Lendemains de consultation

Le choix des militants socialistes qui ont placé en tête la motion de Ségolène Royal lors du vote jeudi soir, a visiblement secoué au sein du parti : le sénateur Jean-Luc Mélenchon et le député du Nord, Marc Dolez, situés à gauche du parti, ont annoncé, vendredi matin 7 novembre, dans un communiqué, qu'ils quittaient le Parti socialiste pour créer un nouveau mouvement "sans concession face à la droite".



"Par fidélité à nos engagements, nous prenons notre indépendance d'action. Nous quittons le Parti socialiste", ont déclaré les deux élus, partisans de la motion de Benoît Hamon, qui a obtenu jeudi soir autour de 19 %. Ils ont annoncé "la construction d'un nouveau parti de gauche" et appelé "à la constitution d'un front de forces de gauche pour les élections européennes". "Nous prenons nos responsabilités. Dans la crise du capitalisme, notre pays a besoin d'une autre voix à gauche", disent-ils.

Les deux responsables entendent "porter publiquement [leur] conception du combat républicain et socialiste, sans concession face à la droite, au capitalisme et leur [b]irresponsabilité destructrice contre la société humaine et l'écosystème".[/b

Voici venu le temps de la concertation. Forte de son score de 29 % qui place sa motion en tête, en vue du congrès de Reims (14 au 16 novembre), Ségolène Royal a décidé d'entamer des discussions "avec tout le monde, sans exclusivité". Au programme : une série de coups de téléphone, qu'elle a prévu de donner vendredi matin à ses adversaires "Bertrand (Delanoë), Martine (Aubry) et Benoît (Hamon)". Le maire de Paris et l'édile de Lille ont obtenu tous deux 25 %, quant à Benoït Hamon, qui représente l'aile gauche du parti, il a rassemblé 19 %. "Il va falloir que le vote (des militants sur les motions au congrès) soit respecté", a affirmé Ségolène Royal, estimant que son résultat lui "donnait une légitimité" pour diriger le Parti socialiste. Comme au cours de la campagne, elle a réitéré qu'elle "n'en fai(sai)t pas un préalable".

La présidente de la région Poitou-Charentes a toutefois reconnu que sa majorité était "relative" et a expliqué qu'elle devait à présent "mettre en mouvement la cohésion et l'unité des socialistes" pour "rassembler tous les talents qui existent au Parti socialiste". Les responsables des autres motions "auront le sens des responsabilités", a-t-elle reconnu, appelant à "mettre en place la meilleure équipe possible" pour "proposer une alternative crédible" à la majorité au pouvoir.

Elle a proposé une forme de contre-gouvernement "où chaque ministre, membre du gouvernement de Nicolas Sarkozy" trouvera "en face de lui un responsable politique" au PS. Et l'ex-candidate à la présidentielle a déjà dans le viseur quelques personnalités qu'elle aimerait rallier à sa cause : André Vallini, le fabiusien Didier Migaud et le strauss-kahnien Pierre Moscovici figurent en haut du tableau.

Jeudi soir, le vote des militants socialistes pour le congrès de Reims a consacré la prééminence de Ségolène Royal dont la motion a recueilli 29 % des voix devant Bertrand Delanoë et Martine Aubry avec 25 % et Benoît Hamon avec 19 %. Mais pour autant, le premier secrétaire du Parti socialiste (PS), François Hollande, refuse d'y voir un sacre de l'ancienne candidate à la présidentielle. "Ce n'est pas une défaite. Mais ce n'est pas une victoire qui lui permet aujourd'hui d'être majoritaire dans le PS. D'ailleurs personne n'est majoritaire. Et c'est bien là le problème (...) Ce n'est pas le scénario le plus simple pour le PS", a-t-il déclaré vendredi matin sur RTL .

Selon le numéro un socialiste qui doit raccrocher les gants le 20 novembre, Ségolène Royal ne se profile pas comme son "successeur naturel" qui "viendra au terme du Congrès". "Aujourd'hui, on est sur des votes de motions et pas sur le vote du premier secrétaire. Je ne sais pas ce qui va se passer à ce niveau et je ne sais même pas si elle est candidate", note François Hollande, en faisant allusion à celle qui a mis "au Frigidaire" son ambition de prendre la tête du parti.

