A Taverny, les clandestins habitent le Château !
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A Taverny, les clandestins habitent le Château !
Communiqué de presse de Jean-Michel Dubois et Alexandre Simonnot
Non ça n’est pas un Poisson d’Avril ! A Taverny, les clandestins habitent le Château !
Racheté il y a déjà sept années par la Croix Rouge, avec la bénédiction de la municipalité socialo-communiste et la complicité de l’UMP, le somptueux Château de Taverny abrite exclusivement des clandestins. Il s’agit de clandestins mineurs provenant directement de l’Aéroport de Roissy-CDG, situé à juste 15km de là.
Logés, nourris, blanchis, ces clandestins vivent paisiblement dans ce gigantesque édifice et se promènent tranquillement dans les rues de la ville sans manquer d’y commettre quelques délits… il faut bien se distraire.
Ces châtelains-clandestins n’ont plus qu’à attendre leur majorité pour revendiquer leur régularisation qui leur sera bien évidemment accordée au nom de « l’immigration choisie » chère à Nicolas SARKOZY.
Plus grave encore, beaucoup de ces clandestins n’ont pas attendu leur majorité et ont fugué en se dispersant sur notre territoire national.
Jean-Michel DUBOIS, Tête de Liste Front National en Ile-de-France pour les prochaines Elections Européennes, et Alexandre SIMONNOT, Conseiller Municipal Front National de TAVERNY, dénoncent avec la plus grande fermeté ce laxisme et cette scandaleuse préférence étrangère.
Rien n’empêche en effet la Croix Rouge d’accueillir dans ce Château des familles françaises en difficulté ou des français qui sont sans abris. Ce serait très utile et normal. En revanche, réserver un Château à des clandestins est scandaleux et profondément antinational !
Non ça n’est pas un Poisson d’Avril ! A Taverny, les clandestins habitent le Château !
Racheté il y a déjà sept années par la Croix Rouge, avec la bénédiction de la municipalité socialo-communiste et la complicité de l’UMP, le somptueux Château de Taverny abrite exclusivement des clandestins. Il s’agit de clandestins mineurs provenant directement de l’Aéroport de Roissy-CDG, situé à juste 15km de là.
Logés, nourris, blanchis, ces clandestins vivent paisiblement dans ce gigantesque édifice et se promènent tranquillement dans les rues de la ville sans manquer d’y commettre quelques délits… il faut bien se distraire.
Ces châtelains-clandestins n’ont plus qu’à attendre leur majorité pour revendiquer leur régularisation qui leur sera bien évidemment accordée au nom de « l’immigration choisie » chère à Nicolas SARKOZY.
Plus grave encore, beaucoup de ces clandestins n’ont pas attendu leur majorité et ont fugué en se dispersant sur notre territoire national.
Jean-Michel DUBOIS, Tête de Liste Front National en Ile-de-France pour les prochaines Elections Européennes, et Alexandre SIMONNOT, Conseiller Municipal Front National de TAVERNY, dénoncent avec la plus grande fermeté ce laxisme et cette scandaleuse préférence étrangère.
Rien n’empêche en effet la Croix Rouge d’accueillir dans ce Château des familles françaises en difficulté ou des français qui sont sans abris. Ce serait très utile et normal. En revanche, réserver un Château à des clandestins est scandaleux et profondément antinational !
shimmy- Président du Conseil Général
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Date d'inscription : 14/01/2008
Re: A Taverny, les clandestins habitent le Château !
Il serait temps de faire prendre conscience que les étrangers ont vocation à s'intégrer... dans leurs pays et pas ailleurs.
saco
saco
Invité- Invité
Re: A Taverny, les clandestins habitent le Château !
la Suisse les accueil dans des abris anti-atomiques .... chacun ses châteaux !
personnellement , je ne comprends pas ce choix, ce château doit faire parti du patrimoine nationale.
Quant a renvoyer des mineurs chez eux ... certes mais , je pense que toute personne pense d'abord a son "devenir" en les renvoyant sans parents.... il faut prouver qu'ils ne sont pas orphelins .
personnellement , je ne comprends pas ce choix, ce château doit faire parti du patrimoine nationale.
Quant a renvoyer des mineurs chez eux ... certes mais , je pense que toute personne pense d'abord a son "devenir" en les renvoyant sans parents.... il faut prouver qu'ils ne sont pas orphelins .
Invité- Invité
Re: A Taverny, les clandestins habitent le Château !
http://www.liberation.fr/societe/0101403656-enfants-etrangers-terreur-a-tavernyC'est une belle bâtisse, sur les hauteurs de Taverny (Val-d'Oise). Le parc couvre quatre hectares, en bordure de la forêt de Montmorency. D'un côté, une église du XIIIe siècle et son cimetière. De l'autre, une base militaire. En contrebas, quelques maisons et des immeubles de standing. Un cadre idéal, pensait la Croix-Rouge, pour implanter le centre d'accueil pour enfants isolés, que le gouvernement lui a demandé de créer l'an dernier. Pour mettre à l'abri ces enfants étrangers qui débarquent seuls à Roissy, proies idéales pour proxénètes et réseaux en tous genres. Mais de ces enfants tombés de l'avion, à 15 kilomètres de chez eux, les riverains du Haut Tertre ne veulent pas. Ils pétitionnent, manifestent, menacent d'engager des procédures judiciaires. La municipalité socialiste se plaint des méthodes cavalières des dirigeants de la Croix-Rouge, accusés de s'imposer en force sans avoir cherché le dialogue avec les élus locaux et les habitants de la ville. Elle vient de s'opposer aux travaux de mise aux normes de sécurité prévus par la Croix-Rouge. De retard d'ouverture en contretemps, la demeure reste vide et le parc désert. «Je ne comprends pas comment 30 malheureux enfants isolés auxquels on veut donner un lit et une raison de vivre peuvent faire peur aux milliers d'habitants de Taverny. Ce ne sont pas des enfants sauvages. Ils n'ont pas de plumes, ni de hache», s'indigne Marc Gentilini, président de la Croix-Rouge.
Standing. L'affaire est assez emblématique. Sur le fond, personne ne conteste la nécessité de secourir des enfants en danger. De même, lorsqu'ils s'expriment au Parlement, les élus de tous bords réclament la création de centres pour placer les mineurs délinquants (1). Leurs électeurs y sont, eux-mêmes, largement favorables. Tant que ces structures restent assez loin de leurs parages. Sinon, c'est la levée de boucliers: la maison visée est trop luxueuse, ou trop petite; trop proche des autres habitations, ou trop isolée. Quoi qu'il en soit, l'endroit est mal choisi et les enfants seraient mieux ailleurs. Les associations de riverains craignent de voir leur tranquillité menacée. Ils redoutent aussi une baisse du prix de l'immobilier dans le voisinage et donc de la valeur de leur patrimoine. Les jeunes en danger ou délinquants, c'est pas bon pour le standing, d'après les agents immobiliers.
«On passe pour des salauds, c'est désagréable. On cherche à nous culpabiliser», déplore Bijan Guilyardi, président de l'Association des habitants du Nord-Taverny, qui a recueilli 1 800 signatures de pétitionnaires. Premier argument: l'endroit est trop beau. Les responsables de la Croix-Rouge, «gens désireux des honneurs et de la pompe», gaspillent les fonds publics. «On ne va pas me dire qu'il n'était pas possible de trouver un motel disponible, entre Roissy et le tribunal de Bobigny où ils auront des rendez-vous avec les juges», dit Bijan Guilyardi. «Précisément, nous avions étudié le rachat d'un motel de 30 chambres, sans espaces verts et sur le bord d'une autoroute à Louvres. C'était pratiquement le même prix, soit une dizaine de millions de francs», se défend Martine Fiorello, déléguée nationale à la Croix-Rouge. La demeure de Taverny, qui se prête difficilement à une exploitation commerciale, était en vente depuis deux ans; plusieurs offres d'hôteliers ont dû être abandonnées car leurs banques n'ont pas suivi, précise-t-elle.
