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Éric Woerth : «Moi aussi, j'ai été livré aux chiens»

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Éric Woerth : «Moi aussi, j'ai été livré aux chiens»  Empty Éric Woerth : «Moi aussi, j'ai été livré aux chiens»

Message  livaste Mar 10 Mai - 21:00

Éric Woerth : «Moi aussi, j'ai été livré aux chiens»


Par Anne Rovan

10/05/2011 | Mise à jour : 22:05

L'ancien ministredu Travail explique que ce livrelui donne « le tempsde s'expliquer clairement et précisément sur les faits ».

I
NTERVIEW - Six mois après son départ du gouvernement, l'ex-ministre publie demain Dans la tourmente, un livre sur les polémiques dont il a été la cible.

LE FIGARO. - Pourquoi ce livre ?

Éric WOERTH. - Beaucoup de gens ont oublié. Moi, je vis toujours avec les polémiques. Si je suis sorti du gouvernement après la réforme des retraites, c'est à cause des attaques que j'ai subies pendant six mois. Mon objectif n'est pas de relancer les polémiques, de régler des comptes, de me plaindre ou d'interférer avec la justice. Ce livre me donne simplement le temps de m'expliquer clairement et précisément sur les faits. Je n'ai jamais pu le faire. Mes réponses n'intéressaient personne.

Six mois après votre départ du gouvernement, comment vous sentez-vous ?

Parfaitement bien. Mon caractère, c'est la résistance. Ce n'est pas l'abandon. Mais on voit très bien où peut mener ce genre de campagne. Roger Salengro et Pierre Bérégovoy ont été poussés au suicide. Cette idée ne m'a jamais traversé l'esprit. Cela dit, bafouer la présomption d'innocence peut avoir des conséquences humaines dramatiques. C'est à celui qui accuse de donner les preuves. Pas à celui qui est accusé.

Après le suicide de Bérégovoy, Mitterrand avait parlé de l'honneur d'un homme livré «aux chiens». Reprendriez-vous cette expression ?

Sans aucune hésitation. Moi aussi, j'ai été livré aux chiens. Nous évoluons dans un monde où l'on hurle avec les loups. Avec Internet, la dérive médiatique s'est accentuée.

Qu'en a-t-il été des soutiens ?

À droite, ils ont été nombreux. Il n'y a pas eu de défection, il y a eu des gradations. À gauche, certaines personnalités m'ont également témoigné leur amitié.

Vous critiquez en creux François Baroin, votre successeur au Budget…

Non, je ne le critique pas. J'ai la faiblesse de croire que François est un ami. Un ami qui, comme moi, a connu des hauts et des bas. Je dis simplement qu'il ne fallait pas supprimer la cellule fiscale, sous la pression de l'opinion publique. Tout ne peut pas reposer sur l'administration.

Avez-vous du ressentiment vis-à-vis de Nicolas Sarkozy ?

Et pourquoi en aurais-je ? J'ai un infini respect pour ce qu'il est et pour ce qu'il fait. Je pense être extrêmement légitime à dire cela, compte tenu des réformes que j'ai été amené à conduire sous son autorité et au travers de mon histoire personnelle. La force de caractère du président est une formidable chance pour la France. Par ailleurs, je n'ai jamais vu un homme politique aussi attentif aux autres. Nous nous voyons régulièrement.

Les Français ont-ils un problème avec l'argent ?

Malgré les efforts de Nicolas Sarkozy, la réussite reste suspecte. La crise a compliqué les choses.

Que pensez-vous des critiques à propos de Dominique Strauss-Kahn et la Porsche ?

Pendant six mois, certains socialistes ont orchestré une campagne d'insinuation contre moi. De quel droit peuvent-ils aujourd'hui s'offusquer des commentaires qui ont suivi la publication des photographies de Strauss-Kahn montant dans une Porsche ? Ils ont abaissé le débat politique. Ils ont un juste retour de bâton.

«Efforts de transparence»
Quel est le rôle du Premier Cercle des donateurs de l'UMP que vous animiez ?

Ces cercles existaient déjà au temps du RPR. Les donateurs des partis sont des militants et il est normal de les écouter, de recueillir leurs idées, de les associer au débat politique. C'est pour cela que nous avons régulièrement organisé des rencontres avec Nicolas Sarkozy, François Fillon, beaucoup de ministres et de responsables de l'UMP. Je l'assume pleinement.

Vous proposez d'externaliser la fonction de trésorier.

Les liens entre la politique et l'argent sont, par nature, suspects. Comme trésorier, j'ai fait beaucoup d'efforts de transparence. En vain. Alors pourquoi ne pas externaliser cette fonction ? On pourrait imaginer un système calqué sur celui des collectivités locales. Le parti engagerait les dépenses qui seraient ensuite réglées par un tiers, un commissaire aux comptes par exemple.

«Conditions épouvantables»
Vous avez été entendu par la cour de justice de la République sur l'hippodrome de Compiègne. Quel est votre état d'esprit ?

Je suis serein. France Domaine a très bien fait son métier. Le ministère de l'Agriculture n'était pas d'accord sur le principe d'une vente. Une réunion a été organisée à Matignon et Matignon a tranché en faveur de Bercy. L'État n'a pas à être propriétaire de biens non-stratégiques. Il doit se désendetter. Je suis probablement le ministre du Budget qui a le plus maximisé les recettes. Alors que l'on m'a accusé d'être l'ami des riches, la lutte contre l'évasion fiscale et la cellule de dégrisement que j'ai mises en place ont rapporté un milliard d'euros à l'État.

Votre épouse réclame un million d'euros pour licenciement abusif. Au risque de remettre de l'huile sur le feu dans l'affaire Bettencourt ?

Dans le droit français, quand un salarié a quelque chose à reprocher à son employeur, il va devant les prud'hommes. Florence a quitté son travail dans des conditions épouvantables. Elle va devant la justice pour faire valoir ses droits.

Quel rôle jouerez-vous en 2012 ?

Je suis momentanément en réserve. Si je ne sais pas encore quel sera mon rôle, j'ai une certitude : je serai derrière Nicolas Sarkozy.

oui , il a été jété aux chiens par les socialistes , qui sont toujours très forts à ce jeu criminel !
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Éric Woerth : «Moi aussi, j'ai été livré aux chiens»  Empty Re: Éric Woerth : «Moi aussi, j'ai été livré aux chiens»

Message  Jeanclaude Mer 11 Mai - 8:17

Oui ... il a peut-être été un peu maltraité par les socialistes mais principalement par les médias, mais si on regarde bien son parcours( politique et professionnel ) il n'est pas "tout blanc" non plus !

Consultant en entreprise

Il mène à partir de 1981 une carrière professionnelle dans le domaine du conseil en entreprise, en étant recruté chez Arthur Andersen où il s'occupe d'optimisation fiscale[1] pour le compte de riches clients comme Elton John, puis au cabinet Bossard Consultants (après un passage à Pechiney[1]) avant de revenir 16 ans plus tard chez Arthur Andersen, où il s'est spécialisé en tant que directeur non associé dans l'audit des collectivités locales et des administrations publiques (audit des comptes de la ville de Paris à la suite des municipales de 2001). Il quitte le cabinet début 2002, avant que celui-ci disparaisse suite à l'affaire Enron, pour se consacrer à sa carrière politique et à l'organisation de la campagne de Jacques Chirac[2].

Entre 1986 et 1993, il est successivement directeur général, vice-président, puis président de l'Agence pour le développement de l'Oise (ADO)[3] avec comme adjointe la trésorière occulte du RPR, Louise-Yvonne Casetta[4],[5].

Dans un rapport de la chambre régionale des comptes de Picardie, la gestion d'Éric Woerth est mise en question[4],[6].

Quand Éric Woerth résilie son contrat en 1989, il reçoit une prime de fin de contrat équivalent à cinq mois de salaire, que la Chambre qualifie de « pure libéralité ». Ce rapport s'interroge sur les audits commandés par l'ADO, dont certains sont assimilés à des « subventions indirectes ».

Certaines études sont commandées au cabinet Bossard Consultants, par lequel il est embauché après avoir résilié son contrat avec l'ADO. Il devient directeur du département conseil aux collectivités locales chez Bossard Consultants de 1991 à 1993.

Il interrompt sa carrière dans le privé en 2002, lors de la revente d'Arthur Andersen France, et alors qu'il assume la direction financière de la campagne présidentielle de Jacques Chirac.

Carrière politique

Gaulliste, il prend sa carte au RPR en 1981. Il commence sa carrière politique à Creil comme candidat aux municipales. Battu en 1983, face au maire sortant socialiste Jean Anciant, il quitte Creil pour Chantilly, où il est élu conseiller municipal.

Le 26 janvier 1990, un arrêt du Conseil d'État annule son élection au conseil municipal de Chantilly pour conflit d'intérêt dans la gestion de l'ADO.

Originaire de Creil et développant différents projets professionnels dans l’Oise, Éric Woerth choisit la Picardie pour y établir son fief. Dès 1992, il est élu conseiller régional RPR. Il se présente en 1995 à la mairie de Chantilly et remporte l’élection contre le centriste Philippe Courboin. En 2002, il parvient à se faire élire député de l'Oise. Quand il est nommé au gouvernement en 2004, Éric Woerth décide de céder son mandat de maire pour celui de premier adjoint. En juin 2007, il est réélu député dès le premier tour avec 57,40 % des suffrages, mais nommé ministre du Budget dans le gouvernement de François Fillon, il cède sa place à son suppléant, Christian Patria.

A partir de 1993, il est directeur financier et administratif du RPR et de la campagne de Jacques Chirac de 1995. De 1995 à 1997, il devient conseiller parlementaire du Premier ministre Alain Juppé, dont il est resté proche.

Suppléant d'Arthur Dehaine, député de l'Oise (1997-2002), il est en parallèle directeur associé chez Arthur Andersen (1998-2002).

Éric Woerth est le fondateur et premier président du Club de la boussole, qui regroupe 38 députés UMP « réformistes » revendiquant leur fidélité au président de la République Jacques Chirac et au Premier ministre Jean-Pierre Raffarin. Ce courant fonctionne comme la vigie chiraquienne lors de la cohabitation de cinq ans avec le gouvernement Lionel Jospin, mais aussi comme un lieu de rencontre entre chiraquiens, libéraux et centristes[réf. nécessaire].

À partir de 2002, il commence à se rapprocher de Nicolas Sarkozy. Il est membre des Réformateurs, le courant libéral de l'UMP, structuré autour d'Hervé Novelli.

Reconduit dans ses fonctions de trésorier de l'UMP en 2004, il est désormais un proche de Nicolas Sarkozy qui lui confie la mission, de concert avec Valérie Hoffenberg, de monter pour le compte de l'UMP « une structure dédiée à la collecte de l'argent auprès des plus grandes fortunes, sur le modèle des Charity dinners qui ont prospéré aux États-Unis ».

Il crée alors le « Cercle France », dont le droit d'entrée varie de 300 à 3 000 euros et le « Premier Cercle » dont le droit d'entrée minimal est fixé à 3 000 euros, mais peut aller jusqu'à 7 500 euros comme le prévoit la réglementation sur le financement des partis.

En 2007, il est le président de l'Association de financement pour la campagne de Nicolas Sarkozy et, en tant que trésorier de l'UMP, continue de récolter des fonds auprès de donateurs potentiels.

Secrétaire d'État de la Réforme de l'État

Éric Woerth est secrétaire d'État de la réforme de l'État dans le gouvernement Jean-Pierre Raffarin III, du 31 mars 2004 au 31 mai 2005.
Sa principale tâche est d'appliquer la règle du non-remplacement de la moitié des fonctionnaires partant à la retraite.
Le 31 mai 2005, il quitte ses fonctions à l'arrivée de Dominique de Villepin à Matignon.


Ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique

Le 18 mai 2007, il est nommé ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique dans le nouveau gouvernement de François Fillon, portefeuille auquel il ajoute celui de la Réforme de l'État à la faveur d'un remaniement, le 23 juin 2009.

Éric Woerth cherche à lutter contre l'évasion fiscale en appelant les contribuables français ayant des avoirs à l'étranger non déclarés à régulariser leur situation avant la fin de l'année 2008, sous peine de sanctions. Il affirme ainsi détenir « les noms de 3 000 contribuables détenteurs de comptes dans les banques suisses, dont une partie correspond très probablement à de l'évasion fiscale ».

Pour lutter contre les fraudes à la Sécurité sociale, il met en œuvre des moyens juridiques et des possibilités de croiser les fichiers.

Pour favoriser les démarches administratives en ligne, il lance début 2009 Mon.service-public.fr, un portail internet de l'administration française.

Ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique.

Les élections régionales de 2010, perdues par la majorité, donnent lieu à des ajustements ministériels : le 22 mars 2010, Éric Woerth devient ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique en remplacement de Xavier Darcos.

À ce titre, il est chargé de négocier la réforme du système de retraite avec les partenaires sociaux. Le 7 juillet 2010, il défend un amendement visant à créer des « commissions paritaires territoriales » pour renforcer le dialogue social dans les très petites entreprises, aussitôt rejeté par les députés UMP, qui y voient de « nouvelles contraintes ». Le 7 septembre, il présente devant le parlement la Réforme 2010 des retraites en France.

À la suite du changement de gouvernement du 14 novembre 2010, Éric Woerth, pris dans les démêlés judiciaires, perd son portefeuille ministériel.

Affaire Woerth-Bettencourt

Son épouse Florence Woerth, salariée de la société Clymène, gérant une partie du patrimoine financier de Liliane Bettencourt, démissionne le 25 juin 2010 après des accusations de conflits d'intérêt concernant son mari, ministre du Budget à l'époque de son embauche, en novembre 2007.

Cependant, cette démission ne suffit pas à faire retomber la polémique, du fait de révélations successives de différents médias entretenant l'idée d'une collusion entre Liliane Bettencourt et Éric Woerth. Les fonctions d'Éric de Sérigny, conseiller économique d'Éric Woerth et proche de Patrice de Maistre, viendraient corroborer les soupçons de conflits d'intérêt contre Éric Woerth, ce qui le fragilise alors qu'il présente le projet de réforme des retraites.

Éric Woerth est également critiqué pour cumuler ses fonctions ministérielles avec celle de trésorier de l'UMP.

Selon l'ex-comptable de Liliane Bettencourt, 150 000 euros en argent liquide, dépassant le plafond légal, lui auraient été remis par l'intermédiaire de Patrice de Maistre à l'occasion de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, ce que les responsables de l'UMP nient énergiquement. Il annonce, le 13 juillet 2010, sur « conseil » de Nicolas Sarkozy, qu'il démissionnera le 30 juillet de son poste de trésorier de l'UMP.

Le 31 août 2010, le site internet de L'Express annonce qu'une lettre adressée place Beauvau au début du mois de mars 2007 et signée de la main d'Éric Woerth, alors trésorier de l'UMP et de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, a été retrouvée à la mi-août par les enquêteurs de la Brigade financière lors d'une perquisition. Dans ce courrier, Éric Woerth intervient auprès de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, afin de lui demander d'attribuer la Légion d'honneur à Patrice de Maistre, donateur de l'UMP et gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt.

Affaire de l'hippodrome de Compiègne


Le Canard enchaîné et Marianne révèlent qu'Éric Woerth a autorisé, en mars 2010, la vente de gré à gré à l'association privée Société des courses de Compiègne d'une parcelle de la forêt domaniale de Compiègne à un prix largement inférieur à celui du marché.

Éric Woerth conteste ce point : « Des dossiers comme ça, on doit pouvoir en trouver 1 000, 1 200, 1 300, 1 500 ». Il précise, dans une interview réalisé par l'hebdomadaire Oise-Hebdo, sa conviction quant à l'origine des accusations dont il fait l'objet : « Il y a des intérêts suisses auxquels j'ai fait très très mal. Des gens qui m'ont mis au premier rang des hommes à abattre en priorité ».

D'une superficie de 57 hectares, la parcelle abrite l'hippodrome du Putois et 6 ha sous-loués au golf de Compiègne.

Dans son édition en ligne du 20 juillet 2010, Le Monde donne la parole à un expert forestier de la région qui affirme que le terrain vendu n'aurait absolument pas été bradé.

Cet expert déclare même que le prix payé serait de 5 à 10 fois supérieur au prix habituel de vente dans la zone du Compiégnois.

Le bail de l'ONF et un courrier d'Éric Woerth dévoilés dans un article du Courrier picard démontrent à l'inverse que le terrain était occupé à titre temporaire (bail expirant en 2010 et renouvelé en 2007), que le terrain est constructible (permis de construire délivré en septembre 2006), que les constructions n'appartiennent pas à la Société des Courses de Compiègne, que la redevance est artificiellement basse en raison d'une compensation par la construction de nouveaux bâtiments qui enrichissent le terrain au profit de l'ONF et qu'il ne s'agit donc pas d'un simple bout de forêt.

Les 57 hectares et les 5000 m2 de surfaces bâties comprenant un restaurant de luxe, un hippodrome et un golf, ont été vendus de gré à gré sans appel d'offres à un prix inférieur à cinq euros le mètre carré. Le président de la société bénéficiaire est un membre éminent de l'UMP.

Le 1er septembre 2010, Le Canard enchaîné publie une lettre de 2003, signée du ministre de l'agriculture Hervé Gaymard, qui indique que cette vente est impossible « compte tenu de la législation sur les forêts domaniales ». L'hebdomadaire affirme par ailleurs que l'actuel ministre de l'agriculture Bruno Le Maire « a bel et bien tenté de s'opposer à cette vente illégale ».

Le 16 novembre 2010, Jean-Louis Nadal, procureur général de la Cour de cassation, annonce avoir saisi la Commission des requêtes de la Cour de justice de la République d'une demande d'enquête sur le rôle d'Éric Woerth dans ce dossier, soupçonné de « favoritisme » et de « prise illégale d'intérêt ».

Le 18 novembre 2010, Jean-Louis Bianco, Jean Glavany, Henri Emmanuelli et quatre autres personnalités socialistes déposent une plainte contre X auprès du procureur de la République de Compiègne en vue d'annuler la vente. La Commission des requêtes de la CJR émet le 13 janvier 2011 un avis favorable à l'ouverture d'une enquête pour « prise illégale d'intérêts », mais pas pour « favoritisme ».













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Message  Invité Ven 13 Mai - 19:38

j'aime bien Woerth

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Message  livaste Ven 13 Mai - 19:55

franline2 a écrit:j'aime bien Woerth

moi aussi .
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Message  Jeanclaude Sam 14 Mai - 7:07

C'est tout à fait votre droit et je le respecte ! Personnelement en étudiant son parcours de plus près je ne l'apprécie pas du tout et c'est mon droit je pense !

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