"Les militants ont dispersé leurs suffrages"

"Que l'on dise que Ségolène Royal a réussi à être en tête de toutes les motions, c'est incontestable. Le problème ce n'est pas cet ordre d'arrivée, c'est comment on donne au parti (...) une majorité stable capable de le conduire. C'est vrai que la dispersion entre six motions et une abstention plus forte que précédemment font qu'aucune motion ne sort aujourd'hui avec plus de 30 %", a rappelé François Hollande.

Le premier secrétaire du PS a ainsi appelé les quatre principales motions à "chercher ensemble les voies d'un rassemblement", estimant que si une majorité ne se dégage pas, il y aura "des jours difficiles" pour le parti. "Je fais en sorte que le PS soit en ordre de marche après le congrès [de Reims] (...). La responsabilité de ceux qui dirigent le parti est de faire en sorte qu'il puisse y avoir un rassemblement sur une ligne qui soit cohérente, dynamique, mobilisatrice. Les militants ont dispersé leurs suffrages, à nous maintenant de faire en sorte que nous puissions nous rassembler", a-t-il martelé.

livaste a écrit:Publié le 07/11/2008 à 10:05 - Modifié le 07/11/2008 à 14:59 Le Point.fr
Royal assure que son résultat lui donne "une légitimité pour diriger le PS"






Par Jamila Aridj




Ségolène Royal a décidé d'entamer des discussions "avec tout le monde, sans exclusivité" AFP

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Aurélie a écrit:Je n'en reviens toujours pas... Ca va sans doute donner du Royal-Sarkozy en 2012, et alors là je vote blanc!

janopatte a écrit:

Aurélie a écrit:Je n'en reviens toujours pas... Ca va sans doute donner du Royal-Sarkozy en 2012, et alors là je vote blanc!

NON NON !! les Aubry, Delanoë , DSK, Fabius , etc ..... n'en veulent pas !!!! c'est pas fini ! hier Samy Naïr a dit : "le ps c'est pas la lutte des classes mais la lutte des places "

livaste a écrit:

janopatte a écrit:

Aurélie a écrit:Je n'en reviens toujours pas... Ca va sans doute donner du Royal-Sarkozy en 2012, et alors là je vote blanc!

NON NON !! les Aubry, Delanoë , DSK, Fabius , etc ..... n'en veulent pas !!!! c'est pas fini ! hier Samy Naïr a dit : "le ps c'est pas la lutte des classes mais la lutte des places "

voila qui promet !
On aura au moins de quoi discuter et commenter les coups qui vont pleuvoir !

18h25 Bertrand Delanoë, déclare sur RTL, au sujet de sa candidature au poste de Premier secrétaire du PS: «Moi, j’étais candidat. Je peux l’être, mais je n’en fais pas du tout une question de personne. Je ne veux pas être un problème». «Je veux contribuer à une solution et pour le moment ce qui m’intéresse plus que tout, c’est la solution par le fond, c’est-à-dire le projet».

18h20 Le premier secrétaire François Hollande affirme: «Je ne reviens pas sur ce que j’ai dit: la motion arrivée en tête a une responsabilité particulière, c’est à elle qu’il appartient de faire la démonstration qu’elle peut trouver une majorité. Cela est légitime, et c’est d’ailleurs conforme aux règles du parti». Cela vaut «quel que soit l’écart, même si la motion en tête n’obtient pas plus de 30% des suffrages des militants», précise le premier secrétaire, en rappelant qu’il n’avait jamais posé «aucun autre critère de seuil» que celui d’être en tête. Hollande avait déclaré le 23 septembre devant le Conseil national de son parti: «Ce dont je suis sûr, c’est que je soutiendrai la motion qui arrivera en tête, qui sera majoritaire et je soutiendrai, quel qu’il soit ou quelle qu’elle soit, le premier secrétaire qui sera élu».

