la presse au terme d'un Conseil national du PS qui a entériné la victoire de la maire de Lille, l'ancienne candidate à l'élection présidentielle a appelé au rassemblement, sans prononcer une seule fois le nom de sa rivale.
"Nous avons mené une très belle bataille pour la transformation du Parti socialiste et cette bataille continue", a-t-elle déclaré, entourée ses plus proches soutiens, dont le député européen Vincent Peillon et le député-maire d'Evry (Essonne), Manuel Valls.
La présidente de la région Poitou-Charentes n'a pas réitéré sa demande d'organisation d'un nouveau vote des militants, même si elle a dit à plusieurs reprises avoir le sentiment d'avoir "réussi à convaincre la moitié, et peut-être un peu plus" du PS.
Ses proches ont annoncé leur intention de saisir la justice contre la décision des instances du PS de valider l'élection de Martine Aubry, réclamant un nouveau vote dans les sections qui posent problème.
Selon le décompte de la "commission de récolement" du PS, l'ancienne ministre de l'Emploi l'a emporté avec 102 voix d'avance, sur plus de 134.000 suffrages exprimés.
Aux yeux de Ségolène Royal, "ce débat et ce moment démocratique" de ces derniers jours prouvent "la vitalité" du Parti.
"Non, ce n'était pas un débat de personnes. C'était une vraie différence sur la conception du Parti socialiste", a-t-elle souligné.
"Nous avons réussi cet exploit de convaincre la moitié, et peut-être un peu plus, du Parti socialiste, en ayant la totalité de l'ancien appareil du Parti socialiste contre nous", a-t-elle fait remarquer.
"L'HEURE EST À L'UNITÉ ET AU RASSEMBLEMENT"
"Aujourd'hui l'heure est à l'unité et au rassemblement et je voudrais vous dire que toute notre énergie, nous allons la mettre pour continuer à aider le Parti socialiste à se transformer".
Ségolène Royal s'est adressée aux déçus de son camp, qu'elle a invités à rester au PS. "Je leur dis 'restez-y car le Parti socialiste a besoin de vous'".
"Et à ceux qui ne sont pas au Parti socialiste, je dis 'venez, le Parti socialiste a besoin de vous pour assurer sa transformation'", a-t-elle insisté.
Ségolène Royal, qui n'avait jamais prononcé le mot 'défaite' dans les semaines suivant la victoire de Nicolas Sarkozy le 6 mai 2007, a prévenu qu'elle saurait se montrer critique à l'égard de la nouvelle direction du PS.
"Nous vous dirons dans les semaines qui viennent comment nous allons nous organiser pour apporter au Parti socialiste et donc à la nouvelle direction du Parti socialiste toute notre énergie", a-t-elle annoncé.
"Chaque fois que la direction du Parti socialiste prendra des décisions qui iront dans le sens de ce que nous avons défendu devant les militants, nous la soutiendrons. Chaque fois qu'elle n'ira pas dans ce sens, nous essaierons de la convaincre", a ajouté Ségolène Royal.
Une détermination confirmée par Manuel Valls, l'un de ses principaux lieutenants.
"Personne n'arrêtera ce mouvement de rénovation. Plus que jamais, après ce que j'ai vu ce soir, le Parti socialiste a besoin qu'on porte cette rénovation", a-t-il dit à la presse.
"Quand on fait 29, 43 et puis 50%, on n'a pas perdu", a renchéri Malek Boutih, secrétaire national du Parti socialiste chargé des questions de société, en allusion aux scores de Royal lors des trois votes successifs au PS ayant abouti à la désignation du premier secrétaire.
Elizabeth Pineau et Laure Bretton, édité par Yves Clarisse
une façon de refuser sa défaite en montrant qu'elle est le chef !
Martine Aubry a quelques soucis à se faire !!
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
A ce stade, c'est de l'acharnement thérapeutique. Il faut euthanasier le PS
Invité- Invité
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Aurélie a écrit:A ce stade, c'est de l'acharnement thérapeutique. Il faut euthanasier le PS
SR risque de péter un câble ! dans sa tête rien de changer ! elle devrait créer son propre parti .
janopatte- Militant
- Nombre de messages : 227
Date d'inscription : 11/09/2008
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Mais non, qu'elle y reste, qu'ils réussissent à ridiculiser encore le parti pendant quatre ans et la claque des prochaines présidentielles sera fatale, et on sera débarrassé de la mascarade socdèm.
Invité- Invité
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Bayrou prendra la relève de la sociale-démocratie ....les rescapés les plus a droite du PS iront s'y réfugier ....!!
certains disparaitront comme fabius , mélenchon , emanuelli ,.....
en attendant les deux rivales ne sont même pas élue député .... comment faire vivre l'assemblée ???
certains disparaitront comme fabius , mélenchon , emanuelli ,.....
en attendant les deux rivales ne sont même pas élue député .... comment faire vivre l'assemblée ???
