Le porte-parole d'Eva Joly jette l'éponge

Eva Joly la jouerait-elle perso ? Silencieuse depuis l'accord de son parti avec le PS, la candidate Europe Ecologie - Les Verts à la présidentielle est revenue dans l'arène, avec des interviews au «Monde», au 20 heures de France 2 mardi, puis sur RTL ce mercredi matin.

Posez vos questions à Eva JolyPrésidentielle : le long silence d'Eva JolyJoly repart en campagne en ciblant... Hollande
Joly repart en campagne en ciblant... HollandePrésidentielle : le long silence d'Eva Joly «Plus décidée que jamais» à porter les couleurs de son parti, elle n'hésite cependant pas à attaquer les socialistes, «du bois dont on fait les marionnettes», et à prendre ses distances avec le fameux accord, qui ne la «fait pas rêver».

Une attitude qui agace au PS comme chez... les Verts. Son porte-parole, Yannick Jadot, annonce ainsi ce mercredi qu'il démissionne de ses fonctions. Sur Twitter, il écrit : «En désaccord avec la nouvelle ligne politique d'Eva Joly, j'ai décidé de démissionner de ma fonction de porte-parole.»

Peut-elle dire si elle votera Hollande au second tour? «Pas là»

Interrogée peu avant sur RTL, Eva Joly esquive lorsqu'on lui demande si elle appellera, le cas échéant, à voter François Hollande au second tour de l'élection présidentielle. «Pour moi, la sortie du nucléaire est une vraie question, répond la candidate. Nous avons toute la période des présidentielles pour discuter du nucléaire.» Face à l'insistance de Jean-Michel Aphatie qui lui demande si elle peut répondre à sa question, Eva Joly glisse : «Pas là». Elle précise tout de même : «Je ne me trompe pas d'ennemi. Le pays ne supporterait pas un deuxième mandat de Nicolas Sarkozy.»

Et sa «disparition/réapparition» ? «Elle était le fruit d'une situation qui était pour moi insupportable», confie-t-elle évoquant «un coup de colère» et jugeant «inacceptable» qu'Areva obtienne «qu'on biffe un paragraphe». Cet accord avec le PS, elle le confirme, il ne la «fait pas rêver». Pour Eva Joly, «les négociateurs ont fait un travail remarquable pour faire l'accord le mieux possible dans ces circonstances». La candidate regrette néanmoins «vraiment que nous ne soyons pas allés au bout de notre logique» concernant la sortie du nucléaire.

Des tacles mal vécus aussi bien côté écolo que PS

Autant de sorties qui sont mal vécues au sein de son parti. A la direction d'EELV, «tout le monde est énervé», «elle n'a pas un mot pour positiver» l'accord - voté à 74% par le Conseil fédéral - déplore un haut responsable «très inquiet». «Elle dit en gros : à elle les valeurs, aux autres la tambouille», fustige une autre personnalité d'EELV, déplorant qu'Eva Joly cède à «une espèce de dérive solitaire, investie d'une mission de pureté» et qu'au lieu de faire de ce partenariat «un tremplin», «elle reste sur le bord du chemin en se bouchant le nez». Questionnée sur ces réactions, l'ancienne juge d'instruction souligne ce mercredi matin : «Moi, j'ai été élue par les militants et tous ceux qui sont venus à notre primaire». Et précise : «Je pense que j'ai l'appui de l'encadrement et des militants».

Côté PS aussi, l'ancienne juge agace. Invité ce mercredi matin sur France Info, le socialiste Jean-Marc Ayrault, souligne que, sur RTL, la candidate écolo «pendant dix minutes, n'a pas critiqué une seule fois Nicolas Sarkozy». Considérant que l'accord avec les Verts va dans le sens d'une «dynamique de la victoire», le patron des députés PS s'interroge : «Est-ce que Mme Joly est devenue une candidate indépendante ou est-ce qu'elle représente les Verts ? Je le demande à Cécile Duflot.» Sur Europe 1, la présidente de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, s'est dite choquée par les propos d'Eva Joly : « Il faut éviter les anathèmes, surtout entre partenaires.»
LeParisien.fr

Leçon
Quelle idée aussi d'aller se mettre dans les affaires difficiles d'une candidate..."difficile",pour le moins?!Que çà serve de leçon.On a besoin de gens calmes et clairs qui voient plus loin que le lendemain et qui savent exprimer leur projet de façon limpide à tout le monde.

Il ne fallait pas...Tout de suite
Les accords de ralliement , c'est pour le 2eme tour en principe , en fonction des résultats du 1er . Il est évident aujourd'hui que EELV tenait à un accord immédiat , uniquement pour négocier un groupe au parlement et disposer de circonscriptions. Le PS n'aurait donc pas du accepter ces accords maintenant,mais seulement en fonction du rapport de force après le 1er tour de l'élection.

Le seul sujet d'accord et de programme commun PS/Verts c'est tout simplement "battre Sarkozy".

Non les Français ne voteront pas pour elle
car ils sont trop habitué au confort que leur apporte une électricité bon marché pour retourner au 19ème siècle et s'éclairer à la bougie! Par quoi remplacer les centrales nucléaire ? - Par des panneaux photovoltaïques qui ne produisent pas d'électricité - Par des forêts d'éoliennes défigurant le paysage et qui s'arrêtent de fonctionner lorsqu'il n'y a pas de vent ou lorsqu'il est trop fort? Ces énergies renouvelables ne seront jamais que des sources d'énergie d'appoint aussi pour remplacer les centrales nucléaires il ne reste que de bonnes vielles centrales thermiques produisant des tonnes de gaz à effet de serre et ainsi accélérer le réchauffement climatique. Vraiment très écologique !!!! De plus ces centrales nous rendront dépendants du prix du pétrole dont on sait déjà que les réserves s'épuisant il sera de plus en plus cher et que nos petits enfants, dont cette Norvégienne n'arrête pas de nous parler, risquent d'en manquer un jour.

Alors que la candidate écolo a refusé de dire si elle appellerait à voter Hollande au second tour de la présidentielle, le PS, exaspéré, multiplie ses rappels à l'ordre. De plus en plus isolée, Eva Joly vient de perdre son porte-parole, Yannick Jadot.

Après le silence, les attaques. Depuis son retour mardi sur la scène médiatique, après une pause de cinq jours, Eva Joly n'en finit plus d'éreinter le candidat PS pour 2012, François Hollande. Et donc d'irriter le Parti socialiste. Le summum a été atteint mercredi matin, lorsque la candidate d'Europe Écologie-Les Verts (EELV) a refusé de dire sur RTL si elle appellerait à voter Hollande au second tour de la présidentielle. Pourtant pressée à plusieurs reprises par le journaliste Jean-Michel Apathie, l'ancienne juge, encore échauffée par l'intervention d'Areva dans les discussions entre le PS et EELV sur le nucléaire, a refusé d'accorder cette fleur à son rival. Avant d'assurer qu'elle ne se trompait «pas d'ennemi» et qu'elle voulait bien empêcher la réélection de Nicolas Sarkozy. Une sortie destinée à empêcher ses «amis» socialistes de l'attaquer sur ce terrain-là.

Peine perdue, une vingtaine de minutes plus tard, Jean-Marc Ayrault montait créneau sur France Info. «Je viens d'écouter Eva Joly sur une autre radio et pendant dix minutes elle n'a pas critiqué une seule fois Nicolas Sarkozy et le gouvernement», s'est insurgé le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale. «Est ce que Madame Joly est devenue une candidate indépendante ou est ce qu'elle est la candidate des Verts ?, s'est interrogé le conseiller spécial de François Hollande pour la campagne présidentielle. Je pose la question à Cécile Duflot parce que passer son temps à taper sur François Hollande alors que l'adversaire principal c'est Nicolas Sarkozy, ce n'est pas la gauche de solidarité qui est nécessaire pour que la France se redresse». «Quand on se prétend de gauche et quand on prétend créer les conditions de la victoire, il ne faut pas se tromper d'adversaire. Que Madame Joly s'occupe un peu de Nicolas Sarkozy», a encore insisté Ayrault.

Un peu plus tard dans la matinée, la première secrétaire du PS, Martine Aubry, demandait elle aussi à ce que Cécile Duflot, la secrétaire nationale d'EELV, «clarifie la position» d'Eva Joly. Le PS et EELV ont signé «un accord respectueux de l'identité de chacun», a-t-elle expliqué, jugeant par conséquent les propos d'Eva Joly «absolument incompréhensibles».

Le PS exaspéré
Au PS, l'exaspération se fait donc sentir vis-à-vis d'Eva Joly. Et chacun y va désormais de sa sortie pour pilonner la candidate. Mercredi soir, Pierre Moscovici, le directeur de campagne de François Hollande, l'a appelé «à respecter» ses partenaires socialistes. «Je ferai observer simplement une chose à Eva Joly, avec laquelle je ne souhaite aucune forme de polémique : c'est que nous avons passé un accord avec les écologistes et qu'elle semble l'oublier, a souligné le député du Doubs sur Public Sénat. C'est un accord positif (...), c'est un accord optimiste, il a été passé, c'est vrai par les partis, par Cécile Duflot, par Martine Aubry, mais les candidats y sont impliqués aussi». Et d'ajouter : «Soyons dans le respect les uns les autres, respectons nous (...) évitons ce genre de phrases».

Ségolène Royal s'est de son côté dite «choquée» par la sortie d'Eva Joly sur l'archaïsme des amis de François Hollande, qu'elle a comparés à du «bois dont on fait les marionnettes». «Il faut éviter les anathèmes surtout entre partenaires qui ont vocation à gouverner la France demain et à faire en sorte de redresser notre pays», a-t-elle réagi sur Europe 1, appelant la candidate d'EELV à aller «jusqu'au bout d'une convergence avec les socialistes».

Une «dérive solitaire»
De plus en plus isolée, la candidate l'est aussi au sein de son mouvement. Pour preuve : la démission, mercredi matin, de son porte-parole, Yannick Jadot. L'eurodéputé affirme ne plus partager sa «ligne politique», notamment sur sa prise de «distance avec l'accord» conclu avec le PS. Mardi soir déjà, un haut responsable du Parti évoquait son «inquiétude» quant à la position adoptée par l'ancienne magistrate. À la direction d'EELV, «tout le monde est énervé», «elle n'a pas un mot pour positiver» l'accord (avec le PS) qui a été voté à 74% par le Conseil fédéral, avait-il déclaré à l'Agence France-Presse. «Elle dit en gros : à elle les valeurs, aux autres la tambouille», avait fustigé une autre personnalité d'EELV, déplorant qu'Eva Joly cède à «une espèce de dérive solitaire, investie d'une mission de pureté» et qu'au lieu de faire de ce partenariat «un tremplin», «elle reste sur le bord du chemin en se bouchant le nez». La rumeur d'un retrait de la candidate de la course à l'Élysée pourrait bien avoir encore de beaux jours devant elle.

L'unité vole-t-elle en éclats chez Europe Ecologie après la sortie d'Eva Joly sur RTL, refusant d'appeler clairement à voter Hollande dans un second tour ? Revenue sur le terrain médiatique, la candidate d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) doit faire face mercredi à la démission de son porte-parole de campagne, Yannick Jadot. "J'ai démissionné de ma fonction de porte-parole. Je ne partage plus la ligne politique" d'Eva Joly, a-t-il déclaré, évoquant la prise de "distance" de la candidate avec l'accord conclu entre les écologistes et le PS la semaine dernière.
Joly reproche au PS d'être fait en "bois de marionnette"


"Ca fait plusieurs jours que la question se posait sur la ligne développée autour de la distance par rapport à l'accord avec le PS et le rapport avec les socialistes. Je ne me sens pas à l'aise dans cette fonction de porte-parole, je voulais clarifier mon statut", a-t-il dit. L'équipe de campagne de la candidate EELV doit être définitivement arrêtée le 1er décembre. Yannick Jadot est un proche d'Eva Joly, dont il a été l'un des premiers soutiens au sein de sa formation.
La prise de distance de la candidate s'est manifestée une nouvelle fois ce matin avec son refus d'appeler clairement sur RTL à voter François Hollande dans un second tour, ainsi que dans Le Monde de mercredi : Eva Joly y évoquait un accord qui ne la "fait pas rêver", marqué par les désaccords actés sur l'EPR, la sortie du nucléaire, le dossier de l'aéroport Notre-Dame-des-Landes ou encore la question des déficits. Très combattive, l'ex-juge qui prône une République exemplaire, allait dans le journal jusqu'à accuser les socialistes "d'être du bois dont on fait les marionnettes", se disant "scandalisée de l'intervention d'Areva dans les discussions avec le PS". La candidate de la sortie du nucléaire (3-6% dans les sondages) dit d'ailleurs n'être "pas entrée en politique pour accepter les moeurs de ce petit monde, mais pour les changer". "La vérité, c'est que les amis de François Hollande se sont révélés archaïques face à la modernité de notre projet", critique-t-elle, satisfaite de ne pas s'être mêlée à la "tambouille politicienne".