17h31 François Lamy, lieutenant de Martine Aubry, déclare qu’il appartient à Ségolène Royal, de faire «des propositions claires» pour dégager une nouvelle majorité au PS. Le député de l’Essonne s’exprimait après un déjeuner qui a réuni autour de la maire de Lille une partie de ses principaux soutiens, dont Gilles Pargneaux, patron de la fédération du Nord, le président de la région Ile-de-France Jean-Paul Huchon, les députés fabiusien Claude Bartolone et strauss-kahnien Jean-Christophe Cambadélis.

17h14 Le MARS-Gauche républicaine, petit parti proche des antilibéraux, salue la décision du sénateur Jean-Luc Mélenchon et du député Marc Dolez de quitter le PS, geste qui «peut faire date dans la reconstruction d’une gauche de gauche».

16h32 Le pôle écologique du Parti socialiste, dont la motion a recueilli près de 2%, se déclare «prêt à participer à un rassemblement majoritaire» en faveur de la «rénovation» du parti.

14h18 Pour François Bayrou, le président du MoDem, «une période trouble s'ouvre au PS: il y a un vaincu et pas de vainqueur (...) On voit bien qui a perdu: ce sont ceux qui soutenaient que tout contact était à proscrire avec le Mouvement démocrate», faisant allusion à Bertrand Delanoë.

14h00 Roland Muzeau, le député PCF des Hauts-de-Seine, a écrit une lettre à Jean-Luc Mélenchon et Marc Dolez qui ont annoncé ce matin quitter le PS pour créer un nouveau mouvement à gauche. «Nous partageons, je le crois très sincèrement, l'impérieuse nécessité de créer du neuf à gauche, vraiment à gauche».

12h41 Le député PS Jean-Marie Le Guen, qui n’avait pris position pour aucun camp dans la bataille du congrès de Reims, veut confier la direction du parti à «une nouvelle génération issue de toutes les sensibilités du PS.»

12h24 Henri Emmanuelli, partisan de Benoît Hamon, sur France Info: «On peut faire deux lectures: on peut dire: elle est en tête ou bien on peut dire: elle a perdu la moitié des voix depuis la désignation à la présidentielle. Je n’ai jamais vu un candidat à la présidence de la République faire moins de 30% au congrès suivant».

11h36 Pierre Moscovici, partisan de la motion de Bertrand Delanoë, sur LCI: le PS est «tombé dans une logique de fragmentation et c'est ça qui est inquiétant (...) Aucune motion n'est dans une situation confortable, personne ne peut s'approprier je crois un triomphe.»

11h30 Julien Dray, soutien de Ségolène Royal, sur RMC: «Je pense qu'il y a eu un rassemblement qui s'est opéré autour d'elle avec une génération qui s'est levée.»
Il réaffirme aussi sa volonté de devenir premier secrétaire du PS, précisant «c'est à Ségolène de négocier avec l'ensemble des autres motions, de trouver le bon équilibre (...) Je ne veux pas lui forcer la main, on va discuter ensemble.»

11h22 A droite, aussi, le vote des militants PS suscite son lot de commentaires et de petites phrases. Ces résultats «traduisent l'immense confusion dans laquelle les dirigeants socialistes ont jeté leur parti», lit-on dans un communiqué de Dominique Paillé, porte-parole de l'UMP.
«Au PS, la lutte des classes a été remplacée par la lutte pour les places», ironise un autre porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre.

10h40 Benoît Hamon, dont la motion a obtenu 19% des suffrages, réaffirme sa candidature à la direction du PS, refusant la possibilité d'une alliance avec le MoDem préconisée par Ségolène Royal.

9h33 Le sénateur Jean-Luc Mélenchon et le député Marc Dolez annoncent qu'ils quittent le PS pour créer un nouveau mouvement «sans concession face à la droite».

Sur son blog, Jean-Luc Mélenchon explique ce choix: «Ce résultat est sans ambiguïté. Le score respectable de la gauche du parti n’y change rien malheureusement. Pour nous, ça suffit comme ça ! Nous refusons de nous renier en participant à des complots et des combinaisons tactiques.»

8h31 Ségolène Royal, sur France Inter: «Il va falloir que le vote des militants soit respecté. (...) Je suis une des leaders du PS mais ne personne seule ne peut pas réussir seule. Je dépends des autres et les autres dépendent de moi.»

Evoquant la nécessité d'une discipline collective, elle assure qu'elle appellera «dès ce matin» Bertrand Delanoë et les autres pour entamer des discussions «avec tout le monde, sans exlusive».

Maurice2012, année impossible pour Delanoë
Delanoë, c'est le candidat que le parti socialiste mettait à Paris face à Chirac: on le prenait pour un ringard et on savait qu'il n'avait aucune chance de gagner. Une fois Chirac président, il a réussi à se faire élire en profitant des divisions de la droite parisienne. Il n'en reste pas moins un loser, un perdant plein d'arrogance. Il suffit de se souvenir du fiasco des Jeux Olympiques! C'est tellement clair: 2012 ne sera pas l'année de Delanoë, ni pour les JO, ni pour les présidentielles!

Un Ps en morceau avec a sa tête une apprentie télévangéliste ... un délicieux parti neo-troskiste avec Melenchon Besancenot ce qui reste du PCF

Un bayrou toujours aussi fabuleux .

Bon ben qui a l'UMP pour succéder à Sarko aprés son deuxième mandat 2012-2017 ? Moi je préfére Coppée ....

Vous allez faire un opposition tellement pittoresque : mort de rire ca me console de notre coté 'caserne' ...

korec_ije quitte le navire
tant pis, cette fois-ci je voterai Modem. Zut alors..

mijavote ...
Que 55,38 % DE VOTANTS où sont passés les autres camarades socialistes ... désespérants ... quelle crédibilité pour le congrès ... et quel gachis de la démocratie interne du PS ...

Miaiesacré Jospin ...
Je croyais jospin en retraite .... le voilà à l ' étranger ... même pas pris part au vote ... ce donneur de leçons et de conseils à Delanoé et sa clique ... quelle désinvolture ... ns ne voulons plus entendre parler de ces vieux éléphants qui ns font perdre toute crédibilité au ps ... place aux jeunes et au renouveau... il est plus que temps ns n ' en pouvons plus d ' attendre camarades ... Pdt ce temps sarkozy pavoise et à de longs et beaux jours et années devant lui ... ça me donne envie de chialer toutes ces querelles intestines ...
Hollande aussi q u'il quitte ENFIN le terrain , et la politique et qu 'il n ' est pas d ' arrière pensée pour 2012 ... surtout pas lui ...

rmicheloC'est vrai
.................. AU PS rien n'est clair. Même entre eux. Alors nous pauvres citoyens qu'est-ce-qu'on peut comprendre. Ah si, la droite est là pour TRES TRES longtemps!!!!!!!!!!!!

mahmoud bedouiEt si les deux femmes mènent la barque ?
'Mélenchon et Dolez représentent l'aile gauche du parti socialiste'. Je me demande combien cet animal a d'ailes à gauche, à droite, au centre, en bas, en haut ? Dieu vient de m'envoyer un vrai coupe-ailes en me disant que la seule vraie solution de la gauche française se trouve entre les mains des deux femmes et dans l'ordre : Ségolène et Aubry. Les deux sont fortes, expérimentées, cultivés et intelligentes et et et surtout deux femmes de conviction et non pas deux girouettes comme il y a tant dans le PS.
Il est plus que navrant de constater qu'avant même le résultat final des élections américaines, Mac Cain et Palin, qui représentent la droite pure et dure des USA, appellent leurs militants à unir leurs efforts avec le nouveau président à savoir le Démocrate et ...le Noir en prime. Alors que juste aprés le résultat final du vote des militants socialistes français, les deux génies Mélenchon et Dolez en'démocrates' pleurnichent et démissionnent. Vous avez raison de leur dire 'Un super bon débarras' car le PS volera mieux. Et pour moi, j'ose espérer que les deux grandes dames adopent le slogan qui résume le mieux leurs idéaux ' VIVONS MIEUX ET SOYONS FIERS DES NOBLES PRINCIPES DE LA FRANCE !'

Finalement, le pire du pire du pire, c'est Delanoë (ohé ohé)
La, on peut parler de déroute totale...et avec sa chute, il entraine Hollande, Jospin et compagnie et T A N T M I E U X.

BilboCalcul
La seule proposition de Royal, c'est je veux être première secrétaire pour que le PS bosse pour moi pour avoir une chance de devenir présidente de la république, le reste le PS, la France, les français, je m'en fous !!!

eurofanps dead
l'émission 'c dans l'air' proclame-presqu'à l'unamimité- le décès prochain du ps
socialos français pourquoi etes vous aussi sots? parce que vs etes , précisément, français sans doute!
no more comment

rjoefoxToujours pas compris
Si les militants souhaitent vraiment le maintien de ségolène, sarko a encore de beaux jours devant lui et nous, pauvres cotoyens, ne somme pas encore au bout de nos peines

respublica2012L'echec de Royal et du Ni Ni
55% de participation ce n'est pas un plébiscite.
Pire. Ségolène Royal, dernière candidate du PS aux éléctions présidentielles qui à ce titre à bénéficier d'une couverture médiatique sans aucune mesure avec ses concurrents d'hier soir ne parvient qu'a réunir 29%. C'est un échec sans appel, une gamelle voir une humiliation. 70% des votants l'ont rejeté et pour cause...

elle se trompe de combat. Pas assez charismatique pour unir le centre gauche et la gauche de la gauche, trop flou, trop creuse
elle ne doit son score qu'a l'écho médiatique sur ses derniers fans à 20€ de la campagne présidentielle. On n'est plus proche de la star academy que de la politique (un an après l'émission quelques fans suivent encore les candidats loosers dans leurs concerts chez Leclerc ou carrefour fasciné par ce morceau de télévision si proche d''eux. Pas bien brillant.

Ou est le fond chez royal ? ou est le message politique ? l'axe ?
nada nulle part, juste une simple envie d'être dans la lumière pas autre chose. Qu'elle aille donc briguer un strapontin chez françois bayrou autrement plus digne, clair et courageux dans ses choix.

Bravo a Mr Melanchon qui au lieu de se meler à la grande soupe assume ses choix (comme Bayrou, plutôt seul que se renier).

Non tout n'est pas perdue en France, il y a encore de l'espoir. Bayrou, Villepin (la victime du complot qui tot ou tard eclatera au grand jour), Chevenement, Dupon Aignan et à gauche Chevenement, Melanchon, Hamon peut être aubry.

Le reste ne vaut pas grand chose. Comme en 1940 seule la gauche républicaine, les catholiques laiques et les gaullistes apparaissent intègrent et en phase avec les valeurs de notre pays. Le reste va la ou il y a de la lumière, des lobbies et des places au chaud à prendre.

En avant il y a du travail mais la France n'a pas encore totalement renier ses valeurs humaniste et républicaine. Go !!!!

claraUMP
et si l'UMP soutenais SR tout simplement pour être sur de battre le PS ?

Paul Henrisi! il y a bien un vainqueur c'est l'UMP.... évidément
moi et mes potes de l'UMP on se fend bien la poire depuis ce matin... J'ai d'ailleurs appris que 3 de mes amis (sympatisants UMP) avaient également réussi à se faire inscrire sur les listes du PS à temps et devinez quoi? ils ont voté la motion de Ségolène...
Je trouve cette pratique un peu vicieuse et je ne l'aprouve pas mais je dois reconnaître en toute honnêteté que ça me fait énormément rire...

Bertrand Delanoë est un matinal. Il a réuni ses soutiens dès 10 heures ce matin. L'objectif est de réfléchir à une ligne avant de prendre officiellement position. "Deux possibilités s'offrent à Delanoë, assure un partisan parisien: soit faire front avec Aubry contre Royal, soit accepter un compromis cette dernière". Rien ne devrait filtrer de ce rendez-vous, d'autant moins que Ségolène Royal a lancé la même invitation dans l'après-midi.


L'ancienne candidate à la présidentielle, qui fait la course en tête grâce aux 29% accordés à sa otion par les militants socialistes, a convoqué ses mandataires au Sénat, à 15 heures, pour "faire le point" après le scrutin. Ces représentants - un par département - doivent trouver un accord majoritaire dont émanera peut-être le nom d'un candidat au poste de premier secrétaire.