IMMIGRATION, IDENTITE : LA GRANDE GLISSE
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IMMIGRATION, IDENTITE : LA GRANDE GLISSE
Lorsque Nicolas Sarkozy a lancé son immigration "choisie "comme moyen de gérer l'immigration, beaucoup ont pensé que ce projet s'appuyait sur des fondements doctrinaux solides et une vision d'homme d'Etat. Malheureusement pour le pays, la vérité est tout autre: sur l'immigration, sa politique n'est que le recyclage d'une pensée technocratique inspirée par des organisations internationales.
Immigration " choisie " : la mise en pratique des recommandations mondialistes
Chacun croit que le père de l'immigration « choisie» est Nicolas Sarkozy. Il n'est que le plagiaire intégral d'un rapport administratif publié en mai 2006 par le Centre d'analyse stratégique. Ce rapport sur l'immigration; inspiré du propre aveu de ses auteurs des travaux de l'ONU et de la Banque mondiale, théorise complètement la politique du nouveau président. On y retrouve le constat sur les besoins de main d'œuvre étrangère, les conclusions sur la nécessité de choisir l'immigration économique et même les mesures concrètes mises en œuvre. Ces idées avaient été relayées auparavant par Alain Juppé et surtout, à de multiples occasions, par les représentants du grand patronat français.
Dans ce rapport, on retrouve non seulement l'argumentation présidentielle sur le sujet mais également le détail des mesures gouvernementales: les décrets sur les professions ouvertes à l'immigration économique, les circulaires de régularisation des étrangers bénéficiaires de promesses d'embauche ou d'un contrat de travail, les mesures en faveur des étudiants étrangers, la non réforme du regroupement familial .,.
Habilement, la très immigrationniste Commission Attali dont la composition est tirée du carnet d'adresses de son président, n'intervient que pour donner une caution pluraliste et polyphonique à ce projet. La publication de fuites sur les conclusions du rapport trois jours après l'annonce de la constitutionnalisation·de la discrimination positive, relève de ce point de vue davantage d'un plan média que du hasard.
A l'évidence, Nicolas Sarkozy n'a pas la stature qu'il voudrait se donner. Il navigue au fil des tapports administratifs dans un système où le fonctionnarisme est roi et la vision d'Etat absente.
L'immigration créatrice de richesse : la grande escroquerie
Avec le souci de relooker le couplet ringard des années 80 chanté par B .Stasi « l'immigration une chance pour la France», le fondement du raisonnement des chantres de l'immigration économique tient désormais en une nouvelle formule: «l'immigration est:une source de création de richesses et donc de croissance ».
Cette création de richesses ne risque pas de concerner les Français dont les revenus stagneront voire régresseront du fait de la concurrence d'une main d' œuvre à bas prix y compris pour les postes d'encadrement et pour les professions intellectuelles : informaticiens, géomètres .,.
Elle ne concernera pas davantage la collectivité nationale qui supportera les coûts sociaux induits par cette immigration de travailleurs d'abord puis de familles ensuite. Le coût de l'immigration est évalué . à plusieurs dizaines de milliards d'euros par an. Il faut que les promoteurs de cette immigration en soient parfaitement conscients, pour s'abstenir avec une si grande constance de fournir le moindre chiffrage.
Mais attention! Nous n'en sommes qu'au début: la logique de la politique d'immigration choisie conduira rapidement à l'ouverture de la fonction publique aux étrangers, à la dérégulation des professions protégées et à la généralisation des équivalences des diplômes du monde entier avec les diplômes français. Une fois.enc1enchée, la mécanique ne s'arrêtera pas.
Qu'en pensez vous ?
Immigration " choisie " : la mise en pratique des recommandations mondialistes
Chacun croit que le père de l'immigration « choisie» est Nicolas Sarkozy. Il n'est que le plagiaire intégral d'un rapport administratif publié en mai 2006 par le Centre d'analyse stratégique. Ce rapport sur l'immigration; inspiré du propre aveu de ses auteurs des travaux de l'ONU et de la Banque mondiale, théorise complètement la politique du nouveau président. On y retrouve le constat sur les besoins de main d'œuvre étrangère, les conclusions sur la nécessité de choisir l'immigration économique et même les mesures concrètes mises en œuvre. Ces idées avaient été relayées auparavant par Alain Juppé et surtout, à de multiples occasions, par les représentants du grand patronat français.
Dans ce rapport, on retrouve non seulement l'argumentation présidentielle sur le sujet mais également le détail des mesures gouvernementales: les décrets sur les professions ouvertes à l'immigration économique, les circulaires de régularisation des étrangers bénéficiaires de promesses d'embauche ou d'un contrat de travail, les mesures en faveur des étudiants étrangers, la non réforme du regroupement familial .,.
Habilement, la très immigrationniste Commission Attali dont la composition est tirée du carnet d'adresses de son président, n'intervient que pour donner une caution pluraliste et polyphonique à ce projet. La publication de fuites sur les conclusions du rapport trois jours après l'annonce de la constitutionnalisation·de la discrimination positive, relève de ce point de vue davantage d'un plan média que du hasard.
A l'évidence, Nicolas Sarkozy n'a pas la stature qu'il voudrait se donner. Il navigue au fil des tapports administratifs dans un système où le fonctionnarisme est roi et la vision d'Etat absente.
L'immigration créatrice de richesse : la grande escroquerie
Avec le souci de relooker le couplet ringard des années 80 chanté par B .Stasi « l'immigration une chance pour la France», le fondement du raisonnement des chantres de l'immigration économique tient désormais en une nouvelle formule: «l'immigration est:une source de création de richesses et donc de croissance ».
Cette création de richesses ne risque pas de concerner les Français dont les revenus stagneront voire régresseront du fait de la concurrence d'une main d' œuvre à bas prix y compris pour les postes d'encadrement et pour les professions intellectuelles : informaticiens, géomètres .,.
Elle ne concernera pas davantage la collectivité nationale qui supportera les coûts sociaux induits par cette immigration de travailleurs d'abord puis de familles ensuite. Le coût de l'immigration est évalué . à plusieurs dizaines de milliards d'euros par an. Il faut que les promoteurs de cette immigration en soient parfaitement conscients, pour s'abstenir avec une si grande constance de fournir le moindre chiffrage.
Mais attention! Nous n'en sommes qu'au début: la logique de la politique d'immigration choisie conduira rapidement à l'ouverture de la fonction publique aux étrangers, à la dérégulation des professions protégées et à la généralisation des équivalences des diplômes du monde entier avec les diplômes français. Une fois.enc1enchée, la mécanique ne s'arrêtera pas.
Qu'en pensez vous ?
shimmy- Président du Conseil Général
- Nombre de messages : 4651
Age : 80
Date d'inscription : 14/01/2008
Re: IMMIGRATION, IDENTITE : LA GRANDE GLISSE
je suis tout à fait d'accord avec cette analyse .
Je ne crois pas à l'immigration zero , sauf en pays totalitaire cela n'a jamais pu se faire , mais je ne crois pas non plus à l'immigration choisie dans le sens où la définissent attila , stasi le pro immigrationniste sparnacien , et sarkozy !
Cette immigration n'a pour but que de remplacer le peuple par un autre , moins exigeant sur le plan des salaires mais tellement plus couteux à la communauté !
Le mal entendu vient du fait que les électeurs pensent que l'immigration choisie signifie que l'on prendra soin d'accorder des visas qu'aux demandeurs qui acceptent reellement nos lois , nos institutions , nos coutumes alors que dans l'esprit des dirigeants ce qu'ils vont choisir c'est de la maind'oeuvre qui permettra de maintenir le niveau de chomage , donc une demande supérieure à l'offre , ce qui a pour premoère conséquence de tirer les salaires vers le bas , pour la plus grande joie du patronat !
Je ne crois pas à l'immigration zero , sauf en pays totalitaire cela n'a jamais pu se faire , mais je ne crois pas non plus à l'immigration choisie dans le sens où la définissent attila , stasi le pro immigrationniste sparnacien , et sarkozy !
Cette immigration n'a pour but que de remplacer le peuple par un autre , moins exigeant sur le plan des salaires mais tellement plus couteux à la communauté !
Le mal entendu vient du fait que les électeurs pensent que l'immigration choisie signifie que l'on prendra soin d'accorder des visas qu'aux demandeurs qui acceptent reellement nos lois , nos institutions , nos coutumes alors que dans l'esprit des dirigeants ce qu'ils vont choisir c'est de la maind'oeuvre qui permettra de maintenir le niveau de chomage , donc une demande supérieure à l'offre , ce qui a pour premoère conséquence de tirer les salaires vers le bas , pour la plus grande joie du patronat !
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