violences au quotidien

franline a écrit:moi j'ai du mal à comprendre ces attaques continuelles sur les umpistes qui consistent toujours a les rabaisser en les traitant d'idolâtres , fans et autres stupidités au lieu d'argumenter .

Octave a écrit:Oui mais en même temps je suis à peu près certain que c'est de l'ironie.

c'est à dire qu'il y a dans nos quartiers , des " troupes " qui s'organisent pour s'attaquer aux institutions de notre république .

INFO LE PARISIEN AUJOURD'HUI EN FRANCE. Le trafic ferroviaire a été sérieusement perturbé, mardi soir, sur la ligne du RER B qui dessert notamment l'aéroport de Roissy. Un peu après 21 h 30, des inconnus ont jeté des pierres sur une rame du RER depuis une passerlle qui enjambe les voies entre Le Bourget et Drancy (Seine-Saint-Denis).

Le conducteur a donné l'alerte et le trafic a été immédiatement interrompu pour permettre l'intervention des forces de l'ordre. Le trafic n'a pu être rétabli qu'aux alentours de 22 heures.

sarkonaute a écrit:ça viendra, ne t'inquiete pas

Trois personnes, deux hommes de 24 ans et une femme de 21 ans, ont été mises en examen dimanche après-midi par un juge d'instruction de Bobigny dans l'affaire des tirs de kalachnikov sur un fourgon de police à la Courneuve (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris de source judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/06/28/01011-20090628FILWWW00108-tirs-a-la-courneuves-mises-en-examen.php

Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a "fermement condamné" aujourd'hui le jet d'une grenade devant le commissariat du 3e arrondissement de Marseille, qui a provoqué des dégâts sur plusieurs véhicules et la porte de l'école voisine jeudi soir, un acte qui aurait "pu tuer". "Je condamne fermement cet acte inacceptable, qui aurait pu tuer ou blesser", a déclaré le ministre de l'Intérieur dans un communiqué.

Il indique avoir "dès à présent mobilisé la direction interrégionale de la PJ de Marseille, en particulier le police technique et scientifique, afin de retrouver au plus vite les auteurs de cet acte, les interpeller et les déférer à la justice". Vers 23HOO, selon les premières investigations, une grenade offensive a été lancée devant le commissariat du 3e arrondissement, dans la cité populaire Félix Pyat.

L'explosion de l'engin a soufflé les vitres de plusieurs véhicules et criblé de billes de plomb la porte de l'école voisine. Une enquête a été ouverte vendredi par le parquet de Marseille, qui l'a confiée à la brigade criminelle de la Dipj de Marseille.

Effaré, l’élu de permanence découvre hier matin le portail explosé de la petite école maternelle de la Madeleine, à Gonesse. Sur le talus, à l’entrée de l’établissement, l’herbe aplatie témoigne de la violence du choc. C’est l’épilogue d’une folle course-poursuite entre des policiers et les auteurs présumés d’une agression.

Bilan : un homme âgé de 21 ans a été hospitalisé à Gonesse, sous surveillance policière. Deux de ses complices étaient hier encore en garde à vue.
Tout commence vers une heure du matin par un car jacking à Arnouville-lès-Gonesse. Selon le ministère de l’Intérieur, cinq individus s’emparent d’une Peugeot 207 en extirpant la conductrice de sa voiture sous la menace d’une arme. La victime alerte aussitôt les forces de l’ordre qui repèrent rapidement ce véhicule dans la même commune, grâce à la description.

Un des occupants saute en marche

Une course-poursuite spectaculaire s’engage alors dans les rues désertes. De source judiciaire, la voiture volée, avec trois individus à son bord, heurte à plusieurs reprises les véhicules des policiers. Finalement, c’est à Gonesse que se termine la course. Le véhicule des fuyards s’engouffre dans une petite voie sans issue. Toujours de source policière, l’un des occupants saute en marche et se fait écraser entre la voiture et le talus à l’entrée de l’école. Son pronostic vital n’est, pour autant, pas engagé. Il aurait même été auditionné hier. Les deux autres prennent la fuite mais sont interpellés et placés en garde à vue.
La police judiciaire est chargée de l’enquête. De son côté, Jean-Pierre Blazy, le maire (PS) de Gonesse, est en colère car il n’a appris la nouvelle que dans la matinée. « La mairie n’a pas été prévenue dans la nuit, déplore-t-il. Il y a une attitude de plus en plus délibérée des autorités de ne pas nous tenir au courant. Dans la loi Sarkozy de 2007, il est pourtant prévu que les élus doivent être alertés en cas de trouble à l’ordre public. J’ai déjà écrit au préfet pour demander que cela soit fait. Lors d’un précédent incident entre des jeunes et la police dans le quartier de Saint-Blin, il y a deux semaines, ce n’était pas le cas. » En attendant, hier matin, l’élu de permanence et les services techniques de la mairie se sont rendus sur place pour évaluer les travaux à entreprendre.
La moitié du portail était encore pliée sur la pelouse dans la cour. Un fait divers exceptionnel dans ce quartier pavillonnaire d’ordinaire très calme.

