Violences aux femmes
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Violences aux femmes
Seine-Saint-Denis -
Nathalie Mazier 23/06/10 à 09h03
Nadia B., 38 ans, a été frappée de plusieurs coups de couteau, dans son appartement, à Saint-Denis, lundi. La mère de famille était battue par son mari depuis de nombreuses années.
© Nathalie Mazier
une de pls ou plutôt une de moins !
Nathalie Mazier 23/06/10 à 09h03
Nadia B., 38 ans, a été frappée de plusieurs coups de couteau, dans son appartement, à Saint-Denis, lundi. La mère de famille était battue par son mari depuis de nombreuses années.
© Nathalie Mazier
Fatiguée de sa vie de femme battue, Nadia B. répétait souvent à son amie Karima qu’« elle n’avait pas vécu sa vie ». Lundi soir, cette mère de famille d’origine algérienne, 38 ans, a été retrouvée morte chez elle, 29 allée Antoine de Saint-Exupéry, dans le quartier Franc-Moisin de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Après la découverte de son corps, son mari, Mohamed B., 43 ans, était mardi introuvable. Et les enquêteurs de la section départementale de police judiciaire de Seine-Saint-Denis (SDPJ 93), en charge de l’affaire, se sont lancés à ses trousses.
Mardi, dans la cité Franc-Moisin, au pied du bâtiment où vivait Nadia B., l’incompréhension domine. « On ne sait pas exactement ce qu’il s’est passé, on l’a appris ce matin », confie une maman, encore sous le choc de la nouvelle. « Je l’ai vue lundi matin (le jour du meurtre, NDLR), elle partait accompagner ses enfants à l’école », se souvient une de ses voisines.
« Elle vivait l’enfer »
Arrivée en France en 2003, Nadia B., native de M’Sila en Algérie, s’était installée dans cette cité sensible de Saint-Denis avec son époux, Mohamed B. Déjà mère de quatre filles restées au pays, elle donne naissance à deux garçons, aujourd’hui âgés de 3 et 7 ans et à une fille de 5 ans. Nadia s’intègre bien à la vie du quartier, s’investit au sein d’associations et se lie d’amitié avec d’autres femmes auxquelles elle confie ses problèmes de couple. « Son mari buvait, la tapait, la trompait, il la menaçait de mort devant tout le monde », explique Karima, une amie de Nadia. Entre ses mains, la jeune femme tient un dossier dans lequel elle a accumulé les documents qui attestent des démarches effectuées par Nadia pour témoigner de cette violence. « Je l’ai accompagnée trois ou quatre fois déposer plainte au commissariat. Cela n’a rien donné… », assure-t-elle. Les deux femmes se seraient même rendues en mairie, prenant contact avec les services sociaux. Sans succès, apparemment. « Et maintenant, elle est partie », soupire Karima, déplorant cette inaction.
A côté d’elle, Abdelhak B., 52 ans, le frère de Nadia, confirme les difficultés conjugales de sa sœur cadette. « Elle souffre depuis qu’elle est mariée, elle vivait l’enfer avec lui », confie-t-il. Depuis quelques mois, il avait quitté l’appartement familial mais Nadia continuait à vivre dans la peur. « Elle n’osait plus sortir de chez elle, il l’a guettée jour et nuit… », affirme Karima. Pour les proches de Nadia, son implication ne fait guère de doute. « Son absence le prouve, ma sœur n’avait pas d’ennemi… », indique Abdelhak B. « Il l’a tuée car il n’a pas admis le fait qu’elle veuille divorcer », ajoute-t-il.
Coups de couteau
La veille du drame, Karima a reçu un coup de téléphone de Nadia. Elle lui a répété une nouvelle fois qu’elle souhaitait engager une procédure de divorce. Lundi, Karima passe un coup de fil son amie pour prendre de ses nouvelles. Il est 10 heures du matin. Personne ne répond. Elle tente une nouvelle fois. En vain. Karima s’inquiète. Elle va taper à sa porte, à celle d’un des frères de Nadia qui vit dans un immeuble voisin. Mais la mère de famille est introuvable. En fin d’après-midi, la directrice de l’école alerte les proches : Nadia n’est pas venue chercher ses enfants comme à son habitude. L’inquiétude grandit.
Vers 22 heures, au cinquième étage de l’immeuble du 29 allée Antoine de Saint-Exupéry, où vit Nadia, son frère tape à la porte. Impuissant, il finit par alerter les pompiers. Ces derniers s’introduisent chez Nadia B., par un étage supérieur. Ils la découvrent, morte sur son lit, avec un coussin sur la tête. Son corps est très abîmé. Nadia B. a été frappée et lardée de nombreux coups de couteau et, selon certaines sources, elle a été « éviscérée ».
Selon ses proches, son mari était présent dans le quartier le matin du drame. « Une dame l’a vu quitter les lieux avec une valise et nous craignons qu’il ne s’enfuie en Algérie », indique l’un d’entre eux. Depuis, personne ne sait où il se trouve. L’autopsie du corps de la victime est prévue aujourd’hui à l’institut médico-légal de Paris.
une de pls ou plutôt une de moins !
Re: Violences aux femmes
Ce meurtre est lamentable et bien triste, mais tu dois savoir que ce genre de drame arrive aussi dans des familles "françaises de souche"
Georges- Président du Conseil Général
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Re: Violences aux femmes
Il torturait sa femme depuis 35 ans
Par TF1 News, le 27 juin 2010 à 10h03, mis à jour le 27 juin 2010 à 10:17
C'est la fin d'un calvaire de 35 ans. Un enseignant marseillais, accusé d'avoir torturé son épouse pendant plusieurs décennies, a été mis en examen vendredi, puis écroué.
Par TF1 News le 27 juin 2010 à 10:03
c'est incroyable !
Par TF1 News, le 27 juin 2010 à 10h03, mis à jour le 27 juin 2010 à 10:17
C'est la fin d'un calvaire de 35 ans. Un enseignant marseillais, accusé d'avoir torturé son épouse pendant plusieurs décennies, a été mis en examen vendredi, puis écroué.
Selon des informations de RTL, un enseignant marseillais a été mis en examen vendredi soir et écroué, accusé d'avoir torturé son épouse pendant 35 ans.
Il la battait, mordait, mutilait, lui brûlait le sexe au prétexte de la désenvoûter ou de vouloir lui rendre sa virginité, selon une source policière. La justice a retenu à son encontre les qualifications d'"actes de torture et de barbarie", ainsi que "violences conjugales aggravées ayant entraîné une infirmité permanente". Dépeint comme un "sadique sexuel", le mari était "maladivement jaloux", précise-t-on de source proche de l'enquête.
Les faits duraient depuis 1971 et certains sont aujourd'hui prescrits. Dans les années 1980, la victime avait perdu un oeil à la suite de divers sévices infligés. Elle avait fait ensuite l'objet d'une reconstitution faciale à l'aide d'une greffe. Terrorisée, l'épouse a fini par déposer plainte en novembre dernier, après s'être réfugiée chez ses filles à Montpellier (Hérault). Le mis en cause a été interpellé mercredi à son domicile marseillais.
Par TF1 News le 27 juin 2010 à 10:03
c'est incroyable !
Re: Violences aux femmes
Du moment qu'il ne l'obligeait pas à porter le voile...
Georges- Président du Conseil Général
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Re: Violences aux femmes
ne t'avance pas trop vite , on n'a pas connaissance de l'identité , ni de la religion du mari frappeur !
Re: Violences aux femmes
livaste a écrit:ne t'avance pas trop vite , on n'a pas connaissance de l'identité , ni de la religion du mari frappeur !
Quelque soit son identité et sa nationalité ce sinistre personnage a commis des actes odieux et criminels et doit être très sévèrement puni !
Jeanclaude- Député
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Re: Violences aux femmes
je suis d'accord et d'autant plus sévèrement puni que c'est un type ayant reçu une éducation , un type qui est censé montré l'exemple !
Re: Violences aux femmes
Un mois de prison pour avoir cassé le poignet de sa femme
Publié le vendredi 24 septembre 2010 à 09H27 - 3
Une ampoule dans la salle de bains. C’est ce prétexte qui a déclenché la violence d’Ameur Bergadi contre son épouse, samedi dernier à Conca.
c'est culturel , selon la victime et l'avocat !
Publié le vendredi 24 septembre 2010 à 09H27 - 3
Une ampoule dans la salle de bains. C’est ce prétexte qui a déclenché la violence d’Ameur Bergadi contre son épouse, samedi dernier à Conca.
Le mari violent a été condamné hier en comparution immédiate par le tribunal d’Ajaccio à un mois de prison ferme. Au terme d’une audience lourde, dans une salle quasi déserte. « C’est quelque chose de honteux, hein ? », a assené le président Gérard Pons face au sexagénaire qui baissait la tête. Revenant sur la dispute conjugale ayant entraîné dix jours d’ITT à une épouse qui était présente, aux côtés d’un proche. Sur le banc, elle cachait pudiquement son poignet gauche protégé par un plâtre.
Dans le box, son mari né au Maroc, entrepreneur à Conca, décrit comme un homme « honnête et courageux », raconte sa version de l’histoire. « Elle voulait que je change une ampoule dans la salle de bains, mais la prise de terre n’est pas encore branchée, et c’est dangereux », marmonne Ameur Bergadi. « Et vous, vous étiez affalé dans le canapé », glisse le président Pons. « J’avais travaillé toute la journée », s’excuse-t-il.
« Pas un homme un lâche »
Avant de se reprendre : « Je me suis énervé car elle a demandé à notre fils de 14 ans de le faire et j’avais peur qu’il touche les fils électriques ». Le ton monte, une dispute éclate.
Tandis que sa femme fait la vaisselle, le mari lui casse une chaise sur le poignet.
Puis lui assène au moins deux coups de pied derrière la tête, alors qu’elle gît sur le sol de la cuisine.
A la barre, elle minimise la violence de la scène. « C’est la première fois et la dernière », plaide-t-elle. « Vous avez pourtant évoqué des violences antérieures », tique le juge Pons. « Quelques gifles, des coups de poing : mais c’est comme ça chez nous. C’est l’homme qui décide, ce sont nos traditions. J’en ai parlé à d’autres femmes et elles ont trouvé ça normal », argumente-t-elle.
Le mari se déclare « prêt à partir du domicile. » L’épouse ne ferme pas la porte. Et le dédouane : « Je ne veux pas qu’il aille en prison, c’est le père de mes enfants. » Dans cet échange surréaliste, où la victime défend son bourreau, le substitut du procureur a une marge de manœuvre réduite. Il balaye le « contexte culturel », pour « réaffirmer les valeurs de la République. » En défendant, donc, malgré elle, la partie civile : « Monsieur Bergadi n’est pas un homme, c’est un lâche. Cette affaire est emblématique et elle doit avoir une réponse sévère », s’emporte, debout, Patrick Gosselin en brandissant deux ans d’emprisonnement, dont un ferme. Peine perdue.
A sa suite, Me Joëlle Guiderdoni replante le décor. « Depuis un an, avec l’arrivée du beau-frère de son épouse, ils étaient onze au lieu de cinq à la maison, ce qui a créé des tensions », avance-t-elle. « Ce n’est pas une femme battue, elle l’a été à un instant T », ose-t-elle, sans sourciller. « Le ton est monté, il a pété les plombs, mais c’est une femme compréhensive », conclut Me Guiderdoni.
C’est finalement une sanction en guise d’épée de Damoclès qui tombe : douze mois, dont un ferme avec mandat de dépôt.
La bonne réponse pénale à la violence conjugale ?
c'est culturel , selon la victime et l'avocat !
Re: Violences aux femmes
ou comment démontrer clairement que cette femme est réellement sous l'emprise psychologique de son bourreau ; c'est typique des femmes battues quelque soit la culture pratiquée ! l'emprise morale , la culpabilité , les insultes répétées qui rendent la victime soumise , lui fait perdre toute estime d'elle-même .
Sinon, cet homme pouvait expliquer calmement qu'il était préférable de brancher la prise de terre avant de s'aventurer à une éventuelle électrocution ...sans pour autant lui balancer une chaise sur le poignet et la cogner à coups de poings .... il peut trouver toutes les excuses du monde mais , le changement d'une ampoule n'impose pas de massacrer quique ce soit ! le pauvre chéri fatiguée par une journée de boulot .... quelle excuse ....(connard!)
Sinon, cet homme pouvait expliquer calmement qu'il était préférable de brancher la prise de terre avant de s'aventurer à une éventuelle électrocution ...sans pour autant lui balancer une chaise sur le poignet et la cogner à coups de poings .... il peut trouver toutes les excuses du monde mais , le changement d'une ampoule n'impose pas de massacrer quique ce soit ! le pauvre chéri fatiguée par une journée de boulot .... quelle excuse ....(connard!)
Invité- Invité
Re: Violences aux femmes
moi , ce qui m'a frappée , c'est l'explication , l'acceptation de la victime au nom de la tradition ... marocaine !
Re: Violences aux femmes
livaste a écrit:moi , ce qui m'a frappée , c'est l'explication , l'acceptation de la victime au nom de la tradition ... marocaine !
Nous sommes encore loin de l'égalité des sexes dans ces pays ou le "mâle" est le " dominateur" !
Tu sais des femmes battues par leur mari alcoolique ... cela existe aussi, et chez nous ! Pourtant elles ne portent pas plainte pour autant, sans doute par peur de représailles, mais aussi par "amour" ( tu as bien lu ! ).. c'est dingue mais véridique.
Tu sais des femmes battues par leur mari alcoolique ... cela existe aussi, et chez nous ! Pourtant elles ne portent pas plainte pour autant, sans doute par peur de représailles, mais aussi par "amour" ( tu as bien lu ! ).. c'est dingue mais véridique.
Jeanclaude- Député
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Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Violences aux femmes
c'est vrai elles ne portent pas toutes plainte , mais cela change depuis quelques années , mais je n'ai jamais entendu une de ces femmes battues dire que c'est normal , que cela se passe ainsi pour toutes , au contraire , elles ont honte d'avoir été battues et cachent cet état de fait .
Re: Violences aux femmes
exact, et c'est bien pour ça que les policiers sont formés pour accueillir ces personnes battues ,de manière à ce qu'elles ne se sentent pas plus honteuses qu'elles ne le sont .livaste a écrit:c'est vrai elles ne portent pas toutes plainte , mais cela change depuis quelques années , mais je n'ai jamais entendu une de ces femmes battues dire que c'est normal , que cela se passe ainsi pour toutes , au contraire , elles ont honte d'avoir été battues et cachent cet état de fait .
battre autrui ça n'a rien de culturel de toutes manières , c'est simplement le fait de gens qui se sentent ou minables , non reconnus dans la société ou au contraitre qu'ils ont une haute estime d'eux-même et ont envie de montrer leur puissance en usant de leur force physique ou leur manipulation psychologique ...rabaisser l'autre pour se sentir mieux, plus grand ...
ça se soigne mais c'est long .Et uniquement si le "bourreau" le veux bien.
Invité- Invité
Re: Violences aux femmes
franline a écrit:
exact, et c'est bien pour ça que les policiers sont formés pour accueillir ces personnes battues ,de manière à ce qu'elles ne se sentent pas plus honteuses qu'elles ne le sont .
battre autrui ça n'a rien de culturel de toutes manières , c'est simplement le fait de gens qui se sentent ou minables , non reconnus dans la société ou au contraitre qu'ils ont une haute estime d'eux-même et ont envie de montrer leur puissance en usant de leur force physique ou leur manipulation psychologique ...rabaisser l'autre pour se sentir mieux, plus grand ...
ça se soigne mais c'est long .Et uniquement si le "bourreau" le veux bien.
ça ce soigne mais c'est long ... tout à fait d'accord avec un bémol peu de malades guérissent de cette maladie ( 50 000 morts par an ! ) ... le " bourreau" est un malade alcoolique ! Que dis-tu d'un malade psychiatrique violent ? Qu'il est un bourreau ?
Par ailleurs, je doute fort que les policiers recçoivent une formation spécalisée pour ce genre de phénomène la madie alcoolique et ses conséquences est un sujet trop vaste pour faire l'objet d'une formation effecicace.
Par contre, dans ma ville, il existe une assistance à ces femmes au sein du Commissariat de Police et qui est composée, non pas de "policiers" mais de bénévoles d'associations d'aides aux victimes et aux bénévoles d'une association d'anciens malades alcooliques. Cette formule fonctionne très bien et est certainement beaucoup plus judicieuse que de confier ce genre d'aide à des fonctionnaires de police n'ayant aucune formation en " alcoologie" !
Par ailleurs, je doute fort que les policiers recçoivent une formation spécalisée pour ce genre de phénomène la madie alcoolique et ses conséquences est un sujet trop vaste pour faire l'objet d'une formation effecicace.
Par contre, dans ma ville, il existe une assistance à ces femmes au sein du Commissariat de Police et qui est composée, non pas de "policiers" mais de bénévoles d'associations d'aides aux victimes et aux bénévoles d'une association d'anciens malades alcooliques. Cette formule fonctionne très bien et est certainement beaucoup plus judicieuse que de confier ce genre d'aide à des fonctionnaires de police n'ayant aucune formation en " alcoologie" !
Jeanclaude- Député
- Nombre de messages : 7476
Age : 77
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Violences aux femmes
JC , je ne te parle pas d'alcoolémie mais d'agression sur conjoint et parfois enfants.
L'alcool n'est pas toujours au rendez-vous !Pour ce qui est de la formation des policiers à accueillir les femmes battues et les rassurer afin qu'elles maintiennent leur plainte ; oui j'en suis sûre... il y a peu une de mes amies à dû porter plainte et , elle a grandement apprécié l'encadrement des policiers et leurs explications sur la procédure à suivre .Elle se retrouve pourtant aujourd'hui interdit bancaire-ce gros con a vidé les comptes avant de prendre la poudre d'escampête -avec des dettes qu'il a lui-même engendrée! Mais aujourd'hui elle ne regrette pas sa démarche et , le gros perdant dans l'histoire c'est ce connard qui a perdu l'estime , le respect , l'amour des siens ; seul comme une grosse merde !
Mon amie , elle , s'en sort psychologiquement bien même si elle doit assumer les conneries financières de ce gros porc ; elle a retrouvé sa dignité!
Cette plainte s'est faite dans un petit bled du Var et non dans une grande ville.
L'alcool n'est pas toujours au rendez-vous !Pour ce qui est de la formation des policiers à accueillir les femmes battues et les rassurer afin qu'elles maintiennent leur plainte ; oui j'en suis sûre... il y a peu une de mes amies à dû porter plainte et , elle a grandement apprécié l'encadrement des policiers et leurs explications sur la procédure à suivre .Elle se retrouve pourtant aujourd'hui interdit bancaire-ce gros con a vidé les comptes avant de prendre la poudre d'escampête -avec des dettes qu'il a lui-même engendrée! Mais aujourd'hui elle ne regrette pas sa démarche et , le gros perdant dans l'histoire c'est ce connard qui a perdu l'estime , le respect , l'amour des siens ; seul comme une grosse merde !
Mon amie , elle , s'en sort psychologiquement bien même si elle doit assumer les conneries financières de ce gros porc ; elle a retrouvé sa dignité!
Cette plainte s'est faite dans un petit bled du Var et non dans une grande ville.
Invité- Invité
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