Caricature de l'Islam ,La liberté d'expression est morte , tuée par l'islam
Page 1 sur 1
Caricature de l'Islam ,La liberté d'expression est morte , tuée par l'islam
mardi 18 septembre 2012
Caricature des religions: Ayrault désapprouve la liberté de ton de Charlie Hebdo
Ayrault entre liberté d'expression et peur de l'islam
"Charlie Hebdo" fait le buzz
Laurent Fabius s'est dit "contre toute provocation",, c'est étrange , je ne me souviens pas de l'avoir entendu protester quand le même canard ou un autre , s'en prend aux catholiques , ce qui est bien plus fréquent .
Monsieur fabius a des indignations à géométrie variable !
Ils baissent la culotte devant les islamsites , ils sont prêts à toutes les humiliations , à toutes les concessions , tant ils ont la trouille de ce qu'ils ont fait de notre pays , où le mot " liberté " ne veut plus rien dire puisque ce sont les lois coraniques qui imposent notre mode de vie !
Caricature des religions: Ayrault désapprouve la liberté de ton de Charlie Hebdo
Ayrault entre liberté d'expression et peur de l'islam
"Charlie Hebdo" fait le buzz
Mahomet est un bon client. L'hebdomadaire satirique exploite le filon en publiant demain mercredi des dessins représentant le prophète Mahomet. Charb, son directeur, admet qu'ils "choqueront ceux qui vont vouloir être choqués en lisant un journal qu'il ne lisent jamais".
Bien que publiée en pages intérieures - et non plus en Une - dans son numéro à paraître mercredi 18 septembre, cette provocation est très froidement accueillie par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault et son valet Laurent Fabius.
Charb estime quant à lui que les dessins publiés ne sont pas plus provocants que d'habitude. "La liberté de la presse est-elle une provocation ?", s'est-il interrogé. "Je n'appelle pas les musulmans rigoristes à lire 'Charlie Hebdo', comme je n'irais pas dans une mosquée pour écouter des discours qui contreviennent à ce que je crois", a argumenté le dessinateur. Mais le buzz est fait la veille de la sortie, assurant ainsi un fort tirage, si ce ne ne sont des incendies de kiosques à journaux
Plus de bruit que de mal
Les musulmans en imposent par une susceptibilité pathologique
"Tout est parti d'une inquiétude des services français qui craignaient, dans le contexte, que 'Charlie' fasse sa couverture avec une caricature de Mahomet. Il n'est en rien : la couverture représente un musulman lambda avec un juif lambda", a-t-il expliqué. La couverture, signée par lui, représente un musulman dans un fauteuil roulant poussé par un juif orthodoxe, avec chapeau et papillote, sous le titre "Intouchables 2", parodie du film à succès éponyme.
"Je ne vois pas l'utilité quelconque d'une provocation"
Laurent Fabius s'est dit "contre toute provocation", alors qu'il se trouvait ...en Egypte au Caire. Le ministre des Affaires étrangères rappelle toutefois l'existence en France de la liberté d'expression. "Après, le soufflé est retombé et je pense que M. Fabius n'avait pas vu la Une quand il a parlé en Egypte", a estimé Charb.
"Je suis contre toutes les provocations, c'est clair, c'est net, surtout dans une période aussi sensible que celle-là", a déclaré Laurent Fabius dans l'après-midi. "Maintenant, il y a des lois en France, qui ne sont pas les mêmes que les lois ailleurs, qui permettent un certain nombre de choses et qui excluent un certain nombre de choses", a-t-il ajouté, en langue de bois socialiste. Avant de poursuivre : "Je ne vois pas du tout l'utilité quelconque d'une provocation et même je la condamne d'une façon très nette et en même temps je respecte la liberté d'expression", a insisté le ministre.
Une simple allusion souriante est taxée d'insulte haineuse
Mohammed Moussaoui a dit avoir "appris" la publication "de dessins insultants à l'égard du prophète de l'islam", et -sans les voir donc - avoir ressenti "une profonde consternation". Dans un communiqué, le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), organe représentatif des différents courants musulmans en France, condamne dans les termes consacrés "avec la plus grande vigueur ce nouvel acte islamophobe qui vise à offenser délibérément les sentiments des Musulmans".
Toutefois "profondément attaché à la liberté d'expression", comme Lolo Fabius, le CFCM exprime néanmoins "sa profonde inquiétude face à cet acte irresponsable qui, dans un contexte très tendu, risque d'exacerber les tensions et de provoquer des réactions préjudiciables".