Une conductrice de bus de 47 ans a été agressée, samedi 11 juillet, à Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines. La victime a été agressée vers 21 heures alors qu'elle terminait son circuit, selon la même source. Deux jeunes hommes s'apprêtaient à descendre à un arrêt situé à proximité du quartier du Val Fourré quand ils se sont dirigés vers la victime pour la frapper avant de prendre la fuite avec la recette du jour, soit quelques centaines d'euros. Choquée, souffrant d'ecchymoses à la tête et aux poignets, la conductrice employée par la société TVM (Transports voyageurs du Mantois) a été hospitalisée pour des examens. Elle devrait être entendue dimanche par des enquêteurs du commissariat de Mantes-la-Jolie.

Quatre-vingts gendarmes ont été mobilisés dès dimanche dans le secteur de Louviers à la suite de dégradations volontaires par incendie dans la nuit de vendredi à samedi et du décès vendredi soir d'un jeune à un barrage de gendarmerie. Les dégradations sont liées à des jets de bouteilles incendiaires qui ont entraîné des dégâts limités sur un bâtiment de la gare et la façade de la mairie de Saint-Pierre-du-Vauvray, ainsi que sur la porte de la gendarmerie à Louviers.


Deux véhicules civils, stationnés devant cette gendarmerie, ont également été incendiés volontairement, provoquant la destruction de deux autres véhicules par propagation.


Ces renforts de gendarmerie sont déjà sur place et y «resteront le temps nécessaire», a déclaré la préfète de l'Eure, Fabienne Buccio. La situation s'est tendue après le décès vendredi soir, vers 20h30, d'un jeune homme de 18 ans à un contrôle routier de gendarmerie sur une départementale du secteur.

Une autopsie sera pratiquée lundi à Rouen pour déterminer les causes exactes du décès de la jeune victime, apprenti au centre de formation des apprentis d'Evreux et habitant la commune de Saint-Pierre-du-Vauvray, proche de Louviers. Une enquête judiciaire sera également ouverte pour faire la lumière sur les faits. «Dans un souci d'impartialité», selon le parquet, cette enquête sera confiée à la gendarmerie de Rouen, dans le département voisin.

Mini-moto

Selon la version présentée par les autorités, ce décès est dû à un accident, ce que contestent les amis de la victime, qui parlent de «bavure policière».

Le jeune homme circulait sur une mini-moto, aux côtés d'un ami, âgé de 21 ans, qui conduisait un quad et avait comme passager le frère du jeune décédé.

Domiciliés à Saint-Pierre-du-Vauvray, un village de 1.900 habitants où la gendarmerie ne rencontre généralement pas de problème particulier, les trois jeunes et les gendarmes se connaissaient.

Dans un premier temps, les gendarmes ont vu les trois jeunes passer et leur ont fait signe de ralentir. Dix minutes plus tard, les jeunes sont arrivés au contrôle en sens inverse. Selon le colonel Emmanuel Miglierina, le pilote du quad a «forcé le barrage» avant que le conducteur de la mini-moto percute un gendarme qui lui demandait de s'arrêter. Déséquilibré, il a chuté puis heurté une clôture de ciment. Inanimé, le jeune homme est décédé peu après.
Selon Mohamed, le jeune conducteur du quad, les gendarmes ont «bousculé» la victime, provoquant sa chute. D'autres amis de la victime parlent de «bavure policière». Un gendarme souffre d'une plaie à l'avant-bras droit et au poignet, a précisé le colonel Miglierina.

Il devrait plus y avoir de police, chacun fait sa loi!!! Pauvre FRANCE...

Ca sent la provoc....
Entièrement d'accord avec Camille. Barrages , contrôles, provocations, tout est mis en place pour "chauffé" une certaine population .Certain en profiterons pour s'engouffrer dans le piège des dénonciations de violences des quartier. A qui profite tout ça ?

Assez !
Plein le dos, pour être poli, de ces soi-disant "bavures" policières... Quand on est dans la légalité il n'y a pas de bavure ni d"'accident" je n'ai rien contre les jeunes, bien au contraire, mais arrêtons de tout mettre sur le dos des représentants de "l'ordre" Mais le respect existe-t-il encore en France ????

