La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
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La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
(AFP) – Il y a 47 minutes
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BRUXELLES — Les dirigeants de la zone euro réunis en sommet discutaient vendredi soir d'un mécanisme à mettre en place rapidement pour défendre leur monnaie et leurs pays membres, face aux attaques sur les marchés financiers, selon plusieurs sources diplomatiques.
"L'attaque (des marchés) est maintenant contre l'euro" et "individualiser (les aides) à tel ou tel pays risque de donner une réponse insuffisante de l'Europe, la priorité est une réponse unitaire, ferme et rapide", a indiqué l'une de ces sources sous couvert d'anonymat.
Les contours exacts du dispositif restaient encore vagues vendredi soir.
L'idée discutée par les dirigeants à Bruxelles serait de constituer "un fonds" de soutien pour les pays menacés, auquel pourrait contribuer la Commission européenne, jusqu'à 70 milliards d'euros, et la Banque centrale européenne, selon ces sources.
Il ne s'agit toutefois que d'idées mises sur la table et rien ne garantit qu'un accord sera trouvé, notamment avec la Banque centrale européenne, ont-elle mis en garde.
"Les discussions portent sur une forme d'interventions multilatérales internes" pour défendre l'euro, impliquant la BCE, la Commission et les banques centrales des différents pays membres", a ajouté une des sources.
La chancelière Angela Merkel, qui a beaucoup traîné des pieds avant d'aider la Grèce, "est disposée à adopter un éventail de mesures", selon un diplomate.
Même la Grande-Bretagne et la Banque d'Angleterre ont été sollicitées pour venir à la rescousse. Le Premier ministre espagnol José Luis Rodriguez "Zapatero a contacté (le Premier ministre Gordon) Brown" à ce sujet, a dit un diplomate.
Une des pistes serait que la BCE achète des emprunts émis par les Etats de la zone euro, pour leur fournir en échange des liquidités. Les marchés financiers estiment que cet outil serait le seul désormais à pouvoir stopper la contagion en zone euro, mais l'institut de Francfort a affirmé jeudi qu'il n'en avait pas parlé lors de sa réunion mensuelle.
La Commission européenne pousse pour que la BCE fasse une proposition concrète de soutien à la zone euro, par exemple pour venir en aide si besoin à tous les pays de la zone, quelles que soient les évaluations des agences de notation, a indiqué vendredi une source diplomatique.
Bruxelles a critiqué en début de soirée un projet de déclaration du sommet, le jugeant trop général et sans "actions concrètes", a indiqué une source diplomatique.
Lundi, la BCE avait annoncé qu'elle allait accepter les titres de dette grecque en garantie de ses prêts, quelle que soit leur notation financière, une mesure inédite pour soulager le pays et les banques de la zone euro.
Cette suspension permet aux banques possédant des obligations grecques de continuer à obtenir du crédit auprès de la BCE, malgré la dégradation de leur notation financière.
Dès lors, la possibilité d'étendre cette mesure inédite à l'ensemble des pays de la zone euro "constituerait un signal fort aux marchés" de l'avis du président de la Commission européenne José Manuel Barroso, selon une source diplomatique, qui note que la BCE a également d'autres possibilités dans son escarcelle.
Re: La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
"Les bons spéculateurs vont toujours contre la tendance"
LEMONDE.FR | 07.05.10 | 19h15 • Mis à jour le 07.05.10 | 21h12
Hélène BekmezianCharles parle vite, explique qu'il risque de se "retrouver short" s'il a mal évalué les variations et ponctue ses phrases de jargon boursier. Avec un débit ultra rapide, ce trader français installé à Wall Street depuis cinq ans, qui souhaite rester anonyme, raconte l'ambiance, dans les salles de marchés de New York, au lendemain d'une journée folle qui a vu le Dow Jones dégringoler de 9 % en cours de séance, jeudi 6 mai.
"Dans la salle, on voyait en continu, sur nos écrans plasma, des Grecs se faire tabasser dans les rues. Ici, personne ne sait où est la Grèce, pour les Américains, la France, l'Allemagne, c'est pareil... Ils se disent juste : 'c'est l'Europe et c'est la catastrophe'". "Après, c'est l'effet boule de neige", raconte-t-il. Une journée de "grosse folie" pendant laquelle "la moitié de la Terre a vendu" : "C'était la panique totale, j'ai vu des types se mettre à acheter comme des malades, personne ne sait dans quelle direction ça va."
Pour lui, que la Grèce ait tant d'influence sur les marchés est "anormal". "Il y a des actions qui se font complètement écraser parce que le marché baisse alors qu'elles ne sont pas du tout exposées en Grèce, comme Coca-Cola, ce n'est pas normal", explique-t-il. La solution ? "La Grèce doit sortir de l'euro. C'est géré n'importe comment, ils manifestent pour le maintien de leur 13e et 14e mois alors, qu'à ce que je sache, il n'y a que douze mois dans une année !", s'emporte-t-il. Il poursuit, persuadé que la Grèce ne remboursera jamais : "Ce n'est pas pour rien que l'Allemagne ne voulait pas leur prêter d'argent !"
VERS UNE EUROPE À DEUX VITESSES ?
Pour lui, le marché n'est aucunement à blâmer dans l'aggravation du cas de la Grèce, un "pays qui va droit dans le mur". "Le marché anticipe les tendances, il n'en est pas responsable, assure-t-il. Moi je peux me tromper, mais le marché, lui, a toujours raison."
"Ici [à Wall Street], tout le monde pense que la Grèce va sortir de l'euro et qu'il va y avoir à terme une Europe à deux vitesses, voire un effondrement de l'euro. Et avant même les premières rumeurs sur la sortie de la Grèce, l'euro va repartir à la hausse, le marché va connaître un rebond", prévoit-il. Il va même jusqu'à envisager que l'Allemagne qui "s'en fout parce qu'elle n'a besoin de personne" se remette au Deutschmark.
D'ailleurs, les "plus malins" commencent déjà à racheter des euros en masse en prévision du rebond. "Les vrais spéculateurs vont toujours contre la trend [tendance], dit-il. Les fonds très malins accumulent des euros. Les petits particuliers eux voient juste les Grecs se faire tabasser, ont peur et vendent."
J'ai trouvé cet article qui me semble interessant à discuter .
Re: La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
ce n'est pas wall street qui malmène la Grèce mais sa mauvaise gestion de ses finances , payé ses députés 17 mois pour 12 mois de travail ...14 mois un fonctionnaire pour 1 an de travail ...sans parler des fraudes au niveau gouvernemental depuis des décennies .... détournement de subventions européennes ( et l'UE prête quand même...) ...
sinon, concernant un fond spécial .... on le fait tomber de quel arbre le pognon...?Trichet ?...
sinon, concernant un fond spécial .... on le fait tomber de quel arbre le pognon...?Trichet ?...
Invité- Invité
Sous pression, l'Europe taille dans ses dépenses publiques
Sous pression, l'Europe taille dans ses dépenses publiques
07/05/2010 | Mise à jour : 20:26 Réactions (25)
ce sera le même régime pour tous , même si les mesures ne sont pas exactement les mêmes elles se ressemblent que le gouvernement soit de droite ou de gauche !
07/05/2010 | Mise à jour : 20:26 Réactions (25)
Le premier ministre François Fillon a annoncé un gel en valeur des dépenses de l'État sur trois ans, une baisse de 10 % des dépenses de fonctionnement (entre 800 et 900 millions d'euros) et 5 milliards d'économies sur les niches fiscales. Crédits photo : AFP
D'ici à la fin de l'année et malgré les tensions, les États membres de la zone euro devront encore trouver 593 milliards d'euros sur les marchés pour financer leurs déficits et rembourser leurs dettes.
Les États de l'eurozone avaient levé, début mai, 40 % de leurs besoins de financement de l'année 2010, évalués à 980 milliards d'euros, d'après une étude de Barclays Capital.
Premier «emprunteur souverain», l'Italie doit lever encore 162 milliards d'euros, soit 65 % de ses émissions de l'année. Suivent l'Allemagne (136 milliards) et la France (103 milliards). Le Portugal, dont la note a été dégradée la semaine dernière par Standard & Poor's (S & P), jugé comme un emprunteur moins fiable, doit lever 12 milliards d'euros. Quant à l'Espagne, dans le collimateur des spéculateurs, elle doit encore emprunter 64 milliards sur 97 selon les estimations de Barclays Capital, voisines de celles de S & P. Le chiffre de 280 milliards qui a circulé ces derniers jours et contribué à affoler les marchés «ne correspond à aucune réalité », s'emporte Laurence Boone, économiste en chef chez Barclays Capital. La dette totale de l'Espagne est estimée à 670 milliards pour 2010. F.N.-L.
ESPAGNE
José Luis Zapatero l'a dit et redit face aux attaques des marchés. Le chef du gouvernement socialiste s'est engagé à économiser 50 milliards d'euros entre 2010 et 2013, soit 5,7 % du PIB, dont 40 milliards pour l'état central et le reste à la charge des communautés autonomes et des collectivités locales. Un fonctionnaire sur dix seulement sera remplacé, ce qui représente en moyenne 13 000 départs par an. Zapatero compte par ailleurs sur des hausses d'impôts directs et indirects, dont le relèvement de TVA de 16 à 18 %, pour récolter 11 milliards d'euros supplémentaires. Et l'âge légal de la retraite devrait passer de 65 à 67 ans. Si Madrid exclut de nouvelles mesures, l'opposition juge indispensable un nouveau tour de vis pour tenir l'engagement d'un déficit à 3 % en 2013.A. C
IRLANDE
Le gouvernement irlandais a été l'un des premiers à réagir, dès février 2009, par une hausse des impôts et un prélèvement supplémentaire de 7,5 % sur les salaires des fonctionnaires. Deux autres plans ont suivi, en avril et décembre, dans le cadre du budget 2010, avec une baisse immédiate des salaires des fonctionnaires, de 5 à 20 %, et des prestations sociales (allocations familiales et assurance-chômage), sans compter des coupes dans les dépenses courantes et les investissements. Une taxe carbone a également été instaurée, l'objectif étant de revenir sous les 3 % en 2014. A. C.
GRÈCE
Imposé par le FMI et l'Union européenne, le plan de rigueur adopté par le Parlement grec prévoit 30 milliards d'euros d'économie sur quatre ans, soit 11 points de PIB, afin de ramener le déficit de 14 % à 3 % en 2014. La baisse équivaut à 6,5 % de PIB dès 2010. Un objectif intenable selon de nombreux experts. Ce plan prévoit une réduction des dépenses de 11,1 milliards d'ici à 2012 : baisse des investissements, suppression des 13 et 14e mois de salaire des fonctionnaires et des pensions pour les retraités. La TVA augmentera de 21 % à 23 % ; un impôt sur les constructions illégales est instauré ; les taxes sur les alcools, les tabacs et carburants sont revues à la hausse. L'âge légal est repoussé à 65 ans pour les femmes comme pour les hommes. La durée des cotisations passe de 37 à 40 ans d'ici à 2015. A.C.
FRANCE
Le premier ministre François Fillon a annoncé un gel en valeur des dépenses de l'État sur trois ans, une baisse de 10 % des dépenses de fonctionnement (entre 800 et 900 millions d'euros) et 5 milliards d'économies sur les niches fiscales. Le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux est en outre confirmé. Le gouvernement se refuse à parler de «plan de rigueur », cette politique qui traumatisa la France au début des années 1980. L'objectif est de ramener le déficit de 8 % du PIB en 2010, à 6 % en 2011, 4,6 % en 2012, et 3 % en 2013. Soit 95 milliards d'euros d'économies en trois ans. M. Vt
ITALIE
L'Italie se prépare à faire 26 milliards d'eu ros d'économies budgétaires en deux ans. Le ministre de l'Éco nomie, Giulio Tremonti, a confirmé hier le maintien des objectifs de réduction du déficit public, qui devra passer de 5 % cette année à moins de 3 % en 2012. L'effort réalisé en 2011 sera de l'ordre de 0,8 % du PIB, soit 12,8 milliards d'euros. Une manœuvre d'égale ampleur est prévue pour 2012. Les coupes budgétaires concerneront en priorité les ministères «dépensiers», notamment la santé. En revanche, la baisse des impôts reste à l'ordre du jour : «la pression fiscale sera ramenée cette année à 42,8 % du PIB, son niveau en 2008», affirme le ministre. RICHARD HEUZÉ (à Rome)
PORTUGAL
Le premier ministre socialiste, José Socrates, a rallié l'opposition de droite sur les mesures d'austérité. Son plan présenté début mars au Parlement vise à ramener le déficit de 9,3 % du PIB en 2009 à 2,8 % en 2013. Il prévoit un vaste programme de privatisations, qui doivent ramener 6 milliards d'euros dans les caisses de l'État, dont 1,2 milliard sur 2010, et une hausse de la pression fiscale, en ciblant les hauts salaires supérieurs à 150 000 euros qui seront taxés à 45 %. Côté dépenses, le gouvernement a annoncé des coupes drastiques dans les investissements (de 4,9 % du PIB en 2009 à 2,9 % en 2013), le gel des salaires des fonctionnaires jusqu'en 2013 et le remplacement d'un seul retraité sur deux.A.C.
ce sera le même régime pour tous , même si les mesures ne sont pas exactement les mêmes elles se ressemblent que le gouvernement soit de droite ou de gauche !
Re: La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
Quelques réactions , pertinentes ....
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je me joins à cet internaute .
Va t on diminuer le nombre des fonctionnaires de Bruxelles ?
Va t on baisser leurs salaires et avntages énormes ?
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Non à l'autérité. Non aux éoliennes !___________ On peut économiser 3 à 6 milliards d'euros en cessant toute subvention aux éoliennes et aux panneaux solaires dont la France n'a nullement besoin. Le Grenelle de l'environnement est une gabegie qui ne fait que creuser les déficits inutilement. Les éoliennes défigurent nos paysages et compromettent les revenus futurs que nous pourrions tirer du tourisme.
Tant mieux, et c'est pas trop tôt. Il n'y a pas un moment plus opportune pour réduire la dette que lorsqu'on est pieds au mur. Et c'est une partie de notre faute aussi. Nous vivons au dessus de nos moyens; les espagnoles individuellement, les français collectivement; c'est du pareil au même.
A-t-on également songé à réduire le train de vie colossal des oligarques de Bruxelles et de leurs affidés, à arrêter de saupoudrer sans réel contrôle des milliards d'aides vers l'extérieur de l'UE, généralement sans contrepartie, ou les projets totalement inutiles lancés au prétexte que "la Commission a de l'argent" (issu de nos impôts), etc., etc.??? On ne peut pas à la fois demander aux peuples les économies indispensables pendant que le système européen continue par ailleurs à jeter l'argent par les fenêtres.
je me joins à cet internaute .
Va t on diminuer le nombre des fonctionnaires de Bruxelles ?
Va t on baisser leurs salaires et avntages énormes ?
Ca tombe bien, une dépeche hier soir nous apprenait que l'union européenne veut consacrer 500 Milliards d'euros!! par an !! à l'aide aux pays pauvres, principalement africains!
il est temps d'appliquer le principe "pollueur, payeur", il n'est pas sain de demander au contribuable de payer pour les errements de la finance. Il faut taxer la finance, les transactions et toutes les institutions financières d'une taxe exceptionnelle et provisoire (hedge fund...) mettre entre parenthèse le bouclier fiscal (sans efficacité prouvée, on a pas le temps de se demander s'il sera un jour efficace!) et réduire le train de vie de l'état en préservant le pouvoir d'achat des classes moyennes et ne pas appauvrir davantage ceux qui souffrent
Quelle découverte. Je pense que n'importe quelle maitresse de maison avisée aurait fait de meme. Pas besoinde faire l'ENA ou HEC... mais ainsi va la démagogie. Concernant l'Espagne et le programme de ZP, ce sera comme d'habitude un effet d'annonce, car i doit comparaitre mercredi prochain devant las cortes pour dire qu'il y a de la magie noire la dessous, comme si la médiocrité de son mandat et demi n'était pour rien dans cette affaire. C'est le roi de l'mmobilisme et du discours vide. Je lisais encore ce matin une affiche sur une vitrine ZD Zapatero demision
Le Colin Froid "Sous la pression des marchés, l'Europe taille dans ses dépenses publiques". Eh bien, pour ce qui me concerne, en lisant ce titre, je dis : Enfin ! Et vivent les marchés qui contraignent les cigales qui nous gouvernent à faire enfin preuve d'un peu de courage budgétaire. On accuse la finance d'être vorace et cupide. On a raison mais c'est dans sa nature. Ce qui est scandaleux, c'est que, en empruntant à tour de bras depuis 30 ans, nos dirigeants, toutes tendances confondues, lui aient offert une si belle occasion de se gaver. Si l'on confie ses enfants à la garde d'une hyène, on aura beau jeu de venir se plaindre qu'elle les a dévorés.
vous avez raison..... j'ajouterai que nous allons le payer cher: Cette classe politique de gauche comme de droite n'as rien fait depuis 30 ans .... a ignoré le simple bon sens , et n'a regardé que la défense d'intérêt particulier au détriment de devoir de de servir l'état et l'intérêt général
Re: La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
franline a écrit:ce n'est pas wall street qui malmène la Grèce mais sa mauvaise gestion de ses finances , payé ses députés 17 mois pour 12 mois de travail ...14 mois un fonctionnaire pour 1 an de travail ...sans parler des fraudes au niveau gouvernemental depuis des décennies .... détournement de subventions européennes ( et l'UE prête quand même...) ...
sinon, concernant un fond spécial .... on le fait tomber de quel arbre le pognon...?Trichet ?...
Combien sont payés nos députés et quelle retraite perçoivent ils payés par less contribuables ?
Combien de français du privé perçoivent 17 mois de salaire par an primes incluses ... ! Un bon nombre crois en mon expérience d'ex DRH !
Détournements de fonds publics ? Il n'y en a pas en France ?
Un peu d'objectivité et de réalisme !
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
aurais-tu des preuves de ce que tu avances ?.... et des primes c'est en général une façon de payer le mérite et les risques d'un métier sans que cela rentre dans le décompte des retraites ....sacrés économies pour l'Etat !
Sinon, je connais le 13 ème mois de salaire mais pas 17 .
Sinon, en France les entreprises paient beaucoup d'amendes à l'UE bêtement faute de remise aux normes de certaines structures de sécurité(incinérateurs , traitements des eaux usées , ...) .... c'est une façon comme une autre de récolter du fric pour le redistribuer sous forme de subventions.
Sinon, je connais le 13 ème mois de salaire mais pas 17 .
Sinon, en France les entreprises paient beaucoup d'amendes à l'UE bêtement faute de remise aux normes de certaines structures de sécurité(incinérateurs , traitements des eaux usées , ...) .... c'est une façon comme une autre de récolter du fric pour le redistribuer sous forme de subventions.
Invité- Invité
Re: La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
Certes j'aurais des preuves mais je me situe devant une obligation de réserves et je n'ai pas à dévoiler les salaires des cadres d'entreprises pour lesquelles j'ai travaillé.
Je peux par contre te certifier que "personnellement" j'ai uniquement travaillé dans le secteur privé dans un groupe agro-alimentaire puis métallurgique et par conséquent tous mes salaires et toutes mes primes étaient soumises à cotisations sociales ( dans le public c'est différent ... 2 catégories de français salariés !).
Pour ma part et sans aucun rapport avec un quelconque "risque" ( les risques d'un DRH se limitent à être pris éventuellement en otage par les salariés ... mais là il s'agit d'un autre débat ) je percevais 12 mois de salaire, un 13ème mois, une prime de vacances équivalente à 1 mois de salaire et enfin une "prime d'objectif" équivalente à 2 mois de salaire ! Fais le calcul ... 16 mois de salaire !
Par ailleurs les entreprises sont soumises à des règles européennes dont elles ont parfaitement connaissance et si elles se voient contraintes de payer des amendes cela est de leur fait ! C'est loin, très loin d'un "racketting" !
Je peux par contre te certifier que "personnellement" j'ai uniquement travaillé dans le secteur privé dans un groupe agro-alimentaire puis métallurgique et par conséquent tous mes salaires et toutes mes primes étaient soumises à cotisations sociales ( dans le public c'est différent ... 2 catégories de français salariés !).
Pour ma part et sans aucun rapport avec un quelconque "risque" ( les risques d'un DRH se limitent à être pris éventuellement en otage par les salariés ... mais là il s'agit d'un autre débat ) je percevais 12 mois de salaire, un 13ème mois, une prime de vacances équivalente à 1 mois de salaire et enfin une "prime d'objectif" équivalente à 2 mois de salaire ! Fais le calcul ... 16 mois de salaire !
Par ailleurs les entreprises sont soumises à des règles européennes dont elles ont parfaitement connaissance et si elles se voient contraintes de payer des amendes cela est de leur fait ! C'est loin, très loin d'un "racketting" !
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
franline a écrit:aurais-tu des preuves de ce que tu avances ?.... et des primes c'est en général une façon de payer le mérite et les risques d'un métier sans que cela rentre dans le décompte des retraites ....sacrés économies pour l'Etat !
Sinon, je connais le 13 ème mois de salaire mais pas 17 .
Sinon, en France les entreprises paient beaucoup d'amendes à l'UE bêtement faute de remise aux normes de certaines structures de sécurité(incinérateurs , traitements des eaux usées , ...) .... c'est une façon comme une autre de récolter du fric pour le redistribuer sous forme de subventions.
Dans la banque de nombreux cadres sont payés 16 mois.
Georges- Président du Conseil Général
- Nombre de messages : 2950
Age : 76
Date d'inscription : 20/07/2008
Re: La zone euro discute d'un fonds spécial pour se défendre face à la crise
Jean-Claude a écrit:
Pour ma part et sans aucun rapport avec un quelconque "risque" ( les risques d'un DRH se limitent à être pris éventuellement en otage par les salariés ... mais là il s'agit d'un autre débat ) je percevais 12 mois de salaire, un 13ème mois, une prime de vacances équivalente à 1 mois de salaire et enfin une "prime d'objectif" équivalente à 2 mois de salaire ! Fais le calcul ... 16 mois de salaire !
!
qu'est ce que tu débloques encore contre le public ??
S'il y a un secteur où tout au centime près , est déclaré , c'est bien le public !
Et les primes sont déclarées , pour les éducateurs de groupe , qui sont obligés de prendre leurs repas avec les jeunes délinquants , cela est déclaré en " avantages " et vient s'ajouter au montant des traitements et primes reçues au cours de l'année !
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