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La terreur ou l'après élection en Iran

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La terreur ou l'après élection en Iran Empty La terreur ou l'après élection en Iran

Message  livaste Lun 6 Juil - 7:40

Iran : des médecins dénoncent la terreur dans les hôpitaux

Delphine Minoui
06/07/2009 | Mise à jour : 06:47 |

Un manifestant blessé, le 15 juin dernier, à Téhéran. Depuis le début de la contestation, les miliciens demandent aux hôpitaux de leur fournir la liste des blessés admis. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS
De passage à Paris, ils dénoncent le climat de terreur qui sévit dans les hôpitaux où ont été transportés, ces dernières semaines, les blessés des manifestations anti-Ahmadinejad.

Ils en ont trop vu. Par peur de représailles, ils ont gardé le silence. Mais de passage en France pour quelques jours, ils veulent briser le mur de la peur. À tout prix. «À Téhéran, nous sommes les témoins impuissants de véritables crimes contre l'humanité», s'insurge un des deux médecins iraniens, rencontrés ce week-end à Paris, et qui préfère garder l'anonymat pour des raisons de sécurité. «Depuis le début des manifestations anti-Ahmadinejad, dit-il, des miliciens et des agents de la sécurité en civil ont instauré une politique de la terreur dans les hôpitaux. Ils y mènent une traque sans merci contre les blessés.»«Tout a débuté le samedi 13 juin - le premier jour de la contestation contre les résultats de l'élection. Ils ont commencé à demander la liste des admis à la réception des hôpitaux qui étaient situés à proximité des manifestations», raconte le médecin. Objectif à peine voilé : «identifier les protestataires blessés, pour pouvoir ensuite les poursuivre en justice, en les accusant d'avoir perturbé l'ordre public», précise-t-il.


Plus de 92 morts

Selon plusieurs témoignages qui circulent dans les milieux médicaux, l'hôpital Akram Rasoul, non loin de l'université de Téhéran, aurait reçu, dès le «lundi noir» (15 juin), 38 corps, parmi lesquels 28 blessés et 10 déjà morts. «On a pu constater que les balles avaient traversé les torses à la diagonale, ce qui signifie qu'elles ont été tirées d'en haut - c'est-à-dire d'un toit», remarque le second médecin.

D'après un bilan officiel, au moins 17 personnes ont été tuées depuis le début de la contestation. Cependant, un premier décompte discrètement réalisé par le personnel soignant de différents hôpitaux révèle qu'à ce jour, plus de 92 personnes seraient mortes à Téhéran et dans ses environs. Une femme enceinte de huit mois fait partie des victimes. Tuée par balle, non loin du palais présidentiel, elle aurait ensuite été transportée à l'hôpital. D'autres récits troublants commencent à surgir au grand jour. Comme celui de ces six cadavres de jeunes hommes retrouvés la semaine passée à Shahriar, à la périphérie de la capitale. «Ils sont tous morts par plaie dans la nuque. Leur crâne avait été fracassé et leur cerveau avait été ouvert, sans doute pour récupérer la balle afin d'effacer la trace du crime», raconte le second médecin, informé de ce terrible massacre par un collègue de confiance.

Pour couvrir ce genre d'attaque, il a été demandé aux médecins d'attester que les personnes dont les corps ont été rapportés dans leurs hôpitaux «sont décédées par suite opératoire». «Dans plusieurs hôpitaux - dont Akram Rasoul et Imam Khomeiny -, nous avons organisé des sit-in de protestation. Mais à la télévision d'État, ils ont dit qu'il s'agissait d'une grève pour de meilleurs salaires. C'est terriblement choquant !», relève le second docteur. Un de ses amis, médecin de garde aux urgences de l'hôpital Erfan, a même été «puni» pour avoir tenu tête aux miliciens. «Après avoir disparu pendant trente-six heures, il a été retrouvé à moitié conscient et défiguré sur le trottoir de l'hôpital», raconte-t-il.


Des enterrements sous haute surveillance

Face à la résistance d'une partie du corps médical, les cadavres des manifestants ont vite été emmenés ailleurs. «On pense qu'ils ont été transférés à l'hôpital militaire Baqiatollah, ou bien dans un lieu inconnu du grand public», note le docteur. Puis, sous prétexte de «don d'organe», les corps sont dépouillés de toute trace de balle. «Les parents sont forcés d'accepter s'ils veulent récupérer le corps pour l'enterrer», dit-il.

Au grand cimetière Behecht-é Zahra, les enterrements se passent sous haute surveillance. «Sur la pierre tombale, il est interdit d'indiquer le motif du décès», confie un témoin contacté à Téhéran par téléphone.


Suivre l'actualité c'est le grand zapping les médias se saisissent d'une information en usent et parfois en abusent , et puis la jettent ..
Mais il est rare qu'il n'y ait pas une suite , rare que les conséquences ne perdurent pas .
C'est le cas pour les élections iraniennes , il y a l'après , et comme on le voit , cet après peut être encore plus dramatique .
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Message  livaste Lun 6 Juil - 21:13

Une universitaire française détenue en Iran


Accusée d'espionnage, la jeune femme a été arrêtée à l’aéroport le 1er juillet, alors qu’elle s’apprêtait à quitter le pays. Le ministère des Affaires étrangères français «condamne fermement» cette détention.


Une universitaire française est détenue depuis le 1er juillet en Iran, sous le chef d’inculpation d’espionnage, a annoncé lundi le ministère des Affaires étrangères.
Le Quai d’Orsay a protesté auprès des autorités iraniennes et réclamé sa libération : «La France condamne fermement l’arrestation, le 1er juillet, et la détention par l’Iran d’une universitaire française», selon le communiqué du ministère, qui précise que la jeune femme a été arrêtée à l’aéroport alors qu’elle s’apprêtait à quitter l’Iran «après y avoir résidé pendant cinq mois».
«Le chef d’inculpation d’espionnage avancé par les autorités iraniennes ne résiste pas à l’examen», poursuit le ministère, qui précise que l’ambassadeur iranien à Paris a été convoqué lundi au Quai d’Orsay.
«Nous appelons les autorités iraniennes à libérer immédiatement notre compatriote et à l’autoriser à quitter l’Iran pour la France», déclare encore Paris, qui dit avoir informé «ses partenaires européens à ce sujet et en appelle à la solidarité de tous les Européens».
(Source AFP)

voila qui rappelle les doux jours de la guerre froide !!
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Message  livaste Ven 17 Juil - 21:51

La contestation redescend dans la rue à Téhéran

Beyrouth, Delphine Minoui
17/07/2009 | Mise à jour : 21:17 |


Le prêche de l'ayatollah Ali Akbar Hachemi Rafsandjani, prétexte du rassemblement de vendredi, a étalé au grand jour les dissensions au sommet de régime.

Jamais foule aussi dense et hétéroclite ne s'était donné rendez-vous à la prière du vendredi. Des milliers de partisans du leader de l'opposition, Mir Hossein Moussavi, ont rejoint exceptionnellement, vendredi, la masse traditionnelle des fidèles abonnés à ce rassemblement qui se tient, chaque semaine, à l'université de Téhéran. «Les avenues qui entouraient l'université étaient pleines à craquer. Sous leur tchador, certaines femmes portaient symboliquement un foulard vert - la couleur de Moussavi. Des hommes faisaient le «V » de la victoire avec leurs mains», raconte Reza, un témoin qui s'est rendu sur place.



Une occasion hautement symbolique, puisqu'après un mois de silence, l'ayatollah Ali Akbar Hachemi Rafsandjani était attendu à la tribune. C'est la première fois que cet homme clé du régime, qui soutient Moussavi - également présent à la grande prière - s'exprimait publiquement depuis le résultat du scrutin du 12 juin. «La République islamique court à sa perte si le vote du peuple n'est pas pris en considération», a prévenu Rafsandjani, en référence à la réélection contestée de son ennemi politique, Mahmoud Ahmadinejad, contre lequel il avait lui-même fait campagne en 2005. Sa déclaration, qui contraste avec l'intransigeance jusqu'alors affichée du pouvoir, est une nouvelle illustration des fissures qui prévalent au sommet de l'État iranien.

Après avoir évoqué une «solution» possible à la crise, sans en donner les détails, Rafsandjani s'est ouvertement insurgé contre les arrestations de ces dernières semaines, tout en déplorant les atteintes à la liberté de la presse. «Au final, il n'a rien proposé de concret, mais le seul fait de mettre en cause le résultat du scrutin signifie son soutien indirect au mouvement de protestation», relève un journaliste iranien.


