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Le Bundestag adopte le plan de sauvetage de l'euro

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Le Bundestag adopte le plan de sauvetage de l'euro Empty Le Bundestag adopte le plan de sauvetage de l'euro

Message  livaste Jeu 29 Sep - 14:48

Le Bundestag adopte le plan de sauvetage de l'euro


Par lefigaro.fr
Mis à jour le 29/09/2011 à 14:19 | publié le 29/09/2011 à 12:23


Avec une très large majorité, le parlement allemand a voté pour la réforme de l'aide européenne aux pays en difficulté. La chancelière Angela Merkel a su rassembler une majorité jusqu'à présent divisée sur le sujet.

La nouvelle a de quoi rassurer. Avec une très large majorité, le Bundestag a adopté le nouveau plan de sauvetage de la zone euro. Si l'issue du vote ne faisait guère de doute, l'amplitude de la majorité restait incertaine. Selon l'AFP, la chancelière allemande Angela Merkel a obtenu le soutien de sa majorité.

Le nouveau plan de sauvetage européen prévoit un élargissement des pouvoirs du pompier de la zone euro, le Fonds de stabilité financière (FESF), ainsi qu'une augmentation de ses moyens, de 440 à 780 milliarsd d'euros. «Les parlementaires allemands ont massivement démontré leur sens des responsabilités», a réagi le ministre français chargé des Affaires européennes, Jean Leonetti, dans un communiqué.

Sur 611 votes exprimés, 523 députés sur 620 ont voté «pour», a annoncé le président de l'assemblée Norbert Lammert. Seuls 85 députés ont voté contre et trois se sont abstenus. Comme prévu, deux des trois partis d'opposition, les sociaux-démocrates (SPD) et les Verts, ont apporté leurs voix.

Plus important, 315 députés de la coalition (sur 330) ont voté pour le renforcement d'après l'AFP et un député conservateur cité par Reuters. En clair, Angela Merkel n'aurait pas eu besoin des voix de l'opposition. Ce qui n'était pas gagné d'avance, la majorité ayant étalé ses divisions, les semaines précédentes, sur ce sujet.

Si la chancelière n'avait pas réussi à rassembler ses troupes, le gouvernement allemand aurait été gravement déstabilisé, alimentant les doutes sur la survie même de la coalition. Angela Merkel aurait en effet été «présentée en Allemagne comme une perdante», ajoute Holger Schmieding, de Berenberg Bank.

L'Allemagne est le onzième pays à approuver la réforme du plan de sauvetage initialement mis en place en 2010 pour venir en aide aux pays de la zone euro en difficulté. Berlin, de par son poids économique prédominant en Europe, en sera le premier contributeur.

Le vote du Bundestag n'est que le premier d'une cruciale série de trois. Dans les semaines à venir, il devra s'exprimer sur un deuxième plan d'aide à la Grèce, et début 2012, sur un mécanisme de sauvetage permanent (MES) pour succéder au FESF.


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Message  Invité Ven 30 Sep - 10:46

Pendant qu'on "sauve" la Grèce... la Grèce finance la construction d'une méga mosquée à Athènes !!!!!!!!

La Grèce surendettée financera une méga-mosquée à Athènes
http://www.postedeveille.ca/2011/09/la-grece-surendettee-financera-une-mega-mosquee-a-athenes.html#more

Le parlement grec a approuvé un projet controversé de construction d’une méga-mosquée à Athènes, financée par les contribuables.


Cette décision intervient dans un climat de menaces de violences à peine voilées, des milliers de musulmans de la ville ayant fait pression sur le gouvernement pour exiger une mosquée sous peine d’émeute.

198 députés de la gauche, de la droite et du centre (sur 300) ont voté le 7 septembre dernier ce plan destiné à hâter la construction de la première grande mosquée officielle d’Athènes – la seule capitale européenne à ne pas disposer d’une mosquée financée par l’Etat.

Ce projet de mosquée s’inscrivait dans une loi générale de régulation de la construction illégale, proposée par le ministère de l’environnement. Il stipule la rénovation d’un bâtiment public d’une base navale désaffectée, dans le quartier de Votanikos, près du centre d’Athènes.

Le projet oblige le gouvernement grec (en fait son ministère de l’éducation et des affaires religieuses) à payer pour la construction d’une mosquée temporaire, à construire d’ici 6 mois. Une mosquée plus grande, de 1000 m², suffisante pour accueillir 500 fidèles simultanément, sera construite dans le même quartier d’ici la fin de 2012, pour un coût estimé à 16 millions d’euros (21 millions de dollars canadiens).

Cette annonce intervient alors que la Grèce, massivement endettée, se débat dans une récession de plus en plus forte, récession qui a mis près d’un million de Grecs au chômage. Dernièrement, la Grèce a fait appel à un plan de renflouement de 110 milliards d’euros (146 Mds de dollars canadiens) pour sauver son économie menacée de banqueroute.

Officiellement, la Grèce compte environ 500 000 musulmans, essentiellement d’origine turque. Mais depuis quelques années, des milliers de musulmans ont immigré depuis l’Afrique, le Maghreb (Afrique du Nord), le Moyen-Orient, l’Asie Centrale et l’Asie du Sud-est.

Parmi les 200 000 musulmans qu’on estime vivre à Athènes, il y a de nombreux immigrants illégaux d’Afghanistan, du Bangladesh, d’Egypte, du Nigéria et du Pakistan. On estime désormais que la Grèce – porte d’entrée numéro un des clandestins en Europe – compte environ 2 millions d’immigrés illégaux ; tout cela dans un pays où la population totale s’élève à 11 millions de personnes.

Les musulmans en Grèce prient dans des mosquées de fortune, dans les caves, les cafés, les garages et les entrepôts désaffectés. Rien qu’à Athènes, il y a plus de 100 salles de prières clandestines, dispersées dans toute la ville.

Cette décision du parlement grec d’approuver la construction de cette mosquée est le dernier chapitre d’une longue histoire qui remonte aux années 1930, histoire se focalisant sur la question de savoir si la Grèce – pays chrétien orthodoxe à 97 pour cent – doit s’occuper des musulmans.

Athènes n’avait plus de mosquée officielle depuis 1833, date à laquelle les Ottomans ont évacué la ville, après 400 ans de domination turque. Aujourd’hui, la Thrace, cette enclave turquo-musulmane au Nord-est de la Grèce est le seul territoire où le gouvernement soutient officiellement les bâtiments et lieux de cultes musulmans.

Dans la période précédant les jeux olympiques d’Athènes, en 2004, le défunt roi Fahd d’Arabie Saoudite avait proposé de financer la construction d’une méga mosquée à Paiania, une banlieue située à 20 kilomètres à l’est du centre ville d’Athènes, à côté de l’aéroport international. Mais le projet avait alors échoué devant l’opposition de l’Eglise orthodoxe grecque.

En 2006, le gouvernement avait promis de dédier 15 millions d’euros (20 millions de dollars canadiens) pour qu’une mosquée soit édifiée à Athènes avant 2009. Mais ce projet a aussi été abandonné.

En 2007, les musulmans ont pris les choses en main. Un homme d’affaires saoudien ayant offert 2,5 millions d’euros (3,4 millions de dollars canadiens), une petite association, le « Centre Helléno-Arabe pour l’Education et la Culture » a transformé une ancienne usine textile de Moschato, dans la banlieue sud d’Athènes, en une salle de prière de 6 000 m², assez grande pour accueillir 2 000 fidèles en même temps.

Malgré cela, les projets de construction d’une grande mosquée soutenue par l’Etat ont été bloqués dans des querelles bureaucratiques, ou par l’opposition des politiques locaux, particulièrement celle du parti Démocratie Nouvelle, de centre droit, et du parti populiste LAOS (Rassemblement Populaire Orthodoxe).

Ces derniers mois, cependant, le premier ministre grec Georges Papandreou et ses alliés au parlement ont décidé faire passer ce projet de grande mosquée, après que l’Union Musulmane de Grèce - un groupe affirmant représenter tous les musulmans de Grèce (et lié aux Frères Musulmans) – a provoqué l’opinion en organisant une série de prières publiques massives, une manœuvre de pression sur le gouvernement pour qu’il construise une mosquée.

En novembre 2010, par exemple, des musulmans ont organisé des prières en plein air dans 15 endroits différents à Athènes. Il est même arrivé, pour la fête de l’Aïd al-Adha, que plus de 1 000 musulmans s’approprient la place faisant face à l’université d’Athènes, et y prient jusque sous le portique du bâtiment principal. Plus de 7 000 policiers avaient dû être déployés pour maintenir l’ordre.

En août 2011, le gouvernement grec a permis aux musulmans de célébrer le mois saint du ramadan au stade olympique d’Athènes. Cela pour éviter le risque du rassemblement de grandes foules de musulmans sur les places du centre-ville.

Et pourtant, en septembre 2011, les musulmans ont célébré l’Aïd-el-Fitr, la fin du ramadan, en organisant des prières en plein air sur les places publiques, à proximité du centre-ville. Les musulmans ont alors été harcelés par les riverains, qui leur ont lancé des œufs et des yaourts. Des membres du Chrysi Avgi (L’Aube Dorée), un groupe nationaliste d’extrême droite, ont même menacé de chasser les musulmans de la place manu militari ; ils ont été retenus par la police anti-émeute.

Les analystes soulignent que le gouvernement Papandreou soutient le projet de grande mosquée par crainte d’une radicalisation rapide des manifestations de musulmans.

Comme beaucoup d’autres villes en Europe, Athènes a connu des violences liées aux musulmans ces dernières années. En mai 2009 par exemple, plus de 1 000 musulmans ont affronté la police dans le centre-ville d’Athènes, après que des musulmans ont accusé un policier d’avoir marché sur un coran lors d’un contrôle dans un café.

Près de 50 manifestants ont été arrêtés lors de ce soulèvement, tandis que sept immigrés musulmans et sept policiers ont dû être hospitalisés. Plus de 70 voitures ont été brûlées, et une douzaine de commerces ont été détruits dans les violences. Un jour plus tôt, une foule encore plus grande de près de 1 500 immigrés musulmans avait manifesté, et le rassemblement avait violemment dégénéré. La police avait utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser la foule.

Depuis lors, au moins 15 mosquées de fortunes ont fait l’objet de tentatives d’incendie. Trois personnes au moins ont même dû être hospitalisées après que des incendiaires ont mis le feu à un café servant de salle de prière pour des immigrés, à Athènes. En mai 2011, une mosquée clandestine du quartier de Kallithea à Athènes, avait été incendiée sans faire de victimes.

Les musulmans affirment que la violence justifie la construction d’une mosquée officielle. Mais des études récentes montrent que plus de la moitié des Grecs sont contre ce projet de mosquée, et qu’ils refusent de voir leur gouvernement financer des institutions religieuses.

Source : Greece to Build First Official Mega-Mosque in Athens, par Soeren Kern, Hudson NY, 12 septembre 2011. Traduction par Olaf pour Poste de veille

tient, il n'y a pas qu'en France qu'on brûle les voitures, qu'on crée des émeutes après avoir "foulé" du pied un coran.... qu'on menace d'émeutes si une mosquée ne sort pas de terre...en gros si les gouvernements européens ne se plient pas à leurs volonté !!! Suspect

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