c'est pas la guerre la guerre civile ... quoique !

Un pompier de 24 ans a été blessé par balle vendredi soir à Grenoble. Alors qu'il était en train d'éteindre un feu de voiture avec plusieurs autres soldats du feu, l'homme a été touché au bras. Immédiatement hospitalisé, il ne serait que «légèrement blessé», indique ce samedi matin la préfecture de l'Isère.


Les faits se sont déroulés vers 22h30 quand un coup de feu, dont on ignorait encore l'origine exacte, a «perforé le biceps» du jeune homme, selon la préfecture qui a confirmé une information du Dauphiné Libéré.

En outre, la voiture des policiers, qui accompagnent systématiquement les pompiers en intervention dans ce quartier sensible, a essuyé deux impacts de balles, respectivement «sur le capot et sur la plaque d'immatriculation».

Par d'interpellation

Secourus par ses collègues, le pompier blessé a été emmené à l'hôpital d'où il devait sortir samedi dans la matinée, son état de santé ayant été «jugé satisfaisant».

Aucune interpellation n'a eu lieu à la suite de cet incident, selon la direction départementale de la sécurité publique, qui enquête notamment pour déterminer «le type d'armes utilisé». L'ambiance restait également «calme» dans le quartier.

L'agression a eu lieu dans le quartier de la Villeneuve, à l'endroit où des policiers avaient été visés lors d'émeutes consécutives à la mort d'un braqueur de casino en juillet.

Plusieurs coups de feu ont été tirés dimanche soir dans une cité de Chartres par des individus originaires d'autres quartiers de l'agglomération chartraine, a-t-on appris lundi de sources policières, confirmant une information de l'Echo républicain. "Selon les premiers éléments de l'enquête, une dizaine de jeunes des quartiers sensibles de Mainvilliers et Lucé auraient débarqué dans le quartier de Beaulieu à Chartres et auraient tiré des coups de feu à proximité de la maison de quartier sans atteindre des personnes", a indiqué un enquêteur. "L'hypothèse d'un règlement de compte après une bagarre le matin même à la sortie d'une discothèque n'est pas à exclure". Des altercations, moins spectaculaires, entre certains habitants de ces quartiers sur fond de trafic drogue sont assez fréquentes, selon des témoins cités par le quotidien local.

franline2 a écrit:à les avoir victimisés et en les protégeant continuellement ; ça donne de la délinquance....faut pas s'étonner ensuite que ça dégénère ...d'autant plus quand on construit massivement des logements sociaux commnautaires en le niant ouvertement.

franline2 a écrit:Sarkozy qui n'est pas MAIRE de Grenoble aux dernières nouvelles...
les juges , les diverses associations bien-pensants tous autant qu'ils sont les protègent et ce, en les VICTIMISANT!faudrait vous décrasser les yeux une bonne fois pour toutes!

livaste a écrit:Je crois que tout le monde est excédé par le comportement de ces tribus de sauvages , et il apparaît que même un président n'y peut rien quand bien meme irait il interpeller lui mêe ces racailles , il lui faudrait les déférer devant les juges , qui en bon laxistes , les remettraient de suite dehors !.
Il est vrai que bien des citoyens de gauche comme de droite sont excédés ; les électeurs de gauche entendent leurs leaders pleurer sur le sort des pauvres jeunes des quartiers , et se souviennent des protestations de leurs leaders quand la droite veut renforcer les sanctions ;;
Alors , il ne faut pas s'étonner des sondages .

livaste a écrit:Je crois que tout le monde est excédé par le comportement de ces tribus de sauvages , et il apparaît que même un président n'y peut rien quand bien meme irait il interpeller lui mêe ces racailles , il lui faudrait les déférer devant les juges , qui en bon laxistes , les remettraient de suite dehors !.
Il est vrai que bien des citoyens de gauche comme de droite sont excédés ; les électeurs de gauche entendent leurs leaders pleurer sur le sort des pauvres jeunes des quartiers , et se souviennent des protestations de leurs leaders quand la droite veut renforcer les sanctions ;;
Alors , il ne faut pas s'étonner des sondages .

Emeutes après des interpellations de Kurdes en banlieue parisienneFillette blessée aux Tarterêts : mise en cause, la police se défend Les forces de l’ordre ont répliqué à l’aide de gaz lacrymogènes, parvenant à mettre fin assez rapidement à l’attaque survenue dans le bas des Tarterêts, et non pas sur les hauteurs comme dimanche soir. Ce lundi, le climat sur place était resté lourd. Dans tous les esprits grondaient encore les émeutes de la veille et le drame de la petite Daranka.

L’émotion est palpable

Aux Tarterêts, une cité hérissée de tours, la rénovation urbaine lancée il y a une dizaine d’années n’a pas réussi à venir à bout des tensions. Ici, les rondes de CRS, les guets-apens, les caillassages et les tirs de lacrymogènes font partie du quotidien. Avec parfois des conséquences dramatiques : l’été dernier, un CRS avait été frappé à coups de marteau. Dans les cages d’escalier empestant l’urine malgré les travaux récents, des graffitis « Fuck la police » rappellent la guerre larvée entre certains jeunes et les forces de l’ordre.
Depuis deux semaines, au dire des habitants, le quartier connaissait un regain de tension. « Tous les jours, le soir ou l’après-midi, il y a des bagarres entre les jeunes et les policiers, raconte une mère. Même nous, on a peur de sortir. C’est très pénible. »
Le drame de dimanche soir n’a fait qu’accroître le malaise. Sans attendre les résultats de l’enquête, des habitants pointent du doigt les forces de l’ordre. Dans l’immeuble où vivent Daranka et sa famille, originaires de Guinée-Bissau, l’émotion est palpable. « Depuis ma fenêtre, j’ai vu la petite tomber. C’est un tir de la police qui l’a touchée, c’est sûr », assure un jeune homme. « Il y a sans arrêt des accrochages devant chez nous, peste un autre. Les policiers tirent au flash-ball sans hésiter. » « C’est vrai qu’il y a beaucoup de trafics et que la police est prise pour cible parce qu’elle dérange. Mais les jeunes en ont aussi assez des contrôles incessants et de l’attitude des policiers », confie une voisine. Une employée municipale s’emporte : « Si la police a dû tirer, c’est parce qu’elle était agressée. C’est insupportable pour tout le monde. »

Anna a écrit:Que la police soit prise pour cible, effectivement, ça répond à une certaine logique puisque ça dérange les trafics comme le souligne l'article.

Ce qui m'échappe un peu plus, outre que le fait qu'étant en uniformes, ils sont symboles de l'état, c'est de s'en prendre aux pompiers. Ca prouve réellement le degré zéro absolu de réflexion.

livaste a écrit:Le bureau d’un maire incendié en Seine-et-Marne
V.R. | Publié le 12.06.2011, 07h00

Le bureau du maire d’Emerainville (Seine-et-Marne) et celui de sa directrice de cabinet ont été incendiés dans la nuit de vendredi à samedi, vers 1h30 du matin.

La police municipale a poursuivi un homme cagoulé qui fuyait les lieux, sans pouvoir l’arrêter. Le maire UMP, Alain Kelyor, évoque des représailles après l’émission « Enquêtes exclusives », diffusée sur M 6 le 28 mai et consacrée à la polygamie.


Le maire y dénonce cette pratique en vigueur dans un quartier de sa ville, le Clos-d’Emery. La directrice du centre d’action sociale se désolait dans l’émission que l’argent des allocations familiales soit détourné par les premières épouses au détriment des secondes. Le lendemain de l’émission, le fils d’une première épouse était venu en mairie, proférant des menaces de mort. « Rien ne prouve que cet incendie soit lié à l’émission, mais j’ai de fortes présomptions », a déclaré le maire.

Le Parisien