TweetWeilergate : Hollande,Trierweiler et Royal humiliés

François Hollande, Ségolène Royal et Valérie Trierweiler, les trois principaux protagonistes de l’inénarrable TweetWeilergate, se sont collectivement couverts de ridicule. Accessoirement, la France a également été touchée…

Humiliation pour Ségolène Royal, après cette gifle publique de la part de la femme qui lui a pris le père de ses enfants. Surtout, cette affaire aura mis en lumière son comportement odieux à La Rochelle, où elle est venue comme une fleur voler la place, contre le vote des militants socialistes locaux, du député PS du cru.
Un comportement de Diva, qui devait assurer à Marie-Ségolène un bon petit plaçou sur le perchoir de l’Assemblée, qu’elle avait âprement négocié avec son ex. Mais à se voir trop belle, Ségo risque de prendre une sévère calotte en n’étant même pas élue députée. Une honte amplifiée par la déclaration de la nouvelle belle-mère de ses enfants (et oui, le quotidien de l’Élysée ressemble à un épisode de Plus belle la vie).

Humiliation cherchée pour la première concubine de France, qui a prouvé en écrivant ce tweet, qu’elle n’avait aucun contrôle d’elle même, qu’elle n’avait pas énormément de respect pour son « compagnon » ni pour sa fonction, et qu’elle se croit absolument tout permis.
Les femmes qui ont de l’ambition professionnelle, qui luttent au boulot pour prouver à leurs collègues que l’on peut être une femme sans faire preuve d’hystérie et sans mêler vie privée et vie professionnelle, doivent être ravies… Entre les évictions de Dray, de Salviac et le TweetWeilergate, la copine du président aura rapidement montré les plus belles facettes de sa personnalité.

Humiliation subie pour le pauvre Flamby, qui a prouvé à ceux qui en doutaient encore, son absence totale de charisme ou d’autorité, son incapacité à trouver la moindre solution au moindre problème, son besoin de laisser tranquillement couler les chose. Comme l’as souligné Valérie Pécresse, « le plus navrant dans cette histoire, c’est qu’à trois jours d’un scrutin qui engage le destin de la France, on n’a pas envie de se demander si François Hollande peut gérer son couple, mais plutôt s’il peut gérer la France. »
S’il n’est pas capable de tenir sa compagne pendant la durée d’une campagne électorale, comment Hollande pourra-t-il négocier avec les partenaires de la France ? Comment pourra-t-il dire non aux banques et aux marchés ? Et à Duflot ou à Mélenchon ? Il convient ici de préciser que le discours serait le même pour une femme. Si le mari d’Angela Merkel faisait quelque chose comme Trierweiler vient de faire, il va de soit que les commentateurs Allemands et mondiaux railleraient le manque d’autorité et de charisme d’une chef d’état infichue de contenir les états d’âme de son compagnon.
Hollande lâche et mou : on ne peut pas le lui reprocher, il s’y était presque engagé pendant la campagne. Mais il s’était également engagé à être un président normal et il avait juré qu’il n’y aurait, avec lui, aucune collision entre vie privée et vie publique (« Moi président,…blablabla »). Encore un mensonge ?

Malheureusement, humiliation subie également par la France et le peuple français, ridiculisés sur toute la planète à cause des jalousies d’un autre siècle de la part de la concubine du président.
ttp://24heuresactu.com/2012/06/14/tweetweilergate-hollandetrierweiler-et-royal-humilies/


Un président français fraichement élue amoureux d’une femme incontrôlable dès les débuts de son mandat… Heureusement qu’on a chassé Sarkozy !