« Rends-nous notre vote ! »

Les consignes de rassemblement avaient été diffusées par courriel - un des derniers moyens de communication des Iraniens, les textos étant bloqués depuis plus de quatre semaines. «Notre but n'est absolument pas de participer à la prière du vendredi ou de prier derrière Hachemi. L'objectif est de pouvoir à nouveau rassembler des millions de gens dans la rue ce vendredi», avait prévenu la circulaire disponible sur Internet, en conseillant aux participants de se munir d'un masque pour se protéger des attaques au gaz lacrymogène et des caméras des services de renseignements.

Dans la foule, les habituels slogans antiaméricains, prononcés lors de chaque prière du vendredi, ont vite été rattrapés par les cris de «Mort au dictateur !», scandés par les manifestants. Les plus zélés sont allés jusqu'à égratigner les alliés stratégiques de la République islamique, en criant «Mort à la Russie !» et «Mort à la Chine !» Des centaines de personnes, parmi lesquelles des femmes et des enfants, ont ensuite poursuivi leur marche en direction du ministère de l'Intérieur, placé sous haute surveillance car accusé d'être à l'origine des «fraudes électorales». «Mahsouli ! Mahsouli ! Rends-nous notre vote !», scandaient-ils à l'attention du ministre de l'Intérieur.

D'abord pacifique, la manifestation n'a pas tardé à dégénérer en affrontements violents entre manifestants, d'un côté, et forces de l'ordre et bassidjis (miliciens), de l'autre. «La police a tenté de disperser la foule en l'aspergeant de gaz lacrymogène», raconte Sara, une manifestante. Ali, un autre manifestant, explique avoir vu deux fourgonnettes des forces de l'ordre, remplies de jeunes, la chemise ensanglantée, arrêtés après avoir été tabassés à coup de matraques. «Les camionnettes étaient tellement pleines que certaines personnes interpellées attendaient sur le trottoir, des menottes aux mains», dit-il. Le réformiste Mehdi Karoubi, candidat malheureux au scrutin a, selon le site Internet de son parti, été attaqué par des hommes en civil alors qu'il se rendait à la prière. Les agences de presse rapportent également l'arrestation, en pleine rue, de l'avocate Shadi Sadr.

Cette nouvelle démonstration de force intervient au moment où Mahmoud Ahmadinejad tente de constituer sa nouvelle équipe. Un de ses proches, Esfandiar Rahim Machaie, vient d'être nommé premier vice-président, tandis que l'ancien ambassadeur d'Iran auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Ali Akbar Salehi, a été désigné chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA). Signe d'un régime embarrassé par cette crise sans précédent depuis la création de la République islamique, il y a trente ans, la prière d'vendredi n'a pas été retransmise en intégralité, comme à l'habitude, sur la télévision publique.

J'ai bien peur que le régime ne se laisse pas faire aussi facilement .
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Message  livaste Lun 20 Juil - 21:01

Le régime iranien en proie aux luttes de pouvoir

Delphine Minoui, à Beyrouth
20/07/2009 | Mise à jour : 21:36 |

Acteurs importants de la révolution de 1979, Rafsandjani et Khamenei (ici à droite, aux côtés d'Ahmadinejad, Shahrudi et Larijani lundi) sont de vrais piliers du régime iranien. (crédit : AFP)
Le guide de la révolution, l'ayatollah Khamenei, a adressé lundi une mise en garde à l'ex-président Rafsandjani, qui avait parlé de «crise» dans le pays.

Plus qu'un avertissement, c'est le signe d'une guerre déclarée entre deux hommes, entre deux clans. «Nos élites doivent être vigilantes. Toute parole, toute action, toute analyse qui aident (les ennemis) vont à l'encontre des intérêts de la nation», a prévenu, lundi, l'ayatollah Ali Khamenei, dans une allocution rapportée par la télévision d'État. Avant d'ajouter : «Ceci est un jour d'examen. Celui qui échoue ne pourra pas le repasser l'année prochaine.»

Sous forme de rappel à l'ordre, le message vise explicitement l'ex-président Rafsandjani. Ce dernier s'était ouvertement rangé, vendredi, du côté de l'opposition, à l'occasion de la grande prière. Il y avait évoqué la crise de confiance des Iraniens, après le résultat contesté du scrutin du 12 juin dernier, au cours duquel il avait soutenu Moussavi, rival déclaré d'Ahmadinejad. Il y avait également demandé la libération des personnes emprisonnées et la réouverture des journaux suspendus.

Si sa prise de position embarrasse aujourd'hui le guide suprême, c'est parce qu'elle révèle la faille qui ne cesse de se creuser au sommet d'un système dont ils sont, tous deux, les principaux artisans. Acteurs importants de la révolution de 1979, ennemis jurés de l'ex-chah d'Iran, Khamenei et Rafsandjani sont de vrais piliers du régime iranien. Les deux hommes se connaissent depuis bien longtemps. À la mort de l'imam Khomeyni, en 1989, Rafsandjani a d'ailleurs joué un rôle actif dans le choix de Khamenei à la succession du père fondateur de la République islamique. Il a hérité, en retour, de l'appui nécessaire pour briguer le poste de président de la Répu­blique, précédemment occupé par Khamenei. Mais, au fil des années, leurs affinités s'effritent. En 2005, la discorde éclate. Pendant la campagne électorale, le guide suprême affiche ouvertement son soutien au maire de Téhéran, Mahmoud Ahmadinejad, rival affiché de Rafsandjani. Un soutien, diront certains, motivé par la crainte de voir Rafsandjani, défenseur d'une libéralisation économique à la chinoise, signer l'arrêt de mort de la République islamique en ouvrant les vannes du pays.



Capture d'une vidéo postée lundi, montrant une manifestation à Shiraz.
À charge de revanche, Rafsandjani qui reste très influent en raison de sa double casquette de chef du Conseil de discernement et de l'Assemblée des experts, deux instances clés du régime aurait, selon ses proches, tenté de passer un «deal» avec le guide, quelques mois avant le dernier scrutin. Le premier se serait engagé à garantir le retrait de l'ex-président réformateur, Khatami, de la course électorale au profit d'un homme en apparence plus effacé, Mir Hossein Moussavi en échange de la neutralité de Khamenei envers Ahmadinejad, candidat à sa réélection. À l'annonce des résultats contestés du scrutin, le pacte est brisé. Rafsandjani se sent trahi. Pendant un mois, il s'isole, évitant toute forme d'intervention publique. Jusqu'à sa sortie remarquée de vendredi dernier.

Entre les deux hommes, deux écoles de pensée s'affrontent aujourd'hui au grand jour : un Iran qui s'isole et se recroqueville sur lui-même, contre un Iran qui cherche à s'ouvrir et à assouplir son discours. Une guerre qui se déroule, en partie, par médias interposés. Ce week-end, le journal conservateur Kayhan s'en prenait directement à Rafsandjani en l'accusant de soutenir «ceux qui violent la loi» en référence aux manifestants. Moussavi, soutenu par Rafsandjani, se réfugie, lui, sur Internet. Dans son dernier communiqué interactif, publié lundi sur le Web, il s'attaque à la télévision d'État dont le directeur est nommé par le guide qu'il accuse de diffuser «de fausses accusations comme des publicités pour machines à laver», allusion à la multiplication des programmes dénonçant ce que certains ultras appellent « une révolution de velours dirigée par l'Occident».


Contagion en province

Lundi, les sites Web étaient également nombreux à relayer l'appel à un référendum sur les élections, lancé par l'Association des religieux combattants (ARC), dirigée par Mohammad Khatami. Quant à la controverse de ce week-end autour de la nomination d'Esfandiar Rahim Mashaie, gendre d'Ahmadinejad, au poste de vice-président, elle a vite été étouffée par un démenti posté sur son site Internet, visant, semble-t-il, à camoufler les tensions internes. La rue, elle, reste le baromètre le plus visible de la crise postélectorale qui menace de paralyser le pays. Alors que de nouvelles vidéos postées sur YouTube, prises par des manifestants à Shiraz, dans le Sud, et à Racht, dans le Nord, montrent que la grogne commence à gagner la province, de nouveaux rassemblements sont prévus, aujourd'hui, dans la capitale iranienne.
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Message  patriote reformiste Lun 20 Juil - 22:12

Un Régime Perse effrayé par les menaces, nombreuses qui l'entourent tant du coté des arabes sunnites que du côtés occidental ne peut que se refugier dans la crispation et l'autoritarisme !

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Message  Invité Lun 20 Juil - 22:17

Je ne pense pas que cela soit une explication unilatérale. Un régime qui serait menacé de toute part n'aurait aucun intérêt à entretenir, même très involontairement, une menace interne.
La rhétorique alarmiste et frondeuse d'Ahmadinejad a justement été défiée par les Iraniens eux-mêmes. Non que je pense que Moussavi fût un réformiste révolutionnaire, mais les théories de l'Iran seul face au monde n'ont pas convaincu.

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