Important trafic d'héroïne démantelé en Ille et Vilaine !

Georges a écrit:Comme dirait Livaste, encore des petits caïds de banlieue.

livaste a écrit:est ce que tu veux nous donner les noms , avant de t'avancer ???

livaste a écrit:tu ne peux pas donner de noms mais tu trouves normal d'envoyer des sous entendus !

Je veux bien tout accepter mais là tu dépasses les "bornes" !

Soit tu ne sais pas lire ( ce qui m'étonnerait) soit tu cherches la provocation ( ce qui plus probable ) ... mais dans quelle intention ? Je l'ignore !

Pour la seconde fois je te SIGNIFIE que j'ai purement et simplement copier/coller un article du quotidien Ouest-France ... ! Les sous-entendus font partie intégrante de l'article ... est-ce clair ?

En conséquence si tu veux critiquer cet article tu t'adresses à son auteur et si tu veux des noms tu t'adresses à la gendarmerie de redon ( 35 ) ... vu ton job tu devrais pouvoir réaliser cette prouesse

shimmy a écrit:En général, si ce sont des FDS, les noms sont donnés !

shimmy a écrit:Tu es bien le seul à ne pas savoir : Français De Souche .

de souche ...trop idiot comme terme !

shimmy a écrit:

de souche ...trop idiot comme terme !

Ca dit pourtant bien ce que ça veut dire !

Je suis une "Française de souche" et fière de l'être !

On a encore parlé d'héroïne et de cocaïne, hier, au tribunal correctionnel de Nantes. Stéphanie, Katia et Cuneyt, respectivement âgés de 25, 33 et 35 ans, comparaissaient suite à un trafic de stupéfiants mené du 1er janvier 2007 au 15 décembre 2008.

Katia, pas loin de dix condamnations au casier, est détenue depuis les faits. Elle habitait Bain-de-Bretagne. « Stéphanie m'a proposé de m'emmener en Hollande. Elle avait le permis et la voiture, moi non », dit cette maman qui avait des contacts là-bas. Katia joue la carte de la clarté : le gramme d'héroïne acheté 15 € était revendu 30 €, quand le gramme de cocaïne acquis, lui, au prix de 30 €, se trouvait revendu 45 €. Mais pourquoi aller si loin ? « C'est moins cher en Hollande », répond Stéphanie, la Castelbriantaise. « Nous avons ramené de l'héroïne et de la cocaïne dans nos corps respectifs. » Cette jeune maman « a décidé de décrocher de la drogue pour son garçon », indique son avocate.

Le prévenu, un père de famille natif de Turquie, « a financé trois ou quatre voyages ». Le procureur reproche à Cuneyt, « en sevrage » et en récidive, d'avoir acquis au moins « 100 g » de stupéfiants. Les deux femmes, elles, avaient importé, pour Stéphanie « 350 g », et pour Katia « 600 g ».

La plus jeune écope d'un an de prison avec sursis mise à l'épreuve, Cuneyt trois ans de prison dont 18 mois ferme, Katia deux ans de prison dont 18 mois ferme. Cette dernière n'a pas mis en cause ses fournisseurs « par peur des représailles ».

Après cinq interpellations et la saisie de trois kilos de drogue, en décembre à la Poterie, l'enquête se poursuit en direction de la filière albanaise.
Fatos Krasniqi, 25 ans, et Ismet Skrijelj, 54 ans, demandaient leur remise en liberté, mardi, devant la chambre de l'instruction. Les magistrats ont rejeté cette demande. On est en présence d'une des plus lourdes instructions actuelles, à Rennes, en matière de trafic de drogue.

Les deux Albanais étaient « tombés » dans le coup de filet parti du quartier de la Poterie, le 2 décembre dernier. Les gendarmes avaient déployé de gros moyens, et investi un appartement loué par une jeune Bretonne. Son compagnon ainsi que quatre autres hommes avaient été interpellés. Puis mis en examen par un juge, pour trafic de stupéfiants et « participation à une association de malfaiteurs ». Les perquisitions à leurs domiciles avaient permis de saisir trois kilos d'héroïne.

Parmi ces cinq hommes, Fatos Krasniqi. Pour Michel Vannier, avocat général à la chambre de l'instruction, « il est l'un des principaux, sinon le principal organisateur de ce trafic. » Mais le jeune Albanais conteste. « Je vendais du haschich, ce qui me rapportait en moyenne 1 500 € par mois. Mais pas de drogues dures. »

Témoignages contestés

Pourtant, il a été mis en cause par plusieurs personnes, qui ont déclaré aux enquêteurs lui avoir acheté de l'héroïne. « Ces dénonciateurs n'ont aucun crédit », réplique Me Thierry Fillion, avocat de Faros Krasniqi. Celui-ci conteste également avoir donné 10 000 € à un de ses beaux-frères, pour les expédier en Albanie.

Ismet Skrijelj, lui, est plus âgé et « expérimenté ». 14 condamnations depuis 1996, dont deux fois trois ans de prison pour stupéfiants. Sorti de prison le 22 novembre dernier, il y est retourné un mois plus tard. « Une partie de la drogue déposée dans l'appartement de la Poterie était destinée à M. Skrijelj », soutient l'accusation, sur la base de deux témoignages. « Des témoins sujets à caution », répète Me Fillion.

Meurtre et tentative

En parallèle de cette affaire, on trouve aussi trace de l'arrestation de trois autres ressortissants albanais par les Douanes, le 18 février 2008 en gare de Rennes. Les trois hommes avaient tenté de fuir à bord d'une Mercedes. Ils étaient en lien avec la filière albanaise de Limoges (Haute-Vienne). Or à la Poterie en décembre, une voiture immatriculée dans ce département avait été saisie.

Plus grave, un des cinq interpellés du mois de décembre avait été retrouvé grièvement blessé à l'arme blanche, le samedi 22 décembre 2007 au soir, à Cesson-Sévigné. Les coups de couteau auraient pu s'avérer mortels. Règlement de comptes sur fond de drogue ? La suite de l'instruction le dira peut-être.

Toujours en marge du milieu des « stups » rennais, un jeune de 16 ans, également d'origine albanaise, avait été tué par balles, avenue Henri-Fréville, le jeudi 12 juin 2008. Son meurtrier présumé avait été identifié par la PJ. Il s'agissait d'un jeune homme de 24 ans. Il a trouvé la mort sur le périphérique de Nantes, dans la nuit du 26 au 27 décembre. Après une course-poursuite avec un autre véhicule, dont le conducteur n'a pas été identifié à ce jour.

On a encore parlé d'héroïne et de cocaïne, hier, au tribunal correctionnel de Nantes. Stéphanie, Katia et Cuneyt, respectivement âgés de 25, 33 et 35 ans, comparaissaient suite à un trafic de stupéfiants mené du 1er janvier 2007 au 15 décembre 2008.

Katia, pas loin de dix condamnations au casier, est détenue depuis les faits. Elle habitait Bain-de-Bretagne. « Stéphanie m'a proposé de m'emmener en Hollande. Elle avait le permis et la voiture, moi non », dit cette maman qui avait des contacts là-bas. Katia joue la carte de la clarté : le gramme d'héroïne acheté 15 € était revendu 30 €, quand le gramme de cocaïne acquis, lui, au prix de 30 €, se trouvait revendu 45 €. Mais pourquoi aller si loin ? « C'est moins cher en Hollande », répond Stéphanie, la Castelbriantaise. « Nous avons ramené de l'héroïne et de la cocaïne dans nos corps respectifs. » Cette jeune maman « a décidé de décrocher de la drogue pour son garçon », indique son avocate.

Le prévenu, un père de famille natif de Turquie, « a financé trois ou quatre voyages ». Le procureur reproche à Cuneyt, « en sevrage » et en récidive, d'avoir acquis au moins « 100 g » de stupéfiants. Les deux femmes, elles, avaient importé, pour Stéphanie « 350 g », et pour Katia « 600 g ».

La plus jeune écope d'un an de prison avec sursis mise à l'épreuve, Cuneyt trois ans de prison dont 18 mois ferme, Katia deux ans de prison dont 18 mois ferme. Cette dernière n'a pas mis en cause ses fournisseurs « par peur des représailles ».

franline a écrit:décidément , c'est loin d'être calme à Redon ...

Actualité Redon
mardi 19 mai 2009
Jugés pour trafic d'héroïne et de cocaïne

On a encore parlé d'héroïne et de cocaïne, hier, au tribunal correctionnel de Nantes. Stéphanie, Katia et Cuneyt, respectivement âgés de 25, 33 et 35 ans, comparaissaient suite à un trafic de stupéfiants mené du 1er janvier 2007 au 15 décembre 2008.

Katia, pas loin de dix condamnations au casier, est détenue depuis les faits. Elle habitait Bain-de-Bretagne. « Stéphanie m'a proposé de m'emmener en Hollande. Elle avait le permis et la voiture, moi non », dit cette maman qui avait des contacts là-bas. Katia joue la carte de la clarté : le gramme d'héroïne acheté 15 € était revendu 30 €, quand le gramme de cocaïne acquis, lui, au prix de 30 €, se trouvait revendu 45 €. Mais pourquoi aller si loin ? « C'est moins cher en Hollande », répond Stéphanie, la Castelbriantaise. « Nous avons ramené de l'héroïne et de la cocaïne dans nos corps respectifs. » Cette jeune maman « a décidé de décrocher de la drogue pour son garçon », indique son avocate.

Le prévenu, un père de famille natif de Turquie, « a financé trois ou quatre voyages ». Le procureur reproche à Cuneyt, « en sevrage » et en récidive, d'avoir acquis au moins « 100 g » de stupéfiants. Les deux femmes, elles, avaient importé, pour Stéphanie « 350 g », et pour Katia « 600 g ».

La plus jeune écope d'un an de prison avec sursis mise à l'épreuve, Cuneyt trois ans de prison dont 18 mois ferme, Katia deux ans de prison dont 18 mois ferme. Cette dernière n'a pas mis en cause ses fournisseurs « par peur des représailles ».

Ouest-France
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