Invité- Invité
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Bayrou a au moins l'honnêteté de ne pas se réclamer de gauche.
Invité- Invité
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
C'est tout à fait juste.
Octave- Maire
- Nombre de messages : 975
Age : 101
Date d'inscription : 12/06/2008
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
J'ai lu ce matin que les royalistes sont divisés entre eux quant à la marche à suivre, c'est un sketch.
Invité- Invité
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
J'ai entendu cela aussi , ils vont eux mêmes faire des sous groupes de sous groupes !
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Royal, déjà candidate pour 2012 ?
Source : Lefigaro.fr
26/11/2008 | Mise à jour : 09:36 | Commentaires 7 .
c'est déjà l'annonce de sa candidature !
Source : Lefigaro.fr
26/11/2008 | Mise à jour : 09:36 | Commentaires 7 .
c'est déjà l'annonce de sa candidature !
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Enquête sur le cas Royal
Par Eric Mandonnet, publié le 26/11/2008 12:12 - mis à jour le 26/11/2008 14:55
Jacques Demarthon/AFP
25 novembre. Candidate déçue au poste de premier secrétaire du Parti socialiste, Ségolène Royal pose devant les photographes à la mutualité de Paris, quelques minutes après l'annonce définitive de la victoire de Martine Aubry.
Par Eric Mandonnet, publié le 26/11/2008 12:12 - mis à jour le 26/11/2008 14:55
Jacques Demarthon/AFP
25 novembre. Candidate déçue au poste de premier secrétaire du Parti socialiste, Ségolène Royal pose devant les photographes à la mutualité de Paris, quelques minutes après l'annonce définitive de la victoire de Martine Aubry.
- »
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Certains l'adulent, d'autres la détestent. Même au PS? Surtout au PS ! Du coup, c'est le parti tout entier qui semble guetté par la paralysie. Alors que l'ex-candidate à la présidentielle continue de bénéficier d'une forte cote parmi les militants, Martine Aubry est bien décidée à l'empêcher d'aller plus loin.
C'est une scène que les caméras de Canal+ ont volée pour un documentaire intitulé La Bataille de Solferino. A quelques semaines du congrès, Martine Aubry réunit son état-major. L'un des élus qui la soutient se moque du "Frigidaire" évoqué par Ségolène Royal pour expliquer qu'elle met, pendant un temps, ses ambitions de côté. Aussitôt, la maire de Lille saisit la balle au bond et chuchote à son voisin de table: "Faut pas sortir givré... Regarde Ségolène !" Le bon mot avait le mérite de la sincérité. Pendant la chaleur de l'été, déjà, elle confiait qu'elle souhaitait travailler avec tout le monde à l'intérieur du PS, sauf avec l'ex-candidate du parti à l'élection présidentielle.
Pour elle, pour beaucoup de socialistes, pour les Français aussi, Ségolène Royal reste un cas. Sur le chemin initiatique qui conduit au champ de bataille élyséen, elle a repris son bâton de pèlerin ; mais ses "camarades" l'accusent plutôt de se promener avec un goupillon à la main. Jusqu'où ira-t-elle? Des derniers épisodes émerge une seule certitude: elle est prête à tout. A passer pour une victime, selon la posture qu'elle adopte souvent, et plus encore depuis le scrutin controversé du 21 novembre. A assumer son statut d'intruse, que lui confère une partie des socialistes: ceux-là ne la reconnaîtront jamais comme l'une des leurs.
La tricherie parmi les "us et coutumes" du PS?
Cela justifie-t-il que Martine Aubry ne lui ait pas même tendu la main, pendant sa déclaration du samedi 22, prononcée alors que les résultats définitifs n'étaient pas connus? Une déclaration triplement ratée. Dans son timing - en pleine controverse, elle est perçue comme un moyen de passer en force pour préempter la victoire; dans son contenu - à l'entendre, on aurait pu croire qu'elle avait gagné avec une confortable majorité ; dans sa forme - un sous-sol de l'Assemblée nationale, avec refus de répondre à toute question. Bienvenue dans le passé.
Après le congrès de Reims. Ce qui menace le parti, c'est moins la scission que la confusion permanente.
A l'issue de mois entiers passés à débattre, au moins n'est-il plus possible d'affirmer que les socialistes ne sont d'accord sur rien. Un point suscite désormais leur unanimité, à écouter les propos des uns et des autres après l'élection du premier secrétaire, des porte-flingues de Ségolène Royal comme de ceux de Martine Aubry: à l'échelon local, la magouille est une pratique répandue, sinon fréquente, dans le parti.