S'exaltant enfin, le président du CFCM se dévoile et clame que "rien ne peut justifier l'insulte et l'incitation à la haine"... Dans le même temps, il "lance un appel pressant aux musulmans de France à ne pas céder à la provocation" et les "exhorte à exprimer leur indignation dans la sérénité avec des moyens légaux".
Ayrault sur la même ligne que le CFCM
Le Premier ministre a fait savoir en effetsa "désapprobation face à tout excès" "dans le contexte actuel" et appelé à "l'esprit de responsabilité de chacun".
Il souligne, dans un communiqué, que "la liberté d'expression constitue l'un des principes fondamentaux de notre République". "Cette liberté s'exerce dans le cadre de la loi et sous le contrôle des tribunaux, dès lors qu'ils sont saisis", ajoute-t-il. Jean-Marc Ayrault rappelle en outre "le principe de laïcité qui est, avec les valeurs de tolérance et de respect des convictions religieuses, au coeur de notre pacte républicain". "Et c'est pourquoi, dans le contexte actuel, le Premier ministre tient à affirmer sa désapprobation face à tout excès.", conclut Matignon dans son communiqué.
Même son de cloche du côté du recteur de la Grande Mosquée de Paris
Dalil Boubakeur a lancé son "appel au calme".
Il a déclaré "apprendre avec beaucoup d'étonnement, de tristesse et d'inquiétude une publication qui risque d'exacerber l'indignation générale du monde musulman". "J'appelle à ne pas verser de l'huile sur le feu", a-t-il ajouté.
Le recteur en profite pour faire de la récupération politique.
L'humour au second degré, il ne connaît pas. "Mais, je regrette que l'incitation à la haine religieuse ne soit pas réprimée par la loi comme l'est l'incitation à la haine raciale. Nous avions fait appel au Tribunal d'Instance de Paris, après les caricatures qu'avait publiées Charlie Hebdo en 2006, mais notre plainte n'avait pas été retenue".
Le recteur de la Grande mosquée dénonce le laxisme.
Il estime qu'un tel interdit "pouvait donner un coup de frein à l'exacerbation que risque de provoquer la publication de nouvelles caricatures, après la diffusion de la vidéo sur le Prophète qui est à l'origine de l'indignation générale du monde musulman".
"D'ores et déjà, j'incite au calme, à la paix, mais je suis très inquiet devant les débordements qui risquent de se produire samedi, lors des manifestations dans plusieurs villes de France, pour protester contre la diffusion du film "Innocence of Muslims".
Laurent Fabius s'est dit "contre toute provocation",, c'est étrange , je ne me souviens pas de l'avoir entendu protester quand le même canard ou un autre , s'en prend aux catholiques , ce qui est bien plus fréquent .
Monsieur fabius a des indignations à géométrie variable !
Ils baissent la culotte devant les islamsites , ils sont prêts à toutes les humiliations , à toutes les concessions , tant ils ont la trouille de ce qu'ils ont fait de notre pays , où le mot " liberté " ne veut plus rien dire puisque ce sont les lois coraniques qui imposent notre mode de vie !
Dernière édition par livaste le Jeu 20 Sep - 11:28, édité 1 fois
Re: Caricature de l'Islam ,La liberté d'expression est morte , tuée par l'islam
Mahomet caricaturé depuis le Moyen Âge
Mots clés : Caricatures, Charlie Hebdo, Mahomet
Par Eric Bietry-Rivierre
Mis à jour le 19/09/2012 à 15:13 | publié le 19/09/2012 à 15:01 Réactions (70)
La provocation de Charlie Hebdo renvoie à des pratiques très anciennes.
Le siècle des ténébres semble bien le notre , depuis que les islamiques imposent leur lois coraniques !
Mots clés : Caricatures, Charlie Hebdo, Mahomet
Par Eric Bietry-Rivierre
Mis à jour le 19/09/2012 à 15:13 | publié le 19/09/2012 à 15:01 Réactions (70)
La provocation de Charlie Hebdo renvoie à des pratiques très anciennes.
Détail de la première version latine du Coran (1141-1143), un ouvrage conservé à la BnF.
Caricaturer Mahomet, ce genre d'exercice remonte au Moyen Âge. La toute première caricature connue date, en effet, de 1141-1143. On voit Mahomet avec une queue de poisson et des plumes sur le corps. Elle figure dans une enluminure illustrant la première version latine du Coran, conservée à la Bibliothèque nationale de France (BnF). Ce travail de traduction avait été effectué sous la direction de Pierre le Vénérable, à l'abbaye de Cluny. Cet abbé, ami de saint Bernard, d'Héloïse et d'Abélard, œuvrait dans un contexte polémique. Jusqu'alors, il était interdit de vendre le Coran aux non-musulmans. D'un autre côté, il fallait bien pouvoir le lire si l'on prétendait le réfuter.
L'ouvrage a été présenté à la BnF, en 2005, dans l'exposition «Livres de parole, Torah, Bible, Coran». Bien qu'ouvert à la page du dessin, il ne s'est trouvé personne pour s'en offusquer. L'exposition a été vue par des milliers de visiteurs et mise en ligne (elle l'est toujours). On se trouvait pourtant à l'époque de la première affaire des caricatures de Mahomet déclenchée par le journal danois Jyllands-Posten.
Le siècle des ténébres semble bien le notre , depuis que les islamiques imposent leur lois coraniques !
Re: Caricature de l'Islam ,La liberté d'expression est morte , tuée par l'islam
Caricatures de Mahomet : Le Point.fr interdit de Facebook
Le Point.fr - Publié le 20/09/2012 à 10:43 - Modifié le 20/09/2012 à 10:49
Le "post" sur notre compte de l'une des caricatures de Mahomet nous a valu une suspension de 72 heures.
Les islamistes réussissent à imposer la censure partout , sur tout !
Et on n'entend pas nos grands penseurs brailleurs bobos , eux qu'on a tant entendu sous Sarkozy !
Le Point.fr - Publié le 20/09/2012 à 10:43 - Modifié le 20/09/2012 à 10:49
Le "post" sur notre compte de l'une des caricatures de Mahomet nous a valu une suspension de 72 heures.
La caricature de "Charlie Hebdo", relayée par notre rédaction, nous a valu une interdiction de Facebook. © Charlie Hebdo
Si les associations qui ont porté plainte contre Charlie Hebdo ne peuvent poster un vigile à chaque kiosque pour empêcher la vente des numéros incriminés, sur le Net, d'aucuns veillent.
Mercredi soir, à 18 heures, la rédaction du Point.fr poste sur son compte Facebook l'une des caricatures de Mahomet publiées par Charlie Hebdo, en l'occurrence celle qui "singe" Le mépris et dans laquelle le Prophète nous interpelle langoureusement d'un "Et mes fesses, tu les aimes, mes fesses ?". Intitulé "Pourquoi Charlie Hebdo joue avec le feu ?", il s'agissait d'un renvoi sur l'un de nos articles. Rien de surprenant de la part d'une rédaction, donc.
Or, moins d'une heure plus tard, le "post" est supprimé par Facebook et notre administrateur reçoit un message d'avertissement : le contenu publié n'est pas conforme au règlement en vigueur sur le site communautaire. En conséquence de quoi notre administrateur est "interdit de Facebook" 72 heures durant.
Naïfs, on peut toujours imaginer que le site communautaire veille au grain et anticipe toute polémique. Mais, plus vraisemblablement, un "ami" nous a dénoncés et a signalé ce contenu comme "abusif" parce que "sexuellement explicite". Naïfs toujours, on peut aussi penser que c'est simplement la vision de fesses nues qui choque - il y a quelques semaines déjà, le post d'un sein nu pour illustrer le renvoi d'un article sur le cancer du sein - nous avait valu un premier avertissement. On regrettera alors que la pudibonderie - s'il ne s'agit que de cela - s'exerce sur le compte professionnel des rédactions plutôt que sur les nombreux comptes individuels complètement dénués de pudeur.
Mais plus qu'une question de "carré rose", la nature particulière du fessier est sans doute pour beaucoup dans cette censure. On le comprend : elles sont peut-être un chouïa trop poilues, ces fesses...
Les islamistes réussissent à imposer la censure partout , sur tout !
Et on n'entend pas nos grands penseurs brailleurs bobos , eux qu'on a tant entendu sous Sarkozy !
Re: Caricature de l'Islam ,La liberté d'expression est morte , tuée par l'islam
Caricatures dans Charlie Hebdo : quelles suites judiciaires ?