Toujours pareil !
C'est toujours la même chose ! barrage + contrôle = mort ! Bon sang, quand les forces de l'ordre vont elles laissées les jeunes se promener sans les embêter avec tout ces barrages et contrôle qui ne servent qu'a envenimé les choses ! Rebelote quelques jours après les évènements de Firminy ! Et on va dire que ce jeune étais connu des services de police et que c'est totalement de sa faute...Honte à vous force de l'ordre

laissons l enquete se derouler pour connaitre la verite et que justice soit rendue . mais si les memes debordements qu a firminy devaient se produire l etat serait le grand responsable car il est inamissible que des innocents voient leur voiture ou leur commerce brule car un jeune est mort suite a un accident ou un incident

Des incidents ont éclaté dans la nuit de lundi à mardi, à Arnouville-les-Gonesse, dans le Val-d'Oise. Un centaine de jeunes, regroupés dans le secteur de l'avenue de la République, ont incendié des poubelles. Des affrontements ont eu lieu avec les forces de l'ordre, qui ont procédé à au moins deux interpellations. Des tirs de flashball ont été entendus.

Dans la nuit de dimanche à lundi, John Gomis, un jeune homme d’origine sénégalaise domicilié dans le XVIIIe arrondissement de Paris, a été mortellement blessé d’une balle dans la tête au cours d’une rixe entre deux cités rivales de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), Garibaldi et Soubise. Ce soir-là, le jeune homme, qui a grandi dans le quartier Garibaldi, avait comme souvent rejoint ses amis d’enfance à Saint-Ouen.

Dimanche soir, comme à son habitude selon ses proches, John leur avait donné rendez-vous devant le restaurant McDonald’s de la ville.
Selon les premiers éléments de l’enquête, dimanche soir vers 23 heures-23 h 30, une quarantaine de jeunes des deux quartiers se sont, pour un motif inconnu, affrontés à l’arme à feu dans le quartier Soubise, à deux pas du centre-ville. « J’ai entendu des coups de feu, raconte une habitante. J’ai cru que c’étaient des pétards pour le 14 Juillet. J’ai regardé par la fenêtre, ça courait dans tous les sens! Et puis j’ai vu le corps, là, par terre.» Alertés par des voisins, les policiers découvrent un jeune homme inanimé, gisant sur la route à hauteur du 8, rue Saint-Denis. Grièvement blessé, John Gomis est immédiatement transporté à l’hôpital Sainte-Anne à Paris (XIV e ), où il décède quelques heures plus tard.
Pour les enquêteurs du service départemental de police judiciaire (SDPJ), il s’agit clairement d’un « affrontement entre bandes rivales ». Paul Planque, le premier adjoint (PC) de Saint-Ouen, a également évoqué hier « un règlement de comptes qui aurait mal tourné entre deux équipes de jeunes de deux quartiers différents ». Selon les proches de la victime, il y aurait eu ce soir-là une première altercation entre des jeunes de Garibaldi et des jeunes du vieux Saint-Ouen. La police a de fait été appelée une première fois vers 23 heures par des habitants de la cité Soubise mais à son arrivée, quelques minutes plus tard, le calme régnait.

Deux personnes interpellées

Que s’est-il passé dans les heures précédant le drame ? Y a-t-il eu, comme certains le prétendent, une première altercation à Garibaldi entre des jeunes de ces deux quartiers ? Hier, les policiers du SDPJ poursuivaient les auditions des deux personnes interpellées dans la cité Soubise peu après le drame. Des traces de sang ont été retrouvées dans la voiture de l’un d’entre eux. Mais la plus grande prudence s’imposait : « Ces deux personnes ne sont pas forcément les auteurs du tir », indique le SDPJ.
Hier soir, « par respect pour la famille de la victime », la municipalité de Saint-Ouen a annulé les festivités du 14 Juillet, qui devaient se dérouler dans le parc du Château, à moins de cinquante mètres du lieu du drame. Le dispositif de sécurité a en revanche été maintenu.

Selon eux, des coups de feu ont été tirés d'une fenêtre de cette maison. Touché par une gerbe de plomb de petit calibre, l'adolescent de 17 ans a été hospitalisé au CHU de Besançon qu'il a quitté mercredi matin, les blessures n'étant que superficielles, a précisé le parquet de Besançon.

Le propriétaire des lieux, un homme de 59 ans, conteste avoir tiré sur les intrus et assure, comme sa compagne, n'avoir rien entendu. Les enquêteurs ont saisi plusieurs armes à feu, notamment des fusils de chasse, à leur domicile.

Le couple a été placé en garde à vue, qui a été prolongée de 24 heures. Les trois mineurs devront répondre ultérieurement de tentative de cambriolage.