Cela ne vous rappelle rien?
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Cela ne vous rappelle rien?
Re: Cela ne vous rappelle rien?
Tu sais quand j'étais à Nuits Saint-georges... Le lobby du vin était tellement fort qu'il bloquait toute les recherches archéologiques. Tu sais moi-aussi, j'ai apprécié le vin tardivement... J'ai une préférence pour:
Les côtes du rhône (Saint Joseph, hermitage, croze-hermitage, chateauneuf du pape.)
Les bourgogne (Fixin, pommard.)
Les mareuils (fiefs vendéens).
J'essaye de choisir mes vins en fonction de mes invités et du plat que je prépare.
saco
Les côtes du rhône (Saint Joseph, hermitage, croze-hermitage, chateauneuf du pape.)
Les bourgogne (Fixin, pommard.)
Les mareuils (fiefs vendéens).
J'essaye de choisir mes vins en fonction de mes invités et du plat que je prépare.
saco
Invité- Invité
Re: Cela ne vous rappelle rien?
L'abus de l'étiquette "alcoolique" me gonfle aussi un peu, je crois que c'est ce que saco et Anna dénoncent, et ont tendance à trouver problématique.
En même temps, je ne sais pas si on peut réellement éviter de fixer des limites quantitatives artificielles, destinées surtout à faire réfléchir chacun sur son rapport à l'alcool, si on veut faire de la prévention. Et comme partout, elle est nécessaire, surtout dans ce cas précis, parce que le principal problème de la dépendance à l'alcool, c'est le déni, qui peut mettre la vie des autres en danger en même temps que celle du buveur. Et contrairement à ce qui a pu être dit ici, je trouve que justement, la limite entre la simple responsabilité individuelle de celui qui choisit de boire jusqu'à s'en rendre malade (voire plus...) et le problème de santé publique est plus que ténue, surtout si on observe la façon dont les marchands de spiritueux ou plutôt de saloperies ciblent les jeunes. Quand on voit que des jeunes de 14 ans peuvent à moindre frais boire jusqu'au coma éthylique, ça me pose un problème, même s'ils ne nuisent à personne d'autre qu'à eux-mêmes. La pratique du binge drinking démontre amplement qu'il y a des consommations occasionnelles pathologiques, contre lesquelles il faut mettre en garde les plus jeunes et vulnérables.
Pour résumer, je ne crois pas une seconde qu'on puisse, dans le cadre d'une campagne de prévention, faire réellement la part des choses entre les gros buveurs occasionnels et les personnes alcooliques, tout simplement parce que 100% des alcooliques sont passés par la case gros buveurs festifs. La recherche médicale tend à montrer que nous sommes loin d'être égaux face à la dépendance, ce qui fait que beaucoup de gros buveurs ou buveurs festifs, comme anna et saco, ne seront jamais dépendants mais qu'une personne prédisposée pourra tomber dans le cercle infernal de l'alcoolisme.
Je pense qu'étant donné les dégâts provoqués par la maladie chez le buveur comme chez son entourage et les comportements dangereux que cela peut impliquer, cela vaut la peine de forcer le trait, d'autant que les buveurs occasionnels sont suffisamment bien dans leurs pompes pour ne pas s'en offusquer outre mesure...
En même temps, je ne sais pas si on peut réellement éviter de fixer des limites quantitatives artificielles, destinées surtout à faire réfléchir chacun sur son rapport à l'alcool, si on veut faire de la prévention. Et comme partout, elle est nécessaire, surtout dans ce cas précis, parce que le principal problème de la dépendance à l'alcool, c'est le déni, qui peut mettre la vie des autres en danger en même temps que celle du buveur. Et contrairement à ce qui a pu être dit ici, je trouve que justement, la limite entre la simple responsabilité individuelle de celui qui choisit de boire jusqu'à s'en rendre malade (voire plus...) et le problème de santé publique est plus que ténue, surtout si on observe la façon dont les marchands de spiritueux ou plutôt de saloperies ciblent les jeunes. Quand on voit que des jeunes de 14 ans peuvent à moindre frais boire jusqu'au coma éthylique, ça me pose un problème, même s'ils ne nuisent à personne d'autre qu'à eux-mêmes. La pratique du binge drinking démontre amplement qu'il y a des consommations occasionnelles pathologiques, contre lesquelles il faut mettre en garde les plus jeunes et vulnérables.
Pour résumer, je ne crois pas une seconde qu'on puisse, dans le cadre d'une campagne de prévention, faire réellement la part des choses entre les gros buveurs occasionnels et les personnes alcooliques, tout simplement parce que 100% des alcooliques sont passés par la case gros buveurs festifs. La recherche médicale tend à montrer que nous sommes loin d'être égaux face à la dépendance, ce qui fait que beaucoup de gros buveurs ou buveurs festifs, comme anna et saco, ne seront jamais dépendants mais qu'une personne prédisposée pourra tomber dans le cercle infernal de l'alcoolisme.
Je pense qu'étant donné les dégâts provoqués par la maladie chez le buveur comme chez son entourage et les comportements dangereux que cela peut impliquer, cela vaut la peine de forcer le trait, d'autant que les buveurs occasionnels sont suffisamment bien dans leurs pompes pour ne pas s'en offusquer outre mesure...
Invité- Invité
Re: Cela ne vous rappelle rien?
saco a écrit:Au passage, Anna ne dit pas autre chose que moi. Elle est même assez sévère (trop!) sur le vin (contrairement à moi- je veux bien que tous les alcools soient supprimés sauf le vin! )
saco
deconne pas !!!!
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