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Débat autour du réchauffement , des scientifiques en appellent au politique pour leur donner raison

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Débat autour du réchauffement , des scientifiques en appellent au politique pour leur donner raison Empty Débat autour du réchauffement , des scientifiques en appellent au politique pour leur donner raison

Message  livaste Ven 2 Avr - 21:24

Climat : l'Académie des sciences va organiser un débat


Par Marielle Court

01/04/2010 | Mise à jour : 21:56 Réactions (170)

Dans un courrier adressé à leurs tutelles, 400 chercheurs dénoncent le manque de rigueur des «climato-sceptiques», au premier rang desquels : Claude Allègre.

Bis repetita. La ministre de la Recherche a demandé à Jean Salençon, le président de l'Académie des sciences, «d'organiser dans les plus brefs délais» un débat dans le conflit désormais ouvert qui oppose des centaines de chercheurs à une poignée de climato-sceptiques dont Claude Allègre et Vincent Courtillot respectivement ancien ministre de l'Éducation et président de l'Institut de physique du globe, tous deux injoignables hier. «Une situation grave», reconnaît Jean Salençon qui espère ainsi «apaiser les tensions» et que «l'on revienne à la science». Il y a trois ans, quasiment jour pour jour, un même débat, mettant en scène les mêmes climato-sceptiques, avait eu lieu dans la grande salle des séances de l'Institut de France.

Mais cette fois-ci le ton est monté d'un cran avec le courrier que ces quelque 400 scientifiques travaillant exclusivement sur les questions climatiques viennent d'adresser à leurs tutelles. Ils rappellent en effet la nécessité «d'une rigueur maximale pour la conception, la réalisation et la publication de leurs travaux».

En ligne de mire, les deux chercheurs qui depuis des mois maintenant arpentent, livres à la main, les plateaux de radios et de télévisions pour dénoncer le travail des climatologues en général et ceux du Giec en particulier. Très virulent, l'ancien ministre de l'Éducation n'hésite pas à parler de «complot» ou pire, «d'imposture».

«Ignorons la théorie du complot»
«Ignorons le dénigrement, la théorie du complot et les aspects politiques. Appliquons leur la même exigence de rigueur qu'à n'importe quel manuscrit scientifique», demandent tous les chercheurs qui comptent plusieurs signatures de renom. Leurs livres ou documents « publiés sous couvert d'expertise scientifique, ne sont pas relus par les pairs et échappent de ce fait aux vertus du débat contradictoire» , regrettent les auteurs de la lettre dont l'initiative revient en grande partie à la paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte. «De nombreuses erreurs de formes, de citations, de données, de graphiques ont été identifiées», soulignent-ils dans leur missive.

Ils en comptent plusieurs dans l'ouvrage de Claude Allègre, la plus grave étant la falsification d'une courbe empruntée au chercheur suédois Hakan Grudd. Un paléoclimatologue qui a lui-même dénoncé il y a quelques jours la manipulation dans le journal Libération. «Toutes les courbes de l'ouvrage sont redessinées, il y a donc des inexactitudes ou même des exagérations par rapport aux originaux. Ceci signifie que les courbes ne sont que les supports illustratifs du raisonnement écrit», a répondu le ministre.

«Dans tous les cas, la publication de ces affirmations témoigne d'un sentiment d'impunité totale de la part de leurs auteurs, qui oublient les principes de base de l'éthique scientifique, rompant le pacte moral qui lie chaque scientifique avec la société», peut-on lire encore dans le courrier. Pour le glaciologue Jean Jouzel, l'un des tout premiers signataires de la lettre, il était temps « que les choses soient dites ».

«Ceux qui nagent à contre-courant sont tous convaincus d'être des Galilée. La réalité est qu'il y a probablement un ou deux Galilée mais que ceux qui pensaient l'être et ont eu tort se comptent par milliers», expliquait de son côté l' économiste britannique Nicholas Stern, auteur d'un rapport très réputé sur le coût du changement climatique, ajoutant hier sa voix, à défaut de sa signature, à la révolte des climatologues.

en quoi ,une ministre ,fut elle chargée de la recherche , est qualifiée pour dire la vérité scientifique ??

