les boulets de juin

JoeyStarr, alias Didier Morville, fait à nouveau parler de lui dans la rubrique des faits divers. Dimanche soir, l'ancien chanteur du groupe de rap NTM aurait estimé avoir été insulté par cinq personnes, dans le 11e arrondissement de Paris, précise Lepoint.fr, qui a révélé l'information.

Le chanteur s'en serait pris à leur véhicule boulevard Richard Lenoir auquel il aurait asséné des coups de hache ou de hachoir.

Plusieurs personnes ont porté plainte. Ce mercredi, le parquet de Paris a confirmé qu'une enquête de police était en cours pour «violences et dégradations». Celle-ci a été confiée au commissariat du XIe arrondissement de Paris. Pour l'instant, la star, n'a pas été placée en garde à vue ou entendue par la police.

Joey Starr a été condamné en février 2009 à trois mois de prison et à 2 000 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Paris pour des violences conjugales.

Leur piètre talent d'acteurs les a perdus. Quatre hommes soupçonnés d'un vol à main armée, fin mai, dans un bar de Marseille (Bouches-du-Rhône) ont été rapidement interpellés après s'être entièrement déshabillés et avoir fait semblant d'être plongés dans un profond sommeil...
Tout commence, le 25 mai, vers 6 h 20 dans le Ve arrondissement de la cité phocéenne.

Quatre inconnus, le visage dissimulé sous des cagoules et munis d'armes de poing, font irruption dans le bar «Le Coquet» situé au pied d'un immeuble. Les quatre mafrats menacent le gérant et les quelques clients déjà présents avant de tenter de faire main basse sur le contenu de la caisse.


Rapidement alertés par le voisinage, les policiers encerclent le commerce. Les braqueurs parviennent à dérober la recette du bar puis prennent la fuite par les toits de l'immeuble. Un incroyable course-poursuite s'engage alors. Toujours aussi déterminés, les quatre braqueurs se débarrassent rapidement de leurs armes avant de pénétrer dans un appartement en passant par une terrasse.

Ils se déshabillent et se couchent après le hold-up



Dans le logement, Mounir, 21 ans, Abdelrafik, 22 ans, Djamel, 22 ans et Ali, 27 ans décident de se déshabiller avant de se glisser dans deux lits pour échapper à leur poursuivants. Mais les policiers, renseignés par plusieurs habitants qui ont assisté à la fuite depuis les fenêtres de leur logement, retrouvent les quatre braqueurs. Ces derniers qui font semblant de se réveiller et de ne pas comprendre la présence des forces de l'ordre sont confondus. «Certains d'entre eux étaient tout en sueur après leur folle cavale sur les toits, détaille une source proche de l'affaire. Ils ont eu du mal à faire croire qu'ils dormaient à poing fermé depuis plusieurs heures...»


Chargés de la poursuite de l'enquête, les policiers de la PJ de Marseille ont retrouvé un sac appartenant aux fuyards, renfermant une cagoule, des gants et un pistolet automatique de calibre 9 mm. La perquisition de leur domicile a également permis la découverte d'un kilo de résine de cannabis, d'une dose de cocaïne et de matériel de coupe et de conditionnement de drogue. Au cours de leur fouille, les fonctionnaires de la PJ ont également interpellé un homme, soupçonné d'être impliqué dans un assassinat commis au début du mois de mars, dans le Ier arrondissement marseillais. Placés en garde à vue, un seul des suspects a reconnu avoir pris part au braquage. Les quatre braqueurs ont été mis en examen par un magistrat de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille avant d'être écroués.

Une filouterie version grand luxe et tête couronnée.
Une princesse saoudienne, mariée à un prince héritier du trône et ministre de l'Intérieur de l'Arabie saoudite, sème le trouble dans les plus grandes boutiques de luxe et palaces parisiens. Depuis plusieurs semaines, de nombreux commerçants des quartiers chics de la capitale patientent devant le palace George-V pour réclamer à la princesse Maha al-Sudaïri -qui s'est retranchée dans l'hôtel et refuse d'en sortir- le paiement de factures dispendieuses, qui ont parfois plus d'un an, dans leurs magasins. Bijoux, accessoires, lingeries, vêtements: la membre de la famille royale a de l'appétit et ne compte pas. En tout, elle devrait près de 15 millions d'euros à ses créanciers, mais les calculs sont encore difficiles à établir.

70 000 euros de petites culottes

Chaumet, Dior, Divina, Marina, Victoria Casal, etc. Ces grandes enseignes sont toutes victimes de la princesse saoudienne. Un magasin de lingerie fine accuse une note impayée de 70 000 euros, affirme France Info. Il y a quelques jours, dans Le Parisien, le propriétaire de Key Largo, une échoppe de vêtements de sports de luxe situé dans le XVIe arrondissement, expliquait attendre le règlement d'une facture de 140 000 euros depuis plusieurs semaines. "Ses filles et plusieurs de ses petits enfants, accompagnés de gardes du corps, sont passé dans mon magasin le 18 mai. Elles ont acheté des quantités impressionnantes de vêtements. L'équivalent de 7 % de mon chiffre d'affaires annuel", a raconté le commerçant. Même le vénérable Crillon, hôtel grand luxe de la place de la Concorde a été lésé. Elle y séjournait fréquemment mais, après que l'établissement lui ait réclamé son dû, elle a trouvé refuge au George-V, sur l'avenue du même nom, à deux pas des Champs-Elysées. Un palace détenu par le prince Al-Walid, son neveu.

Malgré les demandes insistantes de ses créanciers, la princesse résiste et ne compte pas lâcher un seul Ryal saoudien. Alors certains tentent les grands moyens. Une commerçante flouée expliquait au micro de France Info qu'elle avait été directement à l'ambassade saoudienne pour trouver une solution à une facture de lingerie non réglée. "Je me suis présentée à l'ambassade mais ils m'ont dit qu'ils ne pouvaient pas honorer les factures des petites culottes de la princesse". Alors, certains veulent aller plus loin, bien que la dame soit une habituée, et autrefois bonne cliente, des boutiques chics à Paris. Des policiers sont déjà venus discrètement au George-V, sans résultat. Selon une information RTL, la justice française devrait se saisir de l'affaire et des huissiers pourraient s'inviter dans la suite de la princesse. La situation va être délicate à régler, car elle prend un tour diplomatique. L'épouse de Naïef Bin Abdulaziz Al Saoud est protégée par son immunité.

livaste a écrit:un énorme boulet d'or pour le publicitaire concepteur d'une pub pour brioches ( je crois que c'est les brioches pasquier ) , qui met en scène un père faisant réviser sa gamine !
Avec de mauvaises réponses , genre

"7fois 7 ???
47.
très bien .

La capitale de la belgique ?
Acapulco.
Oui

La révolution française ?
1515.

parfait "

Cette pub passe et repasse sur les chaines , et les gamins entendent , entendent , et fixent ces conneries dans leur mémoire , sans même le vouloir !

livaste a écrit:Jeudi 11 Juin 2009

Les notes salées de la princesse
Par V.V.
LeJDD.fr

Près de 15 millions d'euros de dettes. Ce n'est pas le bilan d'une entreprise mal en point, mais le résultat d'une folie consumériste d'une princesse saoudienne, épouse d'un héritier du trône et ministre de l'Intérieur. La tête couronnée a laissé des ardoises conséquentes dans des nombreux magasins de luxe et dans un palace parisiens. Pour l'heure, retranchée au George-V, elle refuse de payer.


Retranchée dans l'hôtel George-V, une princesse saoudienne refuse de payer ses dettes, qui s'élèvent à 15 millions d'euros.

Une filouterie version grand luxe et tête couronnée.
Une princesse saoudienne, mariée à un prince héritier du trône et ministre de l'Intérieur de l'Arabie saoudite, sème le trouble dans les plus grandes boutiques de luxe et palaces parisiens. Depuis plusieurs semaines, de nombreux commerçants des quartiers chics de la capitale patientent devant le palace George-V pour réclamer à la princesse Maha al-Sudaïri -qui s'est retranchée dans l'hôtel et refuse d'en sortir- le paiement de factures dispendieuses, qui ont parfois plus d'un an, dans leurs magasins. Bijoux, accessoires, lingeries, vêtements: la membre de la famille royale a de l'appétit et ne compte pas. En tout, elle devrait près de 15 millions d'euros à ses créanciers, mais les calculs sont encore difficiles à établir.

70 000 euros de petites culottes

Chaumet, Dior, Divina, Marina, Victoria Casal, etc. Ces grandes enseignes sont toutes victimes de la princesse saoudienne. Un magasin de lingerie fine accuse une note impayée de 70 000 euros, affirme France Info. Il y a quelques jours, dans Le Parisien, le propriétaire de Key Largo, une échoppe de vêtements de sports de luxe situé dans le XVIe arrondissement, expliquait attendre le règlement d'une facture de 140 000 euros depuis plusieurs semaines. "Ses filles et plusieurs de ses petits enfants, accompagnés de gardes du corps, sont passé dans mon magasin le 18 mai. Elles ont acheté des quantités impressionnantes de vêtements. L'équivalent de 7 % de mon chiffre d'affaires annuel", a raconté le commerçant. Même le vénérable Crillon, hôtel grand luxe de la place de la Concorde a été lésé. Elle y séjournait fréquemment mais, après que l'établissement lui ait réclamé son dû, elle a trouvé refuge au George-V, sur l'avenue du même nom, à deux pas des Champs-Elysées. Un palace détenu par le prince Al-Walid, son neveu.

Malgré les demandes insistantes de ses créanciers, la princesse résiste et ne compte pas lâcher un seul Ryal saoudien. Alors certains tentent les grands moyens. Une commerçante flouée expliquait au micro de France Info qu'elle avait été directement à l'ambassade saoudienne pour trouver une solution à une facture de lingerie non réglée. "Je me suis présentée à l'ambassade mais ils m'ont dit qu'ils ne pouvaient pas honorer les factures des petites culottes de la princesse". Alors, certains veulent aller plus loin, bien que la dame soit une habituée, et autrefois bonne cliente, des boutiques chics à Paris. Des policiers sont déjà venus discrètement au George-V, sans résultat. Selon une information RTL, la justice française devrait se saisir de l'affaire et des huissiers pourraient s'inviter dans la suite de la princesse. La situation va être délicate à régler, car elle prend un tour diplomatique. L'épouse de Naïef Bin Abdulaziz Al Saoud est protégée par son immunité.

Epouse d'un prince héritier , ministre d el'intérieur mais racaille quand même !
On ne peut que se poser des questions sur les valeurs morales de son ministre et prince d'époux !

L'entourage d'une princesse saoudienne, accusée d'avoir laissé des dizaines de milliers d'euros d'ardoise dans des magasins parisiens, s'est engagé aujourd'hui auprès d'un huissier à régler l'impayé réclamé par un de ces commerçants, a-t-on appris auprès de l'avocat de ce dernier.

La chaîne vestimentaire Key Largo a obtenu vendredi l'assurance de se faire virer "mercredi au plus tard" les 89.000 euros restés impayés sur une facture émise "il y a plus d'un an" après les achats de Maha al-Sudairi, épouse du ministre saoudien de l'Intérieur, le prince Nayef ben Abdel Aziz, a déclaré à l'AFP Me Jacky Benazerah.

Le magasin avait intenté une action au civil auprès du tribunal de grande instance (TGI) de Paris, qui avait délivré une ordonnance de saisie conservatoire. Vendredi à 16H15, des huissiers se sont ainsi présenté au palace parisien George V, propriété du prince Al-Walid ben Talal, neveu de la princesse qui y séjournerait.

"L'opération a duré trois heures et le consul d'Arabie saoudite s'est déplacé en personne", a rapporté Me Benazerah, ajoutant: "un chèque de garantie de 89.000 euros a été déposé entre les mains de l'huissier avec l'assurance d'un virement bancaire au plus tard mercredi".

"Rien n'a été saisi dans l'hôtel", a assuré le conseil, à qui il a été avancé que des "dysfonctionnements au sein du personnel de la princesse expliquent ces oublis de règlement".

Un homme de 90 ans a été arrêté puis remis en liberté pour avoir "attaqué" sa banque... deux fois. Ce nonagénaire placé sous tutelle a tenté une première fois jeudi matin de retirer de l'argent sur son compte dans une agence de la Caisse d'épargne dans le quartier populaire de Pont-de-Vivaux, dans le 10e arrondissement. Mécontent du refus des employés, il était revenu une demi-heure plus tard en exhibant un pistolet de calibre 7.65 mm chargé.

Interpellé par les policiers de la Brigade anti-criminalité, il était présenté dans la soirée au parquet qui le remettait en liberté. Mais vendredi matin, le vieil homme a de nouveau voulu retirer de l'argent sur son compte et a agressé verbalement une guichetière avant d'être de nouveau interpellé, cette fois sans arme. Les policiers l'ont ramené à sa famille après lui avoir fait la morale.

Le plan Epervier a été déclenché dimanche pour retrouver un homme qui, cagoulé et armé d'un pistolet, a braqué la buvette du club bouliste de Brignoles (Var), en plein concours.

Si tôt l'alerte donnée par les boulistes, sous les yeux médusés des quelque 200 personnes qui assistaient au concours, une chasse à l'homme a alors débuté vers 16H30.

Plus de trente gendarmes du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG) de Brignoles, de la brigade de recherches et de la brigade territoriale ont été mobilisés.

Après son forfait, le jeune homme de 24 ans, sans profession et habitant la région, s'était réfugié dans un squat de la ville. C'est là qu'il a été arrêté, une heure et demie plus tard, avec encore en sa possession son maigre butin - 400 euros -, la cagoule et un pistolet à grenaille. Il a été placé en garde à vue à Brignoles et le parquet de Draguignan a été informé.

Depuis des semaines, le maillot de la saison 2009/2010 provoque la colère d'une partie des supporteurs parisiens. Majoritairement bleu pour jouer à domicile ou blanc orné de points rouge et bleu pour l'extérieur, le nouvel équipement parisien est jugé trop éloigné des couleurs traditionnelles du club : bleu, blanc et rouge. L'appel au boycott, lancé il y a quelques jours, est toujours d'actualité.

Durant deux heures sous les yeux éberlués des touristes qui déambulaient sur les Champs-Elysées, les supporteurs ont hurlé leur hostilité et copieusement insulté les dirigeants du PSG, Sébastien Bazin et Philippe Boindrieux en tête. La boutique qui ouvrait exceptionnellement ses portes en nocturne est restée quasiment vide toute la soirée. Les clients potentiels hésitaient pour la plupart à franchir le groupe compact qui se tenait devant l'entrée du magasin encadré par une partie des trois pelotons de gardes mobiles dépêchés sur place.

Les rares personnes qui parvenaient à acheter un maillot étaient copieusement hués et affublés de toutes sortes de noms d'oiseau en ressortant du magasin... Le regard dépité, les responsables du magasin contemplaient les vitrines recouvertes d'autocollants en concédant que la soirée était loin d'être rentable.

Le centre du XV de France Mathieu Bastareaud, qui s'était déclaré victime d'une agression en pleine rue dimanche à Wellington, a reconnu jeudi avoir menti et a affirmé avoir "heurté la table de nuit" de sa chambre d'hôtel, dans un communiqué publié par son club, le Stade Français. "Je tenais à revenir sur les incidents qui se sont produits en Nouvelle-Zélande, écrit Bastareaud dans le communiqué. Je dois la vérité à tout le monde."

"Samedi soir, je suis rentré à l'hôtel après avoir trop bu. Je suis tombé dans ma chambre, j'ai heurté la table de nuit et je me suis ouvert la pommette. J'ai eu honte, j'ai paniqué et j'ai cru que j'allais être renvoyé de l'Equipe de France. J'ai raconté cette histoire pensant que cela allait passer, mais vu l'ampleur que cela prend je préfère raconter la vérité", a poursuivi le joueur. "Je ne voulais pas choquer ma famille. J'ai paniqué et je me suis enfoncé. Je tiens à m'excuser auprès de la Fédération néo-zélandaise, de la ville de Wellington, des joueurs de l'Equipe de France, du staff, de mon club, de mes amis et auprès de tous ceux touchés par cette histoire", a conclu Bastareaud dans son communiqué.

Dimanche, l'encadrement du XV de France, rapportant des propos du joueur, avait indiqué que Bastareaud, 20 ans, avait été agressé par un groupe de quatre ou cinq personnes à Wellington, dimanche dans la nuit suivant la défaite française (10-14) contre la Nouvelle-Zélande. Le joueur, victime d'un important traumatisme facial, n'avait pas souhaité porté plainte et avait quitté ses partenaires lundi pour rentrer en France.

Jeudi, la télévision néo-zélandaise TV One, relayée par l'agence de presse NZPA, a affirmé que le joueur n'avait pas été agressé dans la rue. "La police s'est procuré des vidéos de surveillance montrant un Bastareaud non blessé rentrant à son hôtel en compagnie de deux joueurs et deux femmes, selon la TV One", écrit NZPA.

