et la polémique sur le port du voile revient
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et la polémique sur le port du voile revient
Nouvelle polémique sur le port du voile
Par Charlie Beyenne, publié le 23/04/2009 10:21 -
Laïcité !
qu'elle aille faire sa thèse dans un pays islamiste , en Afghanistant par exemple !
Rappel des faits
-
Par Charlie Beyenne, publié le 23/04/2009 10:21 -
Une doctorante, titulaire d'une allocation de recherche, avait été licenciée le 23 février sans préavis ni indemnité pour non respect du "principe de laïcité". La jeune femme, dont la requête en annulation a été rejetée par la justice, portait le voile depuis sa première année de master.
Sabrina Trojet ne cache pas son incompréhension après son licenciement pour port du voile: "Je n'ai jamais eu de problème, ni avec le personnel du laboratoire, ni même avec le personnel-enseignant de l'université. J'ai porté un voile qui ne couvrait absolument pas le visage". Jusqu'au 23 février dernier, cette doctorante en microbiologie était salariée à l'université Paul-Sabatier de Toulouse, en tant que titulaire d'une allocation de recherche. Elle a été licenciée pour refus de retirer son voile. La jeune femme, qui avait coutume de le porter depuis sa première année de master, a introduit un référé pour demander l'annulation de cette décision rejeté par le tribunal administratif de Toulouse le 17 avril.
Dans une ordonnance de rejet, le tribunal a jugé qu'"aucun des moyens invoqués" par la requérante "n'est de nature à faire naître un doute quant à la légitimité de la décision attaquée".
L'avocat de l'Université de Toulouse-III Paul Sabatier (Sciences), Me Jacques Levy, s'est félicité de la décision du tribunal administratif, précisant que "le principe de laïcité est appliqué".
Ce principe est invoqué par l'administration sur la base de la loi de mars 2004, encadrant le port de "signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse". Mais elle ne porte que sur les "écoles, collèges et lycées de l'enseignement public" et ne s'applique pas aux universités.
- Sa requête est rejetée le vendredi 17 avril, dans lequel il indique "ne pas avoir les moyens de prendre sa décision". Aujourd'hui, l'avocat de Sabrina s'apprête à faire appel devant le Conseil d'Etat.Un statut qui pose problème
Pour Maître Jacques Lévy, joint par téléphone, "la justice a rendu sa décision et heureusement, elle a donné raison à l'université."
Pourquoi le licenciement intervient-il maintenant alors que la jeune femme portait le voile depuis deux ans? Réponse de l'avocat: "Elle n'était plus étudiante dès lors qu'elle percevait un salaire. Ainsi, elle était devenue un agent de la fonction publique. Par conséquent, elle devait se conformer aux lois françaises".
Pour Sabrina, l'argument ne tient pas. Elle affirme à LEXPRESS.fr que ce n'est pas son statut d'étudiant qui est remis en question mais "celui d'agent non statutaire". "D'ailleurs, poursuit-elle, dans la lettre de licenciement que j'ai reçue, on ne remet absolument pas en cause mon statut d'étudiant".
Cette affaire met en lumière la complexité du statut juridique des allocataires de recherche. "Alors qu'il existe une mission de service public pour les agents d'établissements comme la Poste, il n'y a aucun intérêt général pour les doctorants ayant une allocation de recherche. Celle-ci permet uniquement de faire avancer la recherche", observe la jeune femme.
Elle espère finir sa thèse en toute "sérénité"
A présent qu'elle ne touche plus l'allocation de recherche, Sabrina affirme ne pas pouvoir terminer sa thèse. Enceinte et à sept mois de sa soutenance, la jeune femme est aujourd'hui sans ressources. Elle gard néanmoins espoir:"J'espère au moins que l'on va pouvoir me rendre l'allocation afin que je puisse finir la thèse en toute sérénité".
En attendant, un comité de soutien s'est formé. Une pétition circule en ligne pour aider financièrement Sabrina, lui permettre de payer ses frais d'avocat et continuer ses travaux de recherche.
Laïcité !
qu'elle aille faire sa thèse dans un pays islamiste , en Afghanistant par exemple !
Rappel des faits
-
La doctorante, Sabrina Trojet, âgée de 25 ans, titulaire d'une allocation de recherche et travaillant au sein d'un laboratoire du CNRS, est licenciée le 23 février sans préavis ni indemnité pour faute professionnelle.
Depuis 2006, Sabrina bénéficiait d'une allocation de recherche du ministère de l'Education nationale. Ainsi chaque mois, elle percevait un salaire qui lui permettait de se consacrer à temps plein à ses travaux de recherche.
- En juillet 2008, elle est convoquée par l'université qui lui demande de ne plus porter le voile malgré son statut d'étudiant qui l'y autorise. Refusant de le retirer, elle opte pour un voile sicilien, moins religieux.
- Le 26 février 2009, elle reçoit une lettre de l'huissier lui notifiant son licenciement pour "faute professionnelle sans préavis ni indemnités".
- La jeune femme demande en référé l'annulation de la décision de l'université devant le tribunal administratif de Toulouse.
Re: et la polémique sur le port du voile revient
Quelques réactions
angelique - 26/04/2009 10:57:59
debussy - 26/04/2009 10:32:20
avoranfix29 - 26/04/2009 10:23:04
excellent !
charlie - 26/04/2009 10:07:46
papydu59 - 26/04/2009 05:34:06
oxydant - 25/04/2009 22:09:22
Trick1 - 25/04/2009 20:55:08
witness - 25/04/2009 20:21:20
La loi n'a pas pour but d'interdire ce genre de bijou peu voyant !
Agouni - 25/04/2009 19:44:41
on ne peut pas comparer un bijou ( la petite croix ) au voile , il faut la comparer à l'étoile de David , ou à la main de fatma que les juives et musulmanes portent autour du cou !
La loi n'a pas pour but d'interdire ce genre de bijou peu voyant !
alors l'islamiste de service , il devrait parfois réfléchir !
houligan - 25/04/2009 19:00:55
angelique - 26/04/2009 10:57:59
Le voile est une constente provocation. La religion islamique cherche à s'imposer dans nos pays par ce moyen, nous devons mépriser ce procédé et nous femmes Françaises qui défendons les causes féministes l'affirmer aucune acceptation possible sans aucune dérogation POINT .
debussy - 26/04/2009 10:32:20
France est un pays laïque. Les religions ne doivent pas avoir la possibilité de nous imposer leurs dogmes. Les femmes de ma génération ont suffisamment lutter pour les droits des femmes pour que nous n'acceptions pas que certaines femmes essaient maintenant de faire régresser les lois sous prétexte que leur idéologie religieuse les laisse encore dans la soumission.
avoranfix29 - 26/04/2009 10:23:04
Dans les pays musulman le port du voile est obligatoire pour les femmes. On devrait imposer en France le port de la mini jupe, ça les découragerait certainement. C'est pas une bonne idée ça...
excellent !
charlie - 26/04/2009 10:07:46
les talibans donnent l exemple de l islam tolerant : elle devait y aller ................
papydu59 - 26/04/2009 05:34:06
Qu'elle porte la bourka pendant qu'elle y est... qu'elle aille faire ses études chez elle et le problème est réglé, non mais et puis quoi encore
oxydant - 25/04/2009 22:09:22
Que cette aimable jeune femme émigre en Afghanistan ou au Pakistan, peut-être même en Iran...Dans ces pays "libres" tolérants avec "les" religions, elle serait la bienvenue. Mais si un jour elle décidais de ne plus porter son cher voile, c'est lapidation, bastonnade, ou immolation a l'alcool a brûler ( Pakistan). Oui, fustigeons la France et son "intolérance", c'est tellement beau ailleurs...inch'allah
Trick1 - 25/04/2009 20:55:08
En France , pays laïque, la loi est faite pour tout le monde et doit être respectée. Si des personnes veulent vivre leur religion 24 h sur 24 h il y a des pays qui seront heureux de les acceuillir. En France l'homme ne se cache pas le visage sous un voile, la femme qui est l'égale de l'homme n'a donc pas à le faire.
witness - 25/04/2009 20:21:20
Presque d'accord , si ce n'est qu'on ne peut pas comparer un bijou ( la petite croix ) au voile , il faut la comparer à l'étoile de David , ou à la main de fatma que les juives et musulmanes portent autour du cou !La loi est incomplète, cette affaire l'illustre assez bien. Il faut la compléter d'urgence pour interdire le port du voile partout dans les établissements, édifices publics mais aussi dans les établissements de type privé, comme les entreprises. J'ai travaillé dans des entreprises où ces femmes voilées étaient contraintes à le retirer, elles le remettaient sitôt la porte franchie. Je ne m'explique pas pourquoi le public ne s'applique pas les lois qu'il vote. Le voile c'est à la prière, dans son privé, son privé peut être dans la journée en se promenant dans la rue mais pas au sein d'un groupe laïque. Il en va de même pour les petites croix et médailles que je vois affichées ostensiblement depuis quelques années. Ces provocations sont nuisibles à la cohésion sociale.
La loi n'a pas pour but d'interdire ce genre de bijou peu voyant !
Agouni - 25/04/2009 19:44:41
Je ne comprends pas très bien ce qu'on lui reproche ... En quoi le fait de porter un voile ,qui ne dissimule pas les traits du visage , peut-il gêner quelqu'un ? On peut, à la rigueur, y voir une marque ostensible d'appartenance à une religion, mais n'est-ce pas également le cas des jeunes filles qui arborent une croix en guise de médaillon ?
on ne peut pas comparer un bijou ( la petite croix ) au voile , il faut la comparer à l'étoile de David , ou à la main de fatma que les juives et musulmanes portent autour du cou !
La loi n'a pas pour but d'interdire ce genre de bijou peu voyant !
alors l'islamiste de service , il devrait parfois réfléchir !
houligan - 25/04/2009 19:00:55
Allons il y a des pays plus sympa que la france, où le simple fait d'être une femme vous empèche de condiure une voiture, de fumer dans la rue pendans la période du jeun j'en passe et des meilleur, alors si elle veux porter le voile, elle peut allé où c'est autorisé.
Re: et la polémique sur le port du voile revient
effectivement la loi devrait être complétée ... mais il me semblait que les universités étaient des établissements publics de l'enseignement supérieur ....au même titre que les lycées , collèges ,.... ! je rejoins les internautes ! qu'elle aille faire sa thèse dans un pays musulman et qu'elle ne nous emmerde plus !
Invité- Invité
Re: et la polémique sur le port du voile revient
Sa version des faits est: "je n'ai pas été en face d'étudiants, donc je n'avais pas à subir cette loi raciste et injuste et blablabla".
Moi je trouve normal qu'elle ait eu à virer son voile, même sicilien, ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi ça ne lui a pas été notifié plus tôt.
Moi je trouve normal qu'elle ait eu à virer son voile, même sicilien, ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi ça ne lui a pas été notifié plus tôt.
Invité- Invité
Re: et la polémique sur le port du voile revient
je suis d'accord , comment ce voile a t il été toléré aussi longtemps ?
Re: et la polémique sur le port du voile revient
elle a peut-être eut des réflexions , des avertissements répétés mais non officiels avant ce renvoi.
Invité- Invité
Re: et la polémique sur le port du voile revient
C'est un peu ce qui m'interpelle.
Moi je suis directeur d'une ED ou président de fac, au bout de deux jours je mets les choses au clair: tu touches quand même de la thune publique, alors ou tu vires ton torcho ou tu vires...tout court.
Moi je suis directeur d'une ED ou président de fac, au bout de deux jours je mets les choses au clair: tu touches quand même de la thune publique, alors ou tu vires ton torcho ou tu vires...tout court.
Invité- Invité
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