Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
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Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
http://www.lefigaro.fr/politique/2009/09/04/01002-20090904ARTFIG00537-xavier-bertrand-la-taxe-carbone-se-fera-.phpXavier Bertrand : «La taxe carbone se fera»
Propos recueillis par Paul-Henri du Limbert
04/09/2009 | Mise à jour : 19:45 | Commentaires 3 | Ajouter à ma sélection
INTERVIEW - Le secrétaire général de l'UMP estime que «pour faire de grandes réformes, il faut une grande majorité».
LE FIGARO. Les oppositions à la taxe carbone sont-elles surmontables?
Xavier BERTRAND. La taxe carbone est un engagement de la campagne présidentielle. Donc elle se fera, le Mouvement populaire s'y emploiera. N'ayons pas la mémoire courte, contrairement au PS et en particulier à Ségolène Royal qui n'est pas à un renoncement près. Les socialistes s'étaient engagés eux aussi, mais ils préfèrent la démagogie à l'écologie. Nous serons dans le sens de l'histoire. Je ne jouerai pas sur les mots : la contribution énergie est une taxe, je l'assume. Mais il y aura une compensation claire, nette, simple et intégrale.
Quelle vertu pédagogique peut avoir une contribution si elle est remboursée ?
C'est le même principe que pour le bonus-malus automobile. Comme la mise en place sera progressive, les comportements les plus vertueux pourront progressivement être récompensés.
Après l'élargissement de la majorité à Philippe de Villiers et aux chasseurs, les écologistes sont-ils la prochaine étape de l'ouverture ?
Nous avons fait le choix de relever le défi environnemental il y a deux ans. Les écologistes vont voir quels sont les partis politiques qui ont le courage de tenir leurs engagements. J'ai noté que le discours de la secrétaire nationale des Verts, Cécile Duflot, à La Rochelle, était beaucoup plus virulent vis-à-vis du PS que vis-à-vis de nous. Et je pense que les écologistes ne sont pas au bout de leurs déconvenues avec les socialistes.
La majorité peut-elle conserver sa cohérence en s'élargissant sans cesse?
Il y aurait un risque s'il n'y avait pas la colonne vertébrale des idées. Le projet présidentiel est notre référence. Personne ne doit être surpris que ceux qui ont voté pour Nicolas Sarkozy au deuxième tour se situent aujourd'hui clairement dans cette majorité présidentielle. Pour faire de grandes réformes, il faut une grande majorité. Ce sont les idées qui font les majorités, pas les petites additions tactiques. Le Mouvement populaire doit être le lieu qui ressemble le plus à la société française. C'est ainsi que nous atteindrons et dépasserons les 500 000 adhérents en 2012. Il y aura des réformes inspirées par l'UMP d'ici à 2012.
Où en est-on sur le mode de scrutin des futurs conseillers territoriaux ?
Ce n'est pas le cœur de la réforme, et la question ne sera pas traitée dans les textes qui seront présentés d'ici à la fin du mois. Nos militants tiennent absolument à ce que cette réforme se fasse et je voudrais dire à l'ensemble de nos élus que c'est, pour nous, une occasion d'être exemplaires. C'est le sens de l'histoire. Réduire de 30 à 50 % le nombre d'élus, y compris UMP, sera un marqueur important de notre aptitude au changement. D'autant que le PS se prépare une fois de plus à un combat d'arrière-garde sur la question, en s'empêtrant comme d'habitude dans ses conservatismes. C'est une différence qui se verra et comptera au moment des élections régionales.
Comment allez-vous trancher la question de la clause de compétence générale ?
Une chose est sûre : les compétences générales à tous les niveaux de l'organisation territoriale, ça n'est plus possible. Il me semble évident que la clause de compétence générale doit être accordée à la commune. Après, il faudra voir pour les autres niveaux de collectivités comment préciser les compétences. Quand tout le monde s'occupe de tout, plus personne n'assume rien.
Peut-on évaluer les économies que la réforme permettra ?
Pas encore, mais en termes de nombre d'élus, c'est assez simple, dès lors que, quand on est conseiller général et conseiller régional, on ne cumule pas les deux indemnités. Il faut que l'indemnité du conseiller territorial soit inférieure à l'addition des indemnités des élus du département et de la région, et qu'elle soit, aussi, liée à la présence. C'est une réforme structurelle sans précédent, et j'en soumettrai les principaux points au vote des militants, en octobre. Il faut que la carte de militant devienne une carte d'électeur permanente.
Allez-vous aussi vous pencher sur le non-cumul, proposé par le PS ?
Les socialistes évoquent un hypothétique non-cumul à la Saint-Glinglin, autrement dit ils veulent augmenter encore le nombre d'élus, qui atteint déjà un record en France ! Quant au mandat unique, il aboutirait à transformer les députés en technocrates. Je ne suis pas pour davantage de technocratie.
Quel est votre objectif pour les régionales ?
Dans une élection intermédiaire comme celle-ci, chaque région gagnée sera un succès pour le Mouvement populaire. Nous voulons aussi permettre à de nouveaux candidats de s'investir, et les jeunes du Mouvement trouveront leur place dans tous les départements.
Nicolas Sarkozy va-t-il s'engager dans la bataille ?
Il est avant tout concentré sur les priorités des Français, et il a un souhait : que la campagne ne s'engage pas trop tôt. L'UMP finira d'élire ses chefs de file le 25 octobre. Les têtes de liste seront connues fin novembre, et la présentation des listes complètes aura lieu fin janvier.
La majorité a-t-elle intérêt à présenter des listes communes dans toutes les régions ?
Avec le comité de la majorité, il est hors de question de se tromper d'adversaire. Nous aurons des listes d'union partout, ou quasiment partout. On s'est aperçu dans le passé qu'avec des listes séparées deux plus deux pouvaient faire trois, alors qu'avec des listes uniques, deux plus deux peuvent faire cinq. La dynamique permet de dépasser l'arithmétique.
Vous noterez que X. Bertrand respecte beaucoup les électeurs, non seulement en faisant l'autiste sur la taxe carbone, mais en réussissant à dire sans honte que le non-cumul des mandats produira des technocrates. Frédéric Lefebvre et la mère Royal ont du souci à se faire, le comique Bertrand a du talent aussi...
Invité- Invité
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
Il a également dit que ceux qui refusaient la taxe carbone étaient de mauvais écologistes, alors qu'à l'UMP on s'intéresse à l'écologie que depuis deux ans. A croire que cette taxe réduira le rejet de CO2, il nous prend vraiment pour des cons.
Georges- Président du Conseil Général
- Nombre de messages : 2950
Age : 76
Date d'inscription : 20/07/2008
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
Oui, c'est ça, il nous dit merde en gros. Comme pour le reste, quand on est contre une mesure, c'est qu'on est cons. Union pour le Mépris de la Population, un sigle qui leur va bien, mais qu'on peut étendre à l'envi au PS, aux Verts et à bien d'autres...
Invité- Invité
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
Aurélie a écrit:Oui, c'est ça, il nous dit merde en gros. Comme pour le reste, quand on est contre une mesure, c'est qu'on est cons. Union pour le Mépris de la Population, un sigle qui leur va bien, mais qu'on peut étendre à l'envi au PS, aux Verts et à bien d'autres...
+1 !
shimmy- Président du Conseil Général
- Nombre de messages : 4651
Age : 80
Date d'inscription : 14/01/2008
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
J'aimerais bien ouvrir un débat de fond, sans mentionner cette taxe, mais j'ai peur.
Invité- Invité
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
Je crois que le débat sur cette question ne sera pas dépassionné ici.
Invité- Invité
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
Non. Pas sur ce sujet.
Je verrai d'ici deux trois ans, j'ouvrirai un fil.
Je verrai d'ici deux trois ans, j'ouvrirai un fil.
Invité- Invité
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
Han d'accord, tu veux pas servir d'unique punching ball! Ou alors t'as peur des boulets distribués par livaste...
Allez, ouvre le ce fil, on touchera pas à un seul de tes précieux cheveux, promis!
Allez, ouvre le ce fil, on touchera pas à un seul de tes précieux cheveux, promis!
Invité- Invité
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
Anna a écrit:Je crois que le débat sur cette question ne sera pas dépassionné ici.
tu as raison ,ce sera un débat passionné !
ce débat est passionné même dans les rangs de la droite !
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
Aurélie a écrit:Han d'accord, tu veux pas servir d'unique punching ball! Ou alors t'as peur des boulets distribués par livaste...
Allez, ouvre le ce fil, on touchera pas à un seul de tes précieux cheveux, promis!
pour ce débat , j'octroie des boulets sans compter à tous les opposants !
Je n'aurai pas moi même trop de temps à consacrer au forum mais je compte sur vous et vous mandate pour rappeler mon opposition à cet impty stupide supplémentaire !
Appremment Bertrand se fout de ses électeurs de l'UMP opposés à cette taxe , il comprendra , peut être l'an prochain que ses " électeurs " ne sont pas ses larbins !
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
Compte pas sur moi.
Tu as une nouvelle invasion familiale en Corse??
Tu as une nouvelle invasion familiale en Corse??
Invité- Invité
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
et oui !!!!Anna a écrit:Compte pas sur moi.
Tu as une nouvelle invasion familiale en Corse??
Re: Taxe carbone: X. Bertrand nous dit merde
4ème engagement : Une révolution écologique
L’écologie n’est pas incompatible avec la croissance. C’est même tout le
contraire.
L’écologie est le moteur de la croissance de demain et la demande
écologique créera des milliers d’emplois. Les pays qui seront en avance auront un
avantage décisif pour proposer à leurs partenaires des produits et des
technologies propres. L’écologie sera facteur de bien-être, d’une meilleure qualité
de vie. Mais l’urgence et la gravité de la situation imposent d’être lucides sur la
nécessité de changer nos comportements.
Résoudre en une génération les principaux problèmes écologiques
de la France (deux générations pour le climat)
Avec l’introduction, en 2005, dans la Constitution d’une charte de
l’environnement, la France a été le premier pays du monde à se doter d’une liste
de principes fondateurs en la matière. A l’image de la Suède, parce que l’écologie
est un enjeu qui doit nous mobiliser tous, et non pas nous diviser, nous
engagerons un plan national, impliquant tous les Français et tous les secteurs de
l’économie, destiné à résoudre en une génération maximum les principaux
problèmes écologiques de la France (deux générations pour le climat).
Des indicateurs annuels de suivi permettront à chacun de mesurer les progrès accomplis.
Les décisions seront prises à l’issue de débats publics avec tous les
intervenants concernés, citoyens, entreprises, associations, et bien sûr les
collectivités territoriales qui sont un maillon déterminant.
Mettre l’écologie au coeur des décisions publiques
L’importance de la question écologique justifie la réorganisation de nos
structures : création d’un conseil stratégique du développement durable et de la
lutte contre le changement climatique auprès du président de la République,
réunissant les principaux ministres concernés à l’image de l’actuel conseil de
défense, doté d’un secrétariat général ; création du grand ministère du
développement durable (écologie, protection de l’environnement, énergie,
équipement, transports et prévention des risques industriels) ; création d’un comité
environnemental d’éthique, doté de la même indépendance et du même prestige
que le comité national d’éthique, pour éclairer les Français de manière
transparente et scientifiquement incontestable sur ces sujets, un domaine où cela
n’a pas toujours été le cas.
Un effort important de formation sera entrepris, à
l’école bien sûr, mais plus encore dans nos différentes filières de formation et
d’enseignement supérieur pour que la France à la fois se dote d’un vivier de
chercheurs, ingénieurs, techniciens, experts dans le domaine environnemental, et
forme à l’environnement l’ensemble de ses professionnels, depuis les artisans du
bâtiment jusqu’aux ingénieurs des biens de consommation, pour un vrai saut
qualitatif dans la prise en compte de la question écologique.
Lutter contre le changement climatique, priorité des priorités
La lutte contre le changement climatique, et donc la réduction de nos
émissions de gaz à effet de serre, constitue l’enjeu le plus important et le plus
urgent. Pour une fois, les contraintes jouent en notre faveur puisque l’épuisement
des ressources fossiles – et en attendant l’augmentation de leur prix – fait de la
question énergétique une question déterminante des prochaines années,
notamment pour le pouvoir d’achat des Français.
Pour fixer les idées, si le monde
veut revenir d’ici 2050 à un taux d’émission de gaz à effet de serre compatible
avec sa survie et si les efforts sont équitablement répartis entre les différents pays en fonction du niveau où ils se trouvent actuellement, la France devra diviser par
quatre ses émissions.
Conforter l’énergie nucléaire
L’énergie nucléaire nous donne un véritable avantage comparatif en la
matière. Si les centrales nucléaires étaient remplacées par des centrales au gaz
naturel, nos émissions de gaz à effet de serre seraient supérieures de 25%. C’est
grâce à l’énergie nucléaire que la France émet par habitant 21% de gaz à effet de
serre de moins que la moyenne mondiale.
Nous devons donc maintenir et
renouveler notre parc nucléaire. En contrepartie, nous reconnaîtrons aux
citoyens le droit d’accéder à tous les documents d’information utiles relatifs
aux risques nucléaires et aux méthodes utilisées en France pour les
prévenir.
Isoler les bâtiments anciens
Outre les énergies renouvelables (hydroélectricité, solaire, éolienne,
biomasse…), pour lesquelles nous devons acquérir une situation de leadership
comparable à celle du nucléaire, des comportements individuels vertueux et
l’isolation rapide de tous les bâtiments anciens permettraient de faire d’importants
progrès en matière d’émissions de gaz à effet de serre dans le domaine résidentiel
et tertiaire. L’énergie la plus propre est, de loin, l’énergie non consommée.
Vers des transports non polluants
Les transports fonctionnent à l’énergie fossile à 98%. C’est dire l’effort qui
est devant nous. Là encore, nous devons développer les sources d’énergie
substitutives, en particulier les biocarburants, qui représentent par ailleurs une
source d’espoir pour notre agriculture. Nous devons investir dans la recherche
pour aboutir le plus vite possible à des alternatives du type « pile à hydrogène ».
Nous devons encourager les Français à moins utiliser leur voiture individuelle en
développant des transports en commun rapides, confortables, sûrs, circulant sur
une large amplitude horaire, en incitant au covoiturage (par la création,
notamment, de files réservées et la réduction des tarifs de péage), et en
encourageant l’utilisation du vélo (vélos mis gratuitement à disposition en ville,
parcs à vélos gardés…)..
Aujourd’hui, une partie importante du fret routier du centre de l’Europe
passe par la France, concrètement nos départements du Nord et de l’Est puis nos
vallées transalpines, parce que cela coûte moins cher de faire ce détour que
d’emprunter le réseau routier de pays tels que l’Allemagne, la Suisse ou l’Autriche.
Ce n’est pas parce ces pays sont nos amis que cette situation est acceptable. A
l’image de ces pays, nous devons créer une redevance pour l’utilisation de notre
réseau routier et autoroutier par les camions, qui reflétera le coût porté au réseau
et surtout à l’environnement par ce mode de transport des marchandises. La taxe
à l’essieu, qui en pratique n’est payée que par les transporteurs français, sera
supprimée.Pour les transports longs, il faut privilégier le fret ferroviaire, le
ferroutage, les canaux et les autoroutes de la mer. Le plus important trafic de
poids lourds en France est celui qui va de la Grande-Bretagne à l’Espagne et
réciproquement plutôt que d’emprunter la mer. Cela implique de prendre le temps
de réfléchir aux travaux d’infrastructures les plus utiles pour l’avenir. Nous
veillerons à accompagner le secteur du fret routier dans ces évolutions, en
particulier à l’aider à se doter de véhicules propres.
Pour les produits agricoles, le choix des circuits courts, c’est-à-dire une
consommation au plus près de la production des produits et non pas le transport
de ceux-ci sur des milliers de kilomètres, présenterait au moins deux avantages :
moins d’émissions de gaz à effet de serre au titre du transport et possibilité pour
les agriculteurs de choisir les productions agricoles les plus respectueuses de
l’environnement.
Se donner les moyens d’atteindre ces objectifs
Pour atteindre ces objectifs (économies d’énergie, développement des
énergies renouvelables, progrès techniques…), nous utiliserons les moyens
suivants :
- transfert progressif de la fiscalité portant sur le travail vers la
fiscalité sur la pollution. Le « verdissement » de la fiscalité se fera à taux de
prélèvements obligatoires inchangé ;
- création d’un crédit d’impôt environnement, allant bien au-delà des
dispositifs existants, simple dans sa conception, important dans son montant, au
profit des ménages, des entreprises et de tous les autres organismes qui
investissent dans la recherche, dans la formation et dans des équipements
permettant de réduire la consommation énergétique et de favoriser l’utilisation
d’énergies renouvelables. Pour les ménages, ce crédit d’impôt, complété par des
prêts à un taux zéro, visera notamment l’isolation des habitations et l’acquisition
d’équipements fonctionnant aux énergies renouvelables ;- incitation aux comportements vertueux par une détaxation de
certaines énergies (biocarburants par exemple), la création d’une pastille bleue
donnant aux véhicules propres certains avantages significatifs (voies réservées,
baisse des tarifs de péage, stationnement gratuit…), et une tarification de l’eau, de
l’électricité et de l’enlèvement des déchets fortement favorable aux attitudes
économes ;
- effort important de recherche dans le domaine de l’écologie, aussi bien
au niveau national qu’européen ;
- politique d’achats publics systématiquement éco-responsable afin
de faire participer les pouvoirs publics à l’effort environnemental, baisser les prix
des produits verts, imposer un modèle de comportement vertueux.
Notre objectif est que l’adoption de comportements respectueux de
l’environnement ne coûte jamais plus cher aux ménages et aux entreprises.
Et ainsi, en outre, nous rendrons l’écologie accessible à tous.
il était effectivement prévu de créer cette taxe carbone en réduisant la fiscalité sur le travail sans que cela pèse sur le pouvoir d'achat des français .... si effectivement on baisse les charges fiscales du travail pour les reporter sur la consommation et que cela ne change rien au budget des français , c'est ok mais , en l'occurrence ces derniers jours on nous calcule le coût moyen de cette taxe par famille annuellement qui serait d'environ 70€ ... sans parler de la réduction fiscale du travail !!!!
et dans ce programme législatif UMP il est question de cette fameuse taxe essieu(elle pour les entreprises qui possèdent des + de 12 tonnes .... uniquement françaises et après on s'étonnent qu'elles déménagent en Bulgarie avec les contraintes françaises en moins !!!)!!! qui est refusé par une dizaine de pays européens bien entendu ....
http://viphttp.yacast.net/ump/projet-ump2007.pdf
Invité- Invité
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