Congrès de Reims : Bertrand Delanoë fait cavalier seul
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Congrès de Reims : Bertrand Delanoë fait cavalier seul
Créé le 19:12:06 | 25/06/2008 Le Point.fr
Par Charlotte Chaffanjon
QUEL SUSPENS §
Par Charlotte Chaffanjon
Au tennis, on les appelle les têtes de série. Ils rentrent dans le tournoi alors que d'autres, épuisés, sont parfois passés par le stade des qualifications. Heureux présage ? En tout cas, l'image colle parfaitement à Bertrand Delanoë : alors que tous ses camarades du PS, de Laurent Fabius à Martine Aubry en passant par Ségolène Royal, Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon et les barons locaux du PS, présentent publiquement cette semaine leur contribution en vue du congrès de Reims, le maire de Paris ne dévoilera la sienne qu'au dernier moment. Soit le 2 juillet, date retenue pour le "Conseil national d'enregistrement des contributions générales et thématiques, de convocation du congrès et de validation des candidat(e)s pour les élections sénatoriales".
"Nous réservons la primeur de notre production contributive au Conseil national parce que nous respectons le parti", confie au point.fr un pilier du courant delanoïste. "Ceux qui le font cette semaine sont hors parti puisqu'ils n'en respectent pas le calendrier. Nous tenons à cette symbolique et nous ne tenons surtout pas à ce que le texte s'étale dans les journaux avant que les militants n'en aient pris connaissance." La dernière partie de la contribution du maire de Paris, qui n'est pas encore terminée, sera d'ailleurs largement consacrée à "l'organisation du calendrier du parti, au respect du rythme imposé par la direction, au respect des règles et des procédures".
Bertrand Delanoë ne sera pas inactif pour autant. Mercredi soir, il tient à Paris une réunion dans le cadre du congrès. Dimanche, il sera à Avallon, dans l'Yonne, pour la Fête de la rose. Reçu par le maire de la ville et accompagné de son ami Daniel Vaillant, maire du 18e arrondissement de Paris, il y tiendra "un discours très politique", confie un organisateur. Delanoë, qui n'a pas encore déclaré officiellement sa candidature au poste de premier secrétaire du PS, s'organise donc pour être au-dessus de la mêlée.
QUEL SUSPENS §
Re: Congrès de Reims : Bertrand Delanoë fait cavalier seul
Bon ça ne va pas trop faire avancer la discussion et que c'est limite du trolling, mais je ne peux pas m'empêcher de dire que je ne peux pas sacquer ce mec !
Désolé pour le semi-HS...
Pour le fond... Je dois dire que je ne suis pas avec intérêt les frasques des éléphants du PS. 'attends qu'ils s'entretuent afin que l'on y voit un peu plus clair. Ca va finir quand au fait leur danse du ventre collective ?
Désolé pour le semi-HS...
Pour le fond... Je dois dire que je ne suis pas avec intérêt les frasques des éléphants du PS. 'attends qu'ils s'entretuent afin que l'on y voit un peu plus clair. Ca va finir quand au fait leur danse du ventre collective ?
zongo- Maire
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Date d'inscription : 12/06/2008
Re: Congrès de Reims : Bertrand Delanoë fait cavalier seul
tu préfères peut être celle là ??
PS - Contre l'enlisement, Royal sort l'arme "conviviale" samedi
Contre l'enlisement, Royal sort l'arme "conviviale" samedi
Alors que ses adversaires tentent de la neutraliser, l'ex-candidate va réunir un millier de personnes à la Maison de la Chimie.
La mise en scène de sa contribution se veut dynamique et moderne.
Renaud PILA - le 26/06/2008 - 17h00
PS - Contre l'enlisement, Royal sort l'arme "conviviale" samedi
Contre l'enlisement, Royal sort l'arme "conviviale" samedi
Alors que ses adversaires tentent de la neutraliser, l'ex-candidate va réunir un millier de personnes à la Maison de la Chimie.
La mise en scène de sa contribution se veut dynamique et moderne.
Renaud PILA - le 26/06/2008 - 17h00
On dit Ségolène Royal à la peine ces dernières semaines. "Pas du tout, rétorque une habituée des réunions du mardi. Elle est très combative et nous a communiqué son enthousiasme hier". Comme chaque semaine, la présidente de Poitou-Charentes a réuni boulevard Raspail son "conseil politique". Objectif, finaliser l'organisation du rassemblement de samedi à la Maison de la Chimie. C'est là qu'elle déposera sa contribution au congrès PS de Reims, un passage obligé dont elle se serait apparemment bien passé. "Tous ces rites de pré-congrès, avec contribution thématique puis motion sont datés et n'intéressent pas les Français, confie un député royaliste. Il ne faut pas que Ségolène perde son originalité en se perdant dans des manœuvres socialo-socialistes".
Alors pour éviter la banalisation, l'ex-candidate à la présidentielle a voulu faire samedi prochain "du festif". Pas de discours à rallonge derrière des pupitres et de développements ésotériques. Avant de prendre la parole en fin de matinée, Ségolène Royal laissera certains de ses soutiens s'exprimer sur la sécurité, l'environnement ou la justice. Des interventions entrecoupées de petits films pour donner à l'ensemble du rythme. Et puis des "invités surprise" qui ne sont pas membres du parti socialiste : la metteure en scène Ariane Mnouchkine parlera de culture, le patron du site Médiapart Edwy Plenel s'exprimera sur la liberté de l'information, etc...
"Une lucidité radicale"
Ségolène Royal veut promouvoir l'image d'un PS ouvert sur la société et utile pour les Français. Elle veut surtout apparaître comme celle qui ose trancher les débats, dans la continuité de sa stratégie présidentielle. Il vaut mieux "une bonne querelle qu'une mauvaise synthèse", estime-t-elle ainsi dans un ouvrage écrit avec le sociologue Alain Touraine, à paraître le 8 juillet prochain. Et de poursuivre : "Ma gauche est celle qui affronte les réalités, qui ne se résigne pas, même lorsque ces réalités sont désagréables, et surtout lorsqu'elles sont difficiles (...) Ce dont le socialisme a impérativement besoin, aujourd'hui plus que jamais, c'est d'une lucidité radicale".
Samedi, dans un discours qui devrait "relancer la dynamique" affirme un proche, l'ex-candidate à l'Elysée devrait placer la question sociale au cœur de sa contribution. Elle pourrait vanter la nécessité d'une "révolution de l'action politique" et d'une "révolution écologique" pour répondre aux défis du 21e siècle et de la mondialisation. Face au "libéralisme politique" de Bertrand Delanoë, une Ségolène Royal "révolutionnaire" ?
Peut-être une façon de séduire une frange de militants déboussolés par le manque de débats actuel rue de Solférino. "Il faut qu'on continue à bouger, à imposer une réforme en profondeur du fonctionnement du parti, confie une fidèle. Et lorsque la presse évoque une dynamique autour de Martine Aubry, si c'est le ralliement de Jack Lang, alors je souris".
Reste que pour Ségolène Royal et ses amis, les temps sont difficiles. Aucune dynamique ne s'est créée autour de sa candidature et les cadres du PS ne semblent pas pressés de choisir leur chef. Si les royalistes se rassurent avec le surplace de leur rival Bertrand Delanoë, ils assistent impuissants à la montée d'un front anti-présidentiables. Et à la banalisation de leur championne, contrainte sans doute à prendre à l'automne la tête d'un courant.
PS - Contre l'enlisement, Royal sort l'arme "conviviale" samedi
le 26/06/2008 à 20h42
Ségolène est en passe de devenir la future Arlette de la politique lol!!!!
Codial83, Toulon
le 26/06/2008 à 20h33
Ségolène est une fausse politicienne de gauche, elle a choisit son parti politique par plan de carrière. Choisir la gauche, pensait-elle, me donnera plus d'opportunité que de choisir la droite. Écoutez Bourdieu et son analyse à ce sujet: https://www.dailymotion.com/relevance/search/bourdieu/video/xgnbi_gauchedroite Royal n'a donc qu'une ambition, elle même! Ne la laissons pas prendre le pouvoir et trouvons quelqu'un d'autre plus généreux de diriger notre pays!
Thierry, Genève
le 26/06/2008 à 20h26
Chers amis socialistes (peut-être pas tous ...), Surtout continuez à pousser derrière votre amie Ségolène ! Tant que la droite aura en face d'elle cette gourdiche, elle aura un boulevard ouvert devant elle ... Si le PS avait un peu plus de 3 de QI (en cumulé !), il comprendrait vite qu'il traine un pathétique boulet (ou plutôt une boulette).
Hugues, Paris
le 26/06/2008 à 20h22
A Mp d'Angers : "Bravo Ségolène et continue à nous surprendre en renvoyant chez eux les vieux politicards de tous bords." Faudrait qu'elle se renvoie aussi car elle est plus toute jeune d'ailleurs... Non toute la France n'est pas derrière elle mais toutes la France a plébiscité des cons pour les dernières élections, symptôme d'un pays en pleine décadence. Allez je vous laisse à votre manichéisme politicien.
Resistance, Paris
Re: Congrès de Reims : Bertrand Delanoë fait cavalier seul
Moi aussi, je hais Delanoe ! ne serait ce que pour ce foutu tram qui me réveille à 5 heures 30 tous les matins !
shimmy- Président du Conseil Général
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Date d'inscription : 14/01/2008
Re: Congrès de Reims : Bertrand Delanoë fait cavalier seul
cela semble être la fête de ségolène , au ps !!!
Royal - Panne de courant
Par Wesfreid Marcelo, mis à jour le 26/06/2008 -
Pour inverser la tendance, la présidente de Poitou-Charentes compte à la fois sur la sortie de son livre Si la gauche veut des idées (Grasset), le 8 juillet, et sur la présentation en grande pompe de sa contribution, le 28 juin. « Il s'agit de relancer la dynamique en permettant aux socialistes de se positionner par rapport à du contenu », commente la députée Aurélie Filippetti. Pour bâtir le texte, un site Internet - www.congresutileetserein.com - a été lancé en avril, qui a glané 2 500 commentaires. Des correspondants départementaux, première étape de la constitution d'un courant pro-Royal, ont multiplié les débats. « On peut être fiers de notre contribution participative écrite à 4 000 mains », s'enorgueillit Benoît Joseph, l'animateur de la réunion organisée à Villejuif.
21 heures. Dominique Bertinotti arrive à son tour à la Maison pour tous Jules-Vallès. La maire du IVe arrondissement de la capitale est une proche de Royal. Elle s'assoit au milieu des militants disposés en arc de cercle : « Nous avons mangé notre pain blanc lors de la présidentielle. La campagne permettait de bouger les lignes. Maintenant, il faut multiplier les coups de boutoir pour bouger le PS.»
« Candidate à quoi et pour quoi faire ? »
Du sang et de la sueur : les militants sont prêts à repartir au combat. A condition toutefois d'y voir plus clair. Emmanuel, un habitant de Villeneuve-Saint-Georges, interpelle Bertinotti : « Quelle est la position de Ségolène sur l'Europe ? Et sur les alliances ? Ce n'est pas clair ! » Un homme, au quatrième rang, enfonce le clou : « Royal est candidate à quoi et pour quoi faire ? » Ils ne sont pas les seuls à se sentir déboussolés par les changements de cap de l'ex-candidate. Interrogés en juin, 30 % des sympathisants de gauche se disaient favorables au choix de Royal pour la tête du PS (sondage BVA-Orange-L'Express). Ils étaient 45 % quatre mois auparavant.
Son image s'est brouillée. Après les municipales, au moment où ses rivaux sont sortis du bois, Royal la fonceuse a laissé place à Royal la tacticienne, qui a cherché à déborder Delanoë sur sa gauche, en clamant son opposition au libéralisme et en radicalisant son discours par des références à tout-va à Jaurès. Elle, qui transgressait les tabous, flirte avec l'orthodoxie. Au début de juin, l'économiste Thomas Piketty, qui n'a jamais caché son soutien à Royal, a publié une tribune dans Libération,pour que les socialistes soient innovants sur le plan intellectuel. « C'était une pression amicale, confie-t-il, pour qu'elle n'abandonne pas son côté iconoclaste au nom des canons socialistes. »
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Royal - Panne de courant
Par Wesfreid Marcelo, mis à jour le 26/06/2008 -
Les défections s'accumulent dans son camp, son image s'est brouillée, ses adversaires tentent de se coaliser. Pour espérer gagner la bataille du congrès et prendre la tête du PS , elle doit réagir. D'urgence !
Ils sont en colère. Ils ont l'impression que le PS veut maintenant leur faire la peau. En ce vendredi 20 juin, 70 militants de Désirs d'avenir, l'association de Ségolène Royal, se sont donné rendez-vous à Villejuif pour une réunion départementale du Val-de-Marne.
Les nouvelles sont mauvaises : le parti a réactualisé la liste des adhérents et, comme par hasard, il a radié massivement et souvent sans les prévenir - ce qui est contraire aux statuts - les socialistes qui n'ont payé leur cotisation ni en 2007 ni en 2008. Exit, donc, ces militants recrutés à 20 euros sur Internet, qui avaient porté aux nues Ségolène Royal lors des primaires. A Arcueil, un tiers du fichier a ainsi été nettoyé. A Villejuif, 45 noms ont été biffés - sur 165. Autant de voix qui ne s'exprimeront pas au congrès.
Cruel retour de balancier : les nouveaux adhérents rêvaient de pousser les éléphants vers la sortie. A cinq mois du congrès, ce sont eux qui sont boutés hors de certaines « fédés ». « Les cadres du parti n'ont pas supporté la façon dont Ségolène Royal les a traités pendant et après la campagne, quand elle a justifié la défaite par les faiblesses du projet socialiste, constate Gérard Grumberg, directeur de recherche au CNRS. Aujourd'hui, le parti prend sa revanche sur celle qui n'a pas joué le jeu. »
Le « tout sauf Ségolène » se radicalise. Pro-Delanoë ou pro-Aubry se divisent sur le nom de leur champion, mais pas sur la nécessité de faire barrage à l'ancienne candidate, qui accumule les déconvenues depuis qu'elle s'est officiellement déclarée candidate pour devenir « chef » du parti - selon son expression. Si elle a réuni 25 signatures de premiers secrétaires de petites et moyennes fédérations du PS, les puissantes fédérations du Nord, du Pas-de-Calais, de Paris lui échappent.
A ce stade, le congrès n'est pas pour autant perdu. Car elle n'est pas la seule à s'enliser. « Elle est en panne dans un PS où la panne est généralisée », reconnaît un proche du maire de Paris. Personne ne parvient à creuser l'écart auprès des militants, heurtés par les guéguerres de leaders, et Royal conserve un noyau de fidèles et une bonne cote chez les sympathisants. Personne, non plus, n'arrive à convaincre les grands féodaux, qui attendent la cristallisation des rapports de force. 2008 n'est pas 2006 : il ne s'agit plus de choisir le mieux placé pour contrer Nicolas Sarkozy. En novembre, la nouvelle direction répartira les postes dans l'appareil. Dans un parti d'environ 130 000 membres, recroquevillé sur ses permanents et ses élus, personne ne veut injurier l'avenir.
« Elle aurait dû rester au-dessus de la mêlée »
D'où des défections en cascade pour Ségolène Royal.
Michel Sapin, son ami de l'ENA, qui assistait à son « conseil politique » du mardi, s'est rallié à son autre camarade de promo, François Hollande. Ses soutiens de la première heure, comme Gérard Collomb, maire de Lyon, ou Jean-Noël Guérini, l'influent président du conseil général des Bouches-du-Rhône, ont également pris leurs distances. Ils signeront leur propre contribution. Chaque semaine apporte son lot de déconvenues. Un jour, c'est le président du conseil régional de Bretagne, Jean-Yves Le Drian, qui va voir ailleurs. Un autre, c'est celui des Pays de la Loire : « Royal demeure ma candidate pour 2012, mais elle aurait dû rester au-dessus de la mêlée, au lieu de s'occuper des chicaneries du PS », arguë Jacques Auxiette. Renversement spectaculaire : « Elle était habituée à l'offensive, elle doit s'atteler désormais à la sauvegarde de ses positions », résume le strauss-kahnien Jean-Jacques Urvoas, député du Finistère. « Ceux qui nous quittent sont des apparatchiks, continuons sans les barons », minimise le responsable de Cités d'avenir, Kamel Chibli, le « M. Banlieues » de Royal.
Pour inverser la tendance, la présidente de Poitou-Charentes compte à la fois sur la sortie de son livre Si la gauche veut des idées (Grasset), le 8 juillet, et sur la présentation en grande pompe de sa contribution, le 28 juin. « Il s'agit de relancer la dynamique en permettant aux socialistes de se positionner par rapport à du contenu », commente la députée Aurélie Filippetti. Pour bâtir le texte, un site Internet - www.congresutileetserein.com - a été lancé en avril, qui a glané 2 500 commentaires. Des correspondants départementaux, première étape de la constitution d'un courant pro-Royal, ont multiplié les débats. « On peut être fiers de notre contribution participative écrite à 4 000 mains », s'enorgueillit Benoît Joseph, l'animateur de la réunion organisée à Villejuif.