Réseaux. Deuxième argument: cette bâtisse à proximité de la forêt est difficile à protéger. «Or on nous parle de proxénétisme. Des criminels sont intéressés par ces enfants», avance Bijan Guilyardi. «On suppose que leur voyage a été organisé par des réseaux de passeurs, mafieux ou pas, reconnaît Martine Fiorello. Mais les proxénètes ne vont pas s'amuser à venir récupérer les enfants qui leur échappent parce qu'ils sont placés», poursuit-elle. Lors d'une longue réunion à la préfecture, fin janvier, la Croix-Rouge croyait avoir levé les doutes sur le nombre des enfants qui seraient accueillis, leur statut, le taux d'encadrement (un adulte pour un enfant). Et avoir mis fin aux fantasmes de grosses Mercedes noires rôdant dans le secteur, ou d'enfants s'échappant en emportant la robinetterie. Reste l'aspect immobilier. «Demandez aux agences immobilières du coin. Elles ne peuvent plus rien proposer dans ce quartier, affirme Bijan Guilyardi. Il n'est pas illégitime que des gens cherchent à protéger des biens acquis avec le travail d'une vie», dit-il.
Loin de la ville. Tous les directeurs des services de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) se heurtent à la même hostilité quand il s'agit d'implanter des centres pour jeunes délinquants. «En général, on achète avec un avis négatif plus ou moins mou du maire. Qui nous met plus ou moins de bâtons dans les roues par la suite, en préemptant ou en refusant des travaux ou des changements d'affectation de bâtiments», explique Max Longeron, directeur de la PJJ pour la région parisienne. «A Brest et Angers, on a dû renoncer et aller assez loin à l'extérieur de ces villes», indique son homologue breton, Jean-Jacques Chabot. A Quimper, la PJJ a acheté une maison sur 4 500 m2 de terrain, dans une zone résidentielle en bordure d'une anse de l'Odet. La structure accueille déjà quelques enfants, mais doit engager des travaux pour atteindre sa taille optimale: une capacité d'accueil de 11 enfants.
Ilot privé. Pour l'heure, la municipalité RPR ne s'est pas opposée à l'achat, n'a pas refusé le changement d'affectation de la maison. Ce sont les riverains qui menacent de saisir la justice. «Les représentants de l'association ont été invités à visiter un de nos centres, à Lorient. Ils ont constaté que ce n'était pas insupportable pour le voisinage. Qu'il n'y a pas de lignes électrifiées autour», explique Claude Le Trividic, directeur départemental. De plus, les relations sont sereines avec les jeunes déjà arrivés. Mais les 25 riverains restent l'arme au pied et ne veulent pas de CPI (centre de placement immédiat) dans leur îlot desservi par des chemins privés. «Moi je ne suis pas hostile à la structure. En plus, je suis à 200 mètres de ce truc, explique Michel Bernard, président de l'association. Mais il y a trois voisins dont les maisons sont à 20 mètres. Or les gens se sont installés dans ce coin pas donné même si c'était moins cher pour les premiers arrivés car ils ont des exigences de calme. Sans compter que ça dévalorise les propriétés», poursuit-il, déplorant un «passage en force» de l'administration.
Directeur pour la région Languedoc-Roussillon, René Guillamet essaie d'éviter le passage en force. Il recherche l'adhésion des habitants concernés. Résultat: près de deux ans de galère et 29 dossiers instruits pour la création d'un CPI dans les environs de Montpellier. «Il y a trente-cinq ans que je fais ce métier. Dans les années 70-80, les riverains venaient aux réunions des foyers. Les réseaux d'employeurs fonctionnaient bien. On sentait une volonté d'intégrer tout le monde, dit-il. On ne fabrique plus beaucoup de solidarité, de nos jours. Les gens pensent réussite individuelle, protection individuelle. Or, un jour ou l'autre, ils seront touchés par ce qui se passe à l'extérieur de chez eux.».
(1) Le ministère de la Justice affiche sa volonté de multiplier les centres d'éducation renforcée (CER) et les centres de placements immédiats (CPI).
Invité- Invité
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