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Où sont les riches ?

4 participants

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Où sont les riches ? Empty Où sont les riches ?

Message  livaste Sam 31 Jan - 22:31

Publié le 31/01/2009 à 16:13 - Modifié le 31/01/2009 à 16:20 Le Point.fr
Où sont les riches ?






Par Christel Mery-Pipolo, Christine Delisle, Olivier Bost et Jo Lécrivain

Où sont les riches ? 32603_une-riches

L'anse de Benodet ( Finistere ) et son port de plaisance. PHOTO ANGOT/SIPA
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Message  Invité Sam 31 Jan - 22:32

je suis sûre qu'il y a des gens qui , en voyant cette splendide photo ...rêve d'un tsunami ! Razz

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Message  Invité Sam 31 Jan - 22:34

quoi que ........... après réflexion , non.... qui paierait s'ils disparaissent ??? Suspect ... un barrage géant qui les empêcherait de partir serait plus approprié ! clown

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Message  livaste Sam 31 Jan - 22:43

Publié le 29/01/2009 N°1898 Le Point

Où sont les riches en France - La vérité sur l'argent des français
Idées reçues. Les Français râlent mais n'ont jamais été aussi prospères, explique Jacques Marseille dans son dernier livre.



Les revenus des français ne cessent de croître

« Entre 1949 et 1973, le niveau de vie par Français s'est deux fois plus accru qu'entre Vercingétorix et Charles de Gaulle. En l'an 0 de notre ère, le revenu moyen d'un Gaulois avoisinait 400 dollars d'aujourd'hui. En 1949, il s'élevait à 4 442 euros. En 1973, il s'élevait à un peu plus de 13 000 dollars. Il s'était donc accru de plus de 8 000 dollars en vingt-cinq ans. A une époque où les rédacteurs du Programme commun de gouvernement écrivaient sans faire rire : " La vieille machine capitaliste tourne encore, mais elle est déjà dépassée par l'histoire vivante" , l'économie de marché, cette "vieille machine", faisait accéder à la société d'abondance ceux qui avaient peine à en prendre conscience. La "rupture" avec les années "glorieuses" ne s'amorce pas au lendemain du choc pétrolier de 1973 mais au lendemain de l'arrivée de la gauche au pouvoir.
De 1973 à 1982, en effet, le pouvoir d'achat des Français continue sa progression au rythme de 2 % par an en moyenne, augmentant de plus de 25 % en dix ans. La véritable cassure se fait en 1983, date à laquelle la pente historique amorcée en 1945 connaît son premier fléchissement. Avec 4 maigres euros de progression annuelle, le revenu national s'établit à 15 395 euros ; la suite oscille entre léger recul et progression modeste, au rythme de 1,5 % l'an, soit un dixième de point au-dessous du taux de longue durée (1,6 %).

Au demeurant, les vaches n'étaient pas si maigres que cela ; entre 1983 et 2001, le revenu monte de 35,1 %. Sauf que, hormis l'Allemagne, le pays est à la traîne comme s'il avait toujours de la peine à encaisser le choc de la vague descendante. Pour la même période, l'Italie enregistrait une hausse du revenu moyen de 42,2 %, les Etats-Unis de 47,7 %, les Pays-Bas de 49,9 % et le Royaume-Uni de 50,1 %. Première "leçon" de cette histoire : en longue durée, le progrès est réel mais toujours incertain, soumis à des ondulations qui peuvent désespérer une génération. Comme l'écrivait Joseph Schumpeter, la performance économique du capitalisme "ne ressort que sur le plan d'une perspective lointaine [...] ". Un progrès séculaire, considéré comme allant de soi, accouplé à une insécurité individuelle, douloureusement ressentie, constitue évidemment la meilleure des huiles à jeter sur le feu de l'agitation sociale. »

Les Français ont renoué avec la richesse

« Marx n'aurait jamais pu l'imaginer. Keynes l'avait espéré. Le XXe siècle l'a fait, en éradiquant de manière spectaculaire la richesse des Français. En 1900, leur "fortune" moyenne s'élevait à 21 171 euros. Il faudra attendre 1961 pour qu'elle dépasse ce niveau, avec un patrimoine moyen par Français de 21 695 euros ! Mais, à cette date, cela ne représentait plus que trois années de revenu annuel moyen, contre neuf en 1900. Une Berezina patrimoniale que confirment d'autres estimations. En 1902, la valeur moyenne des successions léguées par les Français s'élevait à 33 860 euros ; en 1964, elle ne s'élevait plus qu'à 21 190 euros. A l'époque même où surgissaient les mythes du "mur d'argent" et des "deux cents familles", le patrimoine moyen des Français s'effondrait de manière spectaculaire.

Pour comprendre l'ampleur de cette déroute, il faut tout d'abord en cerner la périodisation. La Première Guerre mondiale a évidemment représenté une césure majeure. Plus de 20 % de la fortune privée des ménages s'est volatilisée. En 1934, une étude d'une extrême minutie réalisée par Paul Cornut l'évaluait à 13 036 euros par Français, à comparer aux 21 171 euros de 1900. En 1951, on était tombé à 11 514 euros par habitant, soit une perte de 45,6 % en un demi-siècle.

Autant de statistiques qui invitent à réécrire l'histoire sociale de la France. Au beau XIXe siècle qui s'achève dans les années 1880 succède une période sombre qui couvre un très large XXe siècle.

De 1949 à 1975, le patrimoine moyen des Français reprit sa progression avec un taux de croissance moyen annuel de 4,4 %. Reste qu'en 1975 la fortune privée moyenne par habitant, 41 495 euros, ne représentait qu'un peu plus de trois ans de revenu national moyen contre un peu plus de neuf années en 1900.

"Enrichissez-vous par l'épargne", avait conseillé Guizot ; il fallut attendre un siècle et demi pour que la recommandation porte ses fruits. De 1975 à 2007, la fortune moyenne par habitant s'est accrue d'un peu plus de 4 % par an. Aujourd'hui, le patrimoine moyen des Français représente plus de sept années de revenu, contre tout juste trois au début des années 70. Non pas une évolution mais une révolution qui, à bien des égards, duplique celle qu'avait connue la courbe des revenus de 1945 à 1973. En 1975, la fortune moyenne par habitant s'élevait à un peu plus de 40 000 euros ; elle atteint aujourd'hui près de 144 000 euros, comme s'il avait fallu un "miracle" financier pour compenser enfin les déboires de la longue durée.

La hausse des prix de l'immobilier est la première explication de ce bouleversement historique. Quiconque était ou est devenu propriétaire de son logement dans les trente dernières années a pris sa revanche sur les années piteuses où le propriétaire avait dû ronger son frein. En 1978, la valeur des logements et des terrains possédés par les Français s'élevait à un peu plus de 1 930 milliards d'euros d'aujourd'hui. En 2007, elle atteignait 5 873,5 milliards. Une hausse de près de 200 % en vingt-huit ans, un taux d'accroissement moyen annuel, en pouvoir d'achat, de 3,9 %. C'est dire à quel point l'accroissement moyen de la fortune tient au fait que près de 57 % des ménages sont aujourd'hui devenus propriétaires ou accédants à la propriété.

La hausse de la Bourse, qui s'amorce en 1983 sous la présidence de François Mitterrand, est la seconde explication. Avec l'arrivée des socialistes au gouvernement s'amorce la révolution libérale qui va redonner au marché financier la place qu'il avait perdue depuis la Première Guerre mondiale. Une révolution d'autant plus surprenante qu'elle n'était pas inscrite dans le Programme commun de la gauche. En 1981, un Français qui aurait tout misé sur ce placement si vilipendé par le nouveau président aurait vu son pouvoir d'achat multiplié par 17 en 2000. Celui qui aurait tout misé sur les obligations l'aurait vu multiplié par 4,6 et celui qui aurait fait confiance à l'or aurait vu fondre son patrimoine de 54 %. C'est en 1999, sous le gouvernement de Lionel Jospin, que la performance de la Bourse, 53,6 %, égale les records historiques de 1928, 1941, 1954, 1983 et 1986.

Un cadeau au "capital" qui a fait date et qui s'est aimablement répété. Un Français qui aurait acheté l'indice CAC 40 au lendemain de l'arrivée de Lionel Jospin, en juin 1997, et l'aurait revendu en avril 2002 aurait gagné près de 60 %, alors que celui qui aurait fait le même pari sur Jacques Chirac n'aurait engrangé que 17 % de 2002 à 2007.

A bouder la Bourse, les Français ont boudé la fortune. C'est que, sur la durée, le seul placement permettant de maintenir et d'accroître sa fortune a bien été la Bourse. Placés en or, les 385 milliards d'euros de 1913 vaudraient aujourd'hui 404 milliards ; en obligations, ils ne vaudraient plus que 161 milliards.

Tout se passe comme si le développement des marchés financiers et le renouveau de la Bourse depuis l'impulsion socialiste des années 80 s'inscrivaient dans une histoire longue qui démontre, à l'inverse de tous les clichés, que les Français ne sont pas culturellement et génétiquement hostiles à la finance et à l'actionnariat. En 1913, la valeur des actions cotées à la Bourse de Paris s'établissait à 78 % du PIB, contre 39 % aux Etats-Unis et 44 % en Allemagne. Seul le Royaume-Uni disposait d'un marché financier plus étoffé que celui de la France, avec un pourcentage de 100 %. C'est dire à quel point les réticences quasi génétiques des Français envers la Bourse sont imaginaires.

En fait, les Français semblent retrouver aujourd'hui les réflexes d'une époque qui les avait enrichis. Ainsi, alors qu'en 1981 la capitalisation boursière de la place de Paris ne représentait que 7,3 % du PIB, elle s'élève aujourd'hui à 75 % du PIB, exactement le même pourcentage qu'en 1913. Selon les estimations, ils seraient aujourd'hui 6,7 millions à détenir des actions en direct alors qu'ils ne sont que 4,5 millions en Allemagne.

Mieux encore, la France serait aujourd'hui l'un des pays les plus "riches" du monde ! Avec un patrimoine net par habitant égal à près de 144 000 euros, elle se placerait derrière le Japon (205 000 euros) et l'Irlande (148 000 euros) mais devant le Royaume-Uni (137 000 euros), les Etats-Unis (128 000 euros), l'Italie (125 000 euros) et l'Allemagne (90 000 euros) ! Un chiffre peu publié qui explique mal pourquoi les Français sont si angoissés. Qui est le nouveau Guizot qui guérira les Français de leur peur de s'enrichir, surtout après la crise financière de 2008 ? »

Les inégalités diminuent

« Les différences d'approche de la pauvreté entre le monde anglo-saxon et la France suffisent, d'une certaine manière, à comprendre la nature du mal-être français. La définition de la pauvreté aux Etats-Unis est dite "absolue". Le principe général est le suivant : sont considérées comme pauvres les personnes qui ne peuvent s'assurer un niveau de consommation en biens dits "fondamentaux" aux prix les plus bas du marché, indépendamment du niveau de vie des couches de la société les plus fortunées. Une définition de "bon sens". Ainsi, aux Etats-Unis, est considéré comme pauvre celui dont le revenu est inférieur à trois fois le coût de la ration alimentaire nécessaire pour vivre. A l'aune de cette définition, selon le dernier recensement réalisé en 2005, 12,6 % des Américains pouvaient être considérés comme pauvres. Pourtant, 43 % de ces foyers possédaient leur propre maison et jouissaient d'un espace vivable plus grand que le foyer européen moyen. 80 % avaient l'air climatisé. 75 % possédaient une voiture. 31 % en possédaient deux ou plus. 97 % des "pauvres" avaient un téléviseur couleur. Plus de la moitié en avaient deux ou plus. 78 % avaient un magnétoscope ou un lecteur de DVD. 62 % recevaient la télévision par câble ou par satellite. 89 % possédaient un micro-ondes, plus de la moitié une chaîne stéréo et plus d'un tiers un lave-vaisselle.

Les Européens, et en particulier les Français, ont préféré adopter une mesure qui leur ressemble. Ici, la pauvreté n'est pas "absolue", elle est "relative" : sont pauvres les personnes ou les familles dont le niveau de vie est inférieur à celui de la majorité de la population. En fait, ici, et c'est l'une des raisons majeures de nos frustrations sociales, l'indicateur de pauvreté est davantage un indicateur d'inégalité. Ainsi, en France, les pauvres sont les personnes qui vivent avec moins de 50 % du revenu médian. En Europe, ce seuil de pauvreté a été fixé à 60 %. Une définition de la pauvreté qui présente bien des paradoxes. Si, sous l'effet d'un taux de croissance exceptionnel, les revenus de tous doublaient et si la misère était exorcisée, le taux de pauvreté ne changerait en rien ! On pourrait même pousser le paradoxe plus loin : avec cette définition, il est impossible d'éradiquer la pauvreté. Tant qu'il y aura des riches, il y aura en fait des pauvres.

Reste qu'en dépit de ces imperfections les indicateurs sont formels : à long terme, le taux de pauvreté en France a considérablement diminué, même s'il s'est stabilisé depuis 2002. En prenant le seuil à 50 % du revenu médian (soit 758 euros en 2007 pour une personne seule), le taux de pauvreté est passé de 12 % en 1970 à 6,3 % en 2006. Avec le seuil à 60 % (soit 910 euros), il a chuté de 17,9 % à 12,1 %. La France compterait entre 3,7 et 7 millions de pauvres selon le seuil adopté. Des chiffres qui placent par ailleurs le pays en très bonne position dans une Europe où le taux de pauvreté (au seuil de 60 %) atteint 12 % en Suède et au Danemark, 13 % en Allemagne mais 19 % au Royaume-Uni, 20 % en Italie, en Grèce, en Espagne et en Irlande.

Cet abaissement sensible du taux de pauvreté est principalement dû au fait que, depuis les années 90, les revenus les plus modestes ont augmenté plus vite que les autres. Une évolution qui a certes permis d'abaisser le taux de pauvreté, mais qui a aussi contribué à smicardiser la société française et à déprimer les classes moyennes, principales victimes de l'évolution récente.
Tel est bien le paradoxe français. Alors que la France fait partie des rares pays du monde où, sur les vingt dernières années, les inégalités de revenus ne se sont pas accrues, elle a laissé en déshérence près de 60 % des salariés, ceux qui perçoivent entre 1 300 et 2 500 euros net par mois. Des salariés qui ont le sentiment de payer pour tout le monde. D'un côté, ils ne bénéficient pas des avantages réservés aux plus pauvres. De l'autre, ils ne sont pas assez aisés pour bénéficier des niches fiscales qui permettent aux plus riches de réduire leur impôt. "Enrichissez-vous ! " A force d'avoir été vilipendée, l'injonction de Guizot a fini par devenir pour ces classes moyennes un objectif de plus en plus inaccessible. »
« L'argent des Français », de Jacques Marseille Editions Perrin 389 pages, 20 E.
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Message  Georges Sam 31 Jan - 22:58

Il porte bien son nom, mais il aurait dû s'appeler Jacques de Marseille.

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Message  Invité Sam 31 Jan - 23:04

Quand un type utilise le mot imperfection quand il parle de la pauvreté , tout est dit non Livaste ?

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Message  livaste Sam 31 Jan - 23:12

Je ne pens epas que tout soit dit , je crois qu'il a , même avec plus que des maladresses donnés quelques chiffres éloquents .
C'est vrai que richesse et pauvreté ( sauf pour les extrêmes ) sont des notions relatives . Rappelle toi le " je n'aime pas les riches " quand on s'aperçoit que " riches " désignaient alors une classe moyenne supérieure ' certainement celle qui pouvait vivre de ses rentes ) .
je ne défends nullement les excès de revenus de certaines classes , comprends bien , je ne défends ni les gros actionnaires et patrons , pas plus que les people du sport ou de la télé .
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Message  Isis Mar 3 Fév - 10:55

C'est quoi un riche ?Ah oui ceux qui ont 4000 euros de revenus fiscaux/mois et plus, c'est vrai ...Hollande devrait se reconvertir "dictionnaire"Le Hollande illustré
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Message  Invité Mar 3 Fév - 11:52

oui , je suis entièrement d'accord !!! mais ils ont du mal a réaliser l'énormité de cette connerie dite ! ...c'est d'ailleurs pour ça qu'ils veulent retirer le "paquet fiscal' ... Rolling Eyes

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Message  shimmy Mar 3 Fév - 17:03

franline a écrit:je suis sûre qu'il y a des gens qui , en voyant cette splendide photo ...rêve d'un tsunami ! Razz

Au vu des bateaux qui sont dans ce port, ce ne sont pas des riches!
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Message  livaste Mar 3 Fév - 17:24

J'ai seulement utiliser la photo du journal , par facilité ..
Si j'avais voulu trouver des yatchs , des vrais , j'aurais tépé " festival de Cannes " et là on aurait vu les bateaux des riches peoples !! Razz
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Message  Invité Mar 3 Fév - 18:32

pour nous ces petits bateaux n'appartiennent pas aux riches .... mais certains le pensent ! ils pensent que ce sont des riches gagnant + de 4000 € par mois à se la couler douce... Rolling Eyes

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