Aubry veut des "clarifications"

Ses attaques embarrassent la direction d'EELV et irritent le PS. Daniel Cohn-Bendit, a estimé mercredi sur France Info que la candidate faisait "les mauvais choix politiques" en se distanciant du PS et de son candidat François Hollande. "Qu'elle veuille marquer la différence entre les écologistes et le PS, c'est normal, mais il faut faire la différence entre concurrents et adversaires, qui sont les candidats de droite et d'extrême droite. Il est évident que pour batttre le président sortant, il y aura un rassemblement au 2e tour. Eva Joly ne doit pas faire du Mélenchon, du sous-Mélenchon ou du super-Mélenchon. La République exemplaire, moi je ne sais pas ce que c'est. Moi je connais la République du bien commun. Quand on me dit la République exemplaire ou République juste, ça me fait peur".

Au PS, Martine Aubry a exigé que Cécile Duflot "clarifie la position" d'Eva Joly, ce que la candidate a fait dans la matinée par une déclaration à l'AFP. La Première secrétaire du PS juge que l'accord passé est "respectueux de l'identité de chacun", qualifiant les propos d'Eva Joly "incompréhensibles". Sur France Info, Jean-Marc Ayrault, conseiller spécial de François Hollande, enjoignait lui Cécile Duflot, numéro un de EELV, de prendre position. Eva Joly "est-elle devenue une candidate indépendante, qui vit sa vie toute seule ou est-ce qu'elle est la candidate des Verts ?", a lancé le député-maire de Nantes.

Le pire est venu ce matin lors de son passage sur RTL. Eva Joly n'a pas dit grand chose d'intéressant certes. Elle a refusé de qualifier l'accord Verts-PS, se bornant à dire qu'il ne la faisait pas rêver. Il y avait quelque chose de totalement surréaliste à la voir avec ses petites lunettes rouges tombantes sur le nez, mal à l'aise, ne jamais répondre à aucune question et refuser de se plier aux choix de son parti.

Mais le plus fou est en fait venu à la fin de l'entretien. Visiblement dépassée par les questions du trublion Apathie, qui lui demandait si elle voterait Hollande au second tour, elle a carrément refusé de répondre.

J'ai faillit en avaler de travers mon café royal, abasourdi que j'étais devant le spectacle d'Eva Joly, création politique des Verts leur échappant totalement,en direct. On était à mi-chemin entre Frankenstein et la révolte de Mamie Nova. Mais là franchement la confiture doit être dure à avaler pour nos amis écolos.

Son porte-parole Yannick Jadot en a même fait une indigestion, puisqu'il a démissionné, et les langues se délient, jusque dans son propre camp.

Les choses sont simples. Comme le dit elle-même Eva Joly : "Moi, j'ai été élue par les militants et tous ceux qui sont venus à notre primaire." Cela signifie bien qu'elle tire sa légitimité des militants justement. Or ces militants ont un parti, EELV, et ce parti a signé un accord avec le PS pour 2012.

À partir du moment ou la candidate d'EELV, Eva Joly, considère que les socialistes sont "du bois dont on fait les marionnettes", qu'elle ne veut pas dire si elle votera Hollande au second tour, et qu'elle prend ses distances avec l'accord signé par son parti, une conclusion s'impose : Eva Joly ne peut plus être la candidate des écologistes. Sa candidature doit être indépendante et coupée d'ELLV.

On ne peut pas être candidate d'un parti et avoir de tels désaccords avec lui. C'est pour cela qu'on a créé plusieurs partis politiques : pour que tout le monde soit représenté.

