Union européenne Un organe pour prévenir l’instabilité des marchés
Page 1 sur 1
Union européenne Un organe pour prévenir l’instabilité des marchés
Union européenne
Un organe pour prévenir l’instabilité des marchés
Article publié le 19/06/2009 Dernière mise à jour le 19/06/2009 à 11:48 TU
Les dirigeants européens ont trouvé un accord cette nuit pour une meilleure supervision des marchés financiers. Cet accord prévoit la création en 2010 d’un Conseil du risque systémique. Quels sont les rôles et attributions de ce nouvel organe au sein des institutions européennes ?
http://www.rfi.fr/actufr/articles/114/article_82000.asp
Un organe pour prévenir l’instabilité des marchés
Article publié le 19/06/2009 Dernière mise à jour le 19/06/2009 à 11:48 TU
Les dirigeants européens ont trouvé un accord cette nuit pour une meilleure supervision des marchés financiers. Cet accord prévoit la création en 2010 d’un Conseil du risque systémique. Quels sont les rôles et attributions de ce nouvel organe au sein des institutions européennes ?
Avec notre envoyée spéciale à Bruxelles, Heike Schmidt
Le Conseil du risque systémique est une sorte de cellule de veille que les Français, les Allemands et les Britanniques proposent à leurs partenaires. Une institution rattachée à la Banque centrale européenne qui doit superviser les marchés financiers dans tous les Etats membres et non seulement dans les seize pays qui appartiennent aujourd’hui à la zone euro.
Ce Conseil européen de risques systémiques devrait voir le jour rapidement. C’est vrai, l’appellation est un peu technique mais le principe est quand même simple : alerter les autorités dès que la stabilité des marchés est menacée.
Pour Berlin, Paris et Londres qui ont ficelé cet accord, c’est un grand pas en avant parce que, pour la première fois, les Etats membres se montrent prêts à donner un pouvoir véritablement contraignant à une autorité européenne.
Depuis la crise qui a secoué le monde à l’automne 2008, les Vingt-sept semblent plus convaincus que jamais qu’ils sont mieux protégés s’ils se serrent les coudes. Alors aujourd’hui, même la Grande Bretagne, qui n’est pas dans la zone euro et qui a toujours jalousement défendu les intérêts de la City à Londres, est prête à accepter des superviseurs européens après avoir obtenu l’assurance qu’ils ne vont pas empiéter sur la souveraineté budgétaire des Etats.
http://www.rfi.fr/actufr/articles/114/article_82000.asp
Invité- Invité
Sujets similaires
» Pour l'Union européenne, Noël n'existe pas
» La Suède prend pour six mois la présidence de l'Union européenne.
» Croissance mondiale en berne : semaine difficile en vue pour les marchés
» Bush: “la Turquie doit intégrer l’Union Européenne”
» Les paradis fiscaux dans le collimateur du G20 et de l'Union européenne
» La Suède prend pour six mois la présidence de l'Union européenne.
» Croissance mondiale en berne : semaine difficile en vue pour les marchés
» Bush: “la Turquie doit intégrer l’Union Européenne”
» Les paradis fiscaux dans le collimateur du G20 et de l'Union européenne
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum