Quand DSK écrase Sarkozy
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Quand DSK écrase Sarkozy
Au second tour de la présidentielle, tous les candidats socialistes battraient aujourd'hui le président sortant.
Mais le directeur général du FMI, lui, réaliserait une performance hors norme : 62% selon un sondage exclusif TNS-Sofres pour Le Nouvel Observateur.
article paraît dans Le Nouvel Observateur du jeudi 25 novembre.
Pour Nicolas Sarkozy, c'est la descente aux enfers. Pour Dominique Strauss-Kahn, c'est la poursuite d'une irrésistible ascension. Ni le président sortant, ni le directeur général du FMI ne sont encore officiellement en lice pour la compétition élyséenne de 2012. Pourtant, un an et demi avant l'échéance, c'est autour de ces deux hommes que se structure déjà l'élection.
L'un parce que son impopularité croissante le conduit à s'incliner devant tous ses challengers socialistes dans un front qui va de l'extrême gauche au centre droit.
L'autre parce qu'il bénéficie, en dépit de ses fonctions à la tête du FMI, d'une réputation d'invincibilité qui lui donne, dés à présent, le statut d'un président idéal de substitution.
Le sondage Sofres-Logica, réalisé la semaine dernière pour le Nouvel Observateur est le second de ce genre.
Une enquête du même type, portant sur des intentions de vote au premier et au second tour de l'élection présidentielle, avait été effectuée à la fin aout. Seul le nom du représentant du courant centriste, appartenant à l'actuelle majorité, a été modifié. Jean Louis Borloo, l'ex-futur Premier ministre de Nicolas Sarkozy, remplace ici Hervé Morin, l'ancien ministre de la Défense et patron du Nouveau centre. Pour le reste, l'offre reste identique, notamment pour les quatre représentants potentiels de la famille socialiste. C'est ce qui fait tout l'intérêt d'un sondage qui ne préjuge en rien du sort final de la compétition mais qui permet de mesurer, dans l'optique de l'élection présidentielle, les effets d'une longue séquence marquée par le débat sur les retraites et le feuilleton du remaniement.
Tout sauf Sarkozy
Le président de la République est en train de perdre son pari. Il avait indiqué, avant l'été, que sa réélection dépendait entièrement de sa capacité à préserver, au premier tour de la présidentielle, un capital d'environ 28%. C'est en sortant nettement en tête de ce round initial qu'il pensait puiser l'élan suffisant pour s'assurer au final une courte victoire.
Aujourd'hui, cet objectif est, à l'évidence, hors d'atteinte. Au premier tour, en fonction des candidats du PS, Nicolas Sarkozy oscille entre 26% - au mieux face à Ségolène Royal – et 24% - au pis, face à Dominique Strauss-Kahn.
Conséquence logique de cette très médiocre performance, il s'incline nettement, dans tous les cas de figure, au second tour.
Fin août, le président sortant l'emportait encore face à son ex-rivale de 2007 et faisait jeu égal avec François Hollande. Aujourd'hui, tous deux le battraient. Sa défaite est cinglante face à Martine Aubry et à l'ex-premier secrétaire du PS (45% contre 55%).
b]Elle devient surtout humiliante lorsque son adversaire s'appelle DSK. Il y a trois mois, le directeur général du FMI l'emportait avec 59% des voix. Aujourd'hui, il culmine à 62%. Du jamais vu face à un président exercice![/b]
Le sarkozysme est désormais un phénomène résiduel. Il reste fort chez les personnes âgées. Chez les sympathisants UMP – ou ce qu'il en reste… - il demeure dominant.
Mais pour le reste, c'est la débâcle. Trop faible pour s'imposer au premier tour, le président est aujourd'hui trop court sur patte pour rassembler au second. La moitié de l'électorat de Jean Louis Borloo et les deux tiers de celui de François Bayrou et de Marine Le Pen lui échappent dans ce tour décisif. Là est la vraie clé de sa déroute. Celle-ci signe l'échec d'une stratégie.
Avec de pareils sondages, le président est en train de devenir un boulet pour la droite qui, certes, peut songer, avec François Fillon, à changer de champion mais n'a pas les moyens, dans le contexte actuel, de mettre en piste un nouveau candidat.
Pour sauver la mise, il faudrait que Nicolas Sarkozy fasse baisser le niveau d'hostilité qu'il rencontre dans presque tous les secteurs de l'opinion. On en est loin ! Il faudrait aussi qu'il sache faire revivre un centrisme majoritaire, complémentaire avec l'actuelle UMP afin de trouver, au second tour, les réserves qui lui manquent aujourd'hui cruellement. On n'en est pas encore là…
DSK super star
Seul Jacques Delors, au sommet de sa gloire, à l'automne 1994, avait su atteindre, dans les sondages, de pareils scores. Et encore ! C'était quand on l'opposait à Jacques Chirac et non pas à Edouard Balladur. De tous les candidats socialistes testés par la Sofres, Dominique Strauss-Kahn est celui qui mobilise le maximum de ressources. Il progresse au premier tour (27%, + 2 points) et cartonne au second (62%, + 3 points).
DSK est aujourd'hui Monsieur zéro défaut. Il attire toute la gauche : c'est face à lui que Jean Luc Mélenchon réalise son plus mauvais score ! Il rassemble jusqu'au centre droite, au second tour : c'est sur lui que se reporte le mieux l'électorat de François Bayrou (61% ) et de Jean Louis Borloo (48%). Ces performances le mettent très nettement au dessus de tous ses concurrents potentiels, au sein du PS.
Sur les quatre candidats socialistes testés par la Sofres, une seule semble aujourd'hui hors course. Faible au 1er tour (17%), Ségolène Royal clive trop pour ressembler largement au second. L'ex-candidate de 2007 n'a plus les ressources suffisantes pour s'imposer nettement face à un président affaibli. C'est l'explication de ses récents contacts avec le directeur général du FMI auquel elle se ralliera, sans coup férir, quand celui-ci annoncera sa candidature. DSK vient en effet de faire les quelques gestes, lors de son récent passage à Paris, qui indiquent son intention d'entrer en lice à la mi-2011.
Pour que ce mouvement soit parfait et que les primaires socialistes se déroulent sans dégâts majeurs pour le nouvelle star du PS, il faudra toutefois qu'il règle un double problème. Celui tout d'abord de sa supposée alliée : Martine Aubry. Parce qu'elle est première secrétaire, celle-ci reste une candidate crédible, en dépit d'une capacité de rassemblement, au second tour, moins forte que celle de ses challengers socialistes.
François Hollande, pour sa part, présente des caractéristiques inverses. Il est reste très faible au premier tour (16,5%, + 0.5%), à portée de fusil de Marine Le Pen (14%). Au second en revanche, il fait plus que tripler son score (55%). L'ex-premier secrétaire tire lentement le bénéfice de son activisme automnal. Il séduit mais n'attire pas. Il souhaitait que les primaires arrivent vite. Son intérêt bien compris est en fait qu'elles se déroulent le plus tard possible, vu le retard qui est encore le sien, dans l'opinion.
Le troisième homme est une femme
Au centre et au centre droit, l'offre est trop éclatée pour qu'un candidat puisse venir troubler au premier tour, le match entre Nicolas Sarkozy et le candidat du PS.
L'hypothèse d'une candidature Borloo est le révélateur des faiblesses conjuguées de François Bayrou – qui stagne – et de Dominique de Villepin – qui plonge – par rapport au précédant sondage Sofres. L'ex-ministre de l'Ecologie souligne également les faiblesses de la candidature d'Eva Joly, qui, en fonction de l'offre socialiste, recule de un a trois points. Au final, son score de 1er tour, inférieur à 10%, rend illusoire, pour l'instant, son ambition affichée de troubler le jeu des favoris.
A la division des centres et à la dispersion de l'électorat écolo s'ajoutent une compétition au sein de l'extrême gauche, entre Olivier Besancenot et Jean Luc Mélenchon, qui l'empêche celle-ci de tirer profit de son capital de voix (entre 13 et 14%).
Dans ce contexte, le troisième homme est une femme : elle s'appelle Marine Le Pen. Par rapport à la fin aout sa progression est faible (+1% environ) mais son niveau reste élevé. La fille flirte désormais avec les meilleurs scores du père. Elle peut tirer profit par ailleurs, de l'extrême volatilité d'un électorat qui, à l'évidence, a aujourd'hui des préférences mais n'est pas encore totalement fixé.
Au premier tour, le score du candidat socialiste oscille par exemple entre 16,5% et 27% ! Au second, un candidat tel François Hollande est capable de passer de 16.5% à 55%. Là se situe la principale inconnue de l'élection de 2012.
L'anti-sarkozysme parait solidement ancré dans l'opinion.
DSK jouit d'un statut hors norme qui lui assure une popularité qui l'est tout autant. Cela contribue à clarifier l'équation de la présidentielle. Pour le reste, on devine une opinion qui a des nettes préférences mais dont la cristallisation progressive, au cours de l'année 2011, au fil des annonces officielles de candidature, peut encore apporter bien des surprises.
François Bazin
(NouvelObs.com)
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/politique/20101123.OBS3447/sondage-quand-dsk-ecrase-sarkozy.htmlMais le directeur général du FMI, lui, réaliserait une performance hors norme : 62% selon un sondage exclusif TNS-Sofres pour Le Nouvel Observateur.
article paraît dans Le Nouvel Observateur du jeudi 25 novembre.
Pour Nicolas Sarkozy, c'est la descente aux enfers. Pour Dominique Strauss-Kahn, c'est la poursuite d'une irrésistible ascension. Ni le président sortant, ni le directeur général du FMI ne sont encore officiellement en lice pour la compétition élyséenne de 2012. Pourtant, un an et demi avant l'échéance, c'est autour de ces deux hommes que se structure déjà l'élection.
L'un parce que son impopularité croissante le conduit à s'incliner devant tous ses challengers socialistes dans un front qui va de l'extrême gauche au centre droit.
L'autre parce qu'il bénéficie, en dépit de ses fonctions à la tête du FMI, d'une réputation d'invincibilité qui lui donne, dés à présent, le statut d'un président idéal de substitution.
Le sondage Sofres-Logica, réalisé la semaine dernière pour le Nouvel Observateur est le second de ce genre.
Une enquête du même type, portant sur des intentions de vote au premier et au second tour de l'élection présidentielle, avait été effectuée à la fin aout. Seul le nom du représentant du courant centriste, appartenant à l'actuelle majorité, a été modifié. Jean Louis Borloo, l'ex-futur Premier ministre de Nicolas Sarkozy, remplace ici Hervé Morin, l'ancien ministre de la Défense et patron du Nouveau centre. Pour le reste, l'offre reste identique, notamment pour les quatre représentants potentiels de la famille socialiste. C'est ce qui fait tout l'intérêt d'un sondage qui ne préjuge en rien du sort final de la compétition mais qui permet de mesurer, dans l'optique de l'élection présidentielle, les effets d'une longue séquence marquée par le débat sur les retraites et le feuilleton du remaniement.
Tout sauf Sarkozy
Le président de la République est en train de perdre son pari. Il avait indiqué, avant l'été, que sa réélection dépendait entièrement de sa capacité à préserver, au premier tour de la présidentielle, un capital d'environ 28%. C'est en sortant nettement en tête de ce round initial qu'il pensait puiser l'élan suffisant pour s'assurer au final une courte victoire.
Aujourd'hui, cet objectif est, à l'évidence, hors d'atteinte. Au premier tour, en fonction des candidats du PS, Nicolas Sarkozy oscille entre 26% - au mieux face à Ségolène Royal – et 24% - au pis, face à Dominique Strauss-Kahn.
Conséquence logique de cette très médiocre performance, il s'incline nettement, dans tous les cas de figure, au second tour.
Fin août, le président sortant l'emportait encore face à son ex-rivale de 2007 et faisait jeu égal avec François Hollande. Aujourd'hui, tous deux le battraient. Sa défaite est cinglante face à Martine Aubry et à l'ex-premier secrétaire du PS (45% contre 55%).
b]Elle devient surtout humiliante lorsque son adversaire s'appelle DSK. Il y a trois mois, le directeur général du FMI l'emportait avec 59% des voix. Aujourd'hui, il culmine à 62%. Du jamais vu face à un président exercice![/b]
Le sarkozysme est désormais un phénomène résiduel. Il reste fort chez les personnes âgées. Chez les sympathisants UMP – ou ce qu'il en reste… - il demeure dominant.
Mais pour le reste, c'est la débâcle. Trop faible pour s'imposer au premier tour, le président est aujourd'hui trop court sur patte pour rassembler au second. La moitié de l'électorat de Jean Louis Borloo et les deux tiers de celui de François Bayrou et de Marine Le Pen lui échappent dans ce tour décisif. Là est la vraie clé de sa déroute. Celle-ci signe l'échec d'une stratégie.
Avec de pareils sondages, le président est en train de devenir un boulet pour la droite qui, certes, peut songer, avec François Fillon, à changer de champion mais n'a pas les moyens, dans le contexte actuel, de mettre en piste un nouveau candidat.
Pour sauver la mise, il faudrait que Nicolas Sarkozy fasse baisser le niveau d'hostilité qu'il rencontre dans presque tous les secteurs de l'opinion. On en est loin ! Il faudrait aussi qu'il sache faire revivre un centrisme majoritaire, complémentaire avec l'actuelle UMP afin de trouver, au second tour, les réserves qui lui manquent aujourd'hui cruellement. On n'en est pas encore là…
DSK super star
Seul Jacques Delors, au sommet de sa gloire, à l'automne 1994, avait su atteindre, dans les sondages, de pareils scores. Et encore ! C'était quand on l'opposait à Jacques Chirac et non pas à Edouard Balladur. De tous les candidats socialistes testés par la Sofres, Dominique Strauss-Kahn est celui qui mobilise le maximum de ressources. Il progresse au premier tour (27%, + 2 points) et cartonne au second (62%, + 3 points).
DSK est aujourd'hui Monsieur zéro défaut. Il attire toute la gauche : c'est face à lui que Jean Luc Mélenchon réalise son plus mauvais score ! Il rassemble jusqu'au centre droite, au second tour : c'est sur lui que se reporte le mieux l'électorat de François Bayrou (61% ) et de Jean Louis Borloo (48%). Ces performances le mettent très nettement au dessus de tous ses concurrents potentiels, au sein du PS.
Sur les quatre candidats socialistes testés par la Sofres, une seule semble aujourd'hui hors course. Faible au 1er tour (17%), Ségolène Royal clive trop pour ressembler largement au second. L'ex-candidate de 2007 n'a plus les ressources suffisantes pour s'imposer nettement face à un président affaibli. C'est l'explication de ses récents contacts avec le directeur général du FMI auquel elle se ralliera, sans coup férir, quand celui-ci annoncera sa candidature. DSK vient en effet de faire les quelques gestes, lors de son récent passage à Paris, qui indiquent son intention d'entrer en lice à la mi-2011.
Pour que ce mouvement soit parfait et que les primaires socialistes se déroulent sans dégâts majeurs pour le nouvelle star du PS, il faudra toutefois qu'il règle un double problème. Celui tout d'abord de sa supposée alliée : Martine Aubry. Parce qu'elle est première secrétaire, celle-ci reste une candidate crédible, en dépit d'une capacité de rassemblement, au second tour, moins forte que celle de ses challengers socialistes.
François Hollande, pour sa part, présente des caractéristiques inverses. Il est reste très faible au premier tour (16,5%, + 0.5%), à portée de fusil de Marine Le Pen (14%). Au second en revanche, il fait plus que tripler son score (55%). L'ex-premier secrétaire tire lentement le bénéfice de son activisme automnal. Il séduit mais n'attire pas. Il souhaitait que les primaires arrivent vite. Son intérêt bien compris est en fait qu'elles se déroulent le plus tard possible, vu le retard qui est encore le sien, dans l'opinion.
Le troisième homme est une femme
Au centre et au centre droit, l'offre est trop éclatée pour qu'un candidat puisse venir troubler au premier tour, le match entre Nicolas Sarkozy et le candidat du PS.
L'hypothèse d'une candidature Borloo est le révélateur des faiblesses conjuguées de François Bayrou – qui stagne – et de Dominique de Villepin – qui plonge – par rapport au précédant sondage Sofres. L'ex-ministre de l'Ecologie souligne également les faiblesses de la candidature d'Eva Joly, qui, en fonction de l'offre socialiste, recule de un a trois points. Au final, son score de 1er tour, inférieur à 10%, rend illusoire, pour l'instant, son ambition affichée de troubler le jeu des favoris.
A la division des centres et à la dispersion de l'électorat écolo s'ajoutent une compétition au sein de l'extrême gauche, entre Olivier Besancenot et Jean Luc Mélenchon, qui l'empêche celle-ci de tirer profit de son capital de voix (entre 13 et 14%).
Dans ce contexte, le troisième homme est une femme : elle s'appelle Marine Le Pen. Par rapport à la fin aout sa progression est faible (+1% environ) mais son niveau reste élevé. La fille flirte désormais avec les meilleurs scores du père. Elle peut tirer profit par ailleurs, de l'extrême volatilité d'un électorat qui, à l'évidence, a aujourd'hui des préférences mais n'est pas encore totalement fixé.
Au premier tour, le score du candidat socialiste oscille par exemple entre 16,5% et 27% ! Au second, un candidat tel François Hollande est capable de passer de 16.5% à 55%. Là se situe la principale inconnue de l'élection de 2012.
L'anti-sarkozysme parait solidement ancré dans l'opinion.
DSK jouit d'un statut hors norme qui lui assure une popularité qui l'est tout autant. Cela contribue à clarifier l'équation de la présidentielle. Pour le reste, on devine une opinion qui a des nettes préférences mais dont la cristallisation progressive, au cours de l'année 2011, au fil des annonces officielles de candidature, peut encore apporter bien des surprises.
François Bazin
(NouvelObs.com)
Jeanclaude- Député
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Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
Publié le 23/11/2010 à 12:54 Reuters
Sarkozy battu par DSK, Aubry et Hollande en 2012, selon l'Ifop
PARIS (Reuters) - Si le second tour de l'élection présidentielle avait lieu dimanche, Nicolas Sarkozy serait battu par n'importe quel candidat socialiste, à l'exception de Ségolène Royal avec qui il ferait jeu égal, selon un sondage Ifop pour Paris Match rendu public mardi.
Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, l'emporterait le plus facilement, avec 59% d'intentions de vote contre 41% pour le chef de l'Etat.
Face à l'ancien premier secrétaire du PS François Hollande, le rapport de forces est de 53-47 et de 52-48 dans l'hypothèse d'une candidature de Martine Aubry.
En cas de remake de la présidentielle de 2007, opposant Nicolas Sarkozy à Ségolène Royal, les sondés se partagent en deux groupes égaux à 50% d'intentions de vote.
Le sondage Ifop ne teste pas les deux seuls candidats officiellement déclarés aux primaires présidentielles du PS, les députés Manuel Valls et Arnaud Montebourg.
Au premier tour, Dominique Strauss-Kahn, qui entretient le mystère sur ses intentions présidentielles, devance les autres "présidentiables" du PS. Il est crédité de 29% d'intentions de vote et ferait passer Nicolas Sarkozy à 24%, soit largement en deçà de son socle du premier tour de 2007.
Martine Aubry obtiendrait 22% des voix, François Hollande et Ségolène Royal 18%. Dans ces trois cas de figure, le candidat Sarkozy recueillerait 27% des suffrages au premier tour.
Le sondage a été réalisé les 18 et 19 novembre au téléphone ou au domicile de 811 personnes.
Laure Bretton, édité par Gilles Trequesser
Sarkozy battu par DSK, Aubry et Hollande en 2012, selon l'Ifop
PARIS (Reuters) - Si le second tour de l'élection présidentielle avait lieu dimanche, Nicolas Sarkozy serait battu par n'importe quel candidat socialiste, à l'exception de Ségolène Royal avec qui il ferait jeu égal, selon un sondage Ifop pour Paris Match rendu public mardi.
Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, l'emporterait le plus facilement, avec 59% d'intentions de vote contre 41% pour le chef de l'Etat.
Face à l'ancien premier secrétaire du PS François Hollande, le rapport de forces est de 53-47 et de 52-48 dans l'hypothèse d'une candidature de Martine Aubry.
En cas de remake de la présidentielle de 2007, opposant Nicolas Sarkozy à Ségolène Royal, les sondés se partagent en deux groupes égaux à 50% d'intentions de vote.
Le sondage Ifop ne teste pas les deux seuls candidats officiellement déclarés aux primaires présidentielles du PS, les députés Manuel Valls et Arnaud Montebourg.
Au premier tour, Dominique Strauss-Kahn, qui entretient le mystère sur ses intentions présidentielles, devance les autres "présidentiables" du PS. Il est crédité de 29% d'intentions de vote et ferait passer Nicolas Sarkozy à 24%, soit largement en deçà de son socle du premier tour de 2007.
Martine Aubry obtiendrait 22% des voix, François Hollande et Ségolène Royal 18%. Dans ces trois cas de figure, le candidat Sarkozy recueillerait 27% des suffrages au premier tour.
Le sondage a été réalisé les 18 et 19 novembre au téléphone ou au domicile de 811 personnes.
Laure Bretton, édité par Gilles Trequesser
http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/sarkozy-battu-par-dsk-aubry-et-hollande-en-2012-selon-l-ifop-23-11-2010-1265853_240.php
Ce ne sont " que des sondages" ! cependant si besoin est cela prouve que le Président n'a pas la faveur des Français c'est le moins que l'on puisse dire actuellement et ce n'est pas en traitant les médias de " pédophiles" que sa cote va remonter !
Jeanclaude- Député
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Re: Quand DSK écrase Sarkozy
Tout sauf Sarkozy
Et n'ayant pas de nouvelles idées , ils reprennent le même slogan qui les a si bien servis en 2007!
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
livaste a écrit:Tout sauf Sarkozy
Et n'ayant pas de nouvelles idées , ils reprennent le même slogan qui les a si bien servis en 2007!
Ce n'est pas une réponse mais un commentaire que tu fais et encore sur une seule phrase du document !
Je sais qu'il ne s'agit que de sondages et tu sais ce que je pense des sondages. Cependant tu ne peux quand même pas dire honnêtement que le Président est actuellement en position d'être réélu avec la cote de popularité qu'il se trimballe! Un peu d'objectivité ...!
Je sais qu'il ne s'agit que de sondages et tu sais ce que je pense des sondages. Cependant tu ne peux quand même pas dire honnêtement que le Président est actuellement en position d'être réélu avec la cote de popularité qu'il se trimballe! Un peu d'objectivité ...!
Jeanclaude- Député
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Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
Tu connais ce que pensent les 64 millions de Français ??
Je te rappelle qu'en 2006 , les mêmes sondages donnaient les mêmes résultats !
Certes ,Sarkozy ( on a vu cette semaine qu'il avait remonté dans les sondages ) vient de faire une réforme qui 'est pas très populaire parce que ,il n'est jamais populaire de dire la vérité aux peuples , mais ce n'est pas à coups de " populaire " qu'on peut gouverner efficacement ,n'est ce pas !
Comme en 2006 , les merdias sont contre Sarkozy et cette fois , cela fait des mois et des mois , qu'ils encensent DSK, donc , ce qui estnoral , DSK jouit d'un prestige ... pas forcément mérité .
