crise et chomage en juin
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crise et chomage en juin
Obama «profondément déçu» par les chiffres de l'emploi US
T Dong - A Panizzo (lefigaro.fr)
02/07/2009 | Mise à jour : 21:42 |
467.000 emplois ont été supprimés au cours du mois de juin aux Etats-Unis, un chiffre supérieur au consensus du marché.
Comme on peut le constater le secteur des " services " est directement touché ,ce qui est logique , quand la recession est là , ce sont tous les secteurs qui sont atteints .
Ce secteur de sservices américains est d'auatnt plus fragilisé qu'il est presque totalement privé , et que l'état n'y intervient pas pour amortir les coups .
T Dong - A Panizzo (lefigaro.fr)
02/07/2009 | Mise à jour : 21:42 |
467.000 emplois ont été supprimés au cours du mois de juin aux Etats-Unis, un chiffre supérieur au consensus du marché.
Les destructions d'emplois se sont accélérées aux Etats-Unis en juin et le président américain ne l'entend pas de cette oreille. Après la publication des chiffres du département du Travail américain, qui révèlent une hausse de 467.000 licenciements au mois de juin, la Maison-Blanche a rapidement réagi.
Au cours d'une déclaration devant la presse, Barack Obama a reconnu que cette mauvaise nouvelle donnait «à réfléchir» et que même si la recession semble ralentir, «c'est un maigre réconfort pour tous les Américains qui ont perdu leur travail». «Comme je l'ai dit à l'instant même où j'ai franchi cette porte, celle de la Maison Blanche, il a fallu des années pour que nous nous retrouvions dans cette sale passe, et il nous faudra plus que quelques mois pour en sortir», a-t-il reconnu. Un peu plus tôt dans la journée, Robert Gibbs, le porte-parole de la présidence, avait déjà fait part de la «profonde déception» de Barack Obama. Il a cependant réfuté que les nouveaux chiffres indiquent que le gigantesque plus de relance promulgué début 2009 par le locataire de la Maison-Blanche soit inefficace. Selon Gibbs, le gouvernement perçoit «des débuts de stabilisation» ainsi que des preuves de l'efficacité du plan de relance.
Il faut dire que la nouvelle de jeudi sur le front de l'emploi américain a dépassé les anticipations les plus pessimistes des analystes qui tablaient sur 365.000 suppressions -, faisant du coup souffler un vent glacial sur les places boursières européennes et américaines. Demain matin, les marchés asiatiques risquent fort de subir eux aussi les conséquences de cette nouvelle.
Presque tous les secteurs de l'économie souffrent
Le taux de chômage ressort à 9,5% alors que le marché attendait 9,6%. Le nombre de nouveaux chômeurs inscrits aux Etats-Unis a reculé de 2,5% au cours de la semaine clos le 27 juin, avec 614.000 nouvelles inscriptions, un chiffre conforme aux attentes des analystes. Ces chiffres montrent que l'économie américaine est encore loin d'être tirée d'affaire.
Tous les secteurs sont touchés à part celui de l'éducation et des services de santé, et celui des «autres services» qui ont créé au total 43.000 emplois. Dans le secteur des services, qui assure près de 85% de l'emploi non agricole aux Etats-Unis, le chiffre a plus que doublé à 244.000. Le ministère rappelle que «depuis le début de la récession en décembre 2007, les pertes d'emplois ont atteint 6,5 millions, et le taux de chômage a gagné 4,6 points de pourcentage». Le nombre des chômeurs a ainsi plus que doublé depuis le début de la récession et atteint désormais 14,7 millions. D'après le ministère, en raison de la crise, 9 millions de personnes ont été obligées de travailler à temps partiel.
Cette annonce intervient au lendemain de la publication de l'enquête menée par le cabinet de conseil en ressources humaines ADP. Ce dernier a annoncé qu'au mois de juin, le secteur privé aux Etats-Unis a détruit 473.000 emplois, contre 400.000 attendus par les marchés. Toutefois, le cabinet notait une «amélioration notable» de la situation au deuxième trimestre.
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