21 heures. Dominique Bertinotti arrive à son tour à la Maison pour tous Jules-Vallès. La maire du IVe arrondissement de la capitale est une proche de Royal. Elle s'assoit au milieu des militants disposés en arc de cercle : « Nous avons mangé notre pain blanc lors de la présidentielle. La campagne permettait de bouger les lignes. Maintenant, il faut multiplier les coups de boutoir pour bouger le PS.»
« Candidate à quoi et pour quoi faire ? »
Du sang et de la sueur : les militants sont prêts à repartir au combat. A condition toutefois d'y voir plus clair. Emmanuel, un habitant de Villeneuve-Saint-Georges, interpelle Bertinotti : « Quelle est la position de Ségolène sur l'Europe ? Et sur les alliances ? Ce n'est pas clair ! » Un homme, au quatrième rang, enfonce le clou : « Royal est candidate à quoi et pour quoi faire ? » Ils ne sont pas les seuls à se sentir déboussolés par les changements de cap de l'ex-candidate. Interrogés en juin, 30 % des sympathisants de gauche se disaient favorables au choix de Royal pour la tête du PS (sondage BVA-Orange-L'Express). Ils étaient 45 % quatre mois auparavant.
Son image s'est brouillée. Après les municipales, au moment où ses rivaux sont sortis du bois, Royal la fonceuse a laissé place à Royal la tacticienne, qui a cherché à déborder Delanoë sur sa gauche, en clamant son opposition au libéralisme et en radicalisant son discours par des références à tout-va à Jaurès. Elle, qui transgressait les tabous, flirte avec l'orthodoxie. Au début de juin, l'économiste Thomas Piketty, qui n'a jamais caché son soutien à Royal, a publié une tribune dans Libération,pour que les socialistes soient innovants sur le plan intellectuel. « C'était une pression amicale, confie-t-il, pour qu'elle n'abandonne pas son côté iconoclaste au nom des canons socialistes. »
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Re: Congrès de Reims : Bertrand Delanoë fait cavalier seul
et comme un malheur ne vient jamais seul :
Hollande fait volte-face
Hollande fait volte-face
François Hollande a changé d'avis. Il pensait d'abord présenter un texte en vue du congrès - une contribution - sans l'accompagner de signatures. Une formule qui lui permettait d'apparaître comme un responsable au-dessus de la mêlée. Mais le premier secrétaire sur le départ, qui rêve de revenir en 2012 pour la présidentielle, a subitement ouvert la chasse aux signatures auprès de ses amis. Et mis en ligne un site pour recueillir les précieux paraphes. Raison de ce revirement ? La montée en puissance de Martine Aubry l'inquiète : ses soutiens sont multiples et elle devient incontournable dans la puissante fédération du Nord. En plus, elle occupe le même créneau que lui, entre Delanoë et Royal. Une situation qui l'a poussé à se lancer et à prendre le risque de compter ses soutiens.
Re: Congrès de Reims : Bertrand Delanoë fait cavalier seul
Au fait ils se battent pour quoi en ce moment ? Pour la place de secrétaire du parti c'est ça ? J'avoue que j'en arrive même à oublier pourquoi ils se font autant de coups de pute...
On a une liste des "candidats" officieuse ? Apparemment il y a déjà Aubry, Royal et Delanoé de plus ou moins déclarés. On peut donc rajouter Hollande. Et Lang au fait ?
On a une liste des "candidats" officieuse ? Apparemment il y a déjà Aubry, Royal et Delanoé de plus ou moins déclarés. On peut donc rajouter Hollande. Et Lang au fait ?
zongo- Maire
- Nombre de messages : 843
Date d'inscription : 12/06/2008
Re: Congrès de Reims : Bertrand Delanoë fait cavalier seul
Hmm la réponse à ma question sur Lang était plus haut. Apparemment il s'est rallié à Aubry.
zongo- Maire
- Nombre de messages : 843
Date d'inscription : 12/06/2008
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