Je dis pas forcément mérité , parce que j'ai bien peur , qu'à la place de Sarkozy , il serait encore plus entier dans les réformes nécessaires , et certainement plus libéral aussi .
Maintenant , pour répondre à ta critique à mon égard , il me semble que chacun , sur ce forum est encore libre de répondre s'il en a envie , et sur la seule partie qui l'inspire , nul n'est obligé de réponde par une dissertation sur quelque sujet que ce soit !
Je te rappelle qu'en 2006 , les mêmes sondages donnaient les mêmes résultats !
Certes ,Sarkozy ( on a vu cette semaine qu'il avait remonté dans les sondages ) vient de faire une réforme qui 'est pas très populaire parce que ,il n'est jamais populaire de dire la vérité aux peuples , mais ce n'est pas à coups de " populaire " qu'on peut gouverner efficacement ,n'est ce pas !
Comme en 2006 , les merdias sont contre Sarkozy et cette fois , cela fait des mois et des mois , qu'ils encensent DSK, donc , ce qui estnoral , DSK jouit d'un prestige ... pas forcément mérité .
Je dis pas forcément mérité , parce que j'ai bien peur , qu'à la place de Sarkozy , il serait encore plus entier dans les réformes nécessaires , et certainement plus libéral aussi .
Maintenant , pour répondre à ta critique à mon égard , il me semble que chacun , sur ce forum est encore libre de répondre s'il en a envie , et sur la seule partie qui l'inspire , nul n'est obligé de réponde par une dissertation sur quelque sujet que ce soit !
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
livaste a écrit:Tu connais ce que pensent les 64 millions de Français ??
Je te rappelle qu'en 2006 , les mêmes sondages donnaient les mêmes résultats !
Certes ,Sarkozy ( on a vu cette semaine qu'il avait remonté dans les sondages ) vient de faire une réforme qui 'est pas très populaire parce que ,il n'est jamais populaire de dire la vérité aux peuples , mais ce n'est pas à coups de " populaire " qu'on peut gouverner efficacement ,n'est ce pas !
Comme en 2006 , les merdias sont contre Sarkozy et cette fois , cela fait des mois et des mois , qu'ils encensent DSK, donc , ce qui estnoral , DSK jouit d'un prestige ... pas forcément mérité .
Je dis pas forcément mérité , parce que j'ai bien peur , qu'à la place de Sarkozy , il serait encore plus entier dans les réformes nécessaires , et certainement plus libéral aussi .
Maintenant , pour répondre à ta critique à mon égard , il me semble que chacun , sur ce forum est encore libre de répondre s'il en a envie , et sur la seule partie qui l'inspire , nul n'est obligé de réponde par une dissertation sur quelque sujet que ce soit !
Je te renvoie aux sondages de 2006 !
http://www.csa-fr.com/dataset/data2006/opi20061004c.htm
Jeanclaude- Député
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Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
livaste a écrit:Tu connais ce que pensent les 64 millions de Français ??
Je te rappelle qu'en 2006 , les mêmes sondages donnaient les mêmes résultats !
Certes ,Sarkozy ( on a vu cette semaine qu'il avait remonté dans les sondages ) vient de faire une réforme qui 'est pas très populaire parce que ,il n'est jamais populaire de dire la vérité aux peuples , mais ce n'est pas à coups de " populaire " qu'on peut gouverner efficacement ,n'est ce pas !
Comme en 2006 , les merdias sont contre Sarkozy et cette fois , cela fait des mois et des mois , qu'ils encensent DSK, donc , ce qui estnoral , DSK jouit d'un prestige ... pas forcément mérité .
Je dis pas forcément mérité , parce que j'ai bien peur , qu'à la place de Sarkozy , il serait encore plus entier dans les réformes nécessaires , et certainement plus libéral aussi .
Maintenant , pour répondre à ta critique à mon égard , il me semble que chacun , sur ce forum est encore libre de répondre s'il en a envie , et sur la seule partie qui l'inspire , nul n'est obligé de réponde par une dissertation sur quelque sujet que ce soit !
Maintenant que tu as pris connaissance des sondages de 2006 tu as pu constater la différence entre cette année là et maintenant !
Je te l'accorde être en baisse de popularité après avoir fait voter en force une loi sur le régime des retraites est tout à fait logique, cette réforme ne pouvant pas être acceptée ( et n'est pas acceptable en l'état mais c'est un autre débat ).
En 2006 les médias n'étaient pas contre Sarkozy ( donne moi le nom des grands patrons de presse ). Cela me surprendrait que ces patrons de médias puissent travailler contre le Président.
Un dernier point pour régler un malentendu ! Je n'ai pas émis de critique à ton égard, je t'ai seulement dit que tu répondais à mon post par un seul commentaire accompagné se smiley moqueurs et que tu n'argumentais pas !
Maintenant s'il ne faut plus rien écrire dis le de suite !
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
De toute façon , DSK ne se présentera surement pas .
Il est bien trop feignasse pour mener une campagne .
Une campagne présidentielle n'est pas de tout repos et une campagne efficace n'est pas à la portée de tout le monde .
Tout cela n'est que de la mousse , ça finira par retomber inévitablement .
Il est bien trop feignasse pour mener une campagne .
Une campagne présidentielle n'est pas de tout repos et une campagne efficace n'est pas à la portée de tout le monde .
Tout cela n'est que de la mousse , ça finira par retomber inévitablement .
Bassai Dai- Conseiller général
- Nombre de messages : 1126
Age : 53
Date d'inscription : 23/01/2009
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
Tu as raison car physiquement il n'a pas la " carrure" , intellectuellement ce n'est pas à sa portée et en plus les français ne veulent pas de lui !
Tiens amuse toi ça va te rappeler des souvenirs :
http://www.csa-fr.com/dataset/data2006/opi20061004c.htm
Tiens amuse toi ça va te rappeler des souvenirs :
http://www.csa-fr.com/dataset/data2006/opi20061004c.htm
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
OUi, ça me rappelle qu'en 2006 , les Français voulaient tous de Ségolène Royal comme présidente
Et on sait bien qui a été élu finalement .
Preuve que DSK est feignasse et a peur de Sarkozy:
http://www.lefigaro.fr/politique/2010/11/22/01002-20101122ARTFIG00626-strauss-kahn-laisse-les-socialistes-dans-l-incertitude.php
Sa candidature est loin d'être une certitude mais cette indécision a le mérite de mettre les socialos dans l'embarras .
Et on sait bien qui a été élu finalement .
Preuve que DSK est feignasse et a peur de Sarkozy:
Dominique Strauss-Kahn ne reviendra pas en France pour défier Nicolas Sarkozy lors de la prochaine élection présidentielle.
http://www.lefigaro.fr/politique/2010/11/22/01002-20101122ARTFIG00626-strauss-kahn-laisse-les-socialistes-dans-l-incertitude.php
Sa candidature est loin d'être une certitude mais cette indécision a le mérite de mettre les socialos dans l'embarras .
Bassai Dai- Conseiller général
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Re: Quand DSK écrase Sarkozy
Que les adhérents ou sympathisants socialistes soient dans l'embarras est le dernier de mes soucis !Lieutenant Hardcock a écrit:Sa candidature est loin d'être une certitude mais cette indécision a le mérite de . mettre les socialos dans l'embarras
Jeanclaude- Député
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Re: Quand DSK écrase Sarkozy
En 2006 les journaleux étaient à la botte de royale , nous l'avions alors assez fait remarquer .
Ne fais pas semblant de confondre patrons de presse et journaleux , les premiers font du fric et ne font pas les articles , ils peuvent être de droite avec le coeur mais le coeur ils s'en tapent , ce qui les interessent c'est leur portefeuille , et donc le bénéfice sur les journaux vendus .
Les journaleux sont quasiment tous de gauche les quelques exceptions ,vous les jetez régulièrement aux orties , et quand je dis exceptions , ce sont des journalistes qui simplement ne sont pas de gauche !
Il faut être de la plus mauvaise foi pour ne pas reconnaître que les journalistes sont quasiment tous de gauche !Il suffit de regarder un peu la télé publique , la 2 c'est ps , la 3 c'est la gauche dure !
Quand aux quotidiens , l'express , le nouvel obs , c'est gaucho bobo !
Ne fais pas semblant de confondre patrons de presse et journaleux , les premiers font du fric et ne font pas les articles , ils peuvent être de droite avec le coeur mais le coeur ils s'en tapent , ce qui les interessent c'est leur portefeuille , et donc le bénéfice sur les journaux vendus .
Les journaleux sont quasiment tous de gauche les quelques exceptions ,vous les jetez régulièrement aux orties , et quand je dis exceptions , ce sont des journalistes qui simplement ne sont pas de gauche !
Il faut être de la plus mauvaise foi pour ne pas reconnaître que les journalistes sont quasiment tous de gauche !Il suffit de regarder un peu la télé publique , la 2 c'est ps , la 3 c'est la gauche dure !
Quand aux quotidiens , l'express , le nouvel obs , c'est gaucho bobo !
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
Quand aux quotidiens , l'express , le nouvel obs , c'est gaucho bobo !
Tu peux ajouter Marianne ; ostentatoirement socialiste et anti-sarkozyste primaire .
Bassai Dai- Conseiller général
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Re: Quand DSK écrase Sarkozy
celui là je ne le compte pas comme un quotidien ,je le compte comme un torchon avec son mentor le baveux et postillonneux JF Khan !!!!
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
il ne mérite même pas qu'on l'achète pour ensuite l'utiliser comme bâche anti-gouttes pour refaire ses peintures.... ce serait lui faire trop d'honneur !
Je préfère encore acheter une bâche chez casto .
Je préfère encore acheter une bâche chez casto .
Invité- Invité
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
Y t il des acheteurs de marianne ??? I va falloir lancer une grande consultation , s'il y en a , ils devraient être suivis médicalement !!!
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
y en a qui aiment à entretenir leur mal-être et leurs fantasmes négativistes.... y en a qui adorent souffrir , aiment à croire que le monde ne tourne pas rond , que leur quotidien est au bord du gouffre(malgré qu'ils soient gaucho-bobo , richissime et à l'abri du besoin)..... y en a qui adorent s'inventer des dangers , des peurs ...à croire qu'ils s'emmerdent à bloc dans leur vie de tous les jours..... en gros , Marianne c'est comme un feuilleton d'après-midi télé-mémé.... pour eux !
Invité- Invité
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
franline a écrit:y en a qui aiment à entretenir leur mal-être et leurs fantasmes négativistes.... y en a qui adorent souffrir , aiment à croire que le monde ne tourne pas rond , que leur quotidien est au bord du gouffre(malgré qu'ils soient gaucho-bobo , richissime et à l'abri du besoin)..... y en a qui adorent s'inventer des dangers , des peurs ...à croire qu'ils s'emmerdent à bloc dans leur vie de tous les jours..... en gros , Marianne c'est comme un feuilleton d'après-midi télé-mémé.... pour eux !
On a le droit d'aimer "Marianne" ! Nous sommes en démocratie et chacun est tout à fait libre de lire ce qui lui plaît sans pour autant se faire agresser et insulter.
Il n'y a pas de honte à être riche et de gauche à ma connaissance.
Quand tu dis " y en a qui adorent s'inventer des dangers, des peurs" de qui parle tu ?... Des lecteurs de Marianne ? Tu ne t'es pas posée la question de savoir ce que pensaient les autres de tes lectures ?
Il n'y a pas de honte à être riche et de gauche à ma connaissance.
Quand tu dis " y en a qui adorent s'inventer des dangers, des peurs" de qui parle tu ?... Des lecteurs de Marianne ? Tu ne t'es pas posée la question de savoir ce que pensaient les autres de tes lectures ?
Jeanclaude- Député
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Re: Quand DSK écrase Sarkozy
livaste a écrit:on a aussi le droit de haïr JF Khan le postillonneur et son torchon ..
Je ne peux pas dire que j'apprécie tout particulièrement ce personnage mais à mon avis le mot " haïr" est un peu fort !
Il est vrai qu'il postillonne ... mais sur son "canard" ça ne paraît pas
Jeanclaude- Député
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Re: Quand DSK écrase Sarkozy
Je lui en veux , chaque fois qu'il passe sur mon petit écran , je me sens obligée d'essuyer l'écran !!!
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
livaste a écrit:Je lui en veux , chaque fois qu'il passe sur mon petit écran , je me sens obligée d'essuyer l'écran !!!
Mais ... change de chaîne puisque tu le détestes !
Jeanclaude- Député
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Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
Jean-Claude a écrit:livaste a écrit:Je lui en veux , chaque fois qu'il passe sur mon petit écran , je me sens obligée d'essuyer l'écran !!!
Mais ... change de chaîne puisque tu le détestes !
Je ne vais quand même pas me fatiguer pour changer de chaine quand par malheur il ne fait que passer , mais quand on nous impose sa présence haineuse et postillonnante pendant plus d'une minute , je zappe ,bien évidemment ( et je désinfecte mon écran )
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
DSK incarne l'ultra libéralisme et je crois que nombre de nos compatriotes, au delà de l'image de bon gestionnaire que les médias mondialistes leurs présentent, connaissent les orientations politiques, économiques que cet homme represente.
Je ne crois pas que les français adhèrent à ce que DSK incarne, mais ce sondage n'a pour objectif que de promouvoir la poursuite de la ligne idéologique qui s'applique à l'heure actuelle et dont les français ne supportent plus, en particulier du comportement d'un homme !
Je ne crois pas que les français adhèrent à ce que DSK incarne, mais ce sondage n'a pour objectif que de promouvoir la poursuite de la ligne idéologique qui s'applique à l'heure actuelle et dont les français ne supportent plus, en particulier du comportement d'un homme !
patriote reformiste- Conseiller général
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Date d'inscription : 15/05/2009
Re: Quand DSK écrase Sarkozy
si DSK était si ultra-libéral comme tu le dis alors, il ne balancerait pas du fric à tire larigot aux pays en difficultés après une crise financière aussi virulente !...il laisserait l'Irlande la Libérale se démerder avec ses sous-taxes et son manque de social !(vu qu'il approuverait cette vision des choses...ce qui n'est pas le cas!)
Invité- Invité
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