et aujourd'hui , les boulets sont ..

L'héritière de BMW, la plus riche femme d'Allemagne, s'était toujours tenue à une stricte règle de conduite, propre à toutes les grandes familles outre-Rhin : la discrétion. S'abstenant souvent de siéger dans les conseils d'administrations des grands groupes industriels dont elle détient des actions, elle préfère tirer les ficelles dans les coulisses. Mais, depuis plusieurs semaines, ses mésaventures sentimentales s'étalent à la une de tous les tabloïds allemands. Car Susanne Klatten a été victime d'un gigolo, passé maître chanteur.

Vendredi, l'ensemble de la presse allemande publiait des extraits de la déposition de la riche blonde aux yeux bleus, pour le moins embarrassants. Selon ces documents, elle aurait été victime de chantage de la part de son amant qui a filmé, à son insu, leurs ébats dans des chambres d'hôtel avant de réclamer 290 millions d'euros pour son silence.

En septembre 2007, elle aurait remis volontairement un carton contenant sept millions d'euros en coupures de deux cents à Sgarbi dans un parking d'hôtel. Son amant lui avait fait croire qu'un clan de la mafia sicilienne à New York lui réclamait dix millions d'euros de réparation, pour avoir fait des avances à l'une des filles de la famille. Il aurait prétendu n'avoir en sa possession que trois millions et aurait réclamé l'aide de Klatten, pour payer le reste.

Héritière de la famille Quandt, Susanne Klatten - une femme mariée de 46 ans, mère de trois enfants -, avait rencontré son amant suisse, Helg Sgarbi, de trois ans son cadet dans un bar d'hôtel en juillet 2007. Sgarbi aurait prétendu qu'il parlait plusieurs langues et faisait office d'émissaire spécial pour les zones de guerre. En réalité, il était un simple vendeur de poulets dans un établissement de restauration rapide. En janvier 2008, Klatten, qui possède 12 % du capital de BMW et qui contrôle aussi le groupe de chimie Altana, s'est résolue à porter plainte pour escroquerie à Munich devant les exigences financières de plus en plus élevées de son ancien amant.


En détention provisoire

Selon la presse allemande, Sgarbi, qui était à la tête d'un réseau européen de maîtres chanteurs, se trouve en détention provisoire depuis quelques semaines en Allemagne. Les noms de ses victimes - toutes des femmes mariées fortunées ou des veuves millionnaires avec qui il a entretenu des liaisons, dont une octogénaire - alimentent chaque jour la presse à scandale. Dans sa déposition, Klatten aurait affirmé que son amant la poussait à quitter son mari, parce qu'il disait vouloir entretenir avec elle une « relation stable et durable ». Klatten a tout avoué à son mari, fin septembre 2007, lorsque ce dernier lui a fait part de ses soupçons.

C'est alors que Sgarbi s'est mué en maître chanteur, envoyant une enveloppe contenant des photographies prises lors de leur première nuit à l'hôtel et réclamant une rançon. Klatten dit avoir réalisé alors que ses intentions étaient criminelles dès le départ. Et que son seul but avait été de lui sous-tirer de l'argent. La famille Quandt est également connue pour ses liens avec le régime nazi. L'héritière de BMW « pèse » aujourd'hui près de 10 milliards de dollars, selon l'estimation de la revue Forbes, ce qui la classe au 68e rang du palmarès des plus grandes fortunes de la planète.

Un Norvégien de 24 ans a comparu aujourd'hui devant un tribunal en vue de son placement en détention provisoire après avoir été contrôlé au volant d'un véhicule sans permis de conduire à 61 reprises, a rapporté un journal norvégien sur son site Internet.
"On lui aurait bien confisqué sa voiture s'il en avait une mais le problème, c'est qu'il emprunte les voitures des autres", a déclaré Svein Noeklegaard, chef de la police de Skien (sud), au journal local Varden.
"La dernière fois, il conduisait de surcroît avec des fausses plaques d'immatriculation", a-t-il ajouté.
L'entêtement du jeune homme lui a déjà valu 12 condamnations en justice.
"Il a été remis en liberté en octobre après avoir purgé sa dernière peine mais il a déjà réussi à être contrôlé sans permis à quatre reprises depuis", a précisé le policier.

L'acteur belge Benoît Poelvoorde, qui a percuté dimanche soir des voitures à l'arrêt à Namur (sud de la Belgique), a été transféré dans un service hospitalier psychiatrique, a indiqué lundi le parquet de Namur.

Après avoir embouti trois voitures en stationnement derrière le casino de Namur, l'acteur de 44 ans a été interrogé par la police, a précisé une source du parquet à l'AFP, confirmant des informations diffusées par la chaîne de télévision RTL-TVI.



Selon le parquet, «il n'était pas en état de conduire, d'une grande nervosité, sous l'influence de substances non identifiées».

Benoît Poelvoorde a demandé lui-même à être transféré dans l'unité psychiatrique de l'hôpital de Namur, sa ville natale.

Au mois d'avril, il avait été condamné par un tribunal de Namur pour conduite en état d'ébriété, après avoir percuté en 2007 la façade d'une maison avec son véhicule 4x4.

Un test d'alcoolémie avait révélé que l'interprête de Brutus dans «Astérix aux jeux Olympiques» présentait un taux de 1,42 gramme d'alcool par litre de sang, alors qu'en Belgique le taux toléré est de 0,5 gramme.

Pour sa défense, M. Poelvoorde avait produit un certificat médical attestant qu'il avait pris des anxiolytiques, parce qu'il traversait, de son propre aveu, une profonde dépression.

Le cadavre d'un milliardaire allemand décédé en 2006, a été dérobé dans la tombeau où il reposait à Velden, dans le sud de l'Autriche.

Les malfaiteurs ont déplacé la pierre tombale pesant 100 kilos et emporté le corps du défunt, Friedrich Karl Flick. Les enquêteurs n'excluent pas une tentative d'extorsion de fonds.



Industriel dont le père avait fait fortune sous le IIIe Reich, Friedrich Karl Flick, né en 1927, avait vendu en 1985 son empire pour l'équivalent de 2,76 milliards d'euro et s'était installé sur les rives du Wörtersee, la «Riviera» autrichienne.

En 1991, des ravisseurs avaient kidnappé le frère de son épouse, une Autrichienne, et avaient réclamé une rançon représentant 5 millions d'euros. L'homme avait pu être libéré par la police.

Un jeune de 15 ans a été placé en garde à vue ce matin au commissariat de Pontault-Combault (Seine-et-Marne). Vers 11 heures, à l'heure de la récréation, cet élève du collège Condorcet a lancé une bouteille contenant de l'acide en direction d'un groupe de six élèves. Si la plupart ont eu leurs vêtements endommagés, l'un d'eux a quand-même recu des projections au niveau du visage, mais heureusement, il a été protégé par ses lunettes.

Interrogé, il a expliqué avoir voulu tester la formule trouvée sur internet.

Bridée à 50km/h, mais contrôlée à 127 km/h dans des lieux inconnus de son propriétaire : une voiturette bretonne crée bien des soucis à son conducteur, paisible retraité de 70 ans.
L'explication pourrait provenir de l'utilisation de fausses plaques par un autre véhicule. En attendant, le légitime propriétaire de la voiturette baladeuse a dû payer une amende.



L'information, révélée par le quotidien Ouest-France, a été confirmée par le principal intéressé : un conducteur de voiturette âgé de 70 ans a reçu une amende pour avoir roulé à 127 km/h dans son véhicule, pourtant bridé à 50 km/h.

Après avoir reçu un premier procès verbal pour cet excès enregistré au mois de septembre, le septuagénaire a été verbalisé une deuxième fois en octobre, puis une troisième fois en novembre.

Les gendarmes expliquent... qu'ils ne peuvent rien faire

A chaque fois, l'infraction a été relevée sur des itinéraires qu'il n'emprunte jamais, le premier excès étant constaté sur une quatre voies entre Lorient (Morbihan) et Quimper, bien loin de son domicile de Perros-Guirrec, dans les Côtes d'Armor. L'homme qui n'utilise sa voiturette que pour aller chez son kiné à 1,5 km de chez lui s'est vu expliquer qu'une usurpation de plaques pourrait être à l'origine de sa mésaventure.

Mais lorsqu'il a voulu porter plainte, une autre mauvaise surprise l'attendait : les gendarmes ont expliqué au contrevenant supposé "qu'ils ne pouvaient rien faire car tout est informatisé". L'homme a dû payer la première amende, en se faisant promettre le remboursement.

Bérégovoy ne s'est pas suicidé...
Bertrand ne croit pas au suicide de Pierre Bérégovoy. Le rapport de trente-deux pages de l'un de ses lieutenants, intitulé Autopsie d'un crime d'État, contre-enquête , diffuse dans les médias une thèse loufoque. L'ancien Premier ministre socialiste aurait été assassiné par des "services très spéciaux".

Yvan Colonna a négocié sa reddition...
Selon Bertrand, l'arrestation de Colonna en juillet 2003 aurait été négociée par le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy. Dans les carnets, le berger corse en cavale est un globe-trotter. Tour à tour, Bertrand note : "Y. Colonna en transit entre Saint-Domingue et Costa Rica", "Venezuela, île Margarita"... Il le voit même à la sortie d'une pizzeria à Périgueux.

Maternelle de Neuilly : une fausse prise d'otages...
Et si la prise d'otages de la maternelle de Neuilly était un coup monté ? C'est un affidé d'YB qui l'affirme à l'éditeur Guy Birenbaum. D'après cette thèse ­loufoque, le preneur d'otages aurait été récupéré dans un hôpital psychiatrique par le clan Sarkozy pour faire briller son chef...

L'explosion de l'usine AZF était un attentat...
"Toulouse. Aff va monter en puissance. 1 Maghrébin 5 slips, groupe islamiste." C'est ce qu'écrit Bertrand dans ses ­carnets, dix jours après l'explosion de l'usine AZF à Toulouse. Il fait référence à une note des RG sur un prétendu ­kamikaze qui se serait protégé les parties génitales pour monter "entier" au paradis.