Chantage sur Libération
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Chantage sur Libération
COMMUNIQUÉ DE LA DIRECTION DE «LIBÉRATION»Avec stupeur, la direction de «Libération» constate qu'une petite minorité syndicale extérieure à l'entreprise a bloqué par la force la parution du journal...
La Direction de «Libération»
La Direction de «Libération»
Tiens les journaux gauchistes se permettent de licencier , eux qui tapent sans cesse sur les méchants patrons qui licencient parce qu'ils sont dans des situations économiques impossibles ??
La Direction de «Libération»
Avec stupeur, la direction de «Libération» constate qu'une petite minorité syndicale extérieure à l'entreprise a bloqué par la force la parution du journal pour imposer la réintégration d'une salariée, alors même qu'un accord avait été signé par la direction à l'issue de négociations avec la fédération CGT du Livre.
Cette petite minorité appartient pour l'essentiel au syndicat des Nouvelles Messageries de la Presse Parisienne, qui ne sont pas concernées par un conflit interne à «Libération», et qui sont chargées de distribuer les titres à égalité.
Cette action de force est scandaleuse et remet en question le principe même de la liberté de publier, et «Libération» dénonce cette atteinte gravissime aux principes qui régissent notre profession. Si elle devait se prolonger, cette action mettrait évidement en danger le journal.
Depuis deux semaines, «Libération» tente de mettre fin à un conflit douloureux.
Le journal a été obligé de se séparer d’une salariée, dans le strict respect de la loi. Après de multiples discussions et tentatives de compromis avec elle, la direction a finalement négocié un accord transactionnel avec son syndicat de branche, Info’Com CGT et avec la direction nationale du syndicat, la Filpac CGT. Cet accord comprend un triplement des indemnités légales (à 70 000 euros), une formation longue entièrement financée et un processus de reclassement qui se poursuivrait jusqu’à ce qu’elle trouve effectivement un autre poste.
Cet accord a été refusé par la salariée.
Auparavant, les syndicats avaient appelé à un débrayage le 9 février qui n’a pas été suivi, puis à une assemblée générale qui s’est révélée peu nombreuse. Ils ont enfin organisé un vote le jeudi 12 février sur un mot d’ordre de grève. Sur 259 personnes seules 46 se sont prononcées pour cette grève qui, en conséquence, n’a pas eu lieu.
Pendant ces événements, la salariée a entamé une grève de la faim dans les locaux du journal.
Des représentants du syndicat des Nouvelles Messageries de la Presse Parisienne, ont tenté mercredi, contre l’avis de la fédération CGT, d’imposer la réintégration de la salariée. Or seul vaut l’accord déjà passé avec la fédération, qui garantit, lui, une solution honorable à la salariée.
Le journal met tout en œuvre pour protéger la salariée, dont la santé exige un suivi médical permanent, et bien entendu, le journal reste prêt à toute nouvelle discussion en vue d'arriver à un compromis honorable et digne, sur les bases de l'accord signé avec la fédération CGT, qui lui assure un réel avenir professionnel.
La Direction de «Libération»
Tiens les journaux gauchistes se permettent de licencier , eux qui tapent sans cesse sur les méchants patrons qui licencient parce qu'ils sont dans des situations économiques impossibles ??
Re: Chantage sur Libération
avec indemnités et formation .... et elle refuse ! elle doit être ultra-gauchiste alors !!!! ...bobo voulait interdire les licenciements !!! elle défend bien cette idée farfelue !
Invité- Invité
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