L'industrie française renoue avec la croissance

Régularisation de tous les sans-papiers. Tout système de sélection sur la base de critères, cumulatifs de surcroît, ne peut être qu’injuste et arbitraire. La régularisation « au cas par cas » ne règle pas le problème de fond. Entre 1997 et 2002, la gauche au gouvernement a régularisé 70000 sans-papiers sur 132000 dossiers tout en poursuivant le durcissement des lois, ce qui a reconstitué un volant de clandestins.

Egalité totale entre Français et immigrés (comprenant le droit de vote à toutes les élections).

Faire converger les luttes. En avril 2008, Sarkozy annonçait qu’« il n’y aura pas de régularisation globale parce que la régularisation globale conduit à la catastrophe ». Il est possible de le faire reculer, à condition de construire un mouvement global, massif pour la régularisation. De nombreuses luttes se mènent pour la régularisation. Nous devons les faire converger dans un mouvement de masse impliquant les collectifs de sans-papiers, les syndicats, les associations, les partis, pour construire un rapport de forces face à la politique raciste de chasse aux immigrés.

Liberté de circulation. La question de l’immigration débouche sur la liberté de circulation, de séjour et d’installation. La perversité du marché prône la liberté totale de circulation des marchandises et des capitaux, mais elle le dénie aux êtres humains. C’est pour cela que le NPA se bat pour un autre monde, où les humains pourraient circuler librement, un monde organisé selon les besoins et non les profits.

Régularisation de tous les sans-papiers. Tout système de sélection sur la base de critères, cumulatifs de surcroît, ne peut être qu’injuste et arbitraire. La régularisation « au cas par cas » ne règle pas le problème de fond. Entre 1997 et 2002, la gauche au gouvernement a régularisé 70000 sans-papiers sur 132000 dossiers tout en poursuivant le durcissement des lois, ce qui a reconstitué un volant de clandestins.

Egalité totale entre Français et immigrés (comprenant le droit de vote à toutes les élections).

Faire converger les luttes. En avril 2008, Sarkozy annonçait qu’« il n’y aura pas de régularisation globale parce que la régularisation globale conduit à la catastrophe ». Il est possible de le faire reculer, à condition de construire un mouvement global, massif pour la régularisation. De nombreuses luttes se mènent pour la régularisation. Nous devons les faire converger dans un mouvement de masse impliquant les collectifs de sans-papiers, les syndicats, les associations, les partis, pour construire un rapport de forces face à la politique raciste de chasse aux immigrés.

Liberté de circulation. La question de l’immigration débouche sur la liberté de circulation, de séjour et d’installation. La perversité du marché prône la liberté totale de circulation des marchandises et des capitaux, mais elle le dénie aux êtres humains. C’est pour cela que le NPA se bat pour un autre monde, où les humains pourraient circuler librement, un monde organisé selon les besoins et non les profits.

1) Institutions



Suppression du Sénat, interdiction du cumul des mandats, rotation obligatoire des mandats pour éviter que ne s’installent des baronnies. Plus inattendu, il propose que les élus soient payés en fonction du revenu moyen de la population, soit 1800 euros. Usage plus fréquent du référendum. Et une idée-force : moins de pouvoirs pour le chef de l’État.



2) Banques



Création d’un service public de crédits placé sous le contrôle des usagers et des salariés. Levée du secret bancaire, la fin des paradis fiscaux, ou encore l’interdiction des parachutes dorés.



3) Nationalisations



Le NPA n’est pas pour le «tout-nationalisation. Il se dit partisan de «l’appropriation des grands moyens de productions par l’État ou les collectivités locales». Le NPA veut aussi renouer avec «un monopole public sur les besoins fondamentaux», comme l’énergie, l’eau, les transports, l’école, la santé ou encore La Poste.



4) Immigration



Partisan du droit de vote de tous les immigrés extracommunautaires et de la régularisation de tous les sans-papiers, le NPA est également favorable à la libre circulation de tous les étrangers en Europe.

Plus inattendu, il propose que les élus soient payés en fonction du revenu moyen de la population, soit 1800 euros.

Et une idée-force : moins de pouvoirs pour le chef de l’État.

Création d’un service public de crédits placé sous le contrôle des usagers et des salariés. Levée du secret bancaire, la fin des paradis fiscaux, ou encore l’interdiction des parachutes dorés.

Le NPA n’est pas pour le «tout-nationalisation. Il se dit partisan de «l’appropriation des grands moyens de productions par l’État ou les collectivités locales».

Partisan du droit de vote de tous les immigrés extracommunautaires et de la régularisation de tous les sans-papiers, le NPA est également favorable à la libre circulation de tous les étrangers en Europe.

La perversité du marché prône la liberté totale de circulation des marchandises et des capitaux, mais elle le dénie aux êtres humains.

franline a écrit: vous avez de "drôles" d"idées ....

livaste a écrit:Les rmistes français votent à droit puisqu'ils savent qu'avec besancenotils devront partager leur RMi avec tous les immigrés que besancenoy fera rentrer chez nous et à qui il donnera d'emblée le droit de vote et un logement !

Georges a écrit:

franline a écrit: vous avez de "drôles" d"idées ....

Pas plus drôle que celles de Lepen, en tout cas de plus en plus appréciées par les électeurs.

Georges a écrit:"Ouais m'enfin avec des idées pareilles, c'est sûr que les patrons ne vont plus faire la loi en France... ils iront la faire ailleurs !

On ne les retient pas. Bon débarras !

Bertolt_Brecht a écrit:

Georges a écrit:"Ouais m'enfin avec des idées pareilles, c'est sûr que les patrons ne vont plus faire la loi en France... ils iront la faire ailleurs !

On ne les retient pas. Bon débarras !

Tu te rends quand même compte de l'énormité de ce genre de sortie ?
Parce que bon, s'ils partent ils emmènent leurs entreprises avec eux, ils arrêtent de payer des impôts sur les sociétés, ils n'emmènent pas leurs employés, etc...

A moins que dans ta conception du truc ils se tirent gentiment en offrant leurs entreprises à l'Etat Français ?

Bertolt_Brecht a écrit:Tu crois vraiment qu'ils n'emmèneraient pas les machines ?

Au mieux ils revendent les murs et les machines... à un autre patron

Mais bon, admettons qu'ils partent grands seigneurs en laissant leurs bâtiments et machines derrière eux en guise de cadeau (c'est leur genre).
Ils laissent du flouze sur les comptes en banque pour les salaires ?
Ils laissent leurs commandes en cours ?
Parce que bon, c'est bien beau d'avoir les murs et les machines mais dans l'absolu la plupart des commandes sont réglées à 90 jours (dans le meilleur des cas).
Donc même si nos charmants ouvriers dégotaient une belle commande miraculeuse le lendemain du départ du patron, ça leur laisse au moins trois mois sans salaire...

Bertolt_Brecht a écrit:
Oh oui, tous les salariés. Avec des AG pour toutes les décisions à prendre en terme d'orientation économique, de contrats, de développement, etc...
Des questions qu'ils ne maîtrisent pas forcément en plus. Ultra efficace

Pour travailler dans une boîte qui fonctionne sur le mode des AG... C'est la merde totale.
Et encore chez nous ce ne sont pas les salariés qui participent aux AG (heureusement), ce sont les clients.
Déjà rien que ça, c'est le bordel... Alors une AG avec l'ensemble du personnel... J'imagine une boîte comme Total ou EDF organiser de telles AG... Rien qu'en terme de préparation c'est un coup à plomber le budget annuel. Et 30 000 recommandés pour les convocations et envois des ordres du jour, 30 000 !
Et une location de Stade de France pour la tenue de l'AG, une !

Georges a écrit:

Bertolt_Brecht a écrit:

Georges a écrit:"Ouais m'enfin avec des idées pareilles, c'est sûr que les patrons ne vont plus faire la loi en France... ils iront la faire ailleurs !

On ne les retient pas. Bon débarras !

Tu te rends quand même compte de l'énormité de ce genre de sortie ?
Parce que bon, s'ils partent ils emmènent leurs entreprises avec eux, ils arrêtent de payer des impôts sur les sociétés, ils n'emmènent pas leurs employés, etc...

A moins que dans ta conception du truc ils se tirent gentiment en offrant leurs entreprises à l'Etat Français ?

Ils n'emporteront pas les murs et les machines, et le travaillera pourra continuer.

franline a écrit:en même temps BB , ça fonctionne dans les entreprises qui sont des SCOPS ... mais toutes les entreprises ne peuvent pas en être ; il faut qu'elle soit rentable , qu'après une étude de marché elle puisse faire des bénéfices .... dans une peuplade à la version Besancenot , je doute que cela fonctionne parce qu'il faudrait des gens riches pour acheter.