La menace d'un attentat en France «n'a jamais été aussi grande»

La menace d'un attentat en France «n'a jamais été aussi grande»
24 réactions | Réagir 11.09.2010, 08h19 | Mise à jour : 09h17

Les déclarations du patron de l'antiterrorisme français Bernard Squarcini sont pour le moins inquiétantes : selon lui, la menace d'un attentat «n'a jamais été aussi grande» en France. «Nous sommes aujourd'hui au même niveau de menaces qu'en 1995», année marquée par une vague d'attentats, estime le chef de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) dans une interview publiée samedi dans le «JDD».

«Tous les clignotants sont dans le rouge», indique-t-il, ajoutant que «compte tenu des signalements qui nous sont transmis par nos partenaires étrangers et de nos propres observations, il y a des raisons objectives d'être inquiets».

L'Aqmi dans le viseur

«On s'attend à avoir des attentats sur notre territoire», déclare le responsable antiterrorisme. «Il y a 15 ans, quand nous avons subi la série d'attentats de 1995, la menace nous arrivait uniquement de l'est d'Alger. Elle s'est considérablement étendue.»

«La menace en France est triple, poursuit-il. Le Français converti qui se radicalise et monte son opération seul; Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui dépêche un commando pour commettre des attentats en France; et les djihadistes, ces Français qui partent en Afghanistan ou au Yémen, demain en Somalie, et qui reviennent clandestinement, aguerris, pour poursuivre leur combat sur le sol français.»

Selon Bernard Squarcini, la principale source d'inquiétude vient d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), «franchise d'Al-Qaïda» qui a revendiqué l'assassinat de l'otage français Michel Germaneau et qui avait été visé par un raid meurtrier mené conjointement par la Mauritanie et la France.

Deux attentats déjoués par an

Comme il l'avait révélé en juin dernier, Bernard Squarcini a répété que ses services déjouaient «en moyenne deux attentats par an». Il cite le cas d'un kamikaze «qui prévoyait de faire sauter une salle de spectacle parisienne à l'occasion d'une collecte de fonds».

Mais le chef de la DCRI dément toute radicalisation significative des musulmans de France. «Sur 6 millions de musulmans en France, il y a peut-être 300 individus qui posent problème», de même que «moins d'une trentaine» de lieux de culte sur quelque 1800.

leparisien.fr

Faut se dépécher de faire entrer d'autres musulmans , et il faut que les associations et les partis de gauche , s'empressent de s'opposer à l'expulsion des radicaux ou au retrait de leur nationalité française , alors qu'ils complotent contre la France et cherchent à tuer des français !

M. Sarkozy est aussi responsable que la gauche. La gauche était responsable quand elle était au pouvoir, là c'est M. Sarkozy qui ne fait rien contre l'immigration de population musulmane.

La meilleure manière de faire baisser le risque est d'une part de rétablir les frontières (ce qui évitera l'invasion de musulman) et d'autre part d'arrêter de soutenir les tueries contre les populations musulmanes orchestrées par les sionistes dans le monde (Afghanistan, Irak, et bientôt Iran, on peut parler aussi de plomb durcie).

mais il ne faut pas oublier que M. Sarkozy a promu l'UOIF (les radicaux que tu dénonces) qui en récompense on appeler à voter "oui" au TCE. Donc arrête d'accuser la gauche quand elle n'est pas au pouvoir même si elle ne ferait pas mieux que M. Sarkozy.

ce n'est pas Sarkozy qui pousse ces gens a se radicaliser mais la propagande islamiste qui s'est incrusté dans certains quartiers populaires et emprisonnent ces gens (faute de pouvoir déménager ailleurs) dans des us et coutumes d'un autre temps.Ca existait déjà il y a 20 ans quand je bossait dans un de ces quartiers... ça ne date pas de Sarkozy et , n'existant pas de hiérarchie officielle dans cette communauté , comme il en existe chez les Juifs et les Catholiques ; il fallait bien des interlocuteurs afin de créer un dialogue , au moins officiel lors de conflits .Cette hiérarchie a tout intérêt de calmer ses fanatiques , ne serait ce pour être "bien perçu" par la société (les associations gauchistes et victimistes" non soutenue par la droite.

M. Sarkozy comme les autres gouvernements (malgré des discours de facette) a encouragé l'immigration et diminuer les moyens de luttes concrets contre la délinquance (moins de policier, moins de juge, pas de construction de prison,...). Je ne dis pas que le problème date de lui mais il n'est pas dur de comprendre qu'en soutenant l'immigration comme il le fait (facilitation des visas, ouverture des frontières, soutien à l'élargissement européens, facilitation de travail, maintien des prestation sociale et du RSA pour les immigrée,...), il favorise l'immigration musulmane et qu'il ne vaut pas mieux que les autres.

Il n'est pas dur non plus de comprendre qu' en faisant la guerre pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres ou en soutenant des guerres contre des pays arabes-musulmans, on renforce la haine du musulman vivant en France contre la France.

