Re: La Belle Epoque portait bien son nom.

Jeanclaude Lun 1 Nov - 16:33

La bête blonde Teuton a écrit:Attends, mec, les ouvriers étaient pauvres, mais ne crevaient pas de faim comme les paysans d'avant la Révolution industrielle. Ils vivaient mieux que sous Louis XVI, sinon il n'y aurait pas eu l'exode rural et ils n'auraient jamais quitté leurs terres.

Soit un peu plus poli dans tes arguments et un peu plus réaliste et objectif !

Je ne sais quel âge tu as et m'en fous complètement mais je peux te dire qu'étant gamin j'ai vécu sans l'électricité et l'eau à la maison ... quelle belle époque !

La bête blonde Teuton Sam 29 Jan - 6:58

Les tâches les plus lourdes sont beaucoup plus faciles à supporter quand la société est saine d'esprit.

Jeanclaude Sam 29 Jan - 9:14

Inutile de remonter à nos parents et grands-parents Livaste ... déjà de notre époque la durée légale du travail n'était pas de 35 h, les congés payés n'étaient pas de 5 semaines, nous n'avions pas systématiquement l'électricité et l'eau, encore moins la radio ou la télévision.

Posséder un véhicule automobile était considérer comme un luxe !

La belle époque n'a de "belle" que son nom, car comme vous l'avez souligné les ouvriers travaillaient sous le parternalisme et bien souvent 60 heures / semaines et avec quel salaire !

Mon "brave teuton" il va falloir te replonger dans notre époque ou nous dire si ce sont des cours d'histoire que tu veux nous donner !

La bête blonde Teuton Lun 31 Jan - 9:08

livaste Lun 31 Jan - 18:19

pauvre femme , corstée , la taille étranglée , qu'est ce qu'elle est à plaindre !
quant à galouzeau , tu as bien fait de mettre sa photo dans les années 1900 , ça lui va comme un gant , il est vraiment d'une autre époque ce mec !!! Razz

livaste Lun 31 Jan - 18:37

La bête blonde Teuton Mer 2 Fév - 7:27

" Dans les cours des faubourgs jouaient des musiciens ambulants, on entendait par les fenêtres chanter des midinettes à leur travail ; toujours il y avait quelque part un éclat de rire dans l'air ou un appel cordial ; quand par hasard deux cochers " s'engueulaient ", ils finissaient par se serrer la main, buvaient un verre ensemble et l'accompagnaient des quelques huîtres, qu'ils payaient d'un prix dérisoire. Rien de pénible ou de guindé. " - Michel Winock citant Stefan Zweig, La Belle Epoque

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