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Colony Capital s'offre ACCOR.

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Colony Capital s'offre ACCOR. Empty Colony Capital s'offre ACCOR.

Message  Invité Ven 25 Juil - 12:08

Accor: Colony et Eurazeo montent à plus de 20% du capital
Les deux investisseurs ont pris de concert 21,05% du capital, dont 11,25% pour Colony et 9,8% pour Eurazeo. En mai dernier, ils avaient indiqué vouloir monter à 30% du capital du groupe hôtellier, assurant que l'opération était amicale.

Le groupe est désormais détenu à plus de 20% par Colony Capital et Eurazeo.
Le groupe est désormais détenu à plus de 20% par Colony Capital et Eurazeo.
Colony et Eurazeo continuent de se renforcer dans Accor. Les sociétés ColDay et ColTime (Colony) ainsi que Legendre Holding (Eurazeo) ont annoncé ce vendredi avoir franchi de concert en hausse, le 22 juillet 2008, le seuil de 20% du capital de groupe d'hôtellerie.

Les deux investisseurs détiennent désormais 21,05% du capital et 18,91% des droits de vote. Colony Capital reste le premier actionnaire du groupe hôtelier, avec 11,25% du capital (contre 9% auparavant), devant Eurazeo avec 9,80% (contre 8,5%).

Ce renforcement dans le capital n'est pas une surprise puisque les deux sociétés avaient annoncé en mai avoir conclu un pacte d'actionnaires sur cinq ans visant à monter ensemble à 30%. Colony Capital compte porter sa part à 20% et Eurazeo à 10%.

Avec cette part de 30%, le concert s'approchera du seuil du tiers du capital obligeant à lancer une offre d'achat. Mais les deux sociétés ont qualifié leur démarche d'"amicale" et assuré ne pas avoir l'intention de prendre le contrôle d'Accor.

En mai dernier, les deux partenaires indiquaient ainsi que leur initiative démontrait "leur confiance dans l'équipe de management et sa stratégie, dans la qualité des actifs du groupe et dans leur perspectives d'appréciation". Le président d'Eurazeo, Patrick Sayer, déclarait également vouloir être "un actionnaire durable à l'appui du management".

Pour que chacun comprennne, je met un petit descriptif du bestiau dans le post suivant....

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Message  Invité Ven 25 Juil - 12:11

le nouvel observateur a écrit:Tout a commencé en Californie, dans l'épicerie de mon père, à Culver City. Ce n'est pas lui qui m'a enseigné le calcul des performances financières, mais il m'a appris les valeurs qui font le succès à long terme : intégrité, réputation, persévérance...» Ainsi parle Tom Barrack - voix douce et sourire enjôleur - dans la vidéo de présentation de son fonds d'investissement. Colony Capital, créé en 1991 à Los Angeles, est soutenu par 120 investisseurs institutionnels qui lui ont confié 536 milliards de dollars de fonds propres. Grâce à ce solide matelas, il peut emprunter et investir à tour de bras aux quatre coins de la planète : bureaux, hôtels de luxe, casinos, bars, restaurants... mais aussi vignobles, hypermarchés ou stades de football. De Taipei à Las Vegas, de Paris à Tripoli, Colony Capital a mis plus de 18,6 milliards de dollars dans 127 opérations ces quinze dernières années, dégageant un taux annuel moyen de retour sur investissement supérieur à 21 %. Et paradoxalement la crise boursière ne lui fait pas peur. «Franchement, je préfère ce marché à celui d'il y a un an ! dit Tom Barrack. Cela fait un moment qu'on attendait cela. On était en surchauffe : c'est une correction nécessaire... pas un krach !» Tout de même, cette méfiance ne risque-t-elle pas de compliquer son boulot ? «Cela éliminera les amateurs ! Mais les acteurs sérieux, comme Colony, pourront au contraire saisir de nouvelles opportunités. La base de notre métier, c'est d'acheter quand tout le monde vend...» Un bon résumé du métier de ces financiers, à la réussite jusqu'ici spectaculaire.

«Mon histoire, c'est la success story d'une famille immigrée : mon éducation est américaine, mais mes origines sont libanaises», explique Tom Barrack; dont les parents sont venus s'installer aux Etats-Unis. L'histoire de cet entrepreneur - 374e fortune américaine avec un patrimoine de 1 milliard de dollars, selon le dernier classement «Forbes» - est aussi celle de la formidable accélération de la mondialisation financière depuis la fin des années 1980. Colony Capital s'est rapidement internationalisé, contribuant ainsi à exporter les exigences du capitalisme financier anglo-saxon. Aujourd'hui, ces quelques centaines de gros fonds de capital investissement, ou private equity (voir lexique), dictent leur loi à tous les patrons d'entreprise.
L'homme a d'abord fait ses classes auprès de la très riche famille Bass pendant dix ans, au Texas. Il cherchait des sociétés industrielles qui ne marchaient plus, et il les redressait en leur fournissant capitaux et management. Puis il s'est mis à son compte, en reprenant les leçons familiales. Son père avait réussi en vendant des oranges à contre-saison, à l'époque où on ne trouvait pas encore n'importe quel fruit n'importe quand. Tom, lui, a fait fortune en achetant des immeubles quand le prix du mètre carré baissait, puis des portefeuilles de mauvaises créances, et des entreprises en crise... «La base du métier, explique ce stratège pragmatique, c'est de travailler à contre-cycle : de voir des dysfonctionnements que les autres n'ont pas vus, ou des opportunités que les autres n'ont pas pu - ou osé - saisir...»

Selon les périodes, ces pépites cachées se trouvent sur des continents et dans des secteurs différents. «Quand j'ai créé Colony en 1991, c'était la grande crise de l'immobilier, entraînée par la faillite des caisses d'épargne américaines.» Alors va pour l'immobilier. Puis, tels des alchimistes de la finance, les équipes de Colony ont réinventé d'autres formules gagnantes : une fois la crise immobilière passée aux Etats-Unis, elle éclate en Grande-Bretagne et en France. Alors que les fonds américains restaient encore timides hors de leurs frontières, Colony s'est - au milieu des années 1990 - porté acquéreur des actifs que soldait le Crédit lyonnais pour rembourser ses dettes...
«Alors que nos concurrents sont tous bien installés à New York ou à Los Angeles, nous sommes italiens en Italie, français en France, japonais au Japon...», résume Barrack dans la vidéo promotionnelle de Colony. Tom Barrack, lui-même, passe une bonne moitié de son temps entre l'Europe et l'Asie. Et l'été on le croise le plus souvent entre Saint-Tropez et ses hôtels de luxe de Costa Smeralda, en Sardaigne «En ce moment, nous sommes plutôt vendeurs sur le continent américain : 70% de nos actifs se trouvent hors Etats-Unis.»
Le secret de son internationalisation, souligne Tom Barrack, c'est la qualité de ses équipes : «Si nous avons une position si solide en France, c'est grâce à Sébastien.» Sébastien Bazin, directeur général exécutif de Colony Capital Europe, a rejoint le fonds en 1997. Au fil des années, Colony Europe, étroitement associé à Eurazeo (le fonds des familles actionnaires de Lazard), est devenu une entité quasi indépendante du siège américain. «Nous levons nous-mêmes nos fonds : pour Colyzeo II - 1 milliard d'euros - les capitaux sont à 62% d'origine européenne», dit Sébastien Bazin, devenu l'un des six membres du comité exécutif mondial de Colony. «Nous identifions et négocions nous-mêmes nos transactions : il me suffit d'un simple feu vert de Tom...»
Dans la besace de Colony France, il y a beaucoup d'immobilier de bureau, notamment à la Défense, et des sociétés opérationnelles : les restaurants Buffalo Grill, les casinos Lucien Barrière ou les vignobles Château Lascombes, et un ticket stratégique dans Accor. Mais aussi 60% du club de foot PSG (avec Butler Capital et Morgan Stanley), et 9,1% de Carrefour aux côtés de Bernard Arnault... «Nous sommes plus éclectiques dans nos choix. Mais toutes nos acquisitions ont des actifs immobiliers sous-jacents, que nous estimons mal valorisés», explique Sébastien Bazin, dont la petite équipe parisienne ne comporte aucun expatrié américain.
N'ayant pas les mêmes moyens que ses gros concurrents, les équipes de Barrack se différencient en ayant toujours une idée d'avance. Après l'immobilier, Colony est donc passé aux hôtels de luxe, aux complexes touristiques puis aux casinos, «dont le potentiel était bridé par les réglementations». Son dernier pari est presque sulfureux : l'acquisition, pour 2,6 milliards d'euros, de 65% du groupe public libyen de raffineries et de stations-service Tamoil. Barrack y a vu les ingrédients qui l'attirent : «La Libye normalise ses relations avec les Etats-Unis, le secteur énergétique est prometteur, le deal était complexe.» Et demain ? «On regarde des nouvelles pistes, comme l'acquisition de terrains pollués par l'armée ou les industries pétrolière et chimique», dit Sébastien Bazin.
Les acquisitions de Colony ont beau être enracinées dans le tissu économique local, elles doivent suivre la logique du capitalisme financier global, autrement dit assurer un retour sur investissement maximal aux actionnaires ( fonds de pension, compagnie d'assurances, banques... ). Comme les autres sociétés de ce type, Colony achète ses cibles en empruntant l'argent (effet de leverage), mais tente de respecter un niveau d'endettement raisonnable. Il s'agit ensuite de gérer ces sociétés avec rigueur, de les développer puis de réaliser une belle plus-value à la revente... pour le plus grand profit du fonds et de ses dirigeants. L'enrichissement individuel des «partners» est tellement sorti de la norme que même l'opinion publique américaine commence à s'en émouvoir.
Stephen Schwarzman, gérant de Blackstone, vient de récolter quelque 7 milliards de dollars en introduisant son fonds en Bourse ! Bien évidemment, Tom Barrack trouve, lui, que cette polémique est parfaitement déplacée : «On prend des risques; on aide les entreprises à se développer; les investisseurs sont contents... Où est le problème ?» A l'entendre, les problèmes n'existent jamais. Moins en tout cas que l'inexorable montée du continent asiatique. «Qu'on le veuille ou non, l'avenir est chez eux : en Chine, en Inde, constate le patron de Colony Capital. Mais on n'a pas encore trouvé comment y transposer notre savoir-faire.»


Petit lexique des fonds

Les fonds de pension(pension funds, mutual funds) gèrent à long terme les retraites (par capitalisation dans le monde anglo-saxon) des salariés du public et du privé. Ils forment - avec les banques et les compagnies d'assurances - les investisseurs institutionnels. Ils sont les principaux pourvoyeurs de capitaux aux fonds à gestion dite «alternative», à haut risque et à haut rendement.Les fonds de capital-investissement(private equity) ont récemment défrayé la chronique avec leurs opérations de plus en plus gigantesques de LBO(leveraged buy out ou rachat avec effet de levier financier). Cela consiste à racheter - puis à garder pendant trois à cinq ans - des entreprises par un recours massif (60 à 80%) à l'endettement. Le cash-flow de l'entreprise permet ensuite de rembourser les prêteurs, avant sa revente, qui permet souvent aux financiers de faire plusieurs fois la culbute.Les fonds d'arbitrage ou spéculatifs(hedge funds) investissent à court terme pour réaliser des plus-values rapides. Ils n'ont en général pas vocation à prendre le contrôle de leurs cibles, mais les plus agressifs influencent leur stratégie.

Il s'agit donc d'investisseur institutionnel... Comment croire que des investisseurs institutionnels peuvent être amicaux? 50% d'investissements étrangers en France ne veut pas dire 50% d'investissement durable.

Aujourd'hui, ces quelques centaines de gros fonds de capital investissement, ou private equity (voir lexique), dictent leur loi à tous les patrons d'entreprise.

On comprend alors que tous les concepts des années 80, type réenginering, downsizing, ou encore coroporate government, actionariat de contrôle c'est du pipeau...

Au final, on laissera le mot de la fin au marxiste Debord qui disait dans cette mauvaise réputation que l'essentiel de la propriété est devenu spéculation et qu'elle s'organise autour des états, des banques, des mafias. Il concluait en disant que plus rien n'était cru et plus rien ne serait cru.

Au-delà, des clivages gauche/ droite, il est absolument temps de se pencher sur une gestion de la finance mondial avant qu'un krach soit le meilleur remède pour purgé le système.

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Message  Invité Ven 25 Juil - 12:35

Pendants ce temps là pour aider le capitalisme financier alors qu'il n'en a pas besoins, on utilise "le moralisme petit-bourgeois" qui trouve son point d'accomplissement dans les classes qui votent traditionnellement PS...

Loi Anti-tabac, Interdiction de fumer restaurant, fermeture bars... Loi anti tabac 1er janvier 2008

Les modalités d’application du décret


Depuis le 1er février 2007, il est interdit de fumer dans tous les lieux fermés et couverts accueillant du public ou qui constituent des lieux de travail, dans les établissements de santé, dans l’ensemble des transports en commun, et dans toute l’enceinte (y compris les endroits ouverts telles les cours d’écoles) des écoles, collèges et lycées publics et privés, ainsi que des établissements destinés à l’accueil, à la formation ou à l’hébergement des mineurs.

Cette interdiction est rappelée par une signalisation apparente.
En ce qui concerne les lieux « de convivialité » (débits de boissons, hôtels, restaurants, débits de tabac, casinos, cercles de jeux et discothèques), la date d’application de la mesure a été fixée au 1er janvier 2008 afin de permettre à ces catégories d’établissements de s’adapter économiquement aux nouvelles règles.

Dans les lieux fermés et couverts, le responsable d’établissement peut décider la création d’emplacements réservés aux fumeurs. Dans les lieux de travail, publics ou privés, leur mise en place est soumise à l’avis du comité d’hygiène et de sécurité.

Pour protéger les non fumeurs du tabagisme passif, ces emplacements doivent être clos, équipés de dispositifs de ventilation puissante, et aucune prestation ne peut y être délivrée de telle sorte qu’aucun salarié, qu’il appartienne ou non à l’établissement, n’ait à y pénétrer avant une heure après la fin de l’utilisation du local. La superficie de ces emplacements ne doit pas être supérieure à 20 % de la surface de l’établissement et un emplacement ne peut dépasser 35 mètres carrés. Un message sanitaire de prévention doit être apposé à l’entrée. Les mineurs de 16 ans ne peuvent y accéder.

La création des emplacements réservés aux fumeurs ne peut cependant avoir lieu ni dans des écoles, collèges, lycées et universités, ni dans les établissements de santé. Il a en outre été demandé aux administrations de ne pas en installer.
Aussi, l’interdiction est totale tant que l’établissement ne s’est pas doté, s’il le souhaite, d’un tel espace réservé aux fumeurs.

Le fait de fumer hors des emplacements réservés à cet effet est sanctionné par une contravention de 3e classe forfaitisée de 68 euros. Le fait d’avoir sciemment favorisé la violation de l’interdiction de fumer, ou de n’avoir pas mis en place les normes applicables aux emplacements réservés aux fumeurs ou la signalétique y afférente, est sanctionné par une contravention de 4e classe, contravention forfaitisée dans les deux derniers cas à 135 euros.

Le décret n° 2006-1386 du 15 novembre 2006, qui fixe les conditions d’application de l’interdiction de fumer, a prévu une mise en œuvre en deux temps :

Depuis le 1er février 2007, dans tous les lieux fermés et couverts accueillant du public ou qui constituent des lieux de travail, dans les établissements de santé, dans l’ensemble des transports en commun, et dans toute l’enceinte (y compris les endroits ouverts telles les cours d’écoles) des écoles, collèges et lycées publics et privés, ainsi que des établissements destinés à l’accueil, à la formation ou à l’hébergement des mineurs. Des emplacements réservés aux fumeurs peuvent y être installés, sauf dans les lieux accueillant des mineurs et les établissements de santé.

A partir du 1er janvier 2008, dans les débits permanents de boissons à consommer sur place, hôtels, restaurants, débits de tabac, casinos, cercles de jeux et discothèques, sauf aménagement, éventuel, d’un emplacement réservé aux fumeurs.

Cafés-hôtels restaurants-discothèques casinosL’interdiction dans les cafés, hôtels, restaurants, discothèques et casinos

En ce qui concerne les lieux de convivialité (débits permanents de boissons à consommer sur place, les casinos, les débits de tabac, les discothèques, les hôtels et les restaurants), un délai de près d’un an a été donné aux établissements dans l’application des dispositions du décret afin de leur permettre économiquement aux nouvelles règles.

Dans les lieux fermés et couverts, le responsable d’établissement peut décider la création d’emplacements réservés aux fumeurs qui doivent être clos et équipés de dispositifs de ventilation puissante.

Aucune prestation ne peut y être délivrée de telle sorte qu’aucun salarié, qu’il appartienne ou non à l’établissement, n’ait à y pénétrer avant une heure après la fin de l’utilisation du local.
La superficie de ces emplacements ne doit pas être supérieure à 20 % de la surface de l’établissement et un emplacement ne peut dépasser 35 mètres carrés.
Un message sanitaire de prévention doit être apposé à l’entrée. Les mineurs de 16 ans ne peuvent y accéder.

Aussi, à compter du 1er janvier 2008, l’interdiction sera totale tant que l’établissement ne s’est pas doté, s’il le souhaite, d’un tel espace réservé aux fumeurs.

Interdit de boire, de faire de la musique (voir Drac et directive européenne),... Les établissements indépendants tombent les uns après les autres, les conditions de travail deviennent lamentable et alors que la mort de l'hôtellerie indépendante est presque assuré par le pouvoir, l'europe décide (car la politicaille française n'est que le larbin de cette grosse vacherie qu'est l'europe!) de:

http://www.lhotellerie.fr/hotellerie-restauration/Articles/2005/2953_01_Decembre_2005/TVA_a_5_5_Quel_impact.htm

Ce qui aurait du être fait, il y a bien longtemps mais vraiment bien lontemps. Bien que nécessaire, cette mesure va finalement aidé les grosses chaines... C'est un peu le double effet 35 heure: On flexibilise PME et salarié au nom des 35 heures, on supprime les PME sans supprimer cette flexibilité.

On est donc pas dans un capitalisme libéral au sens de Popper mais bel et bien dans la gestion de l'économie par des concentrations financières qui ne gèrent peu ou pas les risques. Ce capitalisme peu libéral utilise l'idéologie du libre-échangisme pour prospérer.

Ce libre-échangisme abat un à un, parti par parti ce qui faisait de la France, un pays sympathique... Le libre-échangisme est ici une réification.

bien à vous,

saco

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