Des nouvelles des chances pour la France

franline a écrit:je ne te parle pas des suppléants JC , mais d'un député et, je ne révèlerais rien de cette proposition .

Exact ... excuse mon lapsus ! J'imagine qu'il s'agit de Jean-Pierre GIRAN ( né la même année que moi ... !). Quand aux propositions qu'il a pu te faire il est certain que cela ne regarde que toi mais je doute fort qu'il t'ai proposé un psote de suppléante !

franline a écrit:bob , ce n'est pas Giran .Et non ce n'est pas pour un poste de suppléant.

Le compagnon de la femme verbalisée en avril pour conduite avec un niqab à Nantes a été arrêté vendredi soir pour des faits de viols et de violences. L'enquête préliminaire a été confiée à la police judiciaire de Nantes.

Lies Hebbadj, un épicier nantais déjà mis en examen pour fraudes aux aides sociales et dont une compagne avait contesté en avril dernier une contravention pour port du niqab au volant, est de nouveau en garde à vue, pour viols et violences cette fois. Arrêté vendredi soir, il a vu sa garde à vue prolongée de 24 heures samedi, notamment pour «organiser une confrontation» avec l'auteure des plaintes.

L'homme, commerçant à Rezé (Loire-Atlantique), est visé par les accusations d'une ancienne compagne, Nina Gomez, qu'il a répudiée. Remariée à Dubaï, celle-ci a porté plainte le 5 août pour des « viols et violences » qui se seraient produits entre 2003 et 2007, a précisé le procureur de la République de Nantes Xavier Ronsin.

De précédentes accusations sur un blog
Il ne s'agit pas du premier affrontement judiciaire entre les deux protagonistes. Nina Gomez a déjà porté des accusations de maltraitance contre Lies Hebbadj, sur un blog. En réaction, son ex-compagnon avait porté plainte en avril pour diffamation.

La jeune femme a par ailleurs été mise en examen aux côtés de Lies Hebbadj et d'autres compagnes de celui-ci pour fraude aux prestations sociales le 9 juin dernier.

Lies Hebbadj s'était d'abord fait connaître le 23 avril en contestant devant les médias un procès verbal fait à sa compagne pour conduite avec un niqab, un voile très couvrant. Mais le jour de la conférence de presse, le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux était monté au créneau, évoquant des soupçons de polygamie et de fraude aux aides sociales pesant sur ce père de quinze enfants, dont le plus âgé a 12 ans. Il avait demandé l'étude d'une possible déchéance de la nationalité française acquise par le commerçant, membre présumé de la mouvance islamiste radicale tabligh.

Après un mois d'enquête et 48 heures de garde à vue, Lies Hebbadj avait été mis en examen pour fraude aux aides sociales, escroquerie et travail dissimulé. Il a été laissé libre sous contrôle judiciaire. En revanche, les accusations de polygamie n'ont pas été retenues, même si Xavier Ronsin a parlé à l'époque de «polygamie de fait».

livaste a écrit:Non , je ne vois pas à quelle couche sociale tu fais référence !

Deux malfaiteurs ont ouvert le feu jeudi soir sur une patrouille de police à Imbermais (Eure et Loir), une petite commune proche de Dreux. Les fonctionnaires ont riposté blessant un des hommes par balle. Un policier a également été légèrement blessé à la jambe par l'éclat d'un projectile.

L'incident débute vers 22 h 30, jeudi soir, dans un quartier sensible de Dreux, alors que les forces de l’ordre s’apprêtent à effectuer un contrôle routier.

Les deux hommes, deux frères d'origine turque, au volant d'une Peugeot 406 immatriculée en Seine-Saint-Denis, refusent de s'arrêter et prennent la fuite. Les policiers donnent l'alerte et des barrages sont aussitôt mis en place.

357 Magnum et grenade

A l'un de ses barrages, les fuyards passent sur une herse, qui crève les pneus de leur véhicule. Ils roulent ainsi durant environ huit kilomètres, jusqu'à Imbermais, où ils sont interceptés. Ils bondissent hors de leur voiture en ouvrant le feu sur les policiers. Ceux-ci ripostent et maitrisent rapidement l'un des deux hommes, Umman Y., 38 ans. Le deuxième, Bagis Y., 36 ans, court à travers champs en tirant à plusieurs reprises. Il essuie une vingtaine de tirs des policiers, qui l'atteignent deux fois au ventre. Il est immédiatement hospitalisé à Dreux, pour y recevoir les premiers soins, puis dirigé vers l'hôpital Georges Pompidou, à Paris (XVe). On ignore la gravité de ses blessures.

Les policiers ont saisi sur le premier homme une arme de type 357 Magnum, et sur le second un pistolet 9mm et une grenade américaine de la deuxième guerre mondiale. Un service de déminage a été appelé sur les lieux de la fusillade pour neutraliser celle-ci. Les deux malfaiteurs sont connus des services de police pour des affaires de cambriolage, vol, recel et chantage. L'enquête a été confiée à la PJ d'Orléans.

livaste a écrit:quel intérêt ta question ??

répondre à une question par une question ... j'ai déjà donné dans mon métier !

Honnêtement où as-tu lu que des manif étaient prévues et organisées par Aubry et Besancenot ? Pourquoi citer seulement ces deux noms alors qu'il y a tellement d'associations pour organiser ces manif !

Pour ma part je ne vois pas l'utilité d'une manif ... ces voyous ont commis un acte répréhensible par la Loi Française ... jugement et condamnation !

Déjà incarcérée pour le meurtre d’un voisin, une habitante de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine) a avoué mi-novembre aux policiers de l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP) être l’auteur d’un second homicide, commis quelques mois plus tôt dans des conditions particulièrement sordides.

Après avoir tué ses deux victimes à coups de couteau, elle a découpé les corps en morceaux avant de les disperser dans des sacs-poubelles.
Placée en détention provisoire depuis novembre 2008 pour le meurtre de Robert Guyonnet, 60 ans, dont elle était la voisine, Zohra Magnin, une mère de famille de 58 ans née au Maroc, a été extraite de sa cellule pour être interrogée sur la disparition d’un autre de ses voisins. Boudjemaa Ouareth, 77 ans, n’avait soudainement plus donné signe de vie au début de l’été 2008.
Hier matin, les enquêteurs de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) ont longuement investi l’ancien appartement de la meurtrière présumée. Plusieurs dizaines de prélèvements y ont été effectuées en sa présence et sous le contrôle de Nathalie Turquey, la juge d’instruction chargée de l’affaire. « La suspecte dit avoir découpé le corps de Boudjemaa Ouareth dans sa baignoire, relate une source proche de l’affaire. Le couteau dont elle s’est servie avait déjà été saisi et des traces d’ADN de ses deux victimes y avaient été relevées. »
En garde à vue, la suspecte, qui a tenu d’emblée des propos incohérents, a fini par livrer sa version des faits. Zohra, installée depuis plusieurs années dans un appartement du rez-de-chaussée, a expliqué avoir été la cible de « sollicitations sexuelles répétées et insistantes » de la part de son voisin du 6e étage.
« Elle a déclaré qu’il venait chez elle de temps en temps et qu’il se montrait toujours pressant avec elle, ajoute la même source. Un jour, il aurait trop insisté et elle se serait défendue avec un couteau pour le repousser. Elle dit avoir dissimulé les morceaux du corps dans des sacs-poubelles avant de les jeter aux ordures ménagères. »
Interrogés, hier, plusieurs voisins de la victime garde en mémoire le souvenir d’« un homme très poli » et « très discret ». « Il ne parlait pas très bien français, alors je lui lisais et lui écrivais son courrier, confie Gérard. Il était originaire d’Algérie. Il s’y rendait deux fois par an. A chaque fois, il nous ramenait des dattes et nous offrait des chocolats à Noël. Pour nous, c’était le voisin idéal. C’était aussi un homme très croyant qui se rendait régulièrement à la mosquée. » Gérard poursuit : « Il était retraité des travaux publics. Quand les pompiers sont venus chez lui alors qu’il ne donnait plus de nouvelles, il y avait du linge laissé sur le sol et des médicaments en vrac sur la table. Cela m’a donné l’impression d’un départ précipité. Quand on a compris qu’on ne le reverrait plus, ça nous a fait de la peine… »
Selon nos informations, lors de sa dernière garde à vue, Zohra a également reconnu, à demi-mot, avoir agi de la même manière et pour les mêmes raisons, au mois de novembre 2008 avec un second voisin. Ce qu’elle avait toujours nié. Des morceaux du cadavre découpé de Robert Guyonnet, ancien gardien d’immeuble à Clichy, avaient été retrouvés éparpillés quelques jours après les faits dans un bois de Dordives (Loiret).

Coup d'accélérateur dans l'enquête sur la mort, en janvier à Montpellier, d'un étudiant qui avait tenté d'empêcher un individu de voler dans une voiture. Un mineur de 16 ans, soupçonné de l'avoir tué d'un coup de couteau, a été arrêté récemment en Algérie, a-t-on appris de sources proches du dossier. Sept de ses proches ont été placés en garde à vue mardi à Montpellier, selon les mêmes sources. Les enquêteurs tentent de déterminer d'éventuelles complicités qui auraient permis à l'agresseur présumé de se cacher et de prendre la fuite.

Dans la nuit du 2 au 3 janvier, un étudiant en master d'histoire de 24 ans avait été tué d'un coup de couteau à Montpellier alors qu'il tentait d'empêcher un vol. La victime était descendue en compagnie de son père du domicile familial après avoir repéré sur un parking un homme en train de voler dans des voitures. La famille avait elle-même subi un vol à la roulotte la semaine précédant les faits. Le père et le fils n'étaient pas armés. Surpris, le suspect avait frappé d'un coup de couteau le père, qui avait été blessé. Le fils avait alors couru derrière l'agresseur et reçu à son tour un coup de couteau, en plein coeur, qui s'était avéré mortel malgré des massages cardiaques prodigués par un témoin.

Le suspect avait réussi à prendre la fuite en direction du quartier du Petit Bar, une cité populaire située à proximité, où l'enquête s'était rapidement portée. Selon les mêmes sources, l'agresseur présumé, qui était déjà connu des services de police pour divers délits, a été arrêté il y a quelques jours en Algérie, où il se trouvait toujours mardi. Après le drame, le patron de la PJ montpelliéraine, Gilles Soulié, avait mis en garde contre toute intervention spontanée. "Aujourd'hui, pour une simple altercation, on ne sait plus à qui on a affaire. On n'est pas à l'abri d'un coup de couteau. Il faut être de plus en plus prudent et il vaut mieux faire appel aux forces de l'ordre", avait-il dit lors d'une conférence de presse.