Si la loi du nombre est seule à pendre en compte , alors ,ce sont ceux qui professaient que la terre est plate qui avaient raison donc Galilée avait tort , et donc la terre est plate !

On se croit revenu au Moyen âge , où les découvertes scientifiques devaient être "politiquement correctes " sous peine de bucher !
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Message  livaste Ven 2 Avr - 21:28

«Le Giec n'est pas le garant de la vérité scientifique»
Mots clés : Climat, Vincent Courtillot

Par Marc Mennessier

02/04/2010 | Mise à jour : 19:21

INTERVIEW - Le géophysicien Vincent Courtillot répond à la pétition des climatologues.


Dans un courrier adressé jeudi à la ministre de la Recherche, Valérie Pécresse, 400 chercheurs spécialistes du climat se sont plaints des «accusations mensongères» portées contre eux par les climatosceptiques (voir nos éditions d'hier). L'un de leurs chefs de file, le professeur Vincent Courtillot, directeur de l'Institut de physique du globe à Paris, nommément mis en cause, a accepté de répondre en exclusivité aux questions du Figaro.

LE FIGARO. Comment réagissez-vous à cette pétition?

Vincent COURTILLOT. J'y suis attaqué de manière profondément fausse et choquante. Je partage cet honneur avec Claude Allègre. Celui-ci n'a pas besoin de moi pour défendre son point de vue. Certes, une partie de nos conclusions sur la question de l'origine du réchauffement climatique sont proches, mais il a ses arguments et ses méthodes et moi les miens. Je me bornerai donc à répondre aux accusations explicitement portées contre moi.

Comme celle de porter des «accusations mensongères» à l'encontre de la «communauté» des climatologues…

Il faudrait d'abord définir les contours de cette communauté dont il est permis de se demander si elle ne s'est pas autodécrétée comme telle. Si deux de ses principaux leaders, Jean Jouzel et Hervé Le Treut, sont respectivement spécialistes de géochimie et de modélisation numérique, mes collègues et moi-même avons une grande expertise du traitement des longues séries de mesures en observatoire. Toutes ces approches ont quelque chose à apporter à la climatologie, science jeune et faite surtout de l'addition de nombreuses disciplines très diverses. Les pétitionnaires confondent (volontairement?) leur communauté avec le Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat).
C'est lui dont je critique le mécanisme. Je maintiens que même avec les scientifiques les plus nombreux, un système de ce type ne garantit en rien de dire, à un moment donné, la «vérité scientifique». Celle-ci ne peut pas être le résultat d'un vote démocratique… Un seul avis contraire peut se révéler in fine exact. Le XXe siècle en regorge d'exemples: ainsi, dans mon domaine, celui de la dérive des continents, un Giec n'aurait su dire la vérité qu'avec soixante ans de retard!

Les signataires vous reprochent de douter de leur «intégrité»…

C'est faux. Je critique simplement les interprétations de certains d'entre eux. Est-ce désormais interdit en sciences? En outre, c'est oublier le fait que les «carbocentristes», comme les «climatosceptiques» d'ailleurs, ne parlent et ne pensent heureusement pas tous d'une seule voix. On gomme trop souvent les divergences utiles qui les opposent.

Avez-vous publié les résultats de vos travaux dans des revues scientifiques?

Le texte de la pétition me reproche en effet de n'être pas «passé par le filtre standard des publications scientifiques». Mais c'est encore une fois absolument faux! Six articles ont été publiés en cinq ans dans des revues internationales de haut niveau: Earth and Planetary Science Letters (EPSL), Comptes rendus de l'Académie des sciences et la dernière dans Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics . Deux autres sont soumis à l'évaluation de nos pairs anonymes. Aucun n'a pour l'instant fait l'objet de critiques scientifiques, à l'exception d'un article dans EPSL il y a deux ans . Mais nous avons répondu, mes collègues et moi, point par point, dans la revue. J'ajoute que toutes nos études ultérieures n'ont fait que renforcer nos premières conclusions. C'est seulement après tout ce travail, effectué «dans l'ombre», que j'ai publié cet automne, dans le livre (1) visé par la pétition, le résumé de ces recherches.

Vous allez donc continuer...

Jusqu'à nouvel ordre, il n'y a pas de censure idéologique en sciences… La meilleure manière de critiquer nos résultats scientifiques n'est pas d'envoyer une pétition à des «tutelles» mais de soumettre par les mêmes voies des articles pour publication.
Comme l'écrit mon collègue physicien Jean-Marc Lévy-Leblond, «que les signataires jugent nécessaire de faire appel aux pouvoirs politiques et administratifs pour étayer leurs positions revient à reconnaître le manque d'indépendance qui leur est reproché par leurs adversaires, et qui obère la fiabilité des travaux du Giec». Je n'oublie donc en rien «les principes de base de l'éthique scientifique», comme cela m'est reproché. Mes collègues et moi avons simplement contribué à ouvrir un débat qu'il était auparavant très difficile d'avoir.

(1) «Nouveau Voyage au centre de la Terre», Odile Jacob, septembre 2009.
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Message  livaste Dim 4 Avr - 21:38

Un mathématicien dénonce le «carbocentrisme»


Par Marc Mennessier

02/04/2010 | Mise à jour : 21:49

Benoît Rittaud met en garde contre l'émergence de la «climatomancie», «ce nouvel art divinatoire qui vise à déduire du comportement humain l'avenir climatique de la Terre dans l'idée de prescrire à chacun des actes de pénitence (quotas, taxe carbone…)».

Pendant longtemps, Benoît Rittaud a pensé, à l'instar de beaucoup de gens, que le réchauffement climatique était dû aux émissions de gaz à effet de serre d'origine humaine, comme le gaz carbonique (ou CO2). Jusqu'au jour où il entreprend de se plonger dans la littérature scientifique sur laquelle s'appuie cette théorie «carbocentriste» majoritairement approuvée par la communauté scientifique. Et là, ce jeune mathématicien, maître de conférences à l'université Paris-XIII, tombe des nues : «J'ai vite compris qu'il y avait anguille sous roche : trop d'affirmations et de certitudes, mélange entre science et morale, agressivité inouïe envers les contradicteurs. Tout cela m'a fait rapidement douter», confie-t-il au Figaro. Au point qu'il décide d'y consacrer un livre, Le Mythe climatique *, dans lequel il débusque les «erreurs» du Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat). Et surtout sa difficulté à les reconnaître…

«Les carbocentristes n'arrêtent pas de dire qu'ils ont des tas d'arguments à faire valoir. Mais à chaque fois qu'on leur démontre qu'ils se trompent, parfois sur des points cruciaux, ils les minimisent au lieu de s'interroger et d'en tirer toutes les conséquences», explique-t-il.

C'est notamment le cas avec la fameuse courbe de Mann «en crosse de hockey» censée démontrer que la température globale a anormalement augmenté au cours des cinquante dernières années. Et qui a subrepticement disparu du dernier rapport du Giec… Autre exemple fameux : les carottes de glace en Antarctique. Selon l'auteur, leur étude montre que si un lien de causalité existe entre température et gaz carbonique, alors c'est la température qui est la cause de la hausse du CO2 et non la conséquence. Soit l'inverse de ce qu'affirment les carbocentristes !



Terminologie «trompeuse»


Mais ce n'est pas tout. Lorsque ces derniers affirment qu'il y a au moins 90 % de chances pour que l'homme soit à l'origine de dérèglements du climat, Benoît Rittaud leur reproche d'utiliser une terminologie «très trompeuse» en laissant croire qu'ils ont fait un calcul de probabilités, alors qu'il n'en est rien. «C'est juste l'expression d'un avis général qui ne repose sur aucun fondement mathématique», assène-t-il en qualifiant le Giec «d'ovni scientifique». On n'a jamais vu, dans l'histoire des sciences une entité politico-scientifique aussi influente. À chaque fois que l'on mélange la politique, qui est censée promouvoir le «bien», avec la science, qui est là pour rechercher le «vrai», on aboutit à des impasses.

Passionné d'épistémiologie, l'auteur met en garde contre l'émergence de la «climatomancie», «ce nouvel art divinatoire qui vise à déduire du comportement humain l'avenir climatique de la Terre dans l'idée de prescrire à chacun des actes de pénitence (quotas, taxe carbone…)». À ne pas confondre toutefois avec le carbocentrisme. Si ce dernier est une science fausse, une théorie erronée dont l'auteur voit dans la crise actuelle les prémices de l'effondrement, la première est une fausse science qui est à la climatologie ce que l'astrologie est à l'astronomie. À savoir une démarche consistant à instrumentaliser un objet scientifique (le climat, le ciel…) pour dire des choses sur nous-mêmes et prédire notre avenir individuel ou collectif. Le tout avec le renfort de l'ordinateur, grâce auquel «les rêveries les plus folles disposent désormais d'un immense terrain de jeu». À lire absolument.

* «Le Mythe climatique», Seuil, 2010.[/i]



Par Marc Mennessier


[i]À chaque fois que l'on mélange la politique, qui est censée promouvoir le «bien», avec la science, qui est là pour rechercher le «vrai», on aboutit à des impasses.


j'aime beaucoup cette expression !




Bravo M. Rittaud !
Toute cette science climatique bidon va enfin partir à la poubelle. La courbe de Mann a été bidonnée depuis le début et n'a jamais représenté quoi que ce soit.

Je parie effectivement qu'il n'y a pas de "réchauffement global" ni « d'effet de serre » au sens ou on l'entend. Que le CO2 compte pour peanuts dans la dynamique de l'atmosphère, et ses concentrations ne sont probablement même pas mondialement uniformes. Que la « température globale » n'a aucun sens et la « corrélation » avec les dites concentrations de CO2, une vue de l'esprit.

Qu'en clair on ne sait rien caractériser et rien prévoir de ce climat terrestre, et surtout pas avec un seul chiffre qui serait la "température globale".
On ne fait pas de la science mais du vent, rien n'est solide dans cette théorie, tout est subjectif et affaire de croyances.

Après, si on en fait un combat politique pour lutter contre la pollution, c'est autre chose.
Les croyances, ça force le respect, mais qu'elles ne se mélangent pas avec la science, sinon c'est un "culte du cargo".


L'imposture de la climatologie d'état commence enfin à être dévoilée.


O
n commence à y voir clair.
Cela confirme ce que je pensai (et je ne suis pas le seul) : on nous manipule depuis le début, on aurait pu faire l'économie de cette conférence de Copenhague.
Nombre de théories avancées s'effondrent comme un château de cartes (dans un courant d'air).
Les scientifiques, les vrais, les dignes de foi, commencent à se faire entendre, il est plus que temps. Tous ces bien penseurs, ces nouveaux gourous nous ont suffisamment bassiné avec leur fadaise.
Nombre de charlatans ont voulu nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Quand on sait que toute variation, en Géologie (étude de la Terre), s'effectue sur des durées où l'unité de temps est le million d'années, et où les variations climatiques s'étalent souvent sur des dizaines de milliers d'années, essayer des prédictions à 10 ans, même à un siècle, ne sont que du charlatanisme, de la cartomancie, que ce soit le « carbocentrisme » ou la « climatomancie ».
Science très jeune, la climatologie est bien incapable de prévoir à 15 jours le temps qu'il fera en un lieu donné, seule une tendance peut être établie. Cet anthropocentrisme exacerbé sur les capacités à provoquer une variation climatique majeure est vraiment une « démarche consistant à instrumentaliser un objet scientifique ».
Merci Monsieur Benoît Rittaud.




Enfin le debut du retour de balancier. Maintenant il faudarait chiffrer combien toutes ces betises ont coutés, sans rien oublier. Cela a couté, et coute encore tres cher, pour calmer les phantasmes metaphysiques de certains angoissés du futur qui se sont assurés la complicité de pseudo scientifiques en recherche de financement. Oublié cela il faut revenir aux fondamentaux; produire, inventer, developper, en oubliant la peur de rater pour retrouver l'ambition d'evoluer, pour le bien de tous. Enfin c'est ce que je pense et souhaite pour sortir du marasme actuel.



Les acharnés du réchauffement climatique et de par là de la taxe carbone ne le sont pas pour le mot carbone mais pour le mot taxe !!
Combien de spécialistes sérieux en climatologie y a t-il parmi ceux qui nous bassinent avec ces fantaisies ?
livaste
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