réponses de la justice face à la violence de certains adultes
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réponses de la justice face à la violence de certains adultes
Correctionnelle - Il frappe un élu faute de place en crèche : 6 mois requis
En novembre, le père d'un bébé avait rencontré le maire de Vincennes pour lui demander une place en crèche. Devant les explications de l'édile, le ton était monté.
Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 9 février.
- le 19/01/2009 - 17h52
En novembre, le père d'un bébé avait rencontré le maire de Vincennes pour lui demander une place en crèche. Devant les explications de l'édile, le ton était monté.
Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 9 février.
- le 19/01/2009 - 17h52
Une peine de douze mois de prison, dont six avec sursis, a été requise lundi à Créteil à l'encontre d'un père de 34 ans, qui avait agressé en novembre le maire de Vincennes, Laurent Lafon, dans son bureau, faute d'avoir obtenu une place en crèche pour son enfant.
Le 14 novembre au matin, le prévenu, sans antécédent judiciaire, était venu avec son épouse rencontrer M. Lafon, également conseiller régional d'Ile-de-France, pour lui demander une place en crèche pour leur bébé. Devant les explications de l'édile, qui leur disait qu'il ne pouvait pas répondre favorablement à leur demande - le couple était 37e sur la liste d'attente-, le ton était monté. Refusant de quitter le bureau du maire, le père s'était énervé et avait frappé M. Lafon, avant d'être ceinturé par un fonctionnaire de la ville. L'agression avait entraîné pour le maire de Vincennes une incapacité totale de travail supérieure à huit jours, une qualification passible de sept ans de prison pour l'agresseur.
"C'est toute la République qu'on atteint"
Lundi, le prévenu a reconnu les faits, tout en expliquant qu'il avait lui-même "cru à une agression" quand le maire s'était levé à un moment pour lui signifier la fin de l'entrevue. "Au-delà de la personne physique de M. Lafon, c'est l'institution qui a été visée", a estimé pour sa part le représentant du parquet. "C'est toute la République qu'on atteint" ainsi pour tenter d'obtenir "un passe-droit", a-t-il ajouté, avant de demander une peine de douze mois de prison, dont six avec sursis.
Des réquisitions que l'avocat du prévenu, Me Philippe Valent, a jugé "extrêmement sévères" pour une personne sans casier judiciaire. Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 9 février.
Re: réponses de la justice face à la violence de certains adultes
Bourges - Six mois ferme pour une agression en pleine école
Une mère de famille qui avait frappé une institutrice dans la maternelle où était scolarisé un de ses enfants a été condamnée lundi par le tribunal correctionnel de Bourges.
Présente à l'audience, l'institutrice a "souhaité que la mère de famille comprenne la gravité de son comportement".- le 19/01/2009 - 19h00
deux délits quasiment similaire , des traitements différents d'un tribunal à l'autre !
Une mère de famille qui avait frappé une institutrice dans la maternelle où était scolarisé un de ses enfants a été condamnée lundi par le tribunal correctionnel de Bourges.
Présente à l'audience, l'institutrice a "souhaité que la mère de famille comprenne la gravité de son comportement".- le 19/01/2009 - 19h00
D'après agenceVendredi, elle avait agressé une institutrice dans une école maternelle de Bourges. Ce lundi, cette mère de famille irascible qui, à 29 ans, vit seule avec trois enfants, a été jugée en comparution immédiate pour "violences volontaires sur personne chargée d'une mission de service public". Et elle a été condamnée à 6 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bourges, une peine conforme aux réquisitions du parquet.
A l'origine de l'affaire, une arrivée en retard à l'école, vendredi midi, pour récupérer l'un de ses enfants âgé de 4 ans. L'institutrice avait alors rappelé à la jeune mère que cette arrivée tardive n'était pas la première. La mère avait pris très mal la remarque et après une vive discussion, avait agressé l'institutrice, lui donnant des gifles - cette dernière a même parlé d'un coup de poing. La directrice et une femme de service, témoins de l'incident, avaient dû intervenir pour séparer les deux femmes.
Une lettre d'excuses
L'institutrice, extrêmement choquée, qui fait l'objet de dix jours d'interruption de travail, était présente lundi au tribunal de Bourges ; elle a "souhaité que la mère de famille comprenne la gravité de son comportement". L'enseignante a une quinzaine d'années d'expérience dont dix en zone d'éducation prioritaire.
La jeune maman interpellée à son domicile peu après les faits puis placée en garde à vue et remise rapidement en liberté, a adressé une lettre d'excuses à la victime. Au tribunal, elle a expliqué "avoir pété les plombs après une matinée extrêmement difficile".
deux délits quasiment similaire , des traitements différents d'un tribunal à l'autre !
Re: réponses de la justice face à la violence de certains adultes
Et après on s'étonne que certains jeunes sont violent ? .... comment le gosse de cette femme a perçu cette agression ? comment peut-on ensuite lui dire qu'il ne faut pas frapper ses petits copains d'école si , dans le même temps , il voit sa propre mère le faire ? est ce que quelqu'un a expliqué a ce petit que ce qu'a fait sa mère est mal ?
Invité- Invité
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