Cécile Duflot, la patronne des Verts, doit s'exprimer rapidement pour mettre de l'ordre dans ce "bin's" comme dirait Jacquouille la fripouille. Et si elle veut encore sauver les meubles, Cécile doit demander à Eva Joly de se retirer ou de se présenter en indépendante. Autrement, elle va flinguer les écologistes et les socialistes, tout en en faisant le jeu de Sarkozy et de l'extrême droite.

Bon, voilà mes gueux, à présent je vais me reposer car je suis épuisé par ce bazar... J'en regretterais presque Nicolas Hulot ! Oh mais que dis-je, paf, une claque dans ma figure pour la peine.

Un sondage BVA Opinion pour 20 Minutes publié aujourd'hui révèle qu'une majorité de Français (61%) souhaite le retrait de la candidate EELV à la présidentielle, Eva Joly.

Au total, ce sont 59% des personnes interrogées qui désapprouvent les propos de la candidate d’Europe Ecologie-Les Verts sur François Hollande. Les partisans du Parti socialiste sont bien entendu les plus mécontents. 85% d’entre eux désapprouvent les propos d’Eva Joly.

De plus, seuls 25% des sondés ont déclaré être satisfaits de l'accord controversé PS/EELV.

livaste a écrit:61% des Français pour le retrait de Joly
Lefigaro.fr Publié le 25/11/2011 à 19:20

Figaro.fr

Un sondage BVA Opinion pour 20 Minutes publié aujourd'hui révèle qu'une majorité de Français (61%) souhaite le retrait de la candidate EELV à la présidentielle, Eva Joly.

Au total, ce sont 59% des personnes interrogées qui désapprouvent les propos de la candidate d’Europe Ecologie-Les Verts sur François Hollande. Les partisans du Parti socialiste sont bien entendu les plus mécontents. 85% d’entre eux désapprouvent les propos d’Eva Joly.

De plus, seuls 25% des sondés ont déclaré être satisfaits de l'accord controversé PS/EELV.

Pas à dire , elle va faire un sacré score !!!

franline2 a écrit:j'ai toujours dit que je suis pour le retrait du nucléaire mais si et seulement SI il y a une alternative sérieuse; je ne me vois pas revenir au charbon et, je n'ai pas envie de dépendre majoritairement de l'Algérie ou la Russie pour le gaz...

united a écrit:

franline2 a écrit:j'ai toujours dit que je suis pour le retrait du nucléaire mais si et seulement SI il y a une alternative sérieuse; je ne me vois pas revenir au charbon et, je n'ai pas envie de dépendre majoritairement de l'Algérie ou la Russie pour le gaz...

A mon avis personne n'a envie de dépendre soit de la Russie soit de l'Algérie.

Mais en travaillant sur les énergies renouvelables ( cf : grenelle de l'environnement signé par tous ! ) nous pouvons sérieusement envisager cette sortie dans le temps, ce que disait le Président de la République il y a quelque temps.

Il n'est pas question de revenir au charbon mais je vois que certains foyers français ont déjà commencé à chauffer au bois, à installet des panneaux photovolcaîques, des éloliennes commencent à paraître dasn le paysage français.

Bien sûr cela demandera du temps et une volonté politique !

united a écrit:

franline2 a écrit:j'ai toujours dit que je suis pour le retrait du nucléaire mais si et seulement SI il y a une alternative sérieuse; je ne me vois pas revenir au charbon et, je n'ai pas envie de dépendre majoritairement de l'Algérie ou la Russie pour le gaz...

A mon avis personne n'a envie de dépendre soit de la Russie soit de l'Algérie.

Mais en travaillant sur les énergies renouvelables ( cf : grenelle de l'environnement signé par tous ! ) nous pouvons sérieusement envisager cette sortie dans le temps, ce que disait le Président de la République il y a quelque temps.

Il n'est pas question de revenir au charbon mais je vois que certains foyers français ont déjà commencé à chauffer au bois, à installet des panneaux photovolcaîques, des éloliennes commencent à paraître dasn le paysage français.

Bien sûr cela demandera du temps et une volonté politique !

franline2 a écrit:j'ai toujours dit que je suis pour le retrait du nucléaire mais si et seulement SI il y a une alternative sérieuse; je ne me vois pas revenir au charbon et, je n'ai pas envie de dépendre majoritairement de l'Algérie ou la Russie pour le gaz...