Les patrons du G8 confiants dans l'économie de marché
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Les patrons du G8 confiants dans l'économie de marché
Béatrice Taupin
04/12/2008 | Mise à jour : 08:48 |
pas la peine de tout lire , je vous résume la position de parisot , qu'on laisse le spatrons gagner des sommes dingues , qu'on ne les impose pas , et que l'état ne se mêle surtout pas de controler quoique ce soit !
Moi je propose qu'elle rajoute quelques exigences ,: la justice n'a pas à foutre le nez dans les CA ,les patrons ne peuvent être poursuivis , on supprime le Smic , c'est au patron de décider du salaire , ils ne cotisent plus aux organismes sociaux , ils décident seuls du travail horaire , on supprime les congés payés ..
J'en ai sans doute oublié , libre à vous de compléter !
04/12/2008 | Mise à jour : 08:48 |
»À eux tous, ils représentent 70 % des échanges mondiaux. Laurence Parisot réunissait mercredi au Medef un sommet extraordinaire de ses homologues du G8 (allemand, britannique, italien, russe, japonais, américain et canadien) auquel participait aussi Ernest-Antoine Seillière (BusinessEurope). Objectif de cette réunion qui se poursuit jeudi : formuler des propositions pour l'avenir de l'économie mondiale et la régulation des marchés financiers.
Mais d'emblée, les patrons ont dans une déclaration commune affirmé leur credo : la crise «ne remet pas en cause l'économie de marché qui demande des règles claires et partagées, ni la nécessité de donner aux entreprises la liberté de créer, de se développer, d'innover». L'économie est par nature cyclique, et c'est donc un message optimiste de confiance qu'ils ont délivré, affirmant être «ready for the future» et donc pressés de préparer l'avenir. «Nous sommes, a résumé Laurence Parisot, lucides sur la situation, inquiets pour certaines de nos entreprises, mais sûrs que l'on va s'en sortir.» À condition que chacun reste dans son rôle.
Ainsi la déclaration souligne-t-elle que les États ont un rôle pour rétablir le fonctionnement normal des marchés, «ce qui n'est pas encore le cas», ou réaliser les réformes structurelles, mais «ils ne doivent pas gérer les entreprises». Affirmant leur soutien total aux gouvernements du G20 et aux engagements pris à Washington, les patrons appellent en particulier à la conclusion rapide des accords de Doha. «Ce serait une étape décisive vers la sortie de crise», et la marque d'un «refus du protectionnisme». Enfin, ils s'engagent à ce que leurs entreprises fassent prévaloir l'«éthique et la responsabilité» et se mobilisent pour relever les défis du changement climatique.
Propositions franco-françaises
Alors que tous attendent de leur gouvernement des mesures d'incitation monétaires et fiscales pour lutter contre la récession qui prennent en compte les déficits publics et respectent les règles de la concurrence, la présidente du Medef avait pris soin le matin d'en faire la traduction franco-française. D'abord encourager la production et l'exportation en privilégiant la compétitivité des entreprises, et donc en s'attaquant au «principal handicap hexagonal que sont des prélèvements obligatoires excessifs sur les coûts de production».
D'où la suggestion d'anticiper la suppression de l'impôt forfaitaire annuel (IFA) actuellement prévue sur trois ans, de supprimer la contribution sociale de solidarité des sociétés (C3S), qui taxe le chiffre d'affaires des entreprises bénéficiaires ou non, d'accélérer la réforme de la taxe professionnelle en abaissant «dès maintenant» le plafond , de simplifier le crédit d'impôt export, et d'étendre le risque exportateur à toutes les TPE-PME. En second lieu, renforcer les fonds propres des TPE-PME, par exemple en triplant (à 150 000 euros) le plafond de déductibilité de l'ISF des sommes investies dans les PME. Enfin apporter de la souplesse en accélérant les remboursements de TVA et crédit d'impôt, ce qui est prévu (voir page 18), et en gelant les pénalités et intérêts de retard sur les cotisations sociales.
pas la peine de tout lire , je vous résume la position de parisot , qu'on laisse le spatrons gagner des sommes dingues , qu'on ne les impose pas , et que l'état ne se mêle surtout pas de controler quoique ce soit !
Moi je propose qu'elle rajoute quelques exigences ,: la justice n'a pas à foutre le nez dans les CA ,les patrons ne peuvent être poursuivis , on supprime le Smic , c'est au patron de décider du salaire , ils ne cotisent plus aux organismes sociaux , ils décident seuls du travail horaire , on supprime les congés payés ..
J'en ai sans doute oublié , libre à vous de compléter !
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