Qu'il s'agisse simplement de votes d'"obligés", qu'une section soit monocolore au point de rendre tout contrôle superfétatoire, ou que des tentatives de fraude soient avérées. "Des us et coutumes", observait pudiquement Pierre Moscovici, le 24 novembre, sur RTL, tandis que Bertrand Delanoë se disait "assez fier d'appartenir à une fédération où il n'y a pas une voix contestée" - à croire que c'est l'exception qui confirme la règle. On pensait la parole donnée aux militants. Ce sont les juges qui auront, peut-être, le dernier mot. Bienvenue dans le passé.
La rénovation du PS qui était annoncée et promise quel que soit le vainqueur commence par un sacré coup de vieux. Un jour viendra sans doute où le PS entrera dans le xxie siècle. Ce jour-là, les fameuses nuits de "commission des résolutions", qui animent la fin des congrès, disparaîtront: les socialistes y verront alors plus clair, et d'abord sur eux-mêmes. Le combat idéologique, celui qui ne se règle pas autour d'une table entre 2 et 3 heures du matin, à l'abri des regards, reprendra ses droits.
Difficiles échéances à venir
Et les vraies questions resurgiront, plutôt que les subterfuges. Le psychodrame autour du MoDem en fut le meilleur - le pire - exemple. Si l'envie regagne les socialistes de remporter l'élection présidentielle, il leur faudra rassembler la gauche dans un premier temps. En 1995, en 2002, en 2007, cela leur rapporta, au maximum, 37 % des voix. Pour atteindre les 50 %, ils devront tenter de conquérir les voix centristes - seule la nature du contrat à rédiger pour y parvenir mérite débat, selon que l'on passe par les appareils ou qu'on les contourne.
L'urgence est tout autre, qui consiste à éviter que chacun des deux camps ne souligne l'illégitimité de l'autre. Car ce n'est pas tant la scission qui menace le PS que la confusion permanente. "Le scénario le plus probable est celui du pourrissement: un bloc va attendre la déconfiture de l'autre", prévient un hiérarque de la Rue de Solferino. Coupé en deux mathématiquement, le parti paraît aussi coupé verticalement - plus on monte de la base vers le sommet, plus l'anti-royalisme se développe.
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
La présidente de la région Poitou-Charentes peut se targuer d'avoir rassemblé 50 % des militants sur son nom, quand Martine Aubry risque d'apparaître comme un éléphant encerclé par d'autres éléphants.
Le baromètre BVA-Orange-L'Express, réalisé au lendemain du vote interne, montre que Ségolène Royal est redevenue, pour les sympathisants socialistes, la personnalité préférée pour la prochaine présidentielle. Mais la maire de Lille sera la première à faire rempart à sa candidature.
Lorsque les socialistes perdront de vue leurs nombrils, leurs regards seront attirés par deux échéances électorales. Il est déjà arrivé, dans le passé, que les européennes leur coûtent cher: en 1994, un chef en même temps qu'un candidat à la présidentielle (Michel Rocard, à la tête d'une liste qui obtint moins de 15 %). La référence de 2004 ne les aidera pas: il y a quatre ans, ils triomphèrent avec près de 29 % des suffrages et 31 élus. Au rendez-vous de juin 2009 succéderont les régionales de mars 2010. Il leur sera difficile d'améliorer leur performance de 2004, puisqu'ils remportèrent 20 des 22 régions métropolitaines. D'où une quasi-certitude: ils n'éviteront pas un recul.
Les crises sont constitutives de l'histoire de la gauche. "Les socialistes sont loin d'être morts: de 1990 à 1995, on a connu cinq premiers secrétaires et, en 1997, on a gagné ", relevait, le 24 novembre, l'un des lieutenants de Martine Aubry, François Lamy. Sauf que cette victoire-là, la dernière remportée nationalement, fut d'abord le fruit du hasard ou de la chance - une dissolution de l'Assemblée nationale décidée par Jacques Chirac. Jusqu'à présent, Nicolas Sarkozy a plutôt cherché à enfoncer le PS qu'à le sauver. Le salut des socialistes ne viendra que d'eux-mêmes. Bienvenue dans le futur.
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
J'ai adoré ce papier ( un peu de mauvaise foi , quoique ..)
Publié le 26/11/2008 à 19:13 - Modifié le 26/11/2008 à 20:46 Le Point.fr
La grande peur de Royal
Par Michel Richard
L'indignation de Ségolène Royal n'était qu'un investissement visant à démontrer qu'elle était et restait victime du PS.
Excellent !!!
Publié le 26/11/2008 à 19:13 - Modifié le 26/11/2008 à 20:46 Le Point.fr
La grande peur de Royal
Par Michel Richard
L'indignation de Ségolène Royal n'était qu'un investissement visant à démontrer qu'elle était et restait victime du PS.
Ségolène Royal a eu chaud, et peur. Très chaud et très peur. Elle a failli gagner : autant dire perdre. Voilà ce que c'est de trop bien ourdir des complots, au petit poil près. Le scénario était plutôt simple : l'emporter au vote des motions, puis devancer tout le monde au premier tour de désignation du premier secrétaire, enfin déjouer les reports arithmétiques, franchement défavorables, du deuxième tour, manière de montrer l'irrésistible dynamique de sa popularité, mais attention, pas trop, pas au point de gagner ! Il s'en est fallu de peu : 42 voix. C'était si peu qu'il a fallu gronder, protester, crier à la tricherie, menacer de procédures judiciaires, exiger que l'on revote : c'était bien le moins pour une candidate voulant convaincre ses électeurs et la terre entière de sa farouche volonté de gagner.
Mais Ségolène Royal connaît bien son parti. Elle se doutait bien qu'il s'en tiendrait au premier résultat, fût-il contesté. Son indignation n'était qu'un investissement visant à démontrer qu'elle était et restait victime du PS, ce parti de vieux et de tricheurs. Ramasser la mise, mais surtout pas la mouise que sera le poste ingrat et laborieux de premier secrétaire. Elle n'est pas faite pour ça : les structures l'ennuient, les conflits entre fédérations la fatiguent, les réunions l'assomment. Et puis la croit-on assez folle pour vouloir conduire un parti à qui l'on promet de se vautrer dans quelques mois aux européennes ?
Elle restera maître chez elle, dans sa petite entreprise, Désirs d'avenir, dont elle fera un PS bis à sa main. Elle jouera le contre-pouvoir à Martine Aubry autant qu'à Nicolas Sarkozy. Le magistère de la parole, c'est pas si mal : pouvoir discourir à son gré, et même, ça lui arrive, disjoncter comme une grande. Être présidentiable, en somme.
Excellent !!!
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
franline a écrit:Bayrou prendra la relève de la sociale-démocratie ....les rescapés les plus a droite du PS iront s'y réfugier ....!!
certains disparaitront comme fabius , mélenchon , emanuelli ,.....
en attendant les deux rivales ne sont même pas élue député .... comment faire vivre l'assemblée ???
Du calme ... Dominique De Villepin était-il député ? Avait-il un mandat électif ? Non ... et pourtant il a été premier ministre et soutenu par l'UMP !
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Oui mais c'était Dominique aussi... (oooooooh, James.... !)
Octave- Maire
- Nombre de messages : 975
Age : 101
Date d'inscription : 12/06/2008
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Très marrant le trollage !
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Trollage en-deçà, humour au-delà: reste de ton côté de la frontière.
Octave- Maire
- Nombre de messages : 975
Age : 101
Date d'inscription : 12/06/2008
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Jean-Claude a écrit:franline a écrit:Bayrou prendra la relève de la sociale-démocratie ....les rescapés les plus a droite du PS iront s'y réfugier ....!!
certains disparaitront comme fabius , mélenchon , emanuelli ,.....
en attendant les deux rivales ne sont même pas élue député .... comment faire vivre l'assemblée ???
Du calme ... Dominique De Villepin était-il député ? Avait-il un mandat électif ? Non ... et pourtant il a été premier ministre et soutenu par l'UMP !
exact !! il n'avait strictement rien a foutre a Matignon !!! jamais élu !!!c'est le comble dans une démocratie !!!!!
Invité- Invité
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
C'est la constitution qui autorise n'importe quel quidam à devenir ministre !
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
Dominique était tellement au-dessus de tout ça...
Octave- Maire
- Nombre de messages : 975
Age : 101
Date d'inscription : 12/06/2008
Re: Quant à royal , elle se comporte comme si elle était le chef
franline a écrit:Jean-Claude a écrit:franline a écrit:Bayrou prendra la relève de la sociale-démocratie ....les rescapés les plus a droite du PS iront s'y réfugier ....!!
certains disparaitront comme fabius , mélenchon , emanuelli ,.....
en attendant les deux rivales ne sont même pas élue député .... comment faire vivre l'assemblée ???
Du calme ... Dominique De Villepin était-il député ? Avait-il un mandat électif ? Non ... et pourtant il a été premier ministre et soutenu par l'UMP !
exact !! il n'avait strictement rien a foutre a Matignon !!! jamais élu !!!c'est le comble dans une démocratie !!!!!
Ma chère Franline , selon la constitution c'est le Président de la République qui désigne son premier ministre et rien ne l'oblige à le recruter si j'ose dire parmi les députés ou les sénateurs pour ne citer que ces élus du peuple !
Domnique De Villepin faisait aussi bien Que Fillon actuellement si j'en juge les résultats peu enthousiasmants pour l'avenir !
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
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