Mis en ligne le 20 septembre 2012 à 19h12par Alexandra Guillet , mis à jour le 20 septembre 2012 à 23h12
Après la publication de caricatures de Mahomet, Charlie Hebdo est très très critiqué / Crédits : DR
Mis en ligne le 20 septembre 2012 à 19h12par Alexandra Guillet , mis à jour le 20 septembre 2012 à 23h12
Après la publication de caricatures de Mahomet, Charlie Hebdo est très très critiqué / Crédits : DR
]size=18]Alors que plusieurs plaintes ont été déposées contre Charlie Hebdo, après la publication mercredi de nouvelles caricatures de Mahomet, l'avocat du journal satirique s'inquiète des attaques faites au principe fondamental de la liberté d'expression.[/size]
Avec trois plaintes déposées en deux jours, la polémique déclenchée autour de la publication de nouvelles caricatures du prophète Mahomet dans Charlie Hebdo est en train de se déplacer vers le terrain judiciaire. L'Union des organisations islamiques de France (UOIF), majoritaire au sein du Conseil national du culte musulman, a annoncé jeudi son intention d'engager une procédure, a priori pour "incitation à la haine raciale" à l'encontre de l'hebdomadaire satirique. Une autre plainte, déposée par l'Association des musulmans de Meaux, va être transmise au parquet de Paris.
Mercredi, déjà, une plainte avait été déposée à Paris par l'Association syrienne pour la liberté. Mais celle-ci pourrait ne pas être retenue par la justice. En effet, selon l'avocat de Charlie Hebdo, Me Richard Malka, contacté par TF1 News, "la loi fixe un certain nombre de conditions pour pouvoir représenter valablement un groupe de personnes en justice, dont une condition d'ancienneté d'au moins cinq ans". Or l'Association syrienne pour la liberté serait une ONG créée en 2012.
Concernant les autres plaintes, a priori recevables, Me Malka ne semble pas plus inquiet que cela sur leur issue devant les tribunaux. "C'est mon avis, qui est forcément subjectif mais je n'ai pas l'impression que Charlie Hebdo ait dépassé les limites de ce qui est accepté par le droit", explique-t-il. "Le droit dit que l'on peut se moquer comme on veut des religions, car c'est la base d'un Etat laïque où le blasphème n'existe pas. En revanche, on ne peut pas inciter à la haine à l'égard de personnes en raison de leur appartenance religieuse". "La limite peut être difficile à déterminer", concède-t-il avant de rappeler que par le passé l'hebdomadaire a gagné tous ses procès similaires.
"Charlie Hebdo n'est pas coupable de vouloir faire rire et de s'exprimer librement"
Poursuivi en 2006 pour "incitation à la haine raciale" par des organisations musulmanes, dont l'UOIF, après la diffusion de premières caricatures de Mahomet, Charlie hebdo avait en effet gagné en première instance comme en appel en 2007 et 2008. La cour d'appel de Paris avait déclaré les dessins conformes à la loi car ils ne visaient pas l'islam et les musulmans mais les intégristes, disait-elle.
Avant cela, rappelle par ailleurs Me Malka, "il y a eu des tas d'actions d'associations intégristes catholiques contre Charlie Hebdo pour des caricatures comparables concernant Jésus-Christ ou des évêques. Mais à chaque fois elles ont perdu et elles ont fini par arrêter de poursuivre le journal". "Allons devant les tribunaux s'il le faut, poursuit-il. Mais arrêtons cette folie consistant à rendre Charlie Hebdo responsable d'avoir mis le feu à la planète. Car dire cela, c'est renoncer à tous nos principes et nos valeurs. Charlie Hebdo n'est pas coupable de vouloir faire rire et de s'exprimer librement. Depuis des décennies Charlie Hebdo fait son travail en commentant l'actualité et en faisant des caricatures sur toutes les religions".
Ceux qui sont coupables, selon lui, "ce sont les fous, les extrémistes". Et de dénoncer l'attitude de certains dirigeants politiques qui, ces derniers jours, "après s'être prononcés haut et fort pour la liberté d'expression ont ajouté un "mais" ou un "sauf" à la fin de leur phrase". "Quand on commence à dire "mais" ou "sauf", on est déjà foutu, déplore-t-il. Et d'ajouter : "C'est terrible, dans un pays où l'on s'est battu pour pouvoir avoir le droit de critiquer toutes les religions, de toujours devoir recommencer les mêmes débats. On est en train de parler de trois caricatures dans un journal de caricatures !".
Sujets similaires
» Policière municipale tuée en mai : 22 interpellations en Ile-de-France
» Toulouse : Fatima, 70 ans, tuée de 389 coups de couteau
» Une policière tuée à Bourges après un acte fou
» Une patiente déclarée morte est réveillée
» Ado tuée : les parents portent plainte contre le collège
» Toulouse : Fatima, 70 ans, tuée de 389 coups de couteau
» Une policière tuée à Bourges après un acte fou
» Une patiente déclarée morte est réveillée
» Ado tuée : les parents portent plainte contre le collège
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum