Les vérités cachées du racisme anti-Blancs
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Les vérités cachées du racisme anti-Blancs
Les vérités cachées du racisme anti-Blancs
Mots clés : Racisme, Jean-François Copé, Tarik Yildiz
Par Stéphane Kovacs
Mis à jour le 04/10/2012 à 18:29 | publié le 04/10/2012 à 16:51
L'aversion pour la France s'étale parfois jusque sur les murs des villes. Crédits photo : Philippe ARNASSAN/PHOTOPQR/NICE MATIN
Ce racisme anti blanc est largement soutenu par les politiques , et surtout par les journalistes .
Regardons les traiter de l'onformation , quand un jeune blanc se fait assassiner , cela donne un entrefilet dans tous les quotidiens , y compris ceux de droite , quand la victime est enfant d'immigré , cela donne des pages et des pages , tous les jours pendant plus de 8 jours , cela donne des reportages sur la douleur de sparents, matin , midi et soir pendant plus de huit jours aussi .
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Mots clés : Racisme, Jean-François Copé, Tarik Yildiz
Par Stéphane Kovacs
Mis à jour le 04/10/2012 à 18:29 | publié le 04/10/2012 à 16:51
L'aversion pour la France s'étale parfois jusque sur les murs des villes. Crédits photo : Philippe ARNASSAN/PHOTOPQR/NICE MATIN
Mises à l'écart, insultes à répétition, agressions physiques… les témoignages des «Gaulois» des cités sensibles révèlent une réalité que certains préfèrent ignorer.
Elle n'allait tout de même pas leur avouer qu'elle était «entièrement» française! Elle, la seule Blanche de la classe, constamment asticotée par ses camarades, dans ce lycée professionnel des Hauts-de-Seine, mise à l'écart parce qu'elle n'était «pas comme eux». Alors cette petite brune au «prénom typiquement français» a invoqué son grand-père immigré… italien. Cela n'a pas suffi. «Gauloise», «blanc d'œuf» ou «toubab» (mot utilisé en Afrique pour désigner les Blancs), les quolibets n'ont pas cessé. «Un ancêtre africain, ç'aurait été mieux…», lâche-t-elle, un peu honteuse.
«Un racisme anti-Blancs se développe dans les quartiers de nos villes, s'insurge le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, dans son Manifeste pour une droite décomplexée. Des individus méprisent des Français qualifiés de “gaulois”, au prétexte qu'ils n'ont pas la même religion, la même couleur de peau ou les mêmes origines qu'eux». Plus d'un Français sur deux (56 %) en sont bien conscients, d'après un récent sondage. Selon une enquête de l'Ined, 18 % de la population «majoritaire» auraient d'ailleurs déjà été «la cible d'insultes, de propos ou d'attitudes racistes». Mais qui entend leurs souffrances?
«Le pire, c'est que c'est intégré»
Le phénomène n'est pas nouveau. «On a parlé de David, on a parlé de Kader mais qui parle de Sébastien?», s'étaient interrogées, en 2005, dans un «Appel contre les ratonnades anti-Blancs» (après des dérapages en marge de manifestations lycéennes), des personnalités marquées à gauche comme Bernard Kouchner, l'éditorialiste Jacques Julliard ou le philosophe Alain Finkielkraut.
Tollé parmi les intellectuels de gauche, qui dénoncèrent «une lepénisation des esprits». La même année, le député - aujourd'hui sénateur - de Moselle François Grosdidier a aussi eu «le souci de briser ce tabou-là». Associé à 200 parlementaires UMP, il dépose une plainte auprès du ministère de la Justice, accusant neuf groupes de rap de promouvoir le racisme anti-Blancs. «J'ai envie de dégainer sur des f.a.c.e.s. d.e. c.r.a.i.e./ Dommage (…) que ta mère ne t'ait rien dit sur ce putain de pays/Me retirer ma carte d'identité, avec laquelle je me suis plusieurs fois torché», scande par exemple le groupe Ministère Amer dans sa chanson Flirt avec le meurtre.
À Woippy, sa ville aux 70 % de logements sociaux et aux dizaines de nationalités, le député a constaté que «les jeunes écoutaient ça toute la journée, et n'avaient ni le recul ni la formation nécessaires pour le prendre au deuxième degré». Sa plainte n'aboutira pas, comme d'ailleurs, apparemment, aucune des rares plaintes pour «racisme anti-Blancs».
Si aujourd'hui on entend moins les rappeurs orduriers, les apostrophes comme «toubab», «kouffar» (infidèles) ou «Gaulois» ne choquent plus dans les cités. «Le pire, c'est que c'est intégré, affirme François Grosdidier. Chez les jeunes, on en rigole. C'est plus rare entre adultes, mais il arrive que des policiers ou des enseignants soient victimes d'agressions racistes, verbales et parfois physiques. Le comble, c'est cette Maghrébine que j'ai dû faire poursuivre parce qu'elle avait été très grossière avec une policière municipale d'origine antillaise, en s'en prenant à sa nationalité!» Au Raincy (Seine-Saint-Denis), son collègue Éric Raoult, ancien ministre UMP chargé de l'Intégration, est aussi «confronté tout le temps à cela». «Plusieurs fois, j'ai été obligé de ramener l'ordre dans un mariage, parce que les familles venaient avec des drapeaux étrangers, raconte-t-il. Il y a une volonté de prouver à ceux qui sont les plus nombreux qu'ils sont en fait minoritaires.»
Selon le sociologue Tarik Yildiz, auteur de Le Racisme anti-blanc: ne pas en parler, un déni de réalité, «le phénomène se développe d'année en année». «C'est le fait des deuxième et troisième générations d'immigrés, précise-t-il. Cela vient d'un manque de repères, d'autorité, d'une démission de l'État dans certains quartiers. Si on n'est pas arrêté dès l'adolescence, âge où l'on teste les limites, on va toujours aller plus loin.»
Cela peut commencer par «une petite humiliation dans la cour de l'école, un regard de travers, un coup d'épaule dans un wagon, indique Bruno Beschizza, sous-préfet, élu de Seine-Saint-Denis et ancien secrétaire général du syndicat de police Synergie-officiers. Derrière ce type de racisme, il y a tout ce qui peut représenter notre société occidentale: un flic, comme un gamin qui bosse bien. Si l'on s'en prend au petit Blanc, c'est parce qu'il symbolise le monde qui s'en sort».
«Sale mangeur de porc!»
Mais s'en sort-il vraiment, le «petit Blanc» qui se fait traiter de «bolos» (pigeon), d'«Aryen» ou de «Français de m…» et parfois agresser à la récréation? «Je connais des parents qui ont dû changer leurs enfants d'établissement, parce qu'on voulait leur faire la peau», raconte Bruno Beschizza. «J'ai moi-même assisté à cela, dans mon collège, à la cité des Grèves, l'une des plus problématiques du 92, se souvient Tarik Yildiz. Je pense notamment à un collégien qui, seul Blanc en 6e, a été pris à partie par les autres. “Sale mangeur de porc!”, lui criait-on, avant que les insultes se transforment en violences physiques. Il n'a pas pu déménager tout de suite, a eu beaucoup de difficultés scolaires et aujourd'hui encore, en garde des séquelles. C'est de plus en plus une réalité en banlieue. À tel point que pour avoir la paix, certains jeunes Français s'inventent une origine métissée!»
La plupart des victimes n'osent rien dire, par peur de représailles, ou tout simplement parce qu'elles pensent qu'elles ne seront pas prises au sérieux. «Tous ont le sentiment de ne pas compter dans la société, d'être totalement délaissés, et surtout l'impression d'un “deux poids-deux mesures”, analyse le jeune sociologue. Car il existe dans l'inconscient collectif une sorte de schéma avec les “dominants” et les “dominés”, et que, pour beaucoup, les “dominés” ne peuvent pas être des bourreaux. Mais peut-on considérer que des familles modestes, Français de souche vivant dans des quartiers défavorisés, fassent partie du groupe des “dominants”? Alors, quand on leur parle toute la journée du racisme dans les cours d'instruction civique, et que ceux-là ne peuvent pas s'exprimer, cela a des effets très néfastes».
Dans les quartiers Nord de Marseille, Fabien est confronté à ce genre de racisme «presque quotidiennement». «Plusieurs fois, dans le métro, j'ai dû subir des “sale Gaulois”, “mécréant” ou d'autres injures en arabe, rapporte ce fonctionnaire quadragénaire. Une fois, ils ont même sorti un couteau, j'ai pris un coup de bouteille de Coca-Cola sur la tête et un coup de poing sur la tempe. Des inscriptions “va crever, Français”, il y en a jusque sur les murs de ma rue. Alors bien sûr, j'aimerais déménager, mais mon appartement est invendable…» Porter plainte? «J'ai essayé, ça a été classé. Pour de telles agressions, les policiers ne se déplacent même pas, soupire-t-il. Quant aux éventuels témoins, ils se débinent. Si ce phénomène est en croissance exponentielle, les citoyens en sont aussi un peu responsables, par leur immobilisme, leur manque de rébellion».
«Les associations craignent le sujet»
Contacter des organisations antiracistes? «A SOS-racisme, on m'a répondu que le racisme anti-Blancs n'existait pas, s'exaspère Sophie. Que c'était moi la raciste, qui dénonçait des immigrés!» Cindy Leoni, la nouvelle présidente de l'association, veut bien concéder l'existence d'un «racisme envers les Blancs», mais surtout pas d'un «racisme anti-Blancs», un «vocable emprunté à l'extrême droite!»«De toute façon, c'est très rare, assène-t-elle, et cela se cantonne à des insultes. N'allez pas nous faire croire qu'il est plus difficile d'être blanc qu'immigré!»
Ni le Défenseur des droits, ni le Mrap n'ont jamais été saisis pour racisme anti-Blancs. «Les associations craignent ce sujet, avoue Pierre Mairat, coprésident du Mrap, car elles hésitent à montrer du doigt une population déjà stigmatisée. Mais si on veut lutter contre le racisme, on ne doit s'affranchir d'aucune problématique. Ce racisme-là, même s'il n'est pas systémique, mais sporadique, n'en participe pas moins à la racialisation de la société.»
La Licra sera partie civile, le 26 octobre, dans une de ces rares affaires. «Il s'agit d'un jeune homme agressé à l'arme blanche il y a deux ans, gare du Nord, par trois individus, raconte son avocate, Me Naïma Moutchou. Aux cris de “sale Français”, “Gawerer” («sale Blanc» en arabe). Nous avons l'espoir d'obtenir une condamnation, car il y a des témoins». Président de la Licra, Alain Jakubowicz reconnaît que «ces petits voyous-là font un mal énorme à la France». «C'était une erreur de ne pas parler de ce phénomène, de le laisser exploiter de manière honteuse par le FN, conclut-il. Sans pour autant les mettre au même niveau que les discriminations dont font l'objet les immigrés, il faut dire les choses. On a culpabilisé à outrance trop de nos concitoyens.»
Ce racisme anti blanc est largement soutenu par les politiques , et surtout par les journalistes .
Regardons les traiter de l'onformation , quand un jeune blanc se fait assassiner , cela donne un entrefilet dans tous les quotidiens , y compris ceux de droite , quand la victime est enfant d'immigré , cela donne des pages et des pages , tous les jours pendant plus de 8 jours , cela donne des reportages sur la douleur de sparents, matin , midi et soir pendant plus de huit jours aussi .
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Pour le PS et ses alliés, l'ouvriérisme ayant fait faillite (l'ouvrier vote Le Pen), il fallait trouver un nouveau messianisme. C'est ainsi que l'immigrationisme a détrôné le messianisme ouvrier. Une chimère chasse l'autre...
Car pour ces « progressistes» , il est essentiel de théologiser un messianisme. N'importe lequel! Pourvu qu'ils aient l'illusion de constituer l'avant-garde de la morale et de la société.
Violences quotidiennes des villes mais il n'est pas besoin d'être en banlieue pour le subir. Il suffit de croiser un groupe pour se faire insulter et cela ne date pas d'hier mais les bobos, socialos, les psycho et tous ceux qui ne vivent pas dans le vrai monde nous imposent leur diktat depuis des années. Ils vont finir par récupérer ce qu'ils ont semé par inconscience et bien pen : la haine.
Bien sur le racisme anti blanc existe depuis longtemps cela fait 20 ans que l'on dénonce cela mais c'est de pire en pire on est dans le déni ;quand on entend jj Bourdin sur rmc nous dire que ça n'existe pas on croit rèver ;cet homme ne doit pas sortir de chez lui
Re: Les vérités cachées du racisme anti-Blancs
«Racisme anti-Blanc» : le vrai débat
Mots clés : Racisme Anti-Blanc, Racisme
Par Pierre-André Taguieff
Mis à jour le 01/10/2012 à 16:19 | publié le 01/10/2012 à 14:59
TRIBUNE - Le philosophe*, Pierre-André Taguieff, s'interroge sur l'origine, le sens et l'usage de cette notion.
Mots clés : Racisme Anti-Blanc, Racisme
Par Pierre-André Taguieff
Mis à jour le 01/10/2012 à 16:19 | publié le 01/10/2012 à 14:59
TRIBUNE - Le philosophe*, Pierre-André Taguieff, s'interroge sur l'origine, le sens et l'usage de cette notion.
* Dernier ouvrage paru: «Le Nouveau national-populisme» (CNRS Éditions).Dans le récent débat sur le «racisme anti-Blanc», le grand oublié a été le mot «racisme», comme si sa signification et ses conditions d'emploi ne posaient aucun problème. Il en va tout autrement. Depuis la fin du XXe siècle, il est appliqué de façon polémique à un nombre indéfini de situations, et ne fonctionne plus que d'une façon vague et confuse, comme synonyme approximatif d'exclusion ou de rejet de l'autre, de discrimination, d'hostilité, de haine de l'étranger, d'intolérance à l'égard du différent, de peur phobique ou de mépris. On en connaît les multiples expressions courantes depuis les années 1970: du «racisme anti-jeunes» au «racisme anti-flics», «anti-vieux», «anti-homosexuels», «anti-Français», voire au «racisme anti-Front national». Le racisme étant partout, il n'est plus nulle part et devient indéfinissable.
«Rien ne compromet davantage, n'affaiblit de l'intérieur, et n'affadit la lutte contre le racisme que cette façon de mettre le terme (…) à toutes les sauces.» Manifestement, la leçon de Claude Lévi-Strauss n'a pas été entendue.
L'expression «racisme anti-Blanc» n'est ni mieux ni moins bien formée que «racisme anti-Noir», «racisme anti-Juif», etc., à la différence des expressions abusives du type «racisme anti-gros». Il n'est nullement choquant de spécifier le «racisme» par ses cibles variables, si elles constituent des groupes ethniquement identifiables.
La réalité des manifestations du «racisme anti-Blanc» n'est pas niable, au Zimbabwe de Robert Mugabe comme en France où il prend des formes peu idéologisées: injures, menaces, violences physiques revendiquées - pour «se venger des Blancs». Mais il s'exprime aussi par certaines auto-ségrégations communautaires.
La question du «communautarisme» est étroitement liée à celle de la non-intégration d'immigrés et d'enfants d'immigrés. Mais il faut distinguer la non-intégration involontaire du refus de l'intégration, souvent pour des raisons politico-religieuses diffusées par la propagande islamiste. Le «racisme anti-Blanc», ici, fait partie d'une constellation de rejets, où se côtoient l'anti-occidentalisme, la christianophobie, la judéophobie et une haine spécifique visant les Français comme héritiers de leur impérialisme colonial. Mais l'on comprend que, dans une société où l'antiracisme est inscrit dans la loi, les «racistes anti-Blanc» ou leurs avocats cyniques soient portés à affirmer que le «racisme anti-Blanc» n'existe pas!
