Sarkozy «garde le cap» malgré la pression de la rue

Au lendemain d'une journée de mobilisation qui a rassemblé 1,2 à 3 millions de personnes, le président Nicolas Sarkozy assure comprendre «l'inquiétude des salariés» face «à la crise économique mondiale», mais il a souligné qu'il comptait «garder le cap dans la tempête» et a mis l'accent sur les mesures déjà annoncées.

Les grèves et manifestations «ne sont pas une réponse à la crise», a-t-il dit vendredi en marge d'un sommet à Bruxelles. Le gouvernement «complètera, modifiera, ajoutera s'il le faut» aux mesures, d'un montant de 2,6 milliards d'euros, déja annoncées en faveur des ménages les plus défavorisés, a-t-il assuré. Un écho à ce qu'avait affirmé son premier ministre la veille.

Le chef de l'Etat a remarqué que l'inquiétude des Français n'avait «pas régressé depuis un mois et demi» et les manifestations du 29 janvier. «Mais qui aurait pu considérer que l'inquiétude aurait pu régresser entre les manifestations de janvier et celles de mars?», s'est-il demandé. Faisant valoir que le nombre de grévistes avait été moindre jeudi que le 29 janvier (ndlr: 21,1% dans les trois fonctions publiques contre 25%), Nicolas Sarkozy a également remarqué que «le pays n'a pas été paralysé. Et ça n'a pas nui à la revendication», a-t-il ajouté.

Le président a cependant concédé qu'il fallait faire davantage en matière de «réindustrialisation». Evoquant «l'angoissante question des restructurations industrielles», il a affirmé que «personne ne doit rester au bord chemin». Selon lui, il faudra être «beaucoup plus offensif dans des entreprises qui n'ont pas d'avenir», afin de «réindustrialiser les bassins» dans lesquels elles sont implantées.

De leur côté, les huit syndicats à l'origine des grèves et manifestations décideront le 30 mars des suites à donner au mouvement social.

Isis a écrit:Je suis habituée à ce que vous ne compreniez rien aux sujets .
Le symbole de l'ôter .
Sachez toutefois que le bouclier fiscal permet aux riches de continuer à payer leurs impôts en France et non dans les paradis fiscaux .
Et donc que leur argent soit redistribué et collecté en France .
Sachez aussi en substance si votre capacité d'analyse le permet, que le bouclier permet à ces personnes de continuer à avoir envie d'embaucher chez nous .
Si vous faites partir ceux qui embauchent et emploient, ou les forcez à s'abstenir de l'impôt ...
C'est la France qui a un manque à gagner dans ses recettes .

Jean-Claude a écrit:
Pouvez-vous me dire ce que vous avez voulu exprimer en écrivant : " les forcez à s'abstenir de l'impôt !"

Isis a écrit:
Et on se calme un peu ou je vous mets en mode ignore .

livaste a écrit:je me suis déjà exprimée sur le sujet , je ne vois pas l'avantage de réinstaurer un impôt plus foryt pour " les riches " !
On y gagnerait quoi ?
Ils partiront vers les autres pays , n'importe lequel en fait , pas besoin de recourir aux paradis fiscaux .

Cette manie de vouloir continuer la lutte des classes est un archaisme purement français .
S'ils réfléchissaient un peu , les moutons qui ressassent et répètent les slogans gauchistes , ils comprendraient ( peut être ) qu'un riche qui gagne 1 million d'euros en redonne la moitié au fisc , il me semble que c'est une contribution qui n'est pas négligeable , une " redistribution " énorme .
Mais les partis de gauche continuent à agiter la haine , l'envie , la jalousie , auprès des masses qui ne sortent pas un cent d'impôt mais qui profitent largement de la collecte fiscale .

Travailler à l’étranger : le retour en France, difficile ?


Une expérience à l’étranger, rien de tel pour booster votre carrière ! Dans un monde globalisé, les entreprises se développent à l’international avec pour objectif de se positionner sur les nouveaux marchés. Et si vous preniez part à ce mouvement ?



Parmi les freins à une expatriation longue durée,la peur de connaître des difficultés lors du retour en France. Si vous êtes envoyé à l’étranger par votre entreprise française, pensez à bien vérifier les clauses de votre contrat.Ce dernier doit indiquer,entre autres,qui est votre employeur (entreprise en France, la filiale ?) et les critères de réintégration. Ce dernier point est crucial. La réintégration des expatriés dans la maison-mère étant le talon d’Achille des entreprises.De retour, les ex-expatriés ont du mal à retrouver leur place, ils ont évolué, l’entreprise aussi. Bien souvent, ces cadres retrouvent un poste équivalent à celui qu’ils avaient quitté mais c’est peut être aussi l’occasion de changer de poste ou de fonction. Cependant, « les individus s’affranchissent de plus en plus de leur entreprise. La difficulté pour l’entreprise est de capitaliser sur l’expérience du salarié », explique Jean- Luc Cerdin, expert en matière de gestion internationale des ressources humaines. Les responsables RH l’ont compris et mettent en place des politiques de réintégration et de formation. Il est important de garder un contact permanent avec son entreprise d’origine durant l’expatriation, d’y revenir au moins une fois par an, de se tenir au courant des évolutions internes. Si vous êtes directement embauché par une entreprise étrangère, vous aurez un contrat de travail local. Le retour en France doit là aussi se préparer.

Odile Gnanaprégassame

franline a écrit:j'ai le droit de t'envoyer pètre David ! puisque je t'ai clairement dit que je n'avais vu aucun chiffre sur la question mais que je te faisais part de ces petits articles sympathiques ...avec un petit bonhomme jaune qui rigole ... pour et par humour ! au cas où tu voudrais quitter la France pour trouver des cieux plus cléments ailleurs.... vu qu'en France le gouvernement est "incompétent" les patrons des "fourbes" ....et que le français lamda ne milite pas librement !

franline a écrit:je te démontre qu'il existe des gens qui s'expatrient et réalisent combien il est DIFFICILE de rentrer au pays .... tu devrais pourtant comprendre. et le dernier article c'est pour te montrer qu'on peut s'expatrier et s'ouvrir l'esprit sur d'autres contrées sympathiques ! si je peux permettre ce genre de séjours à mes gosses je n'hésiterais pas! ils reviendront (peut-être) moins butés qu'un type dans ton genre plutôt aigri et renfermé sur son petit monde.

franline a écrit:bon je laisse tomber , tu ne piges que ce que tu a envies .... c'est pathétique !même pas d'humour ... ça c'est encore plus triste!

Etes-vous dans la capacité de me dire combien de français expatriés pour éviter l'impôt ( braves français ) sont revenus en métropole et ont investis dans les entreprises pour créer des emplois ?