Tortionnaires de Cyril: un éducateur aux méthodes brutales
2 participants
Page 1 sur 1
Tortionnaires de Cyril: un éducateur aux méthodes brutales
Tortionnaires de Cyril: un éducateur aux méthodes brutales
Par TF1 News (D'après agence), le 22 septembre 2010 à 18h57, mis à jour le 22 septembre 2010 à 18:58
L'éducateur sans diplôme Frédéric Aupérin, accusé de tortures sur un adolescent finistérien mort en 2003 en Zambie lors d'un "séjour de rupture", a été contraint de reconnaître mercredi devant les assises de Quimper la brutalité de ses manières, tout en la minorant.
Je vous le dis , n'est pas éducateur qui veut , contrairement à ce que certains voudraient nous faire croire , ségogo en tête !
Ue petite réflexion , ce gamin a été confié soit par l'ASE , soit par le JE , à une association " vagabondage " mais cette association , ainsi que toutes ses activités était financée et en principe contrôlée , conjointement par l'ASE et la PJJ , e semble qu'il y en a qui ont du souci à se faire , on en confie pas ainsi un groupe d'ados difficiles à un mec qui part seul au fin fond du monde , même si le type avait été le meilleur des éducateurs , être ainsi seul de service pendant des semaines , c'est un truc à péter les plombs !
Par TF1 News (D'après agence), le 22 septembre 2010 à 18h57, mis à jour le 22 septembre 2010 à 18:58
L'éducateur sans diplôme Frédéric Aupérin, accusé de tortures sur un adolescent finistérien mort en 2003 en Zambie lors d'un "séjour de rupture", a été contraint de reconnaître mercredi devant les assises de Quimper la brutalité de ses manières, tout en la minorant.
L'éducateur sans diplôme Frédéric Aupérin, accusé de tortures sur un adolescent finistérien mort en 2003 en Zambie lors d'un "séjour de rupture", a été contraint de reconnaître mercredi devant les assises de Quimper la brutalité de ses méthodes. "Je suis parti pour m'éclater mais c'est moi qui me suis fait éclater", résume Jonathan, l'un des stagiaires du séjour mortel, à la fois coaccusé d'Aupérin et partie civile au procès. "Il nous effrayait rien qu'en nous regardant", témoigne Stéphane, un autre stagiaire, également coaccusé et partie civile. "Il nous traitait de 'chiasses vertes" ou de 'résidus de sidaïques' en nous disant qu'ici, c'était l'annexe de la Légion. Il disait de lui qu'il n'était pas un éducateur mais un dompteur", poursuit le jeune homme, traumatisé et en pleurs à l'évocation des ces souvenirs.
Chemise bleue, veste sombre, Aupérin, 47 ans, ancien militaire, diplômé de culturisme, se définit volontiers comme un baroudeur en raison de ses nombreux séjours en Afrique. De la Légion, où il a été détaché six mois durant un engagement de trois ans dans l'infanterie de marine à Djibouti au début des années 80, Aupérin en a conservé des méthodes d'encadrement musclées mais "adaptées" aux jeunes, explique-t-il.
"De la pure invention"
Dans le camp, toute bêtise est punie de pompes ou de "frog", une série de parfois 200 sauts de grenouilles, quand ce n'est pas à coups de manche de pioche ou de badine sur les fesses, une branche fine utilisée comme un fouet, explique Stéphane en se rappelant ne pas pouvoir s'asseoir pendant une semaine. L'adolescent, contraint par Aupérin à commettre des actes violents sur ses camarades, a vécu des situations comparables à celles des enfants soldats, selon plusieurs experts. "Ce sont des mensonges. Stéphane a passé un très bon séjour. Il était très investi (...) Tout ce qu'il vient de dire c'est de la pure invention", se défend Aupérin.
Né en 1963, Frédéric Aupérin a été élevé sans son père, son grand-père maternel, gendarme, se chargeant de son éducation. Après le lycée, il abandonne sa scolarité en seconde, exerce toute sortes de métier avant de rejoindre l'armée. A son retour de Djibouti, il s'installe en France où il acquiert un hôtel-restaurant avec son épouse originaire de Djibouti. Mais Aupérin qui s'adapte mal à la vie en France envisage de revenir à Djibouti à bord d'un voilier qu'il achète pour y monter une activité de charter. Il sera plus tard recruté par l'association Vagabondage pour encadrer des camps de jeunes en difficulté, des "séjours de rupture".
A rebours des descriptions faites par les stagiaires, les amis d'Aupérin le décrivent comme quelqu'un d'attachant, un navigateur autodidacte peut-être un peu pirate, mais franc et généreux, autoritaire mais entier. Le procès est prévu jusqu'au 1er octobre. Aupérin et ses deux jeunes coaccusés encourent des peines de trois à vingt ans de réclusion criminelle. Cyril, adolescent fragile de 15 ans, était mort des suites d'une crise d'épilepsie consécutive aux sévices subis.
Par TF1 News (D'après agence) le 22 septembre 2010 à 18:57
Je vous le dis , n'est pas éducateur qui veut , contrairement à ce que certains voudraient nous faire croire , ségogo en tête !
Ue petite réflexion , ce gamin a été confié soit par l'ASE , soit par le JE , à une association " vagabondage " mais cette association , ainsi que toutes ses activités était financée et en principe contrôlée , conjointement par l'ASE et la PJJ , e semble qu'il y en a qui ont du souci à se faire , on en confie pas ainsi un groupe d'ados difficiles à un mec qui part seul au fin fond du monde , même si le type avait été le meilleur des éducateurs , être ainsi seul de service pendant des semaines , c'est un truc à péter les plombs !
Re: Tortionnaires de Cyril: un éducateur aux méthodes brutales
Excuse moi Livaste mais, sauf erreur, je n'ai jamais entendu Mme ROYAL ([i] ou segogo comme tu te complais à dire [/i] ) dire que n'importe qui pouvait devenir éducateur, et notamment d'éducateurs de jeunes en difficultés.
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Sujets similaires
» éducateur jeunes enfants et puéricultrices
» Deux ans de prison pour les adolescentes tortionnaires
» les méthodes de l'extrême gauche
» Le Causeur :Cyril Bennasar .
» Deux ans de prison pour les adolescentes tortionnaires
» les méthodes de l'extrême gauche
» Le Causeur :Cyril Bennasar .
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum