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Mon Roman, sorti de la poussière.

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Mon Roman, sorti de la poussière. Empty Mon Roman, sorti de la poussière.

Message  The Shadow Mer 12 Mar - 22:10

Je vous propose ce soir un petit essai que j'avais commencé il y a bien longtemps sur un forum MPF. Je pense qu'il pourrait être apprécié ici.

ATTENTION: CET ECRIT PRESENTE DES SCENES DE GUERRE PARTICULIEREMENT VIOLENTES. AMES SENSIBLES, S'ABSTENIR!!


La Fin de l'Atlantide, ou Chroniques de la 3ème guerre mondiale.

Prologue



"Dès le début du 21ème siècle, les incidents se multiplièrent : incident isolés entre citoyens, entre entreprises multinationales, incidents diplomatiques, radicalisation des discours : le Président Iranien et les dirigeants de Corée du Nord dirent vouloir se doter de l’arme nucléaire, le Liban, seul pays qui pouvait présenter un espoir étant donné sa diversité tant ethnique et culturelle que religieuse, fût miné, rongé à la fois par les groupes terroristes et par Israël, qui cherchait à se défendre.
De même, Sion était rongé par le terrorisme, et l’espoir d’un état pour le peuple palestinien s’engouffrait peu à peu dans l’abime de la violence. En Amérique centrale et en Amérique du sud, la gauche antilibérale gagnait état après état, profitant sans cesse de la pauvreté qu’elle créait, ou usant de celle qu’avaient créé ses prédécesseurs libéraux. Mais c'est l’Europe qui présentait le visage le plus intéressant : alors que l’islamisme montait dans ces pays, les dirigeants, au lieu de prendre des mesures radicales, préféraient « négocier », car il est bien connu que le principal visage de l’Europe, c'est celui de la diplomatie, et non du combat, sauf que ces « sages » qui trainent 2000 ans d’histoire n’ont pas compris que par la négociation entre la collaboration.

Partout alors dans le monde, on hésitait plus à critiquer ouvertement les Etats-Unis capitalistes, et par là-même, Israël, sa légitimité à être un état, et de plus en plus, les Juifs eux-mêmes souffraient de toutes les critiques, de toutes les railleries. En France, ce fut une église brulée, puis une synagogue, puis des émeutes en 2005, et malgré toutes les promesses de tous les partis, cela continuait, sans cesse.

En 2014, alors que le glissement vers l’horreur continuait, on vit au Moyen-Orient se créer « l’Union Suprême Islamique » (USI), qui, lorsque l’Orient n’eu plus de pétrole se loua de « protéger les intérêts des musulmans à travers le monde ». Cela ne dura que deux mois. En mars 2015, le juge français antiterroriste Jean-Charles Barmont accusa l’USI d’intelligence avec des entreprises terroristes, notamment les trop tristement célèbres Al-Qaeda et autres GSPC….Le juge Barmont fut retrouvé dans une ruelle, horriblement égorgé, le lendemain de ses accusations. Officiellement, le ministère de l’intérieur, socialiste depuis 2012, parla « d’acte découragé d’une personne en manque de repères et dans une situation de précarité extrême ». On ne retrouva d’ailleurs pas le coupable.
Puis les guerres civiles débutèrent. A Amsterdam, tout d’abord, les « jeunes précaires en manque de repères » prirent les armes : en 4 jours, Amsterdam fût rasée, vidée de ses habitants, tous massacrés, sans aucune pitié. Alors que l’armée régulière Hollandaise approchait d’Amsterdam, l’USI déclara officiellement « qu’elle condamnait fermement cet acte, mais qu’elle regrettait bien plus que la politique raciste hollandaise ait mené une population musulmane humiliée à la révolte. Pendant ce temps, à Paris, des jeunes au visage cagoulé se battaient pied-à-pied contre ce qu’ils appelaient eux-mêmes les « lascars ». Le combat fut fortement inégal, et la population parisienne fut elle aussi massacrée en grande partie. Les régiments militaires qui entouraient Paris avaient vu leur matériel saboté, du char d’assaut le plus monstrueux au simple fusil d’assaut, rien n’avait été épargné par les « emplois jeunes » infiltrés.
Le Président, le gouvernement, le parlement furent enfermés à l’intérieur de Notre-Dame, que les jeunes incendièrent à coup de cocktails Molotov, et Proclamèrent la « Commune Autonome Islamique de Paris ». A Londres, à Madrid, à Marseille, à Berlin, les émeutes éclatèrent, les unes après les autres, sans que rien ne puisse arrêter l’avance de la haine antioccidentale.
Puis, les armées régulières, enfin réveillées, enfin dépêtrées, réparant leur matériel comme elles pouvaient, reprirent leur avance, à Amsterdam, Paris, Londres, etc.…
Mais lorsqu’ils arrivèrent dans les grands centres à reconquérir, ils ne combattirent pas contre des jeunes « légèrement armés », mais contre de véritables soldats, armés de fusils d’assauts, de mortiers, de lance-roquettes, de missiles, de grenades, tous portants des uniformes flambant neufs marqués d’un croissant de lune et du sigle « USI ».
Les armées régulières, mal équipées, furent balayées tout aussi rapidement que les anciens habitants des grandes villes européennes. Ainsi, au mois d’Août 2016, l’USI avait développé son territoire sur l’ensemble de l’Europe, accélérant leur conquête par le pont ouvert qu’avait été l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne, en 2014. On eu pu croire que les Etats-Unis seraient intervenus, mais l’administration d’Hillary Clinton, réélue en 2012, avait d’autres problèmes : pendant que l’Europe était massacrée, les Etats-Unis subirent de plus en plus l’ingérence de sociétés privées sud-américaines qui livraient, avec force publicité, du pétrole, du gaz et des denrées alimentaires aux prolétaires américains, ceux-ci allant alors grossir les rangs des tendances communistes et autres courants alter-capitalistes. Le Mexique, sous l’influence de la province de Oaxaca, se révoltait, et le gouvernement provisoire révolutionnaire socialiste mexicain, non seulement incitait, mais payait même ses concitoyens à entrer illégalement aux Etats-Unis.
L’ONU ne vit rien arriver, et ne pût même rien faire. En 2020, alors que l’Europe était devenu ni plus ni moins les premières lignes de l’USI, alors que l’Asie en était devenue la base arrière, alors que le Japon croulait chaque jours sous les bombes, les Etats-Unis, et le Canada entamaient à peine leur guerre contre l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale, et l’Australie se préparait à une longue guerre contre l’USI, qui avait pris le contrôle de la totalité de l’Afrique, de l’Asie et de l’Europe !"

The Shadow
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Message  The Shadow Mer 12 Mar - 22:20

Chapitre 1. TERRITOIRES ISLAMIQUES D’EUROPE – ZONE 42 (Ancien territoire de la République Française)



Ils avaient pourtant commis une erreur grossière. Ils avaient investi
toute les grandes villes de France : Paris, Marseille, Lyon, Lille,
Bordeaux…Mais la campagne ne les intéressait pas. Ils y envoyaient les
pauvres, les artisans, tous ceux qui ne leurs étaient pas utiles. La
ville était facile à contrôler, pour ces soldats spécialistes de
l’urbanisme moderne. La campagne, en revanche, était remplie de forêts,
de fourrés, de grottes, de difficultés topographiques qui les
rebutaient. Ils avaient donc posté à la campagne de petites garnisons
militaires dans chaque village, ainsi que quelques religieux destinés à
surveiller l’abatage des animaux, et à les garantir « hallal », à
exterminer les élevages de porc, à tenter de convertir ce qui restait
de chrétiens, de bouddhistes et d’athées, mais en dehors de ces petites
unités, il n’y avait rien. Les Juifs étaient laissés tranquilles, du
moins en apparence, puisque, chaque nuit, une maison juive par ville et
par village était « visitée » et assassinée.
Les autorités officielles
de l’USI parlaient le lendemain de « meurtre raciste commis par des
fascistes » et promettait de mettre tout en œuvre pour retrouver les
coupables….Qu’on ne retrouvait jamais, puisque les « fascistes »
n’étaient autre que la « section K », section du département de la
Police, spécialement formée pour se grimer en cambrioleurs et
assassiner les Juifs.
C'est donc de la campagne que tout vint.



« J’m’appelle Yves Grantin.
J’suis pas un gars méchant : j’suis né dans un petit village, près de
Chartres, et j’y vis depuis. Le paternel tenait un bar, alors quand il
est mort, je l’ai repris, sauf qu’on y sert plus maintenant que des jus
de fruits et du thé à la menthe. Pas mal de café, aussi, surtout depuis
que les « muzs » ont interdit l’alcool sur le territoire. Le paternel,
il s’est battu comme un lion, sur les remparts de la citadelle de
Chartres. Mais c'était peine perdue. Les gars, ils avaient quelques
fusils, pour la chasse, quelques bombes artisanales, les trucs que les
ruskoffs avaient inventé autrefois, les bouteilles remplies
d’essence…les muzs, eux, ils avaient tout c’qu’il y a de plus moderne :
des fusils incroyables, des engins comme j’en avais jamais vu. Pendant
4 jours, mon père et les gars de la résistance rapide ont défendu la
citadelle. Ah les muzs, qu’est-ce qu’ils ont prit ! Cette citadelle,
c’est tout en pente, pour accéder à ce qui était autrefois la
cathédrale, et tout fourré de petits passages, des escaliers
interminables, des recoins pour se cacher. Sur le côté nord, y’a 114
marches. Les gars qui sont revenus m’ont dit que sur 114 marches, y’a
eu 228 morts chez les muzs, 2 par marche….. Quand ils m’ont raconté ça,
ils m’ont dit aussi, pour le père….J’ai pleuré. Comme quand j’avais 7
ans…Mais c’était pas des larmes de tristesse, ce coup ci, juste de la
rage. Après avoir pris la citadelle, les muzs, ils étaient sacrément en
pétard, aussi, alors ça a atténué la mort de mon père : j’étais content
qu’ils aient versé pour prendre le « rocher » ! Mais comme y’z’étaient
en pétard, la cathédrale, ils en ont fait une mosquée. Quand j’ai vu
ça, je savais pas si je devais éclater de rire ou pleurer…finalement,
j’me suis retenu, et comme si c’était pas assez, les types qui tiennent
le village sont venus prendre le café, chez moi, pour fêter la
victoire…Sans payer, bien sur…Et puis ils se sont installés…Dans des
maisons, au hasard, ils forcent les occupants à les accueillir, à les
nourrir, ils ont l’œil sur eux…et moi aussi, j’ai l’œil sur eux. La
résistance rapide, ils se cachent. Je sais où : dans les anciennes
grottes en craie : les muzs les ont inspecté, le premier jour, puis ils
ont laissé tomber : c’est plein de galeries, là-dedans….C’est
salissant, et les muzs, ils veulent pas êtres souillés par les «
dhimmis », ni par leur terre…Alors, de temps en temps, ils passent
devant, et jettent un coup de torche, rapidement. Mais on connait le
coup : tout le village se donne le mot : dès qu’un muz s’amuse à aller
fourrer son groin par là, les types de la résistance sont prévenus, ils
font pas un bruit. Et puis, 10 peignes-culs pour tout le village, c’est
pas grand-chose…On aurait même pu les massacrer, depuis le temps, mais
tous les jours, ils font leur rapport, en arabe, à la radio, et il
f’rait pas beau y voir qu’ils manquent leur rapport ! Y’a toute leur
division qui nous tomberait dessus illico-presto ! Alors, on résiste
comme on peu…Les gars dans les grottes, on leur refile un sauciflard,
un peu de pinard de contrebande…bref, de quoi survivre, quoi.
Mais pour moi, la résistance de con, c’est bientôt terminé. Ces sales porcs, ils vont payer pour le paternel.

Quand j’ai repris le bar, j’avais pas fait gaffe : derrière le
comptoir, y’avait un tapis, j’avais pas remarqué. Puis l’autre soir, la
Véronique me dit « Chéri, ce tapis derrière un comptoir de bar, c’est
idiot »…..Ouais…on peut le voir comme ça…En fait, heureusement qu’on a
remarqué le tapis après l’heure légale de fermeture, parce que sous le
tapis, y’avait une trappe, et en dessous, une vieille cave, que le
paternel nous avait interdit d’y’aller quand on était gosses, soit
disant qu’c’était tout pourri, qu’c’a risquait de s’effondrer. Je me
souvenais plus de ce truc. Alors, je m’suis dit, dans le fond, « si ça
risque de s’écrouler, c’est toute la baraque qui va foutre le camp,
faut qu’j’aille y voir »…..Et j’ai vu….La caverne d’Alli baba ! Des
armes, de l’essence, des litrons, de la saucissaille en veux-tu, en
voila… Tout ça, qu’il accumulait, années après années, virant de temps
en temps ce qui était périmé….Mais de la flotte et du pourri, non, y’en
avait pas !

Alors j’me suis mis à tout regarder : y’avait des vieilles
mitrailleuses de la guerre de 40….J’ai un peu manié la culasse pour
voir, ça tenait….Je sais pas…Au moindre coup de feu, ça risque de nous
sauter dans la gueule, ces conneries….Mais on sait jamais : les
vieilles mitrailleuses allemandes, elles étaient connues pour êtres
solides…Et puis si ça marche pas, on pourra toujours au moins faire
peur aux muzs…. Y’avait aussi des fusils, un peu neufs : du calibre 12
pour la chasse, des carabines rayées, manuelles ou semi-autos, y’avait
des grenades, aussi, du tout neuf, encore emballées, avec des
inscriptions en langue ruskoffs, dessus, surement des trucs de la Serbie,
ou de par là…Bref, j’ai tout regardé, y’avait encore de l’argent, des
papiers, avec un truc spécial pour glisser des photos sans que ça se
voit….Je suis remonté, j’ai tout laissé, j’ai juste pris un peu
d’argent, pour accuser le coup des muzs qui viennent boire gratos…La
femme m’a demandé si c’était vraiment pourri…J’lui ai simplement
répondu « non, ça va, c’est juste inutilisable, ça sert à rien, vaux
mieux pas y’aller, c’est tout »….Mais dans son œil, n’importe qui
aurait su qu’elle avait deviné. Elle savait. La nuit, j’ai pas trop
dormi. Véronique non plus, d’ailleurs, on a discuté, à voix basse. Ça
faisait longtemps qu’elle en avait marre de leur « République »,
qu’elle avait envie que ça change. Elle savait parfaitement que dans
cette cave, il n’y avait pas que des gravas….Je lui ai raconté. Pour
l’argent, elle a été contente, pour le reste, elle a eu peur…Elle m’a
demandé ce que j’allais faire. J’ai répondu que je savais pas….Ou du
moins que j’avais peur de savoir. On pouvait plus continuer ainsi, de
toutes façons, les muzs ruinaient le pays, ils nous volaient tout, nous
pillaient, tuaient les gens gratuitement...
Alors le lendemain, à la fermeture, on a pris une décision : le
lendemain, c'était mon tour de surveiller les muzs pour prévenir la
résistance au cas où…Alors j’en ai profité pour lancer un message dans
la grotte : j’avais pris une pierre et je l’ai entouré d’un papier
marqué « ai armes, matériel, denrées. Envoyer représentant ce soir
fermeture bar du village demander patron. Détruire le message après
lecture. ». Le soir même, c'est Jean-Pierre Boron qui s’est présenté,
un cultivateur du coin. Je lui ai ouvert, j’lui ai montré la cave, le
matos (j’avais bien évidemment planqué l’argent ailleurs). Il en
revenait pas. Il restait un problème tout de même : faire parvenir tout
ça dans les grottes. C'est que c'était lourd….même s’il n’y avait que
300 mètres du bar aux cavernes, c'était tout de même 300 mètres à
découvert, avec la milice armée qui veillait : 4 types en tout la nuit,
mais 4 types qui donneraient l’alarme au moindre problème, et Chartres
et sa garnison d’enragés n’est qu’à 12 kms… Alors on a décidé de faire
ça de jour…Comme on était juste au début du printemps, c'était la
saison où les agriculteurs commençaient à travailler la terre. Alors
tous les jours, ils passaient « prendre un café », et sous le manteau,
quand le bar était vide ou presque, je leur refilais une grenade, des
chargeurs, un pain d’explosifs…on a mis 3 semaines pour leur constituer
un stock potable de matériel et de rations alimentaires. A la fin, la
sentence tomba : la voie ferrée qui allait jusqu’à Chartres était
surélevée, et partout percée de petits tunnels, des petits ponts pour
que les gens puissent traverser par en dessous. Il y avait un tunnel
tous les 30 mètres, et l’ensemble était totalement impossible à
inspecter en entier. Le dimanche, quand les muzs transféraient du
matériel, des armes, et des prisonniers de Paris à Chartres, alors les
« 10 » du village étaient chargés de surveiller leur section de
terrain. Mais le train traversait l’ensemble du village en 30 secondes,
alors ils ne pouvaient pas tout inspecter : ils surveillaient
rapidement, histoire de montrer au conducteur qu’ils étaient là…les
pauvres ! on avait truffé un pont de 15 kilos de plastic ! A la sortie
du village, bien sur, pour ne pas trop exposer les habitants.
L’explosion se fit probablement entendre jusqu’à Chartres, mais les
muzs se sont alors trouvé confrontés à un sacré problème : seul le
train acheminait les armes, les munitions et surtout l’essence jusqu’à
chartres….Lorsque la Sirène de Chartres à sonné….Personne n’est
arrivé…En effet, par un heureux hasard, il se trouve que les troupes de
Chartres étaient justement à cour d’essence et attendaient le train ce
dimanche là pour pouvoir se ravitailler !

Mais c'était trop beau….Les troupes à pied sont arrivées, 4 heures
plus tard, et ont retrouvé leurs dix copains pendus à l’entrée du
village. On avait alors sortit toutes les armes de ma cave, on voulait
tenir un siège, même si on savait qu’on allait y passer….On voulait pas
mourir pour rien, on voulait venger les nôtres, et vendre notre peau le
plus cher possible ! Alors la bataille commença : les coups de fusils
claquaient dans tous les coins, les grenades aussi…On se défendait
comme des lions, face à ces crasseux : les muzs tombaient comme des
mouches, mais nous étions inférieurs en nombre et en puissance de
feu…Surtout quand leurs mortiers commencèrent à nous pilonner. Alors on
s’est réfugié dans les grottes, en attendant la mort…

C'est alors que c'est arrivé : d’abord, on a vu comme une ombre passer devant la grotte…Puis on a entendu des explosions énormes…on a sortit la
tête des grottes…et on a cru qu’on était morts et en enfer…c'était
incroyable : les troupes à pieds étaient en train de bruler
littéralement ! Leurs corps, perforés de partout, partaient en
poussières incandescentes…

C'est là que Pierre Lenom, le chef de notre petite troupe, a
allumé la radio, sur la fréquence internationale… on entendait un
message en Français, avec une voix électronique…Surement un traducteur
automatique :

« Français libres, Français libres, ici Chevaliers 7, Chevaliers
7. Bravo pour votre coup de force les gars, on vous a fini le boulot,
on vous envoie du matos et de quoi vous soigner ! ».

Alors que les troupes à pieds des islamistes terminaient de se
consumer, une lourde caisse, surmontée d’un parachute glissait
lentement, vers nous.
».

The Shadow
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