Croissance : Lagarde s'attend à «de moins mauvaises surprises»

livaste a écrit:Franline t'a répondu que l'Espagne était plus touchée que nous , et c'est vrai , elle t'a répondu que pourtant elle avait un gouvernement de gauche , et c'est aussi vrai !

Rien dans ce qu'elle a écrit ne supposait que seuls les pays d gauche étaient touchés ,alors que toi tu prétends , avec Georges , que seule la France est touchée !

Georges a écrit:

livaste a écrit:Franline t'a répondu que l'Espagne était plus touchée que nous , et c'est vrai , elle t'a répondu que pourtant elle avait un gouvernement de gauche , et c'est aussi vrai !

Rien dans ce qu'elle a écrit ne supposait que seuls les pays d gauche étaient touchés ,alors que toi tu prétends , avec Georges , que seule la France est touchée !

Je n'ai jamais dit que seule la France était touchée, si c'est faux prouve moi le contraire. J'ai dit que la politique de Sarkozy va aggraver la crise économique dans notre pays.

livaste a écrit:ce qui revient au même Georges , puisque tu soutiens que la crise est plus grave chez nous qu'ailleurs , ce qui est totalement faux !
!

livaste a écrit:Je répondais à Georges pas à toi , je ne réponds plus au trolleur pour ce soir !

livaste a écrit:je n'ai pas le temps , mais t'inquiète , au passage je te copierai les passages , il va bien m'arriver de retomber dessus !

'est bizarre, soudainement Livaste qui nous disait :
" vous avez indiqué que "seule La France était touchée" une fois mise dans ces retranchements passe à :

" vous avez indiqué que la France était plus touchée" ..

La tâche du parti révolutionnaire dans les conseils ouvriers consiste à canaliser toutes les luttes en vue de la destruction de l’Etat capitaliste. Pour y parvenir, le prolétariat doit utiliser la grève générale et l’insurrection armée qui sont ses armes fondamentales. La grève générale n’est pas une condition nécessaire à la réussite de l’insurrection et certaines insurrections peuvent aboutir sans la grève générale (Petrograd en octobre 1917).

Cependant, dans maintes situations, la grève générale constitue une méthode de lutte révolutionnaire d’une importance cruciale, parce qu’elle paralyse le fonctionnement entier de l’ennemi capitaliste et de son Etat. Elle pose la question : qui dirige la société, les patrons qui la possèdent ou les travailleurs qui la font marcher ? Elle met la lutte pour le pouvoir à l’ordre du jour. Mais, en soi, la grève générale ne peut que poser cette question ; elle ne peut pas fournir la réponse. C’est pourquoi la grève générale doit préparer la voie à l’insurrection armée.
Toute l’expérience historique montre que le prolétariat ne peut arracher le pouvoir d’Etat à la bourgeoisie que par des moyens violents. La quantité de violence requise est fonction des rapports de force à la veille de l’insurrection et dépend jusqu’à quel degré les forces armées ont été gagnées à la cause du prolétariat. Cependant, le prolétariat doit compter sur le fait qu’il rencontrera un maximum de résistance de la part des patrons et qu’il devra donc maximiser ses propres forces afin de contrer et de détruire cette résistance.

Sans une situation révolutionnaire au cours de laquelle les masses se rassemblent solidement derrière le parti révolutionnaire, une insurrection dirigée par une minorité révolutionnaire ne sera qu’un putsch aventurier, rejetant en arrière la lutte révolutionnaire. Pour rendre stable et permanent le nouveau régime établi par l’insurrection, il faudra que le parti ait gagné la majorité des travailleurs organisés des plus grandes agglomérations et villes.

Historiquement, les insurrections se présentent sous deux formes. Il y a d’abord celle du type “révolution de février” (France 1848, Russie 1917) : des insurrections spontanées de masse contre des régimes dictatoriaux, sans un parti révolutionnaire conscient et dominant à la tête des masses.

...

L’autre type d’insurrection est le transfert conscient, planifié et par la force, du pouvoir d’Etat au prolétariat sur le modèle de la révolution d’octobre en Russie. L’organisation de l’insurrection est une tâche technique qui exige la planification conspiratrice. Les conseils ouvriers doivent être gagnés à l’objectif de l’insurrection ; les moyens pour la mener à bien sont les milices ouvrières et les régiments de l’armée insurgés qui soutiennent la classe ouvrière.

Seul le parti révolutionnaire peut fournir le commandement général pour diriger l’insurrection. Tandis que le parti peut utiliser l’aide des sous-officiers, leur pouvoir doit toujours être limité au commandement des actions militaires, surveillé par des comités élus des régiments et des compagnies. La prise des installations les plus importantes, l’organisation de la défense du nouveau régime, la distribution d’armes et le déploiement des insurgés prolétariens ne peuvent être laissés à la spontanéité des masses ou des officiers “éclairés”.

Le rôle du parti est décisif dans la coordination de cette action. Le lendemain d’une insurrection réussie, les fruits de cette préparation seront évidents : la destruction de l’Etat capitaliste et l’établissement de la dictature prolétarienne sur le base du pouvoir des conseils ouvriers.

livaste a écrit:Voilà pourquoi l'extrême gauche travaille , voila pourquoi elle désinforme , et voilà où elle veut arriver !!
C'est encore un extrait du manifeste !

livaste a écrit:Voilà pourquoi l'extrême gauche travaille , voila pourquoi elle désinforme , et voilà où elle veut arriver !!
C'est encore un extrait du manifeste !