L'image du chef de l'État reste celle d'un réformateur
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L'image du chef de l'État reste celle d'un réformateur
Le dernier sondage OpinionWay pour Le Figaro et LCI montre que Nicolas Sarkozy est jugé toujours aussi dynamique par les Français et que ses capacités à rassembler sont mieux appréciées.
Nicolas Sarkozy parcourt le mois de septembre avec une image plus consensuelle. Les grands équilibres qui ont structuré son image dans l'opinion sont maintenus : le président réformateur ne peut pas être en même temps un président rassembleur, car toute réforme produit des clivages et génère des oppositions. «Contrairement à Mitterrand II ou à Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy n'a pas opté pour le style rassembleur», constate Bruno Jeanbart, de l'Institut OpinionWay. Mais cette tendance principale est nuancée dans la dernière livraison du sondage OpinionWay.
Les sondés jugent toujours le président de la République plus dynamique ou réformateur, mais ses capacités à être «proche des préoccupations des Français» ou à les «rassembler» sont mieux appréciées. Cette correction peut être attribuée au moins à trois facteurs : le premier est le tour de piste international réussi depuis le voyage en Israël du mois de juin dernier. Ont suivi le lancement de l'Union pour la Méditerranée en juillet, puis la médiation dans le conflit russo-géorgien au nom de l'Union européenne. Moins «premier ministre», et plus nettement président, Nicolas Sarkozy corrige donc à la hausse son aptitude à rassembler par son action sur la scène internationale (+ 8 % par rapport au mois de juillet dernier).
«L'effet RSA et l'effet Edvige»
Pourtant, cette forte activité diplomatique aurait dû produire une impression d'éloignement des préoccupations quotidiennes de Français. Or, le président améliore aussi son image dans cette catégorie. «L'effet RSA et l'effet Edvige ont permis de mettre en avant son souhait de respecter les grands équilibres dans l'opinion», raisonne un sondeur. Car les arbitrages présidentiels de la rentrée ont été plus consensuels que prévu. «Le choix de préserver les libertés publiques dans le dossier Edvige a joué un rôle, tout comme l'annonce de la création du RSA», explique Bruno Jeanbart. «On attendait un Sarkozy sécuritaire, on a eu un Sarkozy protecteur des libertés», résume un sondeur.
L'amélioration de l'image du chef de l'État est en tout cas progressive et constante depuis avril. Il ne cesse de récupérer par strates la confiance qu'il avait perdue au fil des mois, notamment dans les catégories populaires, en perdant la bataille de communication sur le « paquet fiscal », en subissant de plein fouet la baisse du pouvoir d'achat, et en affichant médiatiquement un « droit au bonheur » qui avait fortement déplu.
Invité- Invité
Re: L'image du chef de l'État reste celle d'un réformateur
C'est "Le Figaro" .......
shimmy- Président du Conseil Général
- Nombre de messages : 4651
Age : 80
Date d'inscription : 14/01/2008
Re: L'image du chef de l'État reste celle d'un réformateur
quand tu lis les commentaires des gens s'exprimant sur le fogaro ...tu serais étonnée de voir que ce ne sont pas toujours que des gens de droite qui s'expriment .
Invité- Invité
Re: L'image du chef de l'État reste celle d'un réformateur
c'est quoi être réformateur ?,
Supprimer l'ecole maternelle ?
Taxer mon refrigérateur et mon lave linge ????
Supprimer l'ecole maternelle ?
Taxer mon refrigérateur et mon lave linge ????
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