Il faut changer notre politique. Plutôt que de multiplier les lois à l'infini, il faut appliquer la loi. La loi sur le squatte des halls d'immeuble n'est aujourd'hui appliquer nulle part faute de moyens, la loi sur les Burqua ne sera pas appliquer faute de moyens... En multipliant les lois non appliquer dans les faits, on ruine le droit, la loi et j'en passe. Il faut des faits pas des paroles. La IVème république est morte à force de voter des lois et de ne pas les appliquer. Comprends-tu mon point de vue? Je ne dis pas que le problème date de M. Sarkozy, je dis qu'il ne fait rien pour régler le problème.

Oui , je comprends très bien et , oui j'approuve.Les lois sont effectivement non appliquées et je le regrette amèrement. Mais sache tout de même que la police fait très souvent son travail envers les délinquants sauf que , comme me l'ont relatés plusieurs gendarmes , dès que ces délinquants passent devant le juges pour enfant , leur travail est sappé donc devient caduc non pas faute d'effectifs ou de moyens mais , par idéologies , logiques et fonctionnement contradictoire dans une même procédure.

Si la justice était plus sévère , il y aurait logiquement moins de délinquance donc , au final plus de respect.C'est ce que je pense .

Le problème central c'est qu'on ne construit pas assez de prison par rapport à la réalité de l'évolution de la population française.

Même si un juge serait sévère, la peine serait cassé par le JAP. Même s'il y a des abus, on ne constate souvent que des différences entre 6 mois à 1 ans entre le parquet (le ministère publique) et le juge.

Un gars qui tue une femme à coup de beigne sera condamné à 8 ans mais il ne fera au final que 4 ans.

Le gouvernement actuel étend la logique des bracelet électronique alors que ceci ont montré plus de faille.

Je pense qu'il faut laisser en paix les musulmans chez eux (pas leur faire la guerre) et s'occuper de la délinquance chez nous.

La délinquance n'a pas nécessairement un lien avec les musulmans ou plutôt avec la pratique de cette religion et effectivement quand on regarde de plus près la situation en Afghanistan et en Irak ,elle ne va pas mieux ni pour le droit des femmes et leur liberté , ni entre les différentes sectes religieuses (chiite-sunite-...)
donc au final on devrait dégager de là bas si ce n'est que l'armée française fait plus de la distribution logistique de denrée alimentaire et de la formation pour l'armée afghane le tout en essayant tant bien que mal de se défendre contre les attaques de certains extrémistes.

Si nos juges étaient moins laxistes , appliquaient les lois existantes et en faisaient bon usage , le bracelet électronique n'aurait limite pas lieu d'être sauf pour les maris (et femmes) violent(e)s maltraitant leurs proches ou pour les jeunes soumis à des travaux d'intérêts généraux ; le tout en faisant de la pédogogie et en mettant en pplace un suivi plus local , de proximité (psychologues ).
Faire de la prévention c'est bien mais , la répression n'a de sens que si elle s'avère comprise et juste.

En gros il faudrait responsabiliser la population (une généralité - faire évoluer les mentalités )et la rendre moins dépendante du laxisme.

Comme il l'avait révélé en juin dernier, Bernard Squarcini a répété que ses services déjouaient «en moyenne deux attentats par an». Il cite le cas d'un kamikaze «qui prévoyait de faire sauter une salle de spectacle parisienne à l'occasion d'une collecte de fonds».

Je tire ce morceau du texte de Livaste soit disant pris de l'interview de Bernard Squarcini mais en fait transformé pour l'occasion car M. Bernard Squarcini n'a pas dit ça exactement.

Il a dit:

Il a répété que ses services déjouaient "en moyenne deux attentats par an, citant le cas d'un Belgo-tunisien de 25 ans, intercepté par l'Egype au sortir d'un tunnel de la bande de Gaza, expulsé en mars dernier vers la Belgique et arrivé en France pour être interrogé au cours de l'été. Selon la même source, il est "soupçonné d'avoir projeté un attentat kamikaze contre une salle de spectacle parisienne à l'occasion d'un gala de bien faisance au profit de l'armée israélienne".

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/la-menace-terroriste-en-france-n-a-jamais-ete-aussi-grande_918729.html

Voilà, 3 problèmes politiques:

1. La double-nationalité "un belgo-tunisien de 25 ans". En France aussi la double nationalité a permis à certains pays de nous renvoyé des terroristes islamistes.
2. Qui profite de la libre circulation des citoyens européens "arrivé en France". La traité de l'union européenne valide "la libre circulation des personnes dans les pays communautaires.
3. et veut faire péter un gala pour une armée qui ne reconnait pas les conventions internationales "l'occasion d'un gala de bien faisance au profit de l'armée israélienne". Ce qui renvoie aussi à la politique de complaisance vis à vis du sionisme du pouvoir français. Comment se fait-il qu'on fasse sur notre sol un Gala de bien-faisance pour une armée étrangère incriminée plusieurs fois pour son non-respect des droits de l'homme et des conventions internationales.

La triplette sionisme, libre-circulation, double-nationalité... voilà la cause de bien des malheurs et une des causes du terrorisme. On remarquera que l'interview a été transformé dans plusieurs journaux.