Le Front national n'est ni l'inventeur ni le propriétaire de cette expression. Il n'a pas non plus inventé le phénomène. Les milieux antiracistes organisés ont gardé un silence gêné ou prudent sur l'apparition de formes diverses de «contre-racisme». Le phénomène n'est pas nouveau: au racisme des dominants, les dominés répondent souvent par un racisme de sens contraire, comme aux États-Unis ou dans les mouvements de libération nationale à l'époque de la décolonisation. Mais il a pris depuis une trentaine d'années, en raison de la mise en accusation croissante de l'Occident, une importance inédite. Aujourd'hui, la haine du Blanc, du Français, de l'Européen, de l'Occidental, du Juif ou du chrétien se donne comme un bloc indifférencié.
Le fait est que le Front national a fait de la dénonciation du «racisme anti-Blanc» l'un de ses thèmes de propagande. Mais c'est donner dans une conception magique du lexique que de considérer l'expression comme contaminée par son usage lepéniste, et de la dénoncer comme contagieuse. En interdisant l'emploi des termes jugés souillés, certains antiracistes cherchent à criminaliser ceux qui y recourent, tout en niant ou en minorant la réalité du phénomène.
L'antiracisme est aussi une idéologie. Il présuppose notamment que le racisme va toujours du «Blanc» au non-Blanc. Ce dogme idéologique est à ce point intériorisé par les antiracistes militants qu'il les rend aveugles ou indifférents aux faits qui le contredisent. Les «petits Blancs» étaient naguère, dans le sud des États-Unis, les pires négrophobes. Aujourd'hui, dans certains «quartiers sensibles», ils sont les premières victimes des «petits non-Blancs» majoritaires. En France, le communautarisme, qui favorise et alimente le rejet des «Blancs», est encouragé par une propagande islamiste hostile à l'intégration des musulmans. Elle est le véhicule d'un rejet haineux de l'Occident et de ses valeurs, racisme culturel visant particulièrement les chrétiens et les Juifs.
La vraie question est d'identifier précisément les diverses manifestations du «racisme anti-Blanc» et d'en mesurer l'importance, pour s'interroger sur leur évolution future et les moyens politiques de relever le défi qu'elles lancent à notre démocratie libérale-pluraliste. Le pluralisme bien compris s'arrête aux portes de la société multicommunautariste que certains utopistes irresponsables, au nom d'un antiracisme dévoyé, rêvent de voir s'installer en France.
Si récent débat il y a eu sur le racisme, il a été vraiment petit et passé inaperçu par le plus grand nombre. Dès la création de l'association, Sos Racisme a fait de ce mot "sa propriété" et divulgué surtout à la "sauce anti-arabe", l formule anti-blanc étant invraisemblable. Pourtant,c'est à partir de cette date que l'on a pu remarquer une surenchère anti-blanc, surtout anti-français. "La question du communautarisme est étroitement liée (je cite) à celle de la non-intégration d'immigrés et d'enfants d'immigrés. Mais il faut distingué la non-intégration involontaire du refus de l'intégration, souvent pour es raisons politico-religieuss diffusées par la propagande islamiste". Ici selon moi, il n'est plus question de racisme. Je ne comprends pas ce que vaut dire la non-intégration involontaire. Serait-on inconscient de ses actions ? Quant à l'intégration refusée pour des raisons politico-religieuses on peut l'expliquer par un mot que l'on ne voit pas tellement mentionné dans des analyses journalistiques, c'est: Civilisation. Et la VRAIE question est: Peut n intégrer une Civilisation dans une Autre ?. Question qui demande une réponse assez rapide car dans trente ans il sera trop tard.
Il existe, il serait absurde de le nier. Plus la population immigrée enfle, plus le rejet de l'autre se fait sentir.
C'est humain ! - On passe de colonisateur à colonisé !
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