Le porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre a estimé samedi que le fait de permettre aux salariés en arrêt maladie ou en congé maternité de travailler de chez eux allait "dans le sens de la modernité" et que l'"on y reviendra(it)".

"C'est le sens de la modernité, on y reviendra", a-t-il déclaré sur LCI.
Fin mai, M. Lefebvre avait suscité un tollé en déposant un amendement qui permettait aux salariés en arrêt maladie ou en congé maternité de travailler de chez eux, lors de l'examen à l'Assemblée du texte UMP sur le prêt de main d'oeuvre entre entreprises. Il avait finalement retiré son amendement.

"Je veux que le salarié puisse avoir un nouveau droit, à partir du moment où il y a un certificat médical, que c'est donc lui qui le déclenche, de travailler s'il le souhaite", a-t-il ajouté.
"Il y a beaucoup de Français, y compris en longue maladie, qui ont besoin du travail pour guérir", a jugé M. Lefebvre qui s'est prévalu du soutient du député UMP Bernard Debré, chirurgien de profession.

"Un de mes collègues, Bernard Debré, qui est quand même pas n'importe qui, m'a dit: +la prochaine fois que tu parles de ce sujet, je veux être à tes côtés et qu'on le défende ensemble parce que ça peut être un moyen de faire guérir un certain nombre de Français qui le souhaitent", a-t-il indiqué.
"Il ne s'agit pas de faire travailler les gens malades qui ne veulent pas", a insisté M. Lefebvre.

«Pour sa sécurité », le magistrat qui aurait frappé de deux coups de couteau sa femme dans la nuit de vendredi à samedi (lire nos éditions d'hier), a été incarcéré en région parisienne et placé à l'isolement tard, dans la soirée de dimanche.
Et comme réclamé par le parquet de Rouen qui a suivi cette affaire durant tout le week-end, une information judiciaire pour « tentative de meurtre », aggravée par la circonstance que les protagonistes de ce fait divers sont mariés, a été ouverte. Un juge d'instruction sera donc désigné dans quelques jours pour examiner ce dossier de violences conjugales.
Si elle implique un juge du siège qui travaillait notamment au tribunal correctionnel de Rouen depuis quelques années jusque début 2005, au niveau pénal, l'affaire paraît simple : une dispute, deux coups de couteau de cuisine, un appel au secours, des témoins, la police, une arrestation, un transfert à l'hôpital.

« Il a pris un couteau pour se défendre »
Les faits se déroulent dans une rue du centre-ville de Rouen, non loin du boulevard des Belges. Pourquoi le ton est-il monté vendredi soir ? L'origine du différend reste à établir. Néanmoins, il semble que ce couple, uni depuis 2004 après un précédent mariage, se dispute régulièrement. Et que, fréquemment aussi, la police intervient à leur domicile pour mettre un terme aux « violences réciproques ». La semaine dernière par exemple, les gardiens de la paix ont été appelés chez eux car l'épouse, une femme âgée de 52 ans, avait reçu de nombreux coups. En août 2008, ce serait elle, cette fois, qui en aurait asséné à son mari âgé de 58 ans, « placé en congé longue durée » depuis plus de quatre ans. Lorsqu'il a été interpellé samedi matin, l'homme présentait lui aussi des traces de griffures sur le corps. Il souffrait également d'une plaie à la tête. Lors de son audition devant un magistrat du parquet dimanche soir, il a affirmé que sa femme s'était aussi montrée violente à son encontre. Et qu'il « a pris un couteau de cuisine pour se défendre ». Cela étant, ses déclarations ne correspondent ni à celles de son épouse, ni à celles de voisins du couple qui ont assisté à la fin de leur dispute.
La victime était hier encore à l'hôpital Charles-Nicolle. Les deux coups de couteau qu'elle a reçus au ventre et au sein n'ont, selon une source judiciaire, « jamais engagé son pronostic vital ». Elle a d'ailleurs déjà été entendue par les enquêteurs de la Sûreté départementale, en charge des investigations.

franline a écrit:c'est triste a dire mais , si il y a mise sous tutelle c'est qu'il y a irresponsabilité quelque part .(j'ai faillit lancer une procédure contre ma mère à une époque afin de ne pas subir ses conneries plus tard ...elle s'endettait constamment et fallait l'aider ensuite ) . je pense que certains peuvent être irresponsable dû à un âge avancé , d'autre par connerie et ce vitam eternam..