Femmes tuées!

Il tue sa femme à coups de couteau
AFP
01/03/2010 | Mise à jour : 17:33 Réactions (9)
Un septuagénaire a été mis en examen aujourd'hui pour le meurtre de sa femme, âgée de 54 ans, qu’il avait poignardée à son domicile de Bénaménil (Meurthe-et-Moselle), samedi vers 18H30, à la suite d’une dispute conjugale, a-t-on appris aujourd'hui auprès du parquet de Nancy.

"Moussa Yahiaoui s’est dénoncé, il a appelé ses voisins, puis un couple d’amis est arrivé et a découvert que la femme, Régine, était morte", a expliqué le substitut du procureur de Nancy, Vincent Lemonier. Un "couteau oriental maculé de sang, qui doit être l’arme du crime", a été retrouvé sur place, a-t-il ajouté.

Lors de son placement en garde à vue, le suspect a reconnu le meurtre et a fait état "de difficultés de couple: ils devaient de toute façon bientôt se séparer", a indiqué le substitut du procureur. Le mis en examen pourrait être placé en détention provisoire dans la soirée, après son audition devant le juge des libertés et de la détention.

Meurtre/Fontenay : le préfet au courant
Europe 1
19/02/2010 | Mise à jour : 10:18 Réactions (34)
Europe 1 affirme que le 23 octobre 2009 Tanja, dossier sous le bras, s’était présentée devant le maire de Fontenay-sous-Bois. La jeune femme, assassinée mardi par son ex-compagnon, avait montré à l’édile les multiples mains courantes qu'elle avait déposé à la police. Son souhait, disait-elle, était de quitter la ville.

Convaincu, Jean-François Voguet avait alors décidé d’écrire le 26 novembre 2009 au préfet du Val-de-Marne.Dans cette lettre, qu’Europe 1 a pu se procurer, le maire demandait au destinataire, "un examen bienveillant, en urgence", du dossier, "au regard de la détresse de cette femme et de la précarité de sa situation". Jamais la préfecture ne répondra à cette demande.

La semaine dernière, Tanja était retournée voir le maire, pour réitérer sa demande. Entretemps, son ex-compagnon a été condamné et avait reçu l’interdiction de l’approcher. Mais les menaces, elles, avaient bel et bien continué. Quand la jeune femme a été tuée, le maire de Fontenay-sous-Bois s’apprêtait à écrire à nouveau à la préfecture, pour qu’elle sorte enfin de son mutisme.

Une tentative de meurtre, un procès renvoyé
Haut-Rhin - Guebwiller
Le procès de Dominique Chadli et de son père Nordine n'aura lieu qu'en octobre. Après une tentative de meurtre sur son épouse dimanche, ce dernier n'a pu se présenter hier matin devant la cour.
Le 19 mai 2009 peu avant 2 h du matin, Nordine Chadli a tenté de mettre le feu à sa maison, rue Jacquard à Guebwiller. Il a surtout aspergé d'essence son épouse. Angélique Chadli s'est emparé du bidon d'essence et du briquet et a pu s'enfuir. Agé de 50 ans, son époux avait préalablement mis le feu à la cave. L'incendiaire, deux de ses enfants, majeurs, son épouse et un policier ont été légèrement intoxiqués. Hier après-midi, Nordine Chadli a été mis en examen pour tentative d'homicide aggravé.
Ph.M.

Gironde: un homme de 35 ans soupçonné d'avoir battu à mort son amie de 17 ans
La Teste-De-Buch, Arcachon, Bordeaux, Cahors, gironde, lot

Par tian
le 18/09/2008 à 19:11, vu 22557 fois, 110

Femme battue, violences conjugales. Illustration.
Roy Morsch/Corbis/Roy Morsch

Les faits se sont déroulés le week-end dernier dans le bourg de Cazau, près de La Teste-de-Buch, en Gironde.
Vendredi, vers 22h 30, un homme de 35 ans a téléphoné à un ami pour l'alerter qu'il venait de se passer un drame dans la chambre de l'hôtel du Périgord, où il séjournait avec Charlotte, son amie de 17 ans, rapporte La Dépêche du midi.

Quand les secours sont arrivés, ils ont trouvé le corps sans vie de l'adolescente.

Le corps de la jeune fille portait des traces de coups.

Elle avait été battue à mort par son ami, Mickaël.

Ce dernier était à ses côtés, prostré...

Le couple était arrivé fin août dans la région et vivait dans cette chambre.

Mickaël voulait refaire sa vie...

Mais, vendredi, c'est la vie de son amie qui s'est arrêtée.

Le drame s'est déroulé sur fond d'alcool.

Quand les policiers du commissariat d'Arcachon ont interpellé Mickaël, il avait plus de 2 grammes d'alcool dans le sang.

Le présume meurtrier a été mis en examen pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

Il a été écroué à la maison d'arrêt de Bordeaux.

La jeune victime était originaire de Cahors, dans le Lot.

Jugé pour avoir décapité sa femme


L'homme aurait tué son épouse parce qu'elle refusait de lui donner un enfant. Il encourt la prison à perpétuité.

Le procès d'un homme qui avait décapité en avril 2007 sa femme, qui selon lui, refusait d'avoir un enfant, s'est ouvert lundi matin devant les assises du Pas-de-Calais, à Saint-Omer.
Incarcéré depuis le 18 avril 2007 à la maison d'arrêt d'Arras, Philippe Cousin, 53 ans aujourd'hui, n'avait jamais été inquiété par la justice. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité pour homicide volontaire par conjoint.

Le lundi 16 avril 2007, l'accusé, alors âgé de 50 ans, avait appelé lui-même le commissariat de police d'Arras pour se dénoncer en tant qu'auteur du meurtre de Nicole, 47 ans, décapitée avec un couteau de cuisine.
Si sa culpabilité "ne fait pas de doute", selon son avocat Me Didier Robiquet, Philippe Cousin n'a jamais réellement expliqué son geste, paralysé par "ce qu'il qualifie lui-même 'd'horreur de son acte'".

Décrit comme très calme lors de son arrestation, il a d'abord expliqué son geste par une dispute verbale d'ordre domestique, avant d'évoquer le refus de son épouse d'avoir un enfant, selon les enquêteurs.
Nicole aurait toujours refusé, selon son mari, toute relation sexuelle susceptible de lui donner un enfant, car elle craignait de lui transmettre la maladie de son père, décédé de la sclérose en plaques.
L'autopsie du corps de la victime a confirmé qu'elle était vierge.

Les jurés devront essayer de comprendre le passage à l'acte de cet homme, décrit comme un être obéissant et respectueux, depuis la maternelle jusqu'à sa vie d'adulte, et qui vivait apparemment sous la domination de son épouse.

L'Express.fr

Bertolt_Brecht a écrit:Je devine qu'une session de Cour d'Assises dans un périmètre précis au sein duquel la population d'origine étrangère est largement plus forte qu'ailleurs ne laisse pas préjuger de l'